Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 36

  • Un grand bravo à Martina Chyba, journaliste et productrice à la RTS (radiotélévision suisse francophone)

    Aujourd'hui, nous laissons la parole, pour ce grain de sel, à Martina Chyba, qui va conclure, avec un humour savoureux et bienvenu, le terrible constat que l'on vient de lire.   LFAR 

    2101505368.jpgDésolée je ne peux pas m’en empêcher. Je craaaque. Amatrice inconditionnelle de la novlangue pédante, bureaucratique et poli­tiquement correcte, je me dois de partager les dernières découvertes. Déjà cet été, j’ai adoré les campings qui ne veulent plus qu’on les appelle les campings parce que ça suscite instantanément dans l’esprit des gens l’image de Franck Dubosc en moule-boules ou de Roger et Ginette à l’apéro avec casquette Ricard et claquettes Adidas. Donc les professionnels de la branche demandent que l’on dise désormais « hôtellerie en plein air». Haha. J’ai aussi appris que je n’étais pas petite mais «de taille modeste» et qu’un nain était une «personne à verticalité contrariée ». Si, si.

    Mais rendons à César ce qui lui appartient, l’empereur du genre reste le milieu scolaire et ses pédagos à gogo. J’étais déjà tombée de ma chaise pendant une soirée de parents d'elèves quand la maîtresse a écrit sur le tableau que nos enfants allaient apprendre à manier « l’outil scripteur » au lieu de tenir un crayon. Je me suis habituée au fait que les rédactions sont des « productions écrites », les courses d’école des « sorties de cohésion » et les élèves en difficulté ou handicapés des « élèves à besoins éducatifs spécifiques ». Mais cette année, sans discussion aucune, la mention très bien est attribuée au Conseil supérieur des programmes en France et à sa réforme du collège. Z’êtes prêts? Allons-y.

    Donc, demain l’élève n’apprendra plus à écrire mais à « maîtriser le geste graphomoteur et automatiser progressivement le tracé normé des lettres». Il n’y aura plus de dictée mais une «vigilance orthographique ». Quand un élève aura un problème on tentera une « remédiation ».

    Mais curieusement le meilleur est pour la gym… oups pardon ! pour l’EPS (Education physique et sportive). Attention, on s’accroche : courir c’est « créer de la vitesse » nager en piscine c’est « se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l’eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête » et le badminton est une « activité duelle médiée par un volant ». Ah ! c’est du sportif, j’avais prévenu, Les précieuses ridicules de Molière, à côté, c’est de l’urine de petit félidé (je n’ose pas dire du pipi de chat).

    Alors, les amis, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque et inventons une nouvelle catégorie : la « personne en cessation d’intelligence » autrement dit, le con.

    Signé Martina Chyba, parent d’élève. Ah non, re-pardon… Martina Chyba, « génitrice d’apprenant ». 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/12/12/un-grand-bravo-a-martina-chyba-journaliste-et-productrice-a-5885879.html

  • José-Antonio Primo de Rivera par Jacques Ploncard d’Assac sur Scriptoblogue

    Un grand militant espagnol, fondateur de la Phalange espagnole crée le 29 octobre 1933. Période marquée par la présence des « fascismes » promettant pour l’Europe du lendemain un Ordre nouveau. Le gouvernement républicain (allié aux communistes) le juge pour rébellion, et eu raison de lui en le faisant fusillé le matin du 20 novembre 1936. Il est mort martyr à l’âge de 33 ans.

    Une critique de Rousseau :

    La racine, l’élément vital du phalangisme est la critique joséantonienne de Rousseau, notamment sur le relativisme subjectiviste et la notion de Moi supérieur, aboutissant dans les faits au triomphe d’une majorité dont le vote exprimerait la vérité, contre la minorité. Pour lui, ce système entraîne « la perte de l’unité spirituelle des peuples » et engendre « l’esclavage économique », promettant la liberté aux travailleurs mais laissant le pouvoir aux riches. Le socialisme naquit en réaction, cependant s’il s’agit pour José Antonio d’une « critique juste du libéralisme économique, il nous amena, par un autre choix, les mêmes résultats que le libéralisme économique : la désagrégation, la haine, la séparation, l’oubli de tout lien de fraternité et de solidarité entre les hommes ». Par ailleurs, le risque rousseauiste serait de supprimer les créations de l’effort : le Droit, qui transforma l’individu en personne, et l’Histoire, qui transforma le peuple en régime d’État.

