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  • Qatar, Arabie Saoudite : Quand la France entretient des relations avec des pays qui financent l’islamisme

    « Nos très chers Emirs ». Tel est le titre d’un livre consacré aux relations qu’entretiennent la France avec les monarchies du Golfe.

    Pour les journalistes et ex-otages Christian Chesnot et Georges Malbrunot, les gouvernements français successifs se sont montrés complaisants avec des pays qui financent une idéologie qui nous menace et des réseaux terroristes que nous ciblent.

    Sous Sarkozy, c’est la lune de miel avec le Qatar. Leur ambassadeur arrose Paris. Subventions, financements, cadeaux personnels. A chaque Noël, il envoie des paquets à une trentaine de personnalités, d’une valeur de 10 000 euros à peu près. Aucun sac de grand luxe n’a été retourné à l’ambassade. Certains élus français se plaignent même lorsque le cadeau n’arrive pas ou les Qataris refusent de payer tel ou tel voyage.

    Le Qatar et l’Arabie Saoudite ont pourtant joué un rôle important dans le financement du terrorisme islamiste :

    Depuis la révolution iranienne en 1979 et l’aide apportée aux mudjaïdines en Afghanistan, des réseaux financiers se sont créés pour financer le djihad dans le monde. Les rapports américains, du FBI et de la CIA, le disent clairement.

    http://fr.novopress.info/201217/qatar-arabie-saoudite-quand-la-france-entretient-des-relations-avec-des-pays-qui-financent-lislamisme/

  • Journal du Lundi 24 octobre 2016 - Immigration / Calais : la jungle évacuée

  • La peur doit changer de camp : soutenons les policiers !

    Le paysage effarant dessiné par nos dirigeants politiques montre des policiers qui ont peur plus que jamais
    Les policiers aujourd’hui, comme les militaires de tout temps, risquent leur vie. On vient les assassiner chez eux. On les achève lorsqu’ils sont blessés. On leur lance des cocktails Molotov quand on ne leur tire pas dessus. Des manifestants violents les prennent directement pour cibles. Des slogans meurtriers sont lancés à leur encontre. Des magistrats semblent plus enclins à les poursuivre et à les condamner qu’à donner suite rapidement et efficacement aux procédures qui leur ont demandé beaucoup de travail.

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  • Calais : opposition nationale au saupoudrage de clandestins

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Souhaitant en finir avec la jungle de Calais, le gouvernement a décidé de procéder à son démantèlement aujourd’hui par les forces de l’ordre. Les plus de 10 000 réfugiés et clandestins seront acheminés dans toute la France en bus dans les prochains jours. Ils seront logés dans les centres d’accueil prévus à cet effet. Si tout se passe comme prévu, ce sera donc la fin du plus grand bidonville d’Europe qui empoisonne l’existence des Calaisiens depuis plus de 10 ans. Mais des heurts sont à craindre avec les factions d’extrême gauche opposées au démantèlement, les Black blocs et autre No Borders.

    Comment réagissent les communes et régions supposées accueillir les habitants de la jungle ?

    Partout, l’opposition est grande face à cette dissémination de ces clandestins et réfugiés, imposée par l’Etat socialiste. A Saint Bauzille de Putois, dans l’Hérault, le maire démissionne en signe de protestation. A Valfleury, dans la Loire, les habitants sont vent debout. Pareil dans la Manche, à la Chapelle sur Vire. A noter le choix systématique d’implanter des migrants par paquet de 50 ou plus dans des communes de moins de 1000 habitants, qui sont démunies face au gouvernement. Manuel Valls a d’ailleurs promis JE CITE « ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront L’Etat devant eux »

    Comment les élus locaux réagissent ?

    Sans surprise, seule la droite nationale entend la colère des habitants. Ce sont eux qui vont chercher parfois les responsables locaux du FN pour structurer l’opposition dans leur commune. Dans le Vaucluse, le député Marion Maréchal-Le Pen a appelé à un rassemblement réunissant plusieurs centaines de personnes dimanche dans la commune de la Tour-d’Aigues. « Avons-nous vu autant d’argent et d’énergie pour le retraité à la pension de misère, l’agriculteur en redressement ou la mère de famille seule ? », s’est interrogée devant la foule la benjamine de l’Assemblée nationale.

    http://fr.novopress.info/201221/calais-opposition-nationale-au-saupoudrage-de-clandestins/

  • Les Wallons ne lâchent rien sur l’accord avec le Canada

    Malgré les efforts déployés lors du sommet européen de Bruxelles, aucune solution n’a été trouvée.

