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  • Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme

    Elisabeth Lévy déclare au Figarovox :

    "[...] C'est une annonce prématurée, mais de fait, comme l'explique Jean-Pierre Legoff dans ce numéro [Causeur], le gauchisme culturel est en train de perdre de sa superbe. En clair, il n'est plus le seul arbitre des élégances intellectuelles et morales. Et c'est vrai, en dépit des différences de situation, aux Etats-Unis comme en France. L'universitaire Mark Lilla a expliqué cette semaine dans Le Monde que l'échec de Clinton était celui de la gauche qu'il appelle «diversitaire», qui n'a pas vu, écrit-il, que «son obsession de la diversité incitait les Américains blancs, ruraux, croyants à se concevoir comme un groupe défavorisé dont l'identité est menacée ou bafouée. Ces personnes ne réagissent pas contre la réalité d'une Amérique multiculturelle (en réalité, elles ont tendance à vivre dans des régions où la population est homogène). Elles réagissent contre l'omniprésence du discours de l'identité, ce qu'elles appellent le ‘politiquement correct'». Et en France, la défaite d'Alain Juppé s'explique largement par le rejet d'un multiculturalisme réel qui n'a pas grand-chose à voir avec les beaux discours de la gauche Terra Nova ni avec l'illusion de l'identité heureuse. Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme, la pression sociale, le séparatisme, l'exclusion des femmes. Il doit être permis de le voir. Et de le dire. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Action française [Marseille] Cercle du 09 décembre

    Vendredi soir les militants Marseillais étaient réunis pour assister à une conférence donnée par le professeur Gilles sur le thème de la révolution nationale pendant la seconde guerre mondiale. Par le prisme de deux quotidiens nationaux de l’époque "le petit parisien" et "le matin" les militants Marseillais se sont réappropriés l’histoire de leur pays. Débats passionnants autour du thème de la primauté de l’intérêt national suivis d’un verre de l’amitié.

  • Vive l'Europe ! - Un petit tour en Pologne, à Varsovie (Partie 1) - Daniel Conversano

  • Vers l’Europe militaire ? par Georges FELTIN-TRACOL

    Chers Amis de Radio-Libertés,

    On n’en finit plus de spéculer sur la politique étrangère que va mener le 45e président des États-Unis d’Amérique à compter du 20 janvier 2017. Si on se fie à ses déclarations au cours de cette longue campagne électorale, on ne peut que relever une nette affirmation d’inciter au désengagement – relatif – des forces armées US en Asie et en Europe. Le prochain occupant du Bureau oval exigera peut-être que ses alliés du « Vieux Continent » cessent de considérer l’OTAN comme leur unique recours possible. Il aimerait bien que les Européens prennent enfin leur destin militaire en main. Plus de soixante ans après l’échec de la Communauté européenne de défense (CED), le Brexit pourrait paradoxalement relancer un processus militaire européen si possible émancipé de la tutelle étatsunienne.

    Lors du sommet européen à Bratislava le 16 septembre 2016, François Hollande déclarait pour une fois avec raison : « Si les États-Unis font le choix de s’éloigner, l’Europe doit être capable de se défendre par elle-même. Pour l’Union européenne, la défense, c’est le défi. Il s’agit de peser sur le destin du monde, de se doter d’une capacité de projection. […] Il n’y a pas de continent, il n’y a pas d’union s’il n’y a pas de défense de ce que nous représentons (dans Le Figaro des 17 et 18 septembre 2016). » Mieux encore, Jean-Jacques Mével rapporte que « le trublion Viktor Orban a surpris beaucoup de monde en s’affichant comme le partisan résolu d’une Europe militaire : “ la sécurité de l’UE est la priorité et nous devrions mettre sur pied une armée européenne ”, assurait-il le mois dernier (dans Le Figaro du 14 septembre 2016) ».

    Ce projet ambitieux suscite cependant toujours la réticence de certains États-membres de l’Union pseudo-européenne qui ne veulent pas s’écarter du cadre atlantiste. Du coup, Varsovie vient d’annuler l’achat d’hélicoptères militaires Caracal par des hélicoptères assemblés outre-Atlantique. Jean-Jacques Mével ajoutait en outre « la Pologne est favorable à l’Europe de la défense, “ du moment qu’elle ne cherche pas à faire concurrence à l’OTAN ”, dit-on à Varsovie. Prague et Bratislava sont à peu près sur la même ligne (art. cit.) ». Pis, fin septembre 2016, le ministre britannique de la Défense, Michael Fallon, assurait que « le Royaume-Uni s’opposera au projet d’Europe de la défense porté par la France et l’Allemagne tant qu’il fera partie de l’UE ».