    Nation, Patriotisme et État :

    Pour José Antonio, la Nation est avant tout « une unité de destin dans l’universel ». Le Patriotisme doit se fixer « non dans le sensible, mais dans l’intellectuel », car « ce qui est sensuel dure peu »; il est un « destin », une « entreprise » : « La Patrie est ce qui, dans le monde, configure une entreprise collective. Sans entreprise, il n’y a pas de patrie; sans la présence de la foi en un destin commun, tout se dissout en provinces natales, en saveurs et couleurs locales ». Ainsi le nationalisme de José Antonio critique l’orientation régionaliste à tendances séparatistes, qui conduit à être « des peuples sans destin dans l’Histoire ». La nation n’est pas « une réalité géographique, ni ethnique, ni linguistique; elle est essentiellement une unité historique ». Enfin, chez lui, qui dit nation dit « société politique capable de trouver dans l’Etat sa machine opérante ».

    Cet État, Primo de Rivera lui accorde une extrême importance : plus que « l’exécuteur de la simple volonté populaire », il a en charge le « destin du peuple », conception analogue à « l’idéal héréditaire » de Barrès. Pour résumer, les nations ne se maintiennent que tant qu’elles maintiennent les principes qui les ont fait naître. Le Chef doit servir le peuple, « même s’il diffère de ce que la masse désire », en assignant à l’État le rôle d’ « instrument au service d’une mission historique d’unité ». Révolutionnaire, José Antonio juge cependant qu’un peuple s’étant laissé dépérir ne peut accomplir la révolution salvatrice, mais que cette dernière ne se fera qu’avec l’apparition d’un homme, par l’occasion prérévolutionnaire : « Si en cette occasion n’apparaît pas l’homme, la révolution est perdue ». Dans le contexte espagnol de 1934, l’instrument de la Révolution que préconise Primo de Rivera est l’Armée, « sauvegarde du permanent », qui ne doit pas se mêler aux « luttes accidentelles » mais doit quand même défendre « la permanence de la Patrie ». Cette intervention de l’Armée se limiterait cependant à une lutte contre les ennemis de l’intérieur, en laissant à la Révolution le soin de poursuivre son chemin politique. L’esprit de la Révolution est dans la Falange, il demande l’appui du bras de l’Armée pour résoudre une situation de force, mais l’esprit reste supérieur au bras dans l’ordre des finalités politiques.

    Une critique du libéralisme et de la lutte des classes :

    Pour José Antonio, le libéralisme n’apporte pas la liberté, car « lorsque les principes changent avec les fluctuations de l’opinion, il n’y a de liberté que pour ceux qui sont d’accord avec la majorité. Les minorités sont destinées à souffrir et à se taire ». On aboutit, en fait, à l’absolutisme démocratique. Deux « souverainetés » antagoniques apparaissent : l’État et l’individu, l’État identifié à la volonté de l’individu. Pour sa part, Primo de Rivera dépasse l’antagonisme individu-État en introduisant les notions de service et de mission. L’État n’est plus qu’un « système de hiérarchies » (Mussolini) au service d’une mission; le peuple et son Chef forment alors une Communauté. Quant aux classes, il en fait la même analyse que Mussolini : « La lutte des classes ignore l’unité de la Patrie parce qu’elle rompt l’idée de la production nationale comme un tout ». Pour lui le capitalisme est la cause de cette division : « Ce qui occupe la position contre les patrons et les ouvriers, c’est le pouvoir du capitalisme, la technique du capital financier ». Il propose une autre vision.

