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  • «L'élection présidentielle va se jouer sur la place de l'islam»

    Selon Manuel Valls, qui croitau Père Noël que «l'islam est compatible avec la démocratie (et) avec nos valeurs». Le chef du gouvernement plaide pour «l'assimilation et l'intégration de l'islam».

    «Nous devons bâtir un islam français, européen, occidentalisé, avec nos traditions et nos valeurs».

    Un islam sans Coran, sans hadith, sans haram. Bon courage.

    Michel Janva

  • Tribune libre : Islam, terrorisme, complot ? Que d’erreurs d’analyse

    Je tiens avant toute chose à poser le préalable suivant : le présent article ne vise pas à alimenter le choc des civilisations (1) vu qu’il est déjà bien présent (2), ni à se cacher derrière son petit doigt en ne présentant pas les choses sous l’angle de l’objectivité et de la vérité qui en découle logiquement. Suite à la vague terroriste islamique qui a touché l’Europe, il est malheureusement fréquent de constater que de grossières erreurs d’analyses sont produites et qu’elles empêchent réellement de comprendre les phénomènes auxquels nous sommes confrontés. Cet article a pour but de dénoncer ces fourvoiements et d’apporter de la clarté, là où règne actuellement la confusion.

    Je commencerai par établir un parallèle entre l’idéologie nazie et la religion islamique, non pas tant pour les comparer d’un point de vue intellectuel – ce qui n’aurait aucun sens – que pour aborder le traitement médiatique auquel elles sont confrontées. Imaginons quelques instants qu’un individu se réclamant d’Hitler commette des attentats atroces en France. Est-ce que les prétendus experts en terrorisme avanceraient, non sans rire, qu’il convient de ne pas comparer voire de mélanger nazi et nazisme ? Je prends volontairement le nazisme comme outil de comparaison parce que, dans nos sociétés, il représente – à tort – le mal absolu. En effet, dans un débat, il est fréquent que le point Godwin (3) soit atteint par l’un des protagonistes en accusant l’adversaire d’être nazi. Ceci étant dit, remarquons qu’à l’époque où le nazisme existait (1920 à 1945), personne, à ma connaissance, en Allemagne ou ailleurs, ne proclamait à longueur de journée dans les journaux ou à la radio que les premières victimes du nazisme étaient les nazis eux-mêmes… Produire et soutenir ce genre de discours revient à déresponsabiliser l’ensemble des musulmans et à faire d’eux des êtres dénués de bons sens, d’intelligence et de responsabilité. Chacun à le devoir de se former. Grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, aujourd’hui, nul ne peut rester dans l’ignorance, si ce n’est par sa propre volonté ou fainéantise. Ainsi, si un musulman reste musulman, il agit selon ses désirs, et il me semble dangereux de vouloir lui dénier cette action propre. Assurément, les musulmans ne sont ni des robots ni des pantins. Certaines bonnes âmes objecteront qu’il est difficile de quitter l’islam à cause de la coercition sociale très forte, ou peut-être, plus exactement négative, qui existe dans cette grande communauté. Quand naît une volonté, un chemin se dessine. Il ne manque pas d’exemples de musulmans qui quittent l’islam, nonobstant quelques graves difficultés (4).

    Après ce rappel salutaire de la responsabilisation des individus quant à leurs choix religieux, il est à mon sens important de rappeler que la vague terroriste qui touche l’Europe depuis les deux dernières décennies ne peut être comparée aux précédentes. Les auteurs des attentats du siècle dernier – de l’extrême gauche à l’extrême droite – contre des personnalités de premier plan (5) ne revendiquaient jamais une religion, mais une idéologie politique. Le terrorisme « italien » des années de plomb, ou « basque » et « irlandais » étaient animés par une cause territoriale, ethnique, politique, mais jamais la religion ne servait de cause première. Le terrorisme islamique n’est pas européen. Qu’on se le dise tout de suite, le terrorisme reste quelque chose d’inhumain et d’atroce d’où qu’il vienne. Cependant, vouloir l’étudier et le comprendre en le prenant pour un terrorisme de souche européenne est une erreur cruciale. L’islam est né en Arabie, largement hors de portée de la civilisation et de la culture européennes. De même, si les initiateurs des attentats sont pour l’écrasante majorité nés en Europe, ils ne sont pas européens au sens strict du terme, ni par la culture, ni par leurs références philosophiques, ni par leurs lectures, leurs musiques et encore moins par leur religion. De fait, c’est une méprise de vouloir appliquer à l’islam une grille de lecture anthropologique mêlant philosophie gréco-romaine et religion catholique, même si, contrairement à ce qu’en disent ses séides et les commentateurs officiels, l’islam est né d’une hérésie chrétienne en opposition avec l’orthodoxie catholique (6).

