Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • Les dérives (presque) impunies du RPR à la Mairie de Paris

    Affaires RPR ou affaires Chirac ? Difficile de trancher tant elles sont liées. Le locataire de l’Élysée étant protégé derrière son immunité présidentielle, l’essentiel tourne autour de ses anciennes fonctions de maire de Paris (de 1977 à 1995) et de président du RPR (de 1976 à 1994). Son parti, fondé en 1976, a d’abord été financé en espèces ou en fournitures par les entreprises, comme l’a admis son ancien trésorier Robert Galley, en des temps très lointains où « la France vivait sous la terreur des nationalisations et du socialisme ». L’élection de Jacques Chirac à la Mairie de Paris, en 1977, ouvre des perspectives. La capitale française, tout juste sortie de l’orbite préfectorale, n’a alors aucune expérience de démocratie locale et de contre-pouvoir municipal. Jacques Chirac s’y installe comme dans une forteresse, avec un seul objectif : reconquérir, depuis l’Hôtel de Ville, Matignon puis l’Élysée. D’où cette fâcheuse propension à mélanger gestion municipale et intérêts partisans. Les affaires d’emplois fictifs en sont la meilleure illustration. 
         Il faudra une quinzaine d’années avant que la justice ne se décide à y mettre le nez – une fois Jacques Chirac élu président, devenu intouchable. Entre 1988 et 1993, en pleine disette électorale, les effectifs des permanents du RPR gonflent curieusement et passent de trente à quatre-vingt-huit. Nombre d’entre eux sont, en réalité, rémunérés par des entreprises amies ou directement par la Mairie de Paris. Cela vaut pour le secrétaire national du RPR à la jeunesse, chargé de la même mission à la Mairie de Paris, dont le travail de terrain ne justifiait à l’évidence aucune trace écrite. Plus problématique, le cas du directeur juridique du RPR, théoriquement chargé de mettre le parti à l’abri des poursuites pénales, salarié par une entreprise de bâtiment... Il y a aussi une trentaine de « chargés de mission » de la Mairie de Paris, souvent d’origine corrézienne, première terre électorale de Jacques Chirac, affectés à sa permanence d’Ussel, sa circonscription, ou à d’autres « missions » particulières. Alain Juppé, à la fois adjoint aux finances à la Mairie de Paris (1983-1995) et secrétaire général (1988-1994) puis président (1994-1997) du RPR, est au centre du dispositif. 
         Dans l’œil du cyclone, Alain Juppé est mis en examen le 21 août 1998 pour « détournement de fonds publics, complicité et recel d’abus de confiance aggravé, prise illégale d’intérêt, complicité et recel d’abus de biens sociaux », du fait de ces emplois fictifs détachés au service du RPR. La justice française va toutefois effectuer un tri très sélectif : tout le volet concernant les chargés de mission sera annulé pour vice de forme, justifiant l’extinction des poursuites contre les directeurs de cabinet successifs du maire de Paris (Michel Roussin, Rémy Chardon et Bernard Bled). Dans la dernière ligne droite, ne restent que sept permanents du RPR rémunérés par des entreprises privées, reprochés au seul Alain Juppé, qui adopte différentes attitudes. Droit dans ses bottes : « Ces pratiques étaient entrées dans les mœurs, je n’avais pas de raison de les suspecter au RPR. » Faussement naïf : « Je croyais que travailler à la Mairie de Paris et au secrétariat général du RPR était possible. » Victime expiatoire : « Je suis prêt à porter tous les péchés d’Israël, mais pas la responsabilité pénale. » 
         Condamné le 30 janvier 2004 à dix-huit mois de prison avec sursis et surtout à dix ans d’inéligibilité pour avoir, selon le jugement du tribunal de Nanterre, « trahi la confiance du peuple souverain alors qu’il était investi d’un mandat électif », il fait appel. Devant la cour de Versailles, Alain Juppé concède : « Je savais que le RPR avait recours à des pratiques qui auraient dû cesser. » Le 1er décembre 2004, sa peine est ramenée à quatorze mois de prison avec sursis et son inéligibilité à un an, en des termes qui valent absolution : « M. Juppé, qui s’est consacré pendant de nombreuses années au service de l’État, ne doit pas être le bouc émissaire des infractions commises au bénéfice de l’ensemble des membres de son parti. » Le socialiste Henri Emmanuelli aurait bien aimé entendre les mêmes paroles de la part de la justice française... 
         Le RPR n’en a pourtant pas fini avec les affaires. Reste le gros œuvre : les marchés truqués de l’Office HLM de la Ville de Paris (OPAC), une affaire qui a fait trembler la Chiraquie pendant toute une décennie. Elle s’achèvera au printemps 2006 par une vaste mascarade judiciaire. Au procès tant attendu, une cinquantaine de prévenus représentant tous les corps de métier du bâtiment, mais pas un seul dirigeant politique sur le banc des accusés. L’accusation mentionne comme à regret n’être « pas parvenue à établir formellement l’implication personnelle des responsables au sein de l’appareil du RPR », faute de preuve ou de courage. L’habituelle cohorte de lampistes, dirigeants de filiales de Bouygues, de la Lyonnaise ou de la Générale des eaux, s’apprête à dénoncer un « racket » politique, hors de la présence des présumés racketeurs. 
         Un seul être vous manque... Jean-Claude Méry, membre du comité central du RPR, promoteur immobilier reconverti en collecteur de fonds, membre de la Grande loge nationale de France (GLNF), avait tourné quelques années avant sa mort (survenue en juin 1999) un film vidéo détaillant son rôle occulte, jusqu’à raconter la remise d’une valise de billets à l’Hôtel de Ville, en 1992, dans un bureau de Michel Roussin et sous le regard du maire de Paris, Jacques Chirac. Méry, ses cigares et ses bretelles, caricature d’intermédiaire, entre agapes et parties de chasse, n’est évidemment pas le plus crédible des protagonistes de l’affaire des HLM. Il est toutefois prouvé qu’il avait récolté près de 40 millions de francs pour ses interventions sur les marchés publics parisiens. Son banquier suisse a témoigné que le compte ouvert en son nom avait vocation à « faire du financement politique ». On n’en saura guère plus. La justice française a dû se contenter de coincer Georges Pérol, directeur de l’OPAC et héritier – honneur suprême – du siège de conseiller général de Jacques Chirac en Corrèze. Pour avoir fait financer le musée d’art contemporain de Meymac par des attributions de marchés parisiens, il a été condamné à deux ans de prison avec sursis (mais il a interjeté appel de cette condamnation). Exit l’affaire des HLM... 