    Une doctrine – le national-syndicalisme :

    Sa vision est la suivante : « Nous devons commencer par l’homme, et passer par ses unités organiques et ainsi nous monterons de l’homme à la famille, de la famille à la municipalité et au syndicat et nous terminerons dans l’État qui sera l’harmonie du tout. De telle manière que dans cette conception politico-historico-morale avec laquelle nous envisageons le monde, nous avons implicitement la solution économique : nous démonterons l’appareil économique de la propriété capitaliste qui absorbe tous les bénéfices pour le remplacer par la propriété individuelle, familiale, communale et syndicale ». Quant au capital, il « n’est qu’un instrument au service de la production. Nous ne concevons pas la structure de la production comme une relation bi-latérale entre le capital et le travail. Le capital, en tant qu’instrument pour le bénéfice national de la production, doit appartenir aux producteurs eux-mêmes – dans ses formes individuelles ou syndicales – ou à l’intégrité de l’économie nationale ».

    D’un point de vue économique, il voit donc la nation comme « un gigantesque syndicat de producteurs ». Il donne ainsi naissance à la doctrine du « national-syndicalisme » et à l’Etat du même nom, Etat qui « considérera comme fins propres les fins de chacun des groupes qui le compose et y veillera, comme pour lui-même, dans l’intérêt de tous ». Comme chez Mussolini, il n’y a chez Primo de Rivera pas de programme détaillé, préétabli, mais « un sentiment permanent devant l’Histoire et la vie ». L’idée fondamentale de la Phalange, c’est l’unité essentielle de la Nation, rassemblant en un faisceau toutes ses énergies, à quelque classe de la société qu’elles appartiennent, pour réaliser le bien commun. Enfin, une phrase de José Antonio résume tout le sens qu’il donne à son combat : « Être plus Espagnols que nous ne l’avons jamais été ».

    Citations :

    « Pas d’autre dialectique possible que celle des poings et des pistolets quand on s’attaque à la justice ou à la Patrie » (Textos de Doctrina Politica).

    « Rien d’authentique, d’éternel, de difficile comme gouverner, n’a pu se faire à la machine; toujours il a fallu avoir recours en dernière analyse à celui qui, depuis l’origine du monde, est l’unique appareil capable de diriger les hommes : l’homme. C’est-à-dire le Chef. Le Héros » (José Antonio Primo de Rivera, préface à l’édition espagnole de Il Fascismo de Benito Mussolini).

    « La Patrie est une unité de destin dans l’universel et l’individu le porteur d’une mission particulière dans l’harmonie de l’État » (Textos de Doctrina Politica).

    « Être de droite ou être de gauche, c’est toujours exclure de l’âme la moitié de ce qu’elle doit ressentir. C’est même parfois exclure le tout pour lui substituer une caricature de moitié » (Arriba, 9 janvier 1936).

    Deus Vult Aquitaine

  • Alep libérée de la vermine islamiste

    Après 4 années et demi de combats acharnés, Damas vient d’annoncer la reprise complète de la ville d’Alep aux rebelles islamistes. Les habitants de la partie ouest d’Alep laissent éclater leur joie…

