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  • Journal du Mercredi 26 octobre 2016 - Société / Détenus radicalisés : le gouvernement change de cap

  • Fabrice Robert : « Nous avons imposé les slogans d’un peuple qui ne veut pas mourir »

    Entretien avec Fabrice Robert (Directeur national des Identitaires) paru dans le journal Présent (numéro 8718) le 20 octobre 2016.

    Fabrice Robert, le 13 juillet dernier, vous avez annoncé la transformation du Bloc Identitaire en un mouvement associatif baptisé Les Identitaires. Quelle portée à cette transformation ? A quels objectifs répond-elle ?

    Ce n’est pas la première fois que le mouvement identitaire connaît une telle mue afin de s’adapter au mieux à une situation nouvelle. Du côté des jeunes militants identitaires, la résistance s’est incarnée, dès 2002, à travers les Jeunesses identitaires. Puis sont venues L’Autre Jeunesse et, enfin, Génération Identitaire.

    Dans le domaine de l’action politique, le réel impose sa loi : la suivre, c’est être en mouvement. Là est la seule condition de l’efficacité. A chaque fois, les mues – au sein du mouvement identitaire – répondent à un impératif de développement dans un contexte différent.

    Le Bloc identitaire s’est transformé en parti politique en 2009. Mais, au fond, cela ne correspond pas à notre ADN. Plus qu’un parti, nous sommes avant tout un réseau, une communauté. Depuis quelques années, nous avons cessé toute confrontation électorale avec le Front National. Nous avons refusé de persister dans une concurrence sans issue tout en mettant en avant notre complémentarité. Partout, nos militants ont agi là où les militants du FN ne le pouvaient. Cette complémentarité est essentielle. Quand nous montons sur le toit d’un chantier de mosquée à Poitiers, nous donnons des voix à marine Le Pen. Quand celle-ci parle à la télévision, elle éveille des consciences qui, parfois, viendront à nous pour des questions de caractères. Le mouvement identitaire ne vaincra pas seul. Mais personne ne vaincra sans nous. Personne ne vaincra si nos méthodes, nos mots d’ordre ne sont pas repris.

    Pour mieux coller au réel et continuer à jouer un rôle politique, nous avons considéré que le temps était venu de transformer le Bloc identitaire en un mouvement baptisé Les Identitaires. Les Identitaires sera une centrale d’agitation et de formation. Seule habilitée à décerner un label identitaire, elle sera la rampe de lancement des principales offensives identitaires, qu’elles relèvent de l’agit-prop ou de la pénétration de nos idées dans la société française.

    Les Identitaires sont dirigés par 2 directeurs nationaux : Jean-David Cattin et moi-même.

    En parallèle, le mouvement Génération Identitaire poursuit un fort développement sur le terrain, permettant à la fois un ancrage local et des actions coup-de-poing qui obtiennent un écho national voire international …

    Génération Identitaire continue, bien évidemment, sa route sous son nom. Fort de ses 2 000 adhérents, il est un des plus importants mouvements de jeunesse de France. Ses actions coup-de-poing ont, par ailleurs, suscité de nombreuses vocations en France mais aussi en Europe. Aujourd’hui, des mouvements identitaires locaux – s’inspirant de notre ligne politique – ont vu le jour en Italie, en Suisse, en Autriche, en Tchéquie, en Allemagne.
    Plus de 14 ans ont passé depuis la création des Identitaires, quelles sont vos plus grandes satisfactions ?

    En 14 ans d’existence, nous avons su innover et surprendre. Nous sommes parvenu à transformer un petit groupe en un mouvement qui existe sur la scène nationale. Nous avons fait le plus difficile : nous avons créé une marque.
    Notre principal succès est donc surtout d’ordre sémantique. Qui employait – voici à peine quinze ans – le terme identitaire ? Quasiment personne. Aujourd’hui, tout le monde utilise ce concept. Soit pour le dénoncer soit pour se l’approprier.

    En soi, notre bilan est, tout de même, assez remarquable. Je ne connais pas d’autre exemple sur ces vingt dernières années de mouvement passé du néant à une existence réelle et reconnue comme telle.