    Il n’est pas rare malheureusement d’entendre et de lire que la pauvreté conduit à la délinquance. C’est un raisonnement faux sur lequel je ne m’étendrai pas maintenant. Aujourd’hui, les commentateurs officiels exposent très souvent que les terroristes musulmans en Europe, voire dans le monde, sont des êtres sous cultivés voire a-cultivés. Le raisonnement consiste à dire que si les terroristes étaient cultivés ils ne seraient pas terroristes. Cela me fait penser à un faux syllogisme que j’ai appris en première année de collège (7). Réduire les musulmans terroristes à des personnages débiles et dénués d’intelligence revient à aller vite en besogne. C’est oublier que les propagateurs de l’islam peuvent être des gens instruits voire supérieurement intelligents. Dans les pays où règne le fondamentalisme musulman, les élites de ces contrées, souvent urbaines, cultivées voire bourgeoises, loin d’être des analphabètes, soutiennent un islam authentique. Ainsi, la guerre contre le terrorisme islamique ne se gagnera pas avec des minutes de silence, des cours d’éducation civique ou des hommages vibrants dans lesquels certains chantent la Marseillaise à gorge déployée. II ne faut jamais oublier que certains représentants – plus ou moins officiels – de l’islam ont poursuivi un cursus scolaire au sein de prestigieuses universités européennes voire américaines. Pour planifier des actions terroristes il faut savoir lire, écrire, compter et, dans certains cas, concevoir et poser des bombes. On est quand même loin de l’idiot de la mosquée. L’inculture qui serait avancée par les pseudos spécialistes des attentats reste une excuse facile qui ne résiste pas à une analyse objective des faits. Il ne faut jamais oublier que les cadres bolchéviques étaient éduqués, et que, pour nombre d’entre eux, ils étaient férus de lecture et d’écriture. Le degré de savoir n’est pas une donnée fiable pour déterminer si on peut ou non envoyer à la mort des millions d’individus (8). Cependant, cette réalité précédemment décryptée et analysée ne doit pas faire oublier qu’il existe évidemment une différence de savoir et d’intelligence entre les planificateurs des attentats et les exécutants. Effectivement, les musulmans qui ont été tués ou arrêtés, après leurs attentats réussis ou ratés, avaient souvent connu l’échec scolaire et se trouvaient en situation d’échec de vie tout court. Ils devaient sûrement considérer que les déboires qu’ils vivaient n’étaient que le corollaire d’une société qui ne les comprenait pas, les rejetait et les méprisait. Alors ils trouvaient dans l’islam ce qu’ils croyaient être une porte de sortie à leur misérable condition de vie. Ainsi, ils ne se radicalisaient pas comme on l’entend ici ou là, ils devenaient tout simplement des moudjahidines (comme ils se nomment eux-mêmes), afin de se venger d’une société qui, selon eux, ne les avait ni compris ni respectés. Un réflexe victimaire classique se développe alors… Concrètement, que les militants de terrain, utilisés par leurs gourous comme de la chaire à canon, ne soient pas des génies ou des prix Nobel, c’est une certitude. Toutefois, n’oublions pas que les tenants de l’islam authentique, quoiqu’en disent les commentateurs officiels, possèdent un corpus doctrinal très ancien et des intellectuels de haute volée qui sont soutenus par une riche oligarchie musulmane.

    Depuis vingt ans, le territoire national n’a jamais été touché par des attentats dont les auteurs se réclamaient du bouddhisme, du judaïsme, du christianisme, du mormonisme etc. En revanche, depuis vingt ans, tous les auteurs des attentats en France sont musulmans (9). C’est un fait que seuls les gens de mauvaise foi contestent. Cependant, l’autre erreur serait de voir dans chaque musulman un terroriste en puissance. En tant que catholique, je considère la religion musulmane comme une fausse religion (10), et je respecte les musulmans – et les tenants des autres religions – qui recherchent le Dieu unique, qu’ils n’ont pas encore trouvé. Les musulmans vivants en France ne doivent pas être stigmatisés pour leurs croyances ou être considérés comme des citoyens de troisième zone. Ce serait une honte pour notre intelligence civilisationnelle de procéder ainsi. Toutefois, entre les stigmatiser et accepter leur doctrine voire leurs diktats sans rien dire et sans agir, il existe une voie qui me semble plus juste. Elle consiste à répéter à temps et à contre temps, et avec l’aide d’arguments circonstanciés de manière ferme et juste, que l’islam n’est pas la vraie religion, que les musulmans, grâce non pas à une liberté religieuse mais à une tolérance religieuse comme elle s’est très souvent appliquée en territoire catholique, peuvent pratiquer leur religion en France, à condition qu’ils respectent les lois, les traditions et avec la non volonté d’imposer quoique ce soit dans l’espace public. Il est hors de question, en vertu d’un faux principe d’humanisme voire d’égalitarisme, d’accorder des droits particuliers ou des exemptions aux musulmans et aux associations les représentant. La loi doit être la même pour tous.