    http://www.contre-info.com/

  • Politique & Eco N° 114 : Les défis de l’économie française

  • Ce que la mairie de Paris fait de votre argent

    Le Conseil de Paris se réunira du 12 au 15 décembre pour délibérer sur les projets de la Ville. Contribuables Associés dresse les 10 pires subventions qui vont être votées sur les 553 projets de délibération de l’ordre du jour :
    1. 40 500 euros à l’association SAFE en 2 subventions du département de Paris. L’une de 25 000 euros pour installer des distributeurs automatiques de seringues dans Parisainsi que des trousses d’inhalation pour des fumeurs de crack. L’autre de 15 500 euros pour une étude sur « les pratiques et sur les prises de risques des usagers injecteurs de drogues ». (source)
    2. 23 000 euros à l’association « L’impossible » pour deux projets dont « des ateliers artistiques et citoyens en prison qui proposent une résidence d’écriture sonore en détention sur le thème de l’identité autour de la création et la fabrication d’objets sonore. Chaque participant créera un environnement sonore singulier. Un travail de mise en scène et de diffusion de cette création sera faite ensuite au Vent Se Lève [un lieu culturel, NDLR]. La création sonore est ici utilisée comme medium pédagogique : l’objectif est de permettre l’expression, la réflexion et la verbalisation des questions liées à son identité et sa place dans la collectivité (sic). » (source)
    3. 15 000 euros à l’association « HeSam Université » (Hautes écoles Sorbonne – Arts et Métiers) pour une étude sur « Les Jeux olympiques et paralympiques, accélérateurs du rapprochement entre Paris et la Seine-Saint-Denis» par le Centre Michel Serres. Si Paris organise les JO 2024, l’addition va être très très salée pour les contribuables avec des retombées économiques aléatoires (voir notre article « JO de Paris 2024 : à quel prix? »).
    4. 4 000 euros à l’association « Lire en Afrique » pour la création d’une bibliothèque dans le centre culturel de Grand Yoff à Dakar (Sénégal)(source)
    5. 20 000 euros à l’association « Ayyem Zamen le temps de jadis« , pour « une action visant à repérer et localiser des personnes immigrées très âgées et isolées » dans les 18e et 20e arrondissements, « afin de pouvoir les accompagner vers les structures adaptées » (source). Du fichage à caractère électoraliste ? Sur le principe, l’article 8 de la loi du 6 janvier 1978, dite « Loi informatique et libertés » interdit- sauf rares exceptions – de recueillir et d’enregistrer des informations faisant apparaître, directement ou indirectement, les origines « raciales » ou ethniques, ainsi que les appartenances religieuses des personnes.
    6. 10 000 euros à l’ « Association Française des Communes, Départements et Régions pour la Paix » (AFCDRP) pour 3 activités principales. (source) L’une d’elle consistant en « une activité pédagogique et commémorative autour de la plantation et la culture, dans l’espace public parisien, des graines issues d’arbres ayant survécu au bombardement d’Hiroshima ». Cette association n’est pas installée à Paris mais à Malakoff (Hauts-de-Seine). Le bureau de l’AFCDRP est piloté par 5 élus communistes et un élu du Parti radical de gauche. Son président d’honneur Daniel Fontaine est l’ex-maire communiste d’Aubagne qui a dépensé l’argent de ses administrés pour se rendre à New York à un sommet sur le nucléaire, en 2010. Il a été condamné depuis à rembourser les 4 500 euros de son voyage.
    7. 15 000 euros à l’association « Syndicat du Logement et de la Consommation » (SLC) qui a pour objectif de défendre les locataires parisiens, essentiellement ceux du parc social de la Ville de Paris. (source) Une belle enveloppe pour faire taire des gêneurs éventuels…
    8. 6 600 euros à l’association « Transparency International France » pour sensibiliser les citoyens « aux dangers et aux conséquences de la corruption ». (source). On n’est jamais trop prudent à la mairie de Paris : il est bon de s’attirer des soutiens, sait-on jamais… Transparency International est une ONG mondiale, présente dans une centaine de pays. Elle entend lutter contre la corruption sous toutes ses formes mais visiblement pas contre la subvention. En France, l’association est présidée par un pilier du système : Daniel Lebègue, énarque, ex-directeur du Trésor, ex-directeur général de la Caisse des dépôts et consignations.
    9. 5 500 euros à la « Coordination des Associations pour le Droit à l’Avortement et à la Contraception » (CADAC) pour des rencontres internationales de soutien à la légalisation de l’IVG à l’étranger. (source)
    10. 1 000 euros à l’association « Espace analytique, association de formation psychanalytique et de recherches freudiennes » pour la formation d’un coordinateur géorgien sur la compréhension et la prise en charge des troubles autistiques en Géorgie. (source) 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La campagne d’Hillary Clinton a été la plus chère de l’histoire américaine

    Une somme colossale, pour un échec cuisant. La campagne présidentielle de la candidate démocrate Hillary Clinton a coûté la somme record de 1,2 milliard de dollars, rapporte le New York Post, relayé par RTL, soit le double de celle de Donald Trump, qui a dépensé 600 millions pour arriver jusqu’à la victoire.