    Renaud Lecadre, Histoire secrète de la 5ème République
     

  • Faire de notre jeunesse une race de guerriers et de maîtres

    Un communiqué de Breiz Atao cliquez ici :

    Que voulons-nous ? C’est la question qui se pose logiquement une fois que nous avons énoncé ce dont nous ne voulons pas et, plus précisément encore, ceux dont nous ne voulons pas.

    Pour le peuple breton, le moment est venu d’en finir avec les résidus de socialisme post-chrétien qui, mâtinés de spasmes ovariens, tiennent lieu d’idéologie dominante à la bourgeoisie sénile qui milite activement pour notre destruction raciale.

    Nous ne devons plus tolérer de compromis avec la vieillerie dégénérée qui chie son indignation compassionnelle dans les cerveaux frais de notre jeunesse. Notre tâche, notre mission historique face à l’invasion africaine et musulmane, consiste à dresser la jeunesse bretonne dans l’esprit guerrier, éveiller son instinct de conservation face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur qui œuvrent activement à son anéantissement.

    L’avenir de tout peuple repose sur les épaules de sa jeunesse. De celle-ci dépend la continuité d’une longue chaîne de transmission.

    Des empoisonneurs conspirent actuellement pour l’assassiner par procuration. Les noms de cette fin de race au regard bovin sont connus : ce sont tous ces curés de l’humanitarisme à faces diarrhéiques qui se bousculent sur les ondes ou qui se répandent dans les colonnes de la presse humanitaro-marxiste pour lui ordonner de consentir au suicide ou à la mort lente.

    Nous devons en finir avec les cagots armoricains du socialisme pourrissant dans la marmite de l’égalitarisme. La seule présence, au sein du corps national, de ces gardiens de vaches faisant dans leurs couches à la seule vue d’une manifestation de virilité confine à l’obscénité.

    Pour nous et notre jeunesse, nous ne voulons pas nous déféquer dessus tout en pleurant afin de communier avec les masses inaptes du tiers-monde. Nous sommes des athées de cette religion de l’échec.

    Nous voulons forger une race de maîtres, donc d’hommes libres. Nous ne voulons pas de la grande partouze négrificatrice que nous promet la curaille rouge de l’église antiraciste crépusculaire. Ce serait la fin de la civilisation et de la culture européennes.