    Dans cette crise que nous traversons, le gouvernement socialiste porte une énorme responsabilité. L’hypocrisie gouvernementale devient insupportable pour des personnes attachées à la vérité. Si la République dite Française voulait vraiment combattre le terrorisme musulman, elle agirait comme il se doit. Assurément, elle n’encouragerait pas l’immigration afro-maghrébine de masse et ne permettrait pas la construction de mosquées sur l’ensemble du territoire, avec des exemptions fiscales très généreuses pour les achats de terrain (11). Le Président de la République et son Premier Ministre dans leurs déclarations officielles où ils mentionnent sans cesse le terme de guerre, désigneraient clairement contre qui la République est en conflit. A force d’employer de manière inopportune le mot « guerre », celui-ci perd de sa consistance. Effectivement, à les écouter et à les lire, on serait en guerre contre un adversaire non désigné, on serait en guerre contre le chômage, contre la pauvreté, contre la délinquance routière (12), contre le racisme, contre le populisme, contre les extrémismes, contre l’illettrisme etc. La guerre c’est du sérieux, et le discours politique doit l’être tout autant. Malheureusement les représentants de cette institution républicaine se décrédibilisent par leurs boniments creux en totale opposition avec l’urgence de la situation qui réclame des actes forts et radicaux. Augmenter le nombre de policiers, de gendarmes et de militaires dans les rues ne diminuera pas le risque d’attentats en France. Les terroristes basent leurs actions criminelles sur la rapidité, la surprise et une certaine connaissance du terrain. Le gouvernement socialo-républicain pourra construire des murs, des tours, si un terroriste veut se faire sauter dans une foule, prendre un véhicule et foncer sur des familles comme dans un jeu de quilles, ou procéder à des attaques ou couteau ou à la machette, il y arrivera. Il convient de combattre le terrorisme musulman là où il prospère, que ce soit en France dans certains quartiers, ou dans certaines zones géographiques de par le monde. A ce sujet, les services de renseignements français ont déjà montré leur efficacité. Il serait très utile pour la paix en France que le gouvernement actuel les laisse travailler afin qu’ils puissent mener à terme leurs difficiles mais précieuses missions.

    Avant de conclure, revenons sur un aspect qui me dérange fortement. Depuis les attentats du 11 septembre 2001 à New York, il devient presque impossible qu’un fait d’actualité concernant les musulmans ne soit pas étudié et décrypté, par certains, sous l’angle de la théorie du complot. Il est évident que les complots existent, tout comme il me paraît sûr que la version officielle du 11 septembre 2001 ne peut être considérée comme fiable (13). Tout le monde connaît la fable d’Esope intitulée « Le garçon qui criait au loup ». A l’instar des hommes politiques qui parlent toujours de guerre pour n’importe quoi, évoquer perpétuellement le complot pour expliquer les actes des moudjahidines revient à délégitimer leur existence et à faire croire à nos compatriotes que finalement ces complots ne seraient que des tempêtes sous le crâne d’individus en mal de sensations fortes. Parler du complot pour expliquer chaque attentat musulman en France, en Allemagne ou ailleurs, revient à nier que certains musulmans, non manipulés par les services secrets américains et britanniques, vouent à l’Europe et à ses sociétés une haine farouche. C’est une nouvelle tentative bien maladroite – qui renvoie à celle étudiée plus haut – de déresponsabiliser et d’infantiliser les musulmans qui choisissent librement et sciemment la voie de la guerre. Ceux qui prétextent constamment le complot pour éviter de comprendre la réelle nature de l’islam sont aussi peu sérieux que ceux qui évoquent le « fascisme » (14) dès qu’un discours politique s’en prend légitimement à l’Union Européenne ou à l’immigration de masse. D’une manière générale, je rappelle que les dominants ne peuvent tout contrôler. Ils sont certes très puissants, mais ils ne peuvent être tout puissants. Il convient donc de ne pas tout mélanger afin d’éviter d’entretenir ces confusions intellectuelles qui desservent la vérité. Que les attaques sous faux drapeaux existent, c’est un aspect non discutable. Seuls les naïfs pourraient remettre cela en doute. Pour aller plus loin, j’écris que si les derniers attentats sur le sol national perpétrés par des musulmans étaient le fruit d’un complot, je serais le premier à le dénoncer. En l’occurrence, ce n’est pas le sujet. Si dans les semaines ou années qui viennent on apprend de source sûre que, par exemple, Mohamed Lahouaiej Bouhlel était manipulé par les « services », qu’est-ce que cela changerait aux différents problèmes posés par l’islam en France et ailleurs ? Rien. Si Mohamed Lahouaiej Bouhlel était un agent, est-ce que cela réglerait les problèmes du voile, des burkas, de cantine scolaire, des mosquées souterraines et clandestines, des prières de rue, des burkinis, des appels aux meurtres des chrétiens dans le Coran, de la situation catastrophique des chrétiens d’Orient, de la population carcérale composée en très grande majorité de musulmans, etc ? Non. Ne mélangeons pas tout. Indubitablement, il y a d’un côté les problèmes inhérents à l’islam, de l’autre il existe des problèmes inhérents au mondialisme. Parfois ces problèmes s’entrecroisent, mais ils ne sont pas éternellement interdépendants et intrinsèquement liés.