    Ce chiffre impressionnant, qui additionne toutes les dépenses du camp démocrate dans cette course à la Maison Blanche, en fait la campagne électorale la plus coûteuse de l’histoire politique des Etats-Unis.

    Seuls 839.000 dollars restants 

    Le New York Post précise que la campagne Clinton a dépensé 131,8 millions de dollars (près de 124 millions d’euros), pendant les dernières semaines avant l’élection, se retrouvant avec 839.000 dollars restants entre les mains, au 28 novembre. Le magnat de l’immobilier, lui, a dépensé 94.5 millions de dollars entre les 20 octobre et 28 novembre, pour terminer avec 7,6 millions restants.

    Fait historique dans une campagne américaine: le milliardaire a investi 66 millions de dollars issus de ses deniers personnels dans cette campagne.

    Source

    http://www.contre-info.com/la-campagne-dhillary-clinton-a-ete-la-plus-chere-de-lhistoire-americaine

     

  • Fondation Polémia : 2e Forum de la dissidence. Compte rendu. Troisième partie

    Quatrième et dernière Partie

     Présentation du documentaire Vigilance nationale corse
    Réalisé par Hervé Grandchamp et Solange Massoni

    Et

    Conclusion
    par Jean-Yves Le Gallou,
    président de la fondation Polémia
     

    L’exemple corse

    Région française emblématique dans la résistance qu’elle oppose à l’implantation de populations porteuses au vu de diverses démonstrations d’une contre-culture, la Corse a fait l’objet d’un documentaire spécifique. Associant Polémia et TV Libertés, le documentaire a été réalisé par Hervé Grandchamp avec le concours de Solange Massoni, l’une des fondatrices de Vigilance nationale corse.

    Le documentaire présenté a été principalement marqué par l’entretien avec le maire de Sisco, commune qui fut le théâtre, le 13 août 2016, d’un grave incident provoqué par un groupe de Maghrébins dissuadant, par des comportements violents, les touristes et les villageois d’accéder à une plage qu’ils s’étaient appropriée (*). L’affrontement a réellement commencé après qu’un adolescent de la commune eut été physiquement agressé par l’un des hommes de la famille maghrébine après les quelques photos qu’il avait prises à distance.

    Tous ont souligné, au vu de l’entretien avec le maire, l’attitude particulièrement courageuse de ce dernier. Elu de gauche, il a pris la défense de ses administrés et il a su exposer objectivement la situation et le contexte à l’encontre des récits inspirés par le dogme dominant.

    Comme l’ont exprimé dans le documentaire plusieurs personnalités interrogées, le peuple corse, insulaire, a une identité très marquée qui imprime en profondeur les mentalités. Une universitaire, corse, a rappelé l’attachement de la population à sa terre où elle trouve sa légitimité et à la religion chrétienne. Son communautarisme la protège.

    A la suite de la projection, Solange Massoni a évoqué les différentes actions menées par son mouvement. En résonnance avec l’émoi suscité chez les parents d’élèves, Vigilance nationale corses’est dressée contre l’enseignement d’un chant arabe dans les écoles.

    Face à une volonté extérieure d’imposer les préceptes de la pensée dominante, le peuple corse est dissident et résistant.

    (*) Note : Plage de Sisco en août 2015

     

    Conclusion

    par Jean-Yves Le Gallou

    Recevant Jean Foyer qu’il venait de nommer Garde des Sceaux, le général De Gaulle lui a dit : « Souvenez-vous de ceci : il y a d’abord la France, ensuite l’Etat, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le droit ».