    Tout ça pour ça. Au terme d’une longue soirée, les Européens se sont séparés, dans la nuit de jeudi à vendredi, sans réelle percée sur les deux principaux sujets qui occupaient les esprits. S’ils ont pu afficher un communiqué relativement consensuel au sujet des migrants, c’est au prix de renoncements : peu d’annonces nouvelles et une note de bas de page ménageant, une fois de plus, les susceptibilités des pays opposés à l’idée d’être obligés d’accueillir sur leur sol des réfugiés.

    Au sujet de la Russie, ils ont certes dégagé une ligne commune, faisant montre de fermeté en demandant l’arrêt des bombardements sur Alep , la prolongation de la trêve et l’acheminement d’une aide humanitaire. Mais à ce stade, pas la moindre mention d’éventuelles sanctions – le Premier ministre italien, Matteo Renzi, s’étant farouchement opposé à cette idée. Malgré tout, a averti François Hollande devant les médias, « si se perpétuaient de nouvelles atrocités, toutes les options seraient envisagées « .

    Efforts diplomatiques

    Mais c’est au sujet de l’accord de libre-échange avec le Canada (CETA) que la déception était palpable. En dépit des efforts des diplomates et des chefs d’Etat , aucune issue n’a été trouvée au blocage de la Wallonie, bien décidée à ne pas signer ce texte qu’elle juge contraire à ses intérêts.

    Pour conjurer le scénario d’un échec, une rencontre s’était déroulée, avant l’ouverture du sommet, entre le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le Premier ministre belge, Charles Michel. Celui-ci affirmait que le « moment de vérité est proche ».

    A vingt heures, les ambassadeurs de tous les Etats se réunissaient pour chercher une solution. Plus tard dans la soirée, on apprenait que le Parlement wallon allait être réuni, ce vendredi matin, pour se prononcer à nouveau sur la déclaration politique qui accompagne le texte, laquelle avait subi de substantielles modifications. Mais en fin de soirée, le ministre président de la Wallonie, Paul Magnette, rejetait la nouvelle version du texte. « Il y a des améliorations mais le texte est encore clairement insuffisant », lâchait-il.

    Vers un fiasco définitif ?
    Pour autant, le scénario d’un fiasco définitif ne semble pas encore écrit. Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, est censé venir signer le traité jeudi 27 octobre, à Bruxelles. Pour d’élémentaires raisons de courtoisie, les Européens considèrent que si ce voyage doit être annulé, cela ne pourra pas se faire au-delà de lundi. Le week-end pourrait donc être intense, d’autant que dès ce vendredi matin, Paul Magnette devrait rencontrer directement la ministre canadienne du Commerce.

    Pour certains observateurs, ce dernier n’aurait aucun intérêt politique à lâcher prise durant le sommet, car cela permettrait au Premier ministre belge, un adversaire politique, d’empocher un succès diplomatique. Pour autant, s’il obtient de réelles concessions, il pourrait céder dans les tout prochains jours, et emporter par la même occasion une belle victoire politique.

    Angoisse des responsables européens

    Si cette épée de Damoclès était levée, ce serait un soulagement majeur pour les Européens. Donald Tusk, le président du Conseil européen, connu pour ne pas cacher son pessimisme, avait donné le ton, à l’ouverture du sommet, prévenant que si l’Union européenne se révélait incapable de signer le CETA, cela signifierait que celui-ci « pourrait être notre dernier accord de libre-échange ».

    De fait, l’angoisse de tous les responsables européens est que le sacrifice d’un accord dans son ultime ligne droite, alors que celui-ci a donné lieu à cinq années d’intenses négociations, envoie au monde entier un signal déplorable, démontrant que la Commission européenne n’a plus les moyens de son action en la matière. L’Union ne serait plus, dès lors, un partenaire fiable, ni même une entité capable d’agir collectivement. Ce dont Paul Magnette, professeur de sciences politiques et spécialiste des questions européennes, se dit conscient.

    Les Echos

    http://www.voxnr.com/4850/les-wallons-ne-lachent-rien-sur-laccord-avec-le-canada

  • Policiers en colère : « Viry, c’était prévisible »

    Après une semaine de manifestation nocturnes suite à la violente agression au coktail molotov dont ont étés victimes leurs collègues à Viry-Châtillon il y a quinze jours, une centaine de policiers se sont rassemblés devant la mairie d’Evry, accompagnés pour certains de leur familles afin de montrer qu’il y a « des hommes derrière l’uniforme ».

    http://fr.novopress.info/

  • ZOOM - Philippe de Villiers : "La France n'est pas la fille aînée de l'islam !"