    Dernier point et pas des moindres, il me semble important de conclure en poursuivant une idée développée plus haut. Les musulmans en général et l’islam en particulier fonctionnent différemment en ce qui concerne les grilles de lecture auxquelles nous sommes habitués. Ils ne sont pas nous. Nous ne sommes pas eux. Au risque de le répéter, mais il vaut mieux le réécrire que de ne pas être compris, la pensée française est issue d’un savant mélange entre la philosophie gréco-romaine et la religion chrétienne. L’islam repose sur une hérésie chrétienne et propose un retour mal digéré à la religion archaïque, qu’on pourrait qualifier de régression abrahamique, basée sur le sacrifice (15). Je l’ai déjà évoqué maintes fois dans mes interventions mais il me semble fondamental et essentiel de rappeler la proposition intellectuelle de René Girard (16) pour comprendre le temps historique que nous vivons. Le catholicisme et l’islam proposent deux versions différentes et irréconciliables de la vertu du sacrifice. Ce dernier se retrouve au cœur de toutes les civilisations humaines ainsi que dans presque tous les récits mythiques. Comme l’explique parfaitement René Girard, les tenants des religions archaïques organisaient dans des rites plus ou moins confus ou très élaborés la mort du bouc émissaire, qui était sensé regrouper sur lui les désordres et les maux du groupe social pour rétablir la paix et l’harmonie au sein de celui-ci. L’innovation géniale du christianisme, en plus d’apporter la Rédemption, est de casser cette logique perverse du bouc émissaire proposée par les religions archaïques. En effet, le sacrifice de Jésus sur la Croix envoie à la mort une victime innocente. Le cycle infernal de la violence et du sacrifice est mort, car la restauration de la paix ne passe plus par la condamnation et le sang de victimes innocentes. Pour les musulmans, les martyrs de la foi sont ceux qui donnent la mort, ceux qui font couler le sang. Pour les catholiques, les martyrs de la foi sont ceux qui sont tués à cause de leur religion et dont le sang coule. L’islam est resté dans une optique archaïque, le catholicisme est déjà entré – depuis 2000 ans – dans la modernité de la foi. Il est donc triste et dommageable intellectuellement parlant, que certains entretiennent volontairement cette équivoque, ou pire, estiment que ces deux voire trois religions (17) seraient les faces d’un même dé. Il demeure fondamental de toujours avoir à l’esprit que l’islam et le catholicisme n’ont pas les mêmes fondements, ni les mêmes visions de l’homme, de la religion et de Dieu (18). Il était plus que temps de le rappeler.

    Franck ABED son blog cliquez ici

    1) Le Choc des civilisations (en anglais The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order) est le titre d’un essai d’analyse politique rédigé par l’Américain Samuel Huntington, professeur à Harvard, paru en 1996. Il s’agit de présenter une grille d’analyse pour décrire le fonctionnement des relations internationales après l’effondrement du bloc soviétique à la fin des années 1980. Depuis sa parution, ce livre a fait couler beaucoup d’encre entre les partisans et les opposants aux thèses délivrées par Huntington

    2) Lire Le mondialisme de Franck ABED

    3) La loi de Godwin est une règle empirique provenant d’un énoncé fait en 1990 par Mike Godwin. Dans un débat, atteindre le point Godwin revient à vouloir discréditer son adversaire en l’accusant d’être nazi. Rares aujourd’hui sont les débats sur l’immigration, l’islam, la politique ou l’histoire où le point Godwin n’est pas atteint.

    4) Je renvoie, entre autres, au livre de Joseph Fadelle intitulé Le prix à payer

    5) Prenons les exemples les plus connus : Humbert 1er d’Italie, l’Impératrice Elisabeth d’Autriche, Sadi Carnot président de la République Française, etc.

    6) Jean Damascène, Saint et Docteur de l’Eglise, écrit : « A partir de cette époque, un faux prophète survint au milieu d’eux ; il s’appelait Mohammed. Il a entendu quelquefois l’Ancien et le Nouveau Testament, et est censé avoir rencontré un moine arien, par la suite. Finalement il créera lui-même sa propre hérésie. » in De Haeresibus (des hérésies, chapitre 101)

    7) « Tous les chats sont mortels. Or Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat. » Exemple éclairant d’un faux syllogisme.