    Nous avons réussi à imposer nos méthodes, nos slogans, nos combats, dans le paysage médiatique. En incarnant un rôle d’aiguillon politique, nous sommes parvenus à influencer, de manière indéniable, le débat politique français sur des questions cruciales telles que l’islamisation de la France, la racisme anti-blanc, la banalisation du halal, le Grand Remplacement ou encore la Remigration. « Les nôtres avant les autres » et « On est chez nous ! » sont devenus les slogans d’un peuple qui ne veut pas mourir !

    Aujourd’hui, Les Identitaires, c’est : un mouvement activiste, un pôle de réflexion et de création, un réseau de Maisons de l’identité, un magazine, une maison d’éditions, une agence de presse indépendante, des associations sportives, culturelles, sociales, des cercles de formation et de conférence et une Université d’été.

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    Il est incontestable que les thématiques identitaires se sont imposées dans le paysage médiatique et politique … Cela suffira-t-il à imposer une « politique identitaire » – telle qu’elle existe en Hongrie par exemple – à court ou moyen terme ?

    Remporter la bataille culturelle nous permet d’espérer l’amorce de futures victoires politiques. Ensuite, toutes est question de véritable volonté politique. Être élu pour ne pas mettre en place une politique identitaire serait pire que ne pas être élu.

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    Les succès des « petits gaulois » ont accompagné ceux des Identitaires dans d’autres secteurs : la réinformation, les écoles indépendantes, la formation de la jeunesse via le scoutisme, l’entraide professionnelle. Là encore, c’est la force du réseau qui a triomphé ? Ou tout simplement le choc du réel ? Les deux ?

    Je pense surtout que la stratégie du réseau s’adapte au réel. D’ailleurs, au sein du mouvement identitaire, nous avons toujours privilégié l’action en réseau qui nous paraît plus souple et plus interactive. En fédérant des hommes et des projets, il est possible de relancer une dynamique de résistance face aux tentatives d’effacement de notre identité. Avec le déploiement de structures variées et complémentaires, ce travail en réseau permet alors de développer une contre-culture tout en faisant émerger des contre-pouvoirs.

    http://fr.novopress.info/201258/fabrice-robert-nous-avons-impose-les-slogans-dun-peuple-qui-ne-veut-pas-mourir/

  • DISSIDENCE FRANÇAISE: NOUS AVONS BESOIN DE VOUS !

    La Dissidence Française lance aujourd’hui sa première campagne de souscription et en appelle à votre générosité ! 

    Depuis plus de 5 ans maintenant, les militants de la Dissidence Française sont mobilisés aux quatre coins de la France pour faire entendre la voix du pays réel, pour organiser la résistance au régime des partis, des loges et des lobbies.

    Nos militants, tous bénévoles, ont déjà mené des centaines d’actions dans plus de 50 départements. Malgré les pressions quotidiennes que nous subissons, nous organisons des conférences, des manifestations, un camp d’été annuel de formation et d’aguerrissement, nous multiplions les déplacements en Europe pour tisser des liens avec nos camarades européens, nous développons notre présence locale, de Saint-Brieuc à Belfort, de Strasbourg à Calais, de Reims à Paris, de Lyon à Rouen, de Cambrai à Aurillac…

    Nous participons par ailleurs activement à l’effort de réinformation des Français : tandis que se développe notre présence sur les réseaux sociaux, les milliers d’articles publiés sur notre site ont déjà attiré plus de 3,5 millions de visiteurs en quelques années.

    Enfin, fidèles à notre mot d’ordre « les nôtres avant les autres », nous poursuivons inlassablement nos actions de solidarité nationale, et avons déjà distribué plus de 2000 repas aux Français de la rue !

    Aujourd’hui, nous avons besoin de vous, pour poursuivre nos activités et financer nos projets à venir.

    Chaque euro compte. Chaque contribution est importante.

    Aidez-nous à poursuivre le combat, financez la reconquête !