    La rage, la colère, la furie doivent se lever dans les cœurs de la jeunesse celtique. C’est cette colère primitive que nous devons réveiller, sursaut vital indispensable au salut de notre peuple. Notre objectif consiste à doter celle-ci d’une volonté d’acier et d’une haute conscience d’elle-même et de sa tâche. Nos conceptions doivent progressivement refonder son imaginaire afin qu’elle remette en mouvement notre peuple, fort de sa mémoire profonde.

    Si nous voulons affranchir notre peuple, il nous faut dissiper les ferments de mort qui stagnent dans les marais puants qui nous entourent et qui conduisent actuellement nos enfants à l’abîme.

    Et pour cela nous devons imposer l’élitisme et la culture de la guerre. Ce qui suppose une claire identification de l’ennemi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pourquoi Alain Juppé devrait être exclu de la primaire

    La position d’Alain Juppé n’étant pas celle de l’alternance, mais une ouverture à gauche, il enfreint la charte des primaires.

    Les 20 et 27 novembre 2016 aura lieu l’élection primaire « de la droite et du centre » à laquelle sept candidats se disputeront l’investiture et le soutien du parti « Les Républicains ». Pour y participer, chaque adhérent doit signer une charte, d’une simplicité extrême qui ne stipule que :

    « Le candidat à la présidence de la République soutenu par le parti « Les Républicains » en vue de l’élection présidentielle de 2017 est désigné à l’occasion d’une primaire ouverte à l’ensemble des citoyens partageant les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engageant pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »

    Un des rares points exprimés dans cette charte est donc l’alternance.

    Lire la suite

  • 100 000 réfugiés en 2016 : La demande d'asile est devenue la première filière d'immigration légale

    Lu ici :

    6a00d83451619c69e201bb094a9328970d-320wi.jpg"Nous aurons 100 000 demandeurs d'asile en France cette année». Mardi matin sur Europe 1, Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a donné une première estimation précise du nombre de demandes d’asile dans l’Hexagone pour 2016. Un chiffre qui, s’il est confirmé en fin d’année, entérinera une hausse de près de 25% par rapport à l’an dernier, où 80 075 demandes avaient été déposées. 

    L’année 2016 deviendrait aussi la seconde année consécutive à afficher une hausse supérieure à 20%. Entre 2014 et 2015, le nombre de demandeurs d’asile avait déjà progressé de 23,6%."

    D'après le ministère de l'intérieur, l'immigration légale hors UE se répartit de la manière suivante (chiffres de 2015) :

    Economique : 20 600

    Regroupement familial : 89 448

    Etudiants : 69 782

    Divers : 13 766

    Humanitaire (dont réfugiés) : 21 583 dont 12 431 réfugiés et apatrides

     Quelle que soit l'issue de la demande des "réfugiés", il est désormais connu, grâce à la cour des comptes, que 96% des déboutés du droit d'asile resteront sur le territoire national :

    "75 % des demandes d’asile sont rejetées annuellement en moyenne. (…) Malgré l’obligation de quitter le territoire français qui leur est notifiée, seul 1 % des déboutés sont effectivement éloignés"
     
    Ces chiffres sont donc absolument faux en ce qui concerne les réfugiés puisque 80 075 demandes ont été déposées en 2015 alors que le tableau ne parle que des 12 431 dossiers acceptés. Les 58 492 faux réfugiés resteront en France... 

    La demande d'asile est donc devenue la première filière d'immigration légale en France !

    Philippe Carhon

  • Lancement de la revue "Confrontation" : un entretien avec Jean-François Touzé, son rédacteur en chef, sur Riposte laïque

    CONF Flyer 1.jpg

    Source Riposte laïque cliquez ici

    Nous avons découvert une nouvelle revue, qui raconte des choses souvent semblables à ce qu’on lit dans Riposte Laïque. Raison de plus pour en savoir davantage sur les animateurs de « Confrontation ».

    Riposte Laïque : Vous êtes assez connu dans certains milieux militants, mais pas de tous nos lecteurs. Pouvez-vous leur expliquer rapidement qui vous êtes ?

    Jean-François Touzé : Je crains, en effet, d’être assez connu des services de police de la pensée politique. En trente cinq ans d’engagement militant au service de la France et de la civilisation européenne, j’ai essayé de rester fidèle à une certaine idée que je me fais de la Nation et de l’humanisme occidental. D’abord au Front National où, par deux fois, – de 1982 à 1989, puis de 1999 à 2008- j’ai exercé un certain nombre de responsabilités au sein de l’appareil – secrétaire national, membre du Bureau politique, directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, élu régional d’Ile de France et conseiller de Marine.