    8) Le communisme est responsable de 100 millions de morts. Lire à ce sujet Le livre noir du communisme, crimes, terreur, répression

    9) Mohamed Lahouaiej Bouhlel (2016 – Promenade des Anglais – 84 morts – 200 blessés)

    Larossi Abballa (2016 – 2 policiers assassinés à Magnanville)

    Brahim et Salah Abselam, Foued Mohamed-Aggad, Abdelhamid Abaaoud (2015 – Bataclan – 130 morts – 350 blessés)

    Amedy Coulibaly (2015 – Hyper Casher – 5 morts)

    Yassin Salhi (2015 – décapitation d’Hervé Cornara)

    Chérif et Saïd Kouachi (2015 – Charlie Hebdo – 12 morts)

    Sid Ahmed Ghlam (2015 – 1 femme tuée et une Eglise visée)

    Mohamed Merah (2012 – Ozar Hatorah/Toulouse/Montauban – 7 morts)

    Khaled Kelkal (1995 – RER Saint-Michel à Paris – 8 morts et 117 blessés)

    10) Seule la religion catholique est la vraie religion. « Je suis la voie, la vérité, la vie. » (Jean 14-6)

    11) On ne compte plus les baux emphytéotiques dérisoires accordés à des associations musulmanes désirant construire des mosquées.

    12) Aujourd’hui, un père ou une mère de famille qui roulent à 120 kilomètres/heure, au lieu de 110, sont considérés comme des délinquants. Voilà comment les mots (et les concepts) perdent de leur essence.

    13) Les théories explicatives proposées par les organes alternatifs, dissidents etc., présentent selon moi de nombreuses lacunes.

    14) « L’antifascisme n’était que du théâtre » Lionel Jospin sur France Culture le 29/09/07

    15) En effet le catholicisme avait mis fin aux interdits alimentaires, au sacrifice des animaux, à la circoncision, etc. La religion musulmane revient sur ses avancées et propose une vision régressive de la religion en revenant aux fondements abrahamiques que nous venons d’évoquer.

    16) Lire particulièrement Le bouc émissaire ; Achever Clausewitz ; La violence et le sacré

    17) Nous pensons ici au judaïsme postérieur à l’arrivée du Christ.

    18) Les catholiques croient en Jésus-Christ qui est le Messie. Les musulmans voient Jésus/Isa comme un prophète majeur mais dénué de tout divinité, au contraire des catholiques qui considèrent Jésus-Christ comme Fils de Dieu et Dieu lui-même.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/08/24/tribune-libre-islam-terrorisme-complot-que-d-erreurs-d-analy-5839330.html#more

  • Le clan des Synarques américanisés

    L’homme est ainsi fait qu’il peut survivre sans s’abriter ni se vêtir. Il ne le peut sans s’alimenter. Cela fait de l’agriculture, après la cueillette antique, la priorité des priorités.

    Ainsi, faisant suite à la politique d’Henry IV, et de ses propos sur la « poule au pot », l’économiste (avant le terme !) Montchrétien écrivait : « Le labourage doit être estimé, au commencement de toutes facultés ou richesses. On peut dire que les laboureurs sont les pieds de l’État, car ils soutiennent et portent tout le faix du corps ! »

    C’était déjà l’avis de Socrate qui disait, voici vingt-quatre siècles : « Lorsque l’agriculture prospère, tous les autres arts fleurissent avec elle. Mais quand on abandonne la culture pour quelque cause que ce soit, tous les autres travaux s’anéantissent en même temps ! »

    Et pourtant, malgré cette évidence, depuis que « le progrès » fut élevé par la république au rang de divinité, on assista à une minorisation de ce secteur, de sorte que Pie XII pouvait déclarer le 2 juin 1953 : « On peut dénoncer une erreur essentielle du développement économique depuis l’apparition de l’industrialisation moderne. Le secteur agricole est devenu d’une façon tout à fait anormale un secteur de l’industrie, et surtout du marché. »

    C’est que le « Modernisme » dénoncé par Pie X en son temps, n’atteignait pas seulement l’institution ecclésiale, mais il infectait déjà les cadres de la société, grisés par l’avancée des techniques.

    Ainsi le Premier ministre belge, Aloys Van de Vyvere, écrivait déjà en 1925 : « Les progrès de la science sont si rapides, qu’avant 1950, l’agriculture aura disparu de la surface de la terre, sauf peut-être chez quelques peuplades arriérées, car l’homme sera en mesure d’inventer chimiquement toute la nourriture dont il aura besoin ! »

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  • Conférence « Impact de la guerre sur les femmes syriennes », avec Ayssar Midani

  • Une campagne axée sur l'identité. Mais quelle identité ?

    En bon politicien, Nicolas Sarkozy a compris, comme un certain nombre d'analystes (ici ou ) que la campagne de 2017 se jouerait sur l'identité. Il écrit ainsi :

    «La prochaine élection présidentielle ne se jouera pas seulement sur les clivages économiques. La clef de cohérence de l'ensemble se jouera sur l'identité française, son contenu, son respect, son avenir et par-dessus tout sa pérennité.»