    Pour participer à notre souscription nationale, cliquez sur l’image ci-dessous.

    campagne-souscription-dissidence-francaise-2016

    Pour adhérer ou faire un don par chèque/virement, cliquez-ici.

    https://la-dissidence.org/2016/10/12/nous-avons-besoin-de-vous/

  • Samedi 5 novembre : une journée identitaire et patriote dans le Berry avec Pierre Vial et le GUD

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    Renseignements : berry.identitaire.patriote@gmail.com 

  • Le cirque imposé à Calais doit quitter la ville

    L'effet sur l'opinion publique de ce camp de Calais, organisé, si l'on ose dire, en 2015 par les communicants qui nous gouvernent, commençait à s'émousser. On l'avait appelé très vite jungle dans l'espoir sans doute qu'un Rudyard Kipling de notre temps viendrait en écrire le livre. Las, si en France on aime beaucoup son auteur, celui-ci méprisait profondément nos concitoyens, au point de conseiller: "si tu vas chasser le tigre, évite de le faire en compagnie des Français". Il fallait en finir avant que ce scandale développe ses ultimes conséquences, se retournant de plus en plus contre les principaux responsables.

    Ce 24 octobre le pouvoir avait convoqué quelque 800 journalistes du monde entier afin de couvrir dignement cet épisode indigne. On savait pourtant dès le départ qu'il ne changera rien, quant au fond de l'affaire, à des flux migratoires. Ceux-ci, dissimulés sous le couvert abusif du droit d'asile et de la convention de 1951 relative aux réfugiés, ne doivent rien aux malheurs du tiers-monde, mais tout au contraire aux généreuses prospérités de l'occident et aux lâchetés de ses dirigeants en Europe.

    Le ministre de l'Intérieur, lui-même absent d'une scène pilotée à distance, comme la chirurgie moderne sait aujourd'hui à le faire entre New York et Paris, était parvenu à programmer, dans plus de 400 recoins les plus reculés de notre bel Hexagone, la dissémination des métastases.

    Les oncologues savent et le public ne l'ignore guère : en pratique lorsqu'est atteint un tel nombre d'organes la maladie n'est plus opérable. Mieux vaut s'investir dans la prière.

    Autrefois lecteur attentif de "l'Enquête sur la Monarchie", livre suivi comme chacun devrait le savoir d'une "Campagne royaliste au Figaro", mais aussi de "Si le coup de force est possible", je m'empresse d'avouer être resté sceptique quant aux conclusions de cette démonstration brillante.

    Elle aboutissait en effet à ce qu'il ne fallait pas démontrer. Elle agrée, sans en examiner le fondement, la candidature au titre de roi, d'une branche dynastique plus funeste encore que celle des Napoléonides. Si l'on ne croyait pas à la part d'hérédité, si on doutait de la sagesse populaire aux yeux de laquelle les chines ne font pas des chats, l’observation de ces spécimens suffirait à nous guérir de toutes les bourdieuseries et autres théories du genre. En effet, la descendance du mari de la princesse Palatine, du Régent et de Philippe Égalité, etc. par haine de ses aînés, et pour l'avènement des régimes affreux dans lesquels nous croupissons, a fait plus en Europe que tous les carbonari, juste bons eux-mêmes à agrémenter de crème fraîche les plats de tagliatelles.

    Or, dans le vieux grimoire maurrassien, et s'il n'en était qu'un, un chapitre mérite encore qu'on le parcoure : la réponse de Paul Bourget. Je me permets ici de le résumer en une phrase : contre la dictature il souligne que "la chirurgie n'est pas une santé". Or, là aussi, on doit recourir à la sagesse historique des Anciens Romains : ils avaient institué cette dignité diffamée, à titre obligatoirement provisoire, précisément pour pouvoir revenir à la santé.

    On peut se demander aujourd'hui si tout cela ne ressemble pas à la situation actuelle d'une Europe affligée aujourd'hui du Liberum veto qui paralysa le royaume de Pologne et le mit à mort au XVIIIe siècle, pour le grand profit des tsars de Moscou. Il faut parfois, de toute évidence, accepter de recourir à un passage sur le billard et à un petit moment de convalescence. Il apparaît de façon plausible que telle soit la situation du continent.

    Il se trouve malencontreusement qu'une erreur de recrutement a confié le bistouri aux mains inexpertes plus maladroit des anesthésistes.

    Les seuls actes de gouvernement auxquels se livre, depuis 2012, le président le plus nul des cinq républiques que nous avons subies, sont des opérations "com". Leur inconvénient tient ce que, malgré tous les artifices de court terme qu'elles comportent, on finit assez vite par en découvrir les effets.