  • Budapest et le destin de l'Europe

    Ce 23 octobre à Budapest, le chef du gouvernement présidait une cérémonie à haute valeur symbolique. Il s'agissait de célébrer le souvenir, à l'occasion de son 60e anniversaire, de la révolution hongroise anticommuniste de 1956.

    Ceci est considéré dans ce beau pays, le plus romantique d'Europe, comme une fête nationale. Et si cette commémoration a été marquée par des affrontements entre Magyars, ce qu'on peut évidemment regretter, comme on peut s'interroger sur le contexte général d'un pays si symbolique de l'actuelle situation ambiguë, et à certains égards explosive, de l'Europe centrale on doit avant tout déplorer que cet événement ne soit pas envisagé du point de vue du destin de l'Europe dans son ensemble

    Seul le chef de l'État polonais Andrzej Duda était venu rendre hommage aux insurgés de 1956. Il les a logiquement comparés aux grévistes de Gdansk de 1980.

    Il est donc devenu hautement nécessaire désormais de rappeler, à une opinion qui l'a oublié, ce qu'a signifié l'événement d'ensemble.

    On l'évoque aujourd'hui comme une sorte d'accident architectural puisqu'on appelle"chute du mur".

    Mais c'est bien en effet la lutte de Solidarnosc en Pologne, considérablement encouragée par le pape Jean-Paul II élu le 16 octobre 1978, lequel, le 22 octobre 1978, place Saint-Pierre, lancera son fameux "N'ayez pas peur", qui permit de balayer les accords de Yalta de 1945.

    Ronald Reagan, premier président des États-Unis à remettre explicitement en cause le système de condominium américano-soviétique contribuera plus tard puissamment au processus.

    Militant anticommuniste depuis ma jeunesse, ayant moi-même été profondément bouleversé, à ma petite échelle, lors d'un voyage en Hongrie, en 1966, par le rejet, par tout un peuple, du régime et de l'occupant qui l'opprimaient, je puis témoigner de ce que cela signifiait pour toute une partie de ma génération.

    Dans le "stade du peuple" de Budapest le premier stade de 100 000 places construit en Europe j'éprouvai l'émotion d'assister à l'entrée d'une délégation soviétique saluée, si l'on peut dire, par le silence unanime, glacial, méprisant, immense, de 100 000 personnes, venues, elles, de toute la partie de l'Europe sous diktat moscovite.

    Que des commémorations officielles puissent aujourd'hui diviser l'opinion hongroise, on peut le regretter. Ces débats ne sont pas nouveaux, et le fond de la controverse existait déjà en 2006, il y a dix ans jour pour jour, lorsque le gouvernement, alors de gauche, avait violemment réprimé les manifestations commémoratives jugées trop à droite pour le goût des bien-pensants et des gouvernants.

    Très démocratiquement l'alternance s'est produite lors des élections législatives de 2010, les deux-tiers des sièges à l'Assemblée étant acquis au parti conservateur.

    Ce 23 octobre 2016, Gyula Molnár, chef du parti socialiste a certes pu rassembler quelque 3 000 ou 4 000 partisans. Il a pu leur dire du premier ministre actuel qu'il "n’est pas l’héritier d’Imre Nagy", héroïque chef du gouvernement hongrois de 1956 qui fut liquidé par les Soviétiques auquel il avait osé tenir tête.

    Voilà une contre manifestation qui a sans doute rempli de joie la diplomatie luxembourgeoise, qui demande des sanctions contre la Hongrie, et quelques autres politiciens.

    Mais qu'un tel pays-symbole soit aujourd'hui mis au ban du continent, qu'il puisse faire l'objet de véritables menaces venant du grand-duché du Luxembourg, on ne doit pas seulement le déplorer on peut s'en indigner et, en tout état de cause, on devrait s'en préoccuper.

    Les insurgés de Budapest de l’automne 1956 et leurs trois mille martyrs tinrent tête avec tant d'héroïsme aux tanks soviétiques, ces patriotes européens, qui lancèrent un appel aux autres peuples d'Europe, et qui furent hélas abandonnés, voila ce dont nous avons le devoir de nous souvenir.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/