    Evidemment c'est une posture de campagne et personne n'est obligé de croire celui qui prônait le métissage obligatoire. Celui qui déclarait à Philippe de Villiers que la France le laisse froid veut maintenant en finir avec une «France qui devait s'effacer devant ses hôtes», souhaite donc «réduire drastiquement le nombre d'étrangers» (qu'il a pourtant fait croître entre 2007 et 2012), stopper l'immigration économique «pendant le prochain quinquennat» (alors qu'il prônait la discrimination positive sur ce sujet), suspendre le regroupement familial jusqu'à la mise en œuvre d'un nouveau traité de Schengen et réviser le droit du sol. Sic. Il semble bien décidé à chasser les électeurs du FN par la droite.

    Sur l'islam, il considère que les musulmans n'ont pas «fait le travail nécessaire autant qu'inévitable d'intégration ». Il souhaite «organiser l'islam» en France en demandant au CFCM (Conseil français du culte musulman, créé par Sarkozy en 2003) «d'habiliter les imams sous le contrôle du ministère de l'Intérieur».

    Sans être dupes sur le personnage, nous pouvons toujours nous réjouir que cette question essentielle de l'identité française soit largement abordée durant cette campagne et libère la parole à droite.

    Michel Janva

  • Aubervilliers, Aurillac : deux manifestations, deux France

    D’un côté, l’expression pacifique d’une communauté blessée dans sa chair ; de l’autre, le spectacle illégal du cassage le plus primitif.

    Près de 2.000 personnes d’origine chinoise ont paisiblement manifesté ce dimanche dans les rues d’Aubervilliers pour mettre en lumière la violence chronique dont ils sont victimes en Île-de-France. Décédé des suites de ses blessures, Chaolin Zhang, un couturier de 49 ans, avait été agressé le 7 août dernier par trois hommes qui voulaient voler le sac de son ami. Munis de pancartes« Sécurité, liberté, égalité, fraternité », les membres de la communauté chinoise ont défilé en silence, arborant chacun un T-shirt et un drapeau tricolores.

    Quelques heures plus tôt, du côté du Cantal, une manifestation d’une tout autre nature dégénérait en guérilla urbaine. En effet, le Festival international de théâtre de rue d’Aurillac a été la scène d’échauffourées orchestrées par l’ultragauche. Vendredi, peu après 18 heures, 300 festivaliers, infiltrés par une centaine de casseurs encagoulés, ont violemment protesté contre les mesures de sécurité imposées, en particulier les fouilles à l’entrée du centre-ville. Des tracts avaient été distribués pour dénoncer le« déploiement privé, militaire et policier », comparé à une « mise en cage ». Les protestataires ont installé des barricades, caillassé des voitures, allumé des feux et dégradé des vitrines de commerce. Le face-à-face avec les forces de l’ordre a duré plus d’une heure et a été ponctué de plusieurs phases violentes. Des individus ont descellé des pavés de la place des Carmes pour les projeter sur les forces de l’ordre alors que des jets de gaz lacrymogène étaient utilisés pour disperser la foule.

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  • De l'urgence de restaurer la monarchie

    ARGUMENTAIRE. Les bonnes raisons de restaurer une monarchie couronnée ne manquent pas. Cet article en donne quelques-unes avec la force de l'évidence : la monarchie, où le roi au sommet de l'État incarne l'unité historique, sociale et politique de la nation, est sans nul doute le meilleur des systèmes institutionnels. Celui qui redonnerait aux Français confiance et foi en l'avenir ! 

    PAR YVES MOREL

    Deux cent vingt-deux ans après la Révolution, les carences de notre république sont patentes. Des gens de gauche se prennent même à rappeler les mérites de notre ancienne monarchie ! Cela ne laisse d'ailleurs pas d'étonner en des temps où l'on n'a jamais autant exalté la République et les « valeurs républicaines ». Faut-il voir là le chant du cygne d'un régime aux abois ? Nos politiciens louant sans cesse la République ressembleraient alors à l'orchestre du Titanic jouant à pleine puissance pour tenter de conjurer l'angoisse des passagers devant l'imminence du naufrage. Mais on ne colmatera pas les brèches sans changer de cap. Où l'on découvre alors une évidence : le meilleur des systèmes politiques n'est pas forcément celui qu'on croit.

    LA MONARCHIE PRÉSERVE DU CLIMAT DE GUERRE CMLE DES DÉMOCRATIES PARTISANES.

    L'avènement d'un roi découle de sa qualité d'héritier direct de la couronne dans l'ordre de primogéniture et non d'une lutte électorale entre candidats de partis opposés. Ce mode de dévolution du pouvoir préserve l'État des conséquences néfastes des changements d'orientation politique inspirés par des idéologies, des principes et des programmes opposés. Elle couronne en quelque sorte la vie démocratique du pays. Le pays ne se divise pas en camps ennemis à chaque nouvelle élection et ne s'exténue pas dans des luttes internes, facteurs de haine.