    Une à une les ruses de Hollande tombent donc à l'eau. Ses plaisanteries, ses lapsus volontaires tel "les Américains vont élire une présidente", ses frasques même ne font plus rire personne. Le clown doit retourner à son école du cirque. Il n'aurait jamais dû la quitter.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Gilbert Collard lance une plate forme pour accueillir les déçus du centrisme

    Le Front National, comme les autres partis, se met en ordre de bataille pour les élections à venir. Et pour cela s’apprête à récupérer les électeurs déçus d’autres partis et prêts à tenter l’aventure nationale. Gilbert Collard, secrétaire général du rassemblement Bleu Marine a créé à cet effet le parti des Racines républicaines.

    Selon l’avocat, il s’agirait d’une plate forme cherchant à agir comme un groupe d’influence au sein du Front National avec comme mot d’ordre, l’orthodoxie républicaine. Il a évoqué comme axes de travail la laïcité ou encore la mainmise des grandes fortunes françaises sur la quasi totalité de la presse. Ce lancement fait aussi suite à l’annonce de certains transfuges, nouveaux venus au FN.

    C’est le cas de Jean François Daraud, ex président départemental de l’Aude et ex UDI.


    Les désenchantés, cœur de cible du @FN_officiel, avec la déception comme ciment. Les centristes sont dans le viseur! http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2016/10/24/25006-20161024ARTFIG00239-gilbert-collard-lance-une-plateforme-pour-accueillir-les-decus-du-centrisme.php 

    Gilbert Collard lance une plateforme pour accueillir les déçus du centrisme

    LE SCAN POLITIQUE - Le truculent avocat, secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine (RBM), va créer le Parti des racines républicaines pour multiplier les transfuges centristes, encore rares au...

    lefigaro.fr
    http://fr.novopress.info/
  • France 24 au Donbass ? Mensonges, trafiquages et mauvaise foi, un reportage passé au crible de la réinformation

    Le reportage d’Elena Volochine récemment diffusé sur France24 présente un trafiquage honteux des images et des personnages, pour leur faire dire l’inverse de ce qu’elles disaient en réalité au moment du tournage, ce qui est assez facile à faire avec les techniques actuelles de traitement des images quand le but poursuivi est la désinformation.

    Le décryptage de ce brûlot de France 24 est l’occasion de faire un état des lieux de la situation sur la ligne de front du Donbass aujourd’hui. Une guerre un peu oubliée en raison des événements de Syrie, mais qui continue de façon larvée, avec des morts, des prionniers, et où les troupes de Kiev continuent de bombarder journellement un secteur ou l’autre des républiques de Nouvelle-Russie, sans que Merkel ou Hollande, signataires des accords de Minsk, n’obligent leur protégé Porochenko à respecter les engagements qu’il a également signés.

    Exemple de manipulation des images:

    « Des camions aux plaques d’ immatriculation de l’armée russe » commente Eléna Volochine de France 24, dans son reportage sur le Donbass. Sur la plaque du camion qu’elle montre, nous lisons, « дк 4980 », дк (=DK) de Donetsk, qui indique, non pas une immatriculation de l’armée russe, mais une immatriculation de la République de Donetsk. Tout le reportage est à l’avenant.

    Dans la vidéo ci-dessous, Christelle Néant, une autre journaliste qui était présente lors des prises de vues du reportage de France24, a passé au crible, à l’appui d’images, ce brûlot signé Eléna Volochine:

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  • Nicolas Bay (FN) : "La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion"

    Déclaration de Nicolas Bay, secrétaire général du FN sur France 2 :

    "Il fallait surtout les empêcher d'entrer sur l'ensemble du territoire national . Et puis il fallait surtout cesser d'organiser l'accueil de ces immigrés clandestins, massif, sur l'ensemble du territoire national (...) La place des clandestins, c'est pas dans des camps payés par les contribuables, c'est évidemment dans des charters. La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion." 


    Les 4 vérités - Nicolas Bay by telematin Philippe Carhon

  • DIMANCHE 11 DECEMBRE, VENEZ NOMBREUX À LA TABLE RONDE DE TERRE & PEUPLE

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    Une date à retenir...

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