    Ensuite, ou entre temps, en initiant d’autres aventures – mouvements, clubs, journaux- qui m’ont permis de tisser un réseau d’amitiés et de convictions fidèles, avec, bien sûr, en contrepartie, quelques détestations inévitables dans un parcours militant long et nécessairement accidenté lorsque, comme moi, on fait sienne la sentence du Cardinal de Retz : « Il faut parfois savoir changer de parti pour ne pas avoir à changer d’idées ». Au final, comme les parachutistes du REP, je ne regrette rien si ce n’est que, jusqu’à présent, nous n’avons pas su enrayer l’affreuse marche de notre pays vers sa mort. Pour le moment… Car, malgré les tendances lourdes de la décomposition, je demeure optimiste. Vouloir c’est encore pouvoir et la vie commence toujours demain.

    Vous venez de publier le numéro un d’une nouvelle série, trimestrielle, appelée « Confrontation ». Le titre paraît sans ambiguïté : « Immigration, islamisation, faire face ». Pourquoi cette revue, et quels en sont les objectifs ?

    Comme vous, Pierre Cassen, et comme des milliers de patriotes, je suis hanté par la montée des périls. L’offensive que mène contre le monde occidental le totalitarisme islamique- offensive qui n’est, au vrai, que la énième poussée de la ruée musulmane dans sa volonté millénaire, eschatologique et ininterrompue, de conquérir le monde au nom d’Allah- ne peut laisser la moindre place à la faiblesse, au découragement, au renoncement. Faire face c’est refuser de se résigner. C’est combattre avec les armes du moment et des circonstances, jusque à son dernier souffle, faute de quoi, ce que nous avons fait les uns et les autres depuis tant d’années n’aurait servi à rien. La situation nous oblige et les menaces nous commandent. C’est la raison pour laquelle lorsque Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui me lient tant d’années d’amitiés et de combats, m’a proposé de prendre la responsabilité rédactionnelle d’une revue destinée à la réflexion mais aussi à la mobilisation et à l’action politique contre l’Islamisme, son vecteur principal l’immigration, les réseaux militants de l’ultra gauche qui ont fait la jonction avec lui, les intérêts économiques ou médiatiques qui les soutiennent, je n’ai pas hésité une seconde.

    Ecrire, c’est clamer, parfois dans le désert, mais toujours utilement. Sachant qu’une revue n’est pas une fin en soi mais doit s’inscrire dans un ensemble qui lui-même doit être l’embryon d’un front commun pour le salut national dont je ne doute pas qu’il se fera un jour. Le plus tôt possible bien sûr, car les jours nous sont désormais comptés.

    Vous venez de sortir le premier numéro, et éclate la crise des clandestins de Calais, que les populations rurales, mais aussi urbaines, ne veulent pas, mais aussi celle des policiers, qui ne supportent plus d’être envoyés au massacre par les socialistes et la hiérarchie policière. Quel est votre regard sur ce double phénomène ?

    Nul doute que les Français prennent peu à peu conscience de la réalité d’une situation de désastre où les ont menés quarante ans de politique immigrationniste, de laxisme et de pratiques publiques du chien écrasé au fil de l’eau, conduites par une classe dirigeante, droite et gauche confondue, qui, par idéologie, par lâcheté ou simple facilité, ont laissé entrer chez nous des millions d’allogènes , immigration initialement « de travail », puis immigration de chômage et de délinquance, et enfin aujourd’hui immigration de peuplement et de colonisation.

    Ce qui se passe à Calais est évidemment emblématique. Ces milliers d’hommes (peu, si peu de femmes, ce qui devrait alerter même les consciences les plus assoupies) qui s’entassent face à la mer… Ces milliers d’hommes qui vont être répartis dans nos campagnes… Ces milliers d’autres qui arrivent et remplaceront ceux qui auront été non pas expulsés mais déversés dans toute la France… C’est le tonneau des Danaïdes migratoires.

    Quant aux policiers, au contact permanent avec la réalité de l’horreur des cités et, plus largement, de ce qu’est devenue la rue française, ils savent à quoi s’en tenir. La révolte actuelle trouvera sans doute ses limites, cette fois-ci encore par l’action des syndicats récupérateurs et les « cadeaux apaisants » du pouvoir. Encore une minute monsieur le bourreau. De la même manière les professeurs et proviseurs qui se font tabasser n’ont pas encore tout compris non plus que les personnels de santé. Et les capacités de « résilience » bobo de nos compatriotes confrontés aux massacres terroristes de masse arabo-musulmans restent immenses comme le montre la pratique de la bougie réparatrice après chaque attentat. Mais nous arrivons petit à petit au moment ultime où rien ne tiendra plus. Ce sera alors l’heure de vérité.