    LA MONARCHIE ÉQUILIBRE LES RAPPORTS DE FORCES.

    Quand elle n'est dépassée par aucun principe supérieur, la démocratie livrée à elle-même contient les ferments de sa perte. Car la loi du nombre lui permet de soumettre les minorités. Lors de l'élection présidentielle, la minorité qui subsiste peut représenter jusqu'à 49 % des Français ! Elle fracture donc le pays en deux et transforme structurellement les citoyens en frères ennemis. À l'inverse, le roi, au sommet de l'échiquier politique, représente l'intégralité de ses sujets, sans clivages.

    LA MONARCHIE EST CONSENSUELLE.

    Élire un président, c'est comme donner le match à arbitrer au capitaine de l'une des deux équipes en lice. On doute forcément de sa partialité. A l'inverse, le roi n'étant pas le chef d'un parti et n'ayant pas conquis le pouvoir à l'issue d'une compétition qui a divisé son peuple, jouit de la confiance spontanée de tous les Français.

    LA MONARCHIE GARANTIT L'UNITÉ DE LA NATION.

    L'existence d'une même famille royale à la tête de la nation renforce puissamment son identité qui, en république, est beaucoup plus abstraite, indistincte et insaisissable. Une dynastie familiale ancre profondément un peuple dans l'histoire et rend sensible sa continuité à travers les siècles.

    LA MONARCHIE RESPECTE L'INTÉGRITÉ DE SES SUJETS.

    Elle permet à chacun de retrouver son unité morale par le sentiment de sa place dans l'histoire et dans sa terre natale, avec et parmi ses compatriotes. En incarnant l'identité de la nation dans sa continuité historique, l'institution monarchique permet à l'individu de préserver ou de retrouver la sienne. Ce qui est impossible avec la mystique républicaine qui donne une vision tronquée de l'histoire de France en faisant remonter toutes ses valeurs à la révolution de 1789, voire à celle de 1793. L'identité de la France est ainsi confondue avec celle de la République, fondée sur la négation du passé monarchique et chrétien de notre pays. La conception de notre identité collective relève ainsi d'une option idéologique et partisane. Elle est donc différente d'un parti à un autre, d'un individu à un autre, susceptible de se modifier suivant l'évolution des idées.

    LA MONARCHIE SAIT D'OÙ ELLE EST ET OÙ ELLE VA.

    Faute d'un symbole charnel et spirituel de la continuité de la nation dans le temps, nos compatriotes ne savent plus ce qu'ils sont, d'où ils viennent, où ils vont, ignorent leur passé ou en ont une idée erronée, se trompent sur leur avenir, se montrent incapables de le préparer et voient dans les évolutions l'occasion d'une révolution culturelle. Ainsi en est-il allé du mariage pour tous conçu en France comme un instrument de subversion morale, ce qu'il n'est pas au Royaume-Uni - bien qu'il y soit condamnable -, ou de notre culte frénétique de la « diversité » et du pluralisme ethnoculturel qui nous ramène à l'Empire romain d'Occident du Ve siècle.

    LA MONARCHIE PRÉSERVE DES DÉRIVES AUTORITAIRES.

    Toutes les républiques européennes proclamées depuis le XIXe siècle ont dégénéré en dictatures : Italie (Mussolini), Portugal (Salazar), Espagne (Franco), Allemagne et Autriche (Hitler), Russie (Staline)... En revanche, aucun des royaumes n'a dérapé de la sorte dans la toute-puissance politique. Étrange, non ?

    LA MONARCHIE A UNE VISION DE LONG TERME DANS TOUS LES DOMAINES.

    Vaut-il mieux dépenser l'argent public en bâtissant des châteaux comme Versailles ou en commandant des sondages d'opinion mesurant la cote d'impopularité dun président ? Le temps paraît donner raison à la première option.
    Sans cette clef de voûte indispensable qu'est la monarchie, notre pays dérive à tous les vents, à la manière d'un bateau démâté. La Révolution et la République ont transformé le majestueux navire de la France en radeau de la Méduse transportant une population perdue, hagarde et dépenaillée. Et le fait est d'autant plus remarquable que la monarchie française, de par l'absolue continuité familiale qui la caractérisait (la race capétienne régna sans discontinuité pendant près de mille ans) et ses origines nationales (les Français ne prirent jamais leur roi à l'étranger) était plus qu'aucune autre adaptée à sa fonction symbolique et unitaire. Oui, il est urgent de la restaurer.  

    « La Révolution et la République ont transformé le majestueux navire de la France en radeau de la Méduse. »

    Repris du numéro de juillet-Août de Politique magazine - Dossier : Le royalisme aujourd'hui >  Commander ou s'abonner ici !