    Aujourd’hui, ce qu’on appelle l’Etat de droit – qui n’est que la dictature des juges – est une arme contre l’Etat, contre la France et contre la liberté d’expression. Contestons les juges ! Quand les juges condamnent Eric Zemmour, Renaud Camus, Pierre Cassen et tant d’autres, ils ne rendent plus la justice au nom du peuple français mais au nom de la destruction des libertés et de l’identité française.

    Aujourd’hui l’Etat ne fait plus la France, il l’a défait. L’Etat est devenu un instrument au service de l’invasion de la France quand il finance des mosquées, subventionne des associations antinationales et reloge des étrangers clandestins, coupeurs de routes et incendiaires, dans le plus grand mépris de l’équité et de la démocratie.

    Oui, il faut se placer dans une logique de dissidence, de résistance !

    Oui, il faut mettre en cause les acteurs les plus actifs de l’islamisation et de l’invasion !

    C’est pour cela que nous envisageons de créer un prix Papon pour récompenser les collabos les plus actifs de l’immigration invasion. Les candidats sont d’ores et déjà nombreux. Voici les premières candidatures :

    • le préfet du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, qui a réprimé les patriotes comme le général Piquemal, protégé les coupeurs de route, justifié les incendies volontaires dans la jungle par « une tradition venue des pays d’origine des migrants » – et qui, pour finir, est allée s’assurer en Bretagne que tout se passait bien pour ses petits protégés. On en a tondues pour moins que

    • le préfet d’Ile-de-France, Jean-Louis Carenco, qui annonce l’installation dans sa région de 69 foyers de « migrants », c’est-à-dire d’étrangers illégaux, c’est-à-dire d’envahisseurs. Et, pour se faire bien comprendre, il ajoute : « Ils gueulent ? Je m’en fous ! », montrant ainsi son mépris pour les élus et les citoyens. Voilà un homme qui mériterait d’être accueilli partout où il passe par des conduites de Grenoble.

    • sans oublier le conseiller d’Etat immigrationniste Thierry Tuot, apôtre de la régularisation de tous les clandestins et promoteur du burkini sur les plages.

    Voilà des gens qui ne devraient pas connaître le repos !

    Mais la dissidence, c’est l’affaire de tous, c’est donc votre affaire. C’est à vous d’agir dans votre village, dans votre rue, dans votre quartier, à l’école de vos enfants.

    C’est à vous de ne pas accepter l’inacceptable ! C’est à vous de refuser le halal, les mosquées, les foyers de clandestins, les subventions aux officines politiquement correctes, les manifestations de propagande du lobby homosexualiste, les aberrations de la théorie du genre, les éoliennes. C’est à vous de dénoncer les juges, les préfets et les maires qui promeuvent l’invasion, saccagent notre patrimoine et détruisent tous les repères.

    Comment ? C’était précisément l’objet de ce Forum de la Dissidence : légitimer les actions de contestation mais aussi fournir aux contestataires les armes juridiques et pratiques de leurs actions.

    Vous avez écouté nos intervenants. Vous pouvez aller sur leur site. Il n’y a pas d’excuse à l’inaction. Allons plus loin : entreprises, associations, syndicats, administrations ne peuvent faire leurs mauvais coups que parce qu’ils les cachent avec la complicité des médias. Il nous faut, il vous faut faire émerger les faits dérangeants ; débusquer les petits privilèges des tenants du politiquement correct ; dévoiler les projets d’implantation de foyers de « migrants » ; faire connaître leurs exactions cachées ; dénoncer les subventions scandaleuses.

    Nous avons besoin de lanceurs d’alerte : soyez des lanceurs d’alerte ! Informez les médias alternatifs !

    Révoltez-vous !

    Voir aussi :

    Première partie
    Deuxième partie
    Troisième partie

    Lien du PDF pour l’ensemble des quatre articles cliquer ICI

    http://www.polemia.com/fondation-polemia-2e-forum-de-la-dissidence-compte-rendu-quatrieme-et-derniere-partie/