    Les Pays-Bas, le Danemark et les États baltes expriment eux aussi aussi leur défiance envers tout projet militaire européen non-atlantiste. Or, s’il y a un domaine dans lequel l’Europe peut se concevoir, c’est bien la défense et ses fantastiques retombées économiques grâce à la recherche-développement. Le Brexit et l’arrivée de Donald Trump pourraient sortir les Européens du continent, des aires méditerranéenne, rhénane et danubienne, de leur torpeur insensée. « Lorsque les Britanniques partiront, prévient Frederico Santopinto, du Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité, l’alibi qu’ils ont incarné pour justifier l’absence de progrès en matière de défense s’en ira avec eux… (dans Le Monde du 29 octobre 2016). » En 1980, Julien Freund relevait dans La fin de la Renaissance (PUF) que « le vrai principe fédérateur en politique est le militaire et non l’économique ou le culturel. En effet, c’est par les guerres ou à la suite de guerres que les États se sont constitués (p. 11) ».

    Il manque encore au drapeau européen l’adoubement par le tragique sur les champs de bataille et le sang versé des Européens, mais cette absence ne durera peut-être plus longtemps.

    Bonjour chez vous !

    Georges Feltin-Tracol

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 13, diffusée sur Radio-Libertés, le 9 décembre 2016.

    http://www.europemaxima.com/vers-leurope-militaire-par-georges-feltin-tracol/

  • Le Parti de la France présentera une centaine de candidats aux élections législatives

    6a00d83451619c69e201b7c8bb3bec970b-800wi.jpgLe bureau politique du Parti de la France réuni samedi 10 décembre sous la présidence de Carl Lang a officialisé la décision de présenter une centaine de candidats du PdF aux élections législatives de juin 2017. L’investiture des 65 premiers candidats a été validée à cette occasion :

    "La campagne législative du Parti de la France se fera au nom du peuple français sur les principes et valeurs de la droite nationale, populaire et sociale, de la droite de l’identité française, de la droite des traditions nationales et de nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, de la droite des libertés économiques de promotion du travail aux Français, de défense de nos entreprises et du patriotisme économique et social. En réaffirmant les droits historiques et politiques du peuple français à rester lui-même et à disposer le lui-même, le Parti de la France engage sa campagne de résistance nationale et européenne à la colonisation migratoire et à l’islamisation. Le Parti de la France appelle à la coopération, au rassemblement et à l’engagement pour ces élections législatives de toutes les forces nationales et patriotiques."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marion Maréchal Le Pen recadre Florian Philippot

    Via le JDD :

    "Maintenez-vous, malgré les vives critiques de Florian Philippot, votre proposition de revenir sur le remboursement intégral et illimité de l’avortement?

    Je ne vois pas ce qui pourrait me faire changer d’opinion. J’aurais aimé un peu plus de respect de la part de Florian Philippot. Il parle de moi dans les médias en disant "cette personne" ; je trouve cette appellation assez inadéquate. Il y a un minimum de bienséance et de respect mutuel à avoir. Rien ne pouvait justifier une telle agression.

    Florian Philippot suggère que vous êtes minoritaire…

    Quand on définit la ligne du FN ou qu’on décide d’un changement stratégique, on le fait dans les instances du parti ; on ne le fait pas tout seul sur BFMTV! J’accepte l’idée qu’au FN, certains puissent être issus de parcours différents. Je rappelle que Florian a pris des positions sur lesquelles il était minoritaire au sein du Front, notamment sur la campagne gouvernementale de lutte contre le SIDA qui m’apparaissait, à moi, très gênante, pour les enfants mais aussi pour les homosexuels. La majorité, au FN, ne partage pas du tout ce choix.

    Comment apprécier ce qui est majoritaire ou pas, au sein de votre parti?

    La seule unité de mesure, c’est l’élection de Marine Le Pen au congrès de 2011. Elle a été élue sur un programme qui est sans ambiguïté sur ce sujet de l’IVG. Qu’elle veuille écarter un certain nombre de sujets pendant la campagne, c’est son droit. Mais ce congrès demeure l’unité de mesure majeure. Et je rappelle que je suis arrivée première à ce congrès. C’est donc que je ne suis ni minoritaire ni isolée."

    Puis à propos de François Fillon :

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    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html