    Dans nombre d’interviews, Philippe de Villiers accuse la classe politique française d’être vendue aux émirats, et profondément corrompue. Vous le croyez, et c’est une découverte pour vous ?

    Villiers a parfaitement raison et il a le mérite de mettre à jour le secret de polichinelle longtemps scellé : « Malheur à toi si tu révèles le secret, malheur à toi si tu ne le révèles pas » dit le livre du Zohar. Depuis des décennies la classe politique entretient avec les pays arabes et les émirats en particulier des liens qui ne sont, certes, pas, que footballistiques ou hôteliers. Si l’Arabie Saoudite ou le Qatar « se paye » la France et nombre de ses dirigeants, ce n’est pas évidemment pas dans le seul souci de ses activités commerciales ou financières. Cela s’inscrit dans un dessein bien établi, bien conçu, ancien et travaillé. Comme les bolcheviques de Lénine, les islamistes n’ont pas de montre. Le temps travaille pour eux.

    Mais les femmes et les hommes politiques qui, par cupidité ou habitude, se sont livrés pieds et mains liés aux pays arabes devront, le moment venu, répondre de ce crime de haute trahison.

    Comment expliquez-vous que 70 % des Français ne veulent plus d’immigration, ne veulent plus entendre parler de l’islam, mais que le même nombre vote pour des candidats qui leur amènent ces deux fléaux ?

    Le Système est bien fait qui sait encadrer les révoltes, endormir les rebellions et faire taire, par dérivation, les velléités libératoires. Le jeu infect des primaires, les amusements politiciens, les leurres médiatiques participent de ce grand sommeil. Mais la mouche tsé-tsé du pouvoir ne jouera plus très longtemps son rôle narcotique.

    Toutes les initiatives qui sont prises aujourd’hui par les patriotes vont dans le sens du réveil. Encore faut il qu’ils sachent se rassembler et surtout qu’une offre politique claire, nette, sans ambiguïté réponde à la demande et à l’attente des Français. J’appelle de mes vœux ce sursaut vital.

    Comment vous situez-vous, à présent, dans le paysage politique français ?

    Je n’ai plus d’appartenance partisane depuis mon départ de la direction du FN en 2008 et la fin de mon mandat en 2010. Je continue d’animer mon petit réseau d’amis fidèles en espérant qu’il servira un jour. Et, à coté de Confrontation, d’être présent autant que je le peux sur les réseaux sociaux. Je regarde avec sympathie les initiatives prises par les uns et les autres qu’il faudra bien un jour sinon fédérer, au moins cimenter dans le but unique du relèvement de la France et de la conservation civilisationnelle. Je garde bien des amis aux FN dont je connais la flamme militante. D’autres l’ont quitté et sont aujourd’hui avec Carl Lang au sein du Parti de la France. Mais bien d’autres structures existent qui ne viennent pas de la droite nationale et sont constituées de patriotes exemplaires. Je pense ainsi à des responsables militants comme Jean-Marc Moskowicz dont je peux témoigner de l’amour de la France. Sans parler des intellectuels comme Eric Zemmour et quelques autres dont le rôle est majeur. Et bien entendu, vous Pierre Cassen et Christine Tasin qui, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, menez un combat de pointe.

    Je crains, tout en souhaitant me tromper, que la prochaine présidentielle ne soit pas à la hauteur des espérances de nombre de patriotes. Je suis certain, en revanche, que le plus large rassemblement se fera pourtant très bientôt. Encore faut-il le permettre. C’est à cela que nous travaillons tous.

    Comment peut-on se procurer « Confrontation » ?

    En le commandant au numéro ou en s’abonnant auprès des éditions Synthèse nationale cliquez ici.

    Commander le premier numéro de Confrontation cliquez ici

    S'abonner cliquez là

    Propos recueillis par Pierre Cassen

  • Islamalgame, voyoucratie et utopisme

    Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

    Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

    Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

    De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

    dessin-ignace-e1477397658972.jpeg

    TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

    TOUS ont tué pour répandre la terreur.

    TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

    TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

    TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

    Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

    Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

    Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

    Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

    Vidons ces ordures politiques – réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste – ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes…  Avant qu’il ne soit trop tard !

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/islamalgame-voyoucratie-et-utopisme_171367.html#more-171367