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  • Famille : reviens !

    Les vacances ont certainement permis aux familles de renouer des liens et, en même temps, peut-être, de régler des (petits ou grands) conflits. Il va falloir repartir sur de bonnes bases, minimiser les sujets de discorde tout en essayant de les comprendre pour s'en enrichir.

    Durant un certain temps, loin de la ville et de ses habitudes, les membres de la famille ont essayé de trouver des solutions pour s’assurer un retour à la société qui soit empreint de sérénité, de paix et d’amour. Bien sûr, il a parfois été difficile de ne pas réagir violemment dans certaines situations. Apprendre aux enfants à respecter la volonté des autres n’est pas si évident qu’il y paraît. 

    Parents et enfants ont pourtant réussi à jouer le jeu de la bonne entente, sans doute pour avoir réellement pris conscience du non-sens de tous ces conflits dans le monde, de ces guerres qui ne cessent de s’entretenir, de ces enfants qui deviennent terroristes ou orphelins, du sang qui coule, des blessures dont on ne guérit pas, de ces drames qui changent à tout jamais les destins.

    Il n’y eut ni télévision, ni radio, ni journaux, durant ces vacances, selon une règle qui avait été acceptée par tous, plus ou moins de gaieté de cœur, avouons-le. Les jeux de société ont été remis à la mode, la lecture d’un chapitre de livre aussi et des promenades bien préparées. Pour la première fois depuis qu’ils partaient tous ensemble, les parents avaient pris soin de préparer ce temps du bien vivre ensemble pour qu’effectivement ces vacances soient écrites comme un nouveau chapitre de vie, inscrit sur un grand cahier où chacun avait pu s’exprimer s’il l’avait souhaité. Il faut dire que ces parents, très conscients de l’importance d’avancer dans la même direction, avaient jugé utile, cette année, de réellement préparer la rentrée.

    Pourquoi plus précisément cette année ? À cause de la folie de plus en plus meurtrière du terrorisme, bien sûr. Mais aussi à cause de la perte de crédibilité croissante de l'État. Les informations tombent à tout instant, plus mensongères les unes que les autres et surtout déstabilisatrices et montées de toute pièce. Oui, il faut s'y résoudre, comme beaucoup d'autres, hélas, un certain (haut) personnage de la République française est un menteur pathologique qui a construit son « moi » sur la dissimulation. Elle est chez lui un mode de fonctionnement permanent, en politique comme dans sa vie privée. Pas un sujet n'échappe à la pratique systématique du double langage : le chômage, les impôts, la diplomatie, les scandales à répétition qui frappent son entourage, le budget, l'Europe, etc.

    A défaut d'institutions repères, quelle responsabilité, redoublée, est celle des parents ? Savoir et transmettre que l’amour inconditionnel, une certaine autorité fondée sur l'exemplarité, un suivi régulier des fréquentations, du comportement et des résultats scolaires... mais aussi et surtout la confiance sont des atouts décisifs pour forger une personnalité. L'enfant, puis l’adolescent, l’adulte, apprend alors de ses joies mais aussi de ses peurs, de ses erreurs. Il connaît ses failles, doute, vacille mais ne dérape pas, croit en l'avenir et comprend la diversité et le potentiel infini des autres et de lui-même.

    Il n’est pas facile d’être parents, surtout si l'on a manqué, dans son enfance, de tuteurs permettant au jeune arbre de ne pas pousser dans tous les sens. Mais la vraie réussite* des membres de sa famille est bien plus importante que celle d’une carrière professionnelle. Quelle fierté d'applaudir non seulement de beaux résultats mais surtout une belle humanité ! Quel bonheur de sacrifier du temps à apprendre les uns des autres, en toute humilité, au profit d'un monde meilleur, plus humain, plus solidaire et plus responsable, car libéré d'un maximum de peurs ! N'oublions pas que « quand tout va bien, on peut compter sur les autres et, quand tout va mal, on ne peut compter que sur sa famille ». (Proverbe chinois)

    S’il te plait Seigneur, permets donc à la famille dans son intégralité de remplir son rôle de tuteur bienveillant ! Et toi, Saint Joseph, assisté par Marie, donne aux enfants et aux parents le courage, la douceur et la force pour réussir* leur vie !

    Solange Strimon

    * "Réussir sa vie" a un sens bien différent de "réussir dans la vie"... Les biens les plus précieux se multiplient en se partageant : l'amour, la connaissance, la réflexion, la prise de recul, le discernement, l'imagination, la confiance, la joie, la tendresse, l'humour, la musique, la danse, la poésie, le pardon et tant d'autres ! L'argent n'entre pas dans la liste... Trop peu savent que l'héritage d'une famille ne se compte pas en chiffres.

    http://www.vexilla-galliae.fr/points-de-vue/editoriaux/2119-famille-reviens