Lu dans L'Opinion :
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Attentat en Suède, le terroriste était un demandeur d’asile
Stockholm et Saint-Pétersbourg sont les dernières étapes du terrorisme en Occident.
Le djihadiste du Kirghizistan disparu des radars de contrôles à la frontière pour au moins un an, durant lequel semble-t-il il a été en Turquie, s’est préparé à reparaître en Russie et à frapper dans le métro de Saint-Pétersbourg, terrible attentat qui a causé la mort de 14 personnes et fait de nombreux blessés graves.
Le terroriste ouzbek qui en Suède au volant d’un camion a renversé et tué 5 personnes et blessé 15 passants est lui un « réfugié » accueilli dans le pays de la bien-pensance en 2014 et dont la demande d’asile politique avait été rejetée en juin dernier.
Libres d’entré, de sortir, et de tuer là où ils ont été accueillis, logés, nourris…
Matteo Salvini, le chef de la Ligue du Nord italienne a eu cette remarque pertinente :
« Le terroriste de Stockholm était un réfugié qui devait être expulsé. Celui de Milan avait débarqué à Lampedusa et avait été arrêté 5 fois. Que disent tous les bien-pensants ? Blinder les confins et bloquer les frontières, avec tous les moyens. Autrement c’est de la complicité. »
Francesca de Villasmundo
http://www.medias-presse.info/attentat-en-suede-le-terroriste-etait-un-demandeur-dasile/72198/
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Qui est vraiment le (((macron)))
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Une faction LR menée par Estrosi est en négociation avec Emmanuel Macron
Lu sur Sud Radio :
"Voici une scène qui s'est déroulée dans le bar le Brazza, dans le quinzième arrondissement de Paris rue Vaugirard, à 200 mètres du siège du parti Les Républicains. Christian Estrosi et Jean-Paul Delevoye, le président de la commission d'investiture du mouvement En Marche, se sont rencontrés. Et la discussion ne se faisait pas avec un accueil de façade comme c'était le cas à Marseille, afin de masquer le fait qu'une négociation était en cours. Les termes de la négociation sont les suivants, Christian Estrosi prépare un appel d'élues dès le soir du premier tour, si Macron est en situation, afin de voter en sa faveur. En échange Les Républicains et les candidats En Marche vont s'aider dans la région PACA pour les élections."
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Attentat en Egypte dans une église copte durant la messe des Rameaux !
Un attentat à la bombe a été commis dans une église de Tanta, sur le delta du Nil, durant la messe des Rameaux… Le dernier bilan fait état de 25 morts et d’une cinquantaine de blessés. Selon les autorités, une bombe constituée de 12 kilos de TNT a explosé pendant la messe. « Les bancs, projetés les uns sur les autres, donnent un aperçu de la violence du souffle dans cette chapelle réservée aux femmes. À l’extérieur, les vitraux et les toits de la cathédrale attenante ont volé en éclat. » Le président président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété trois jours de deuil national.
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Les Brigandes et Joël Labruyère - Élection Blues
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Grâce aux politiques « populistes », l’économie et la natalité polonaises se portent bien
Le nombre de mariages est en hausse et le nombre de divorces en baisse, ce qui incite à un certain optimisme pour la natalité des années à venir.
Réduction de l’âge de la retraite, ramené de 67 ans à 65 ans pour les hommes et 60 ans pour les femmes, augmentation du salaire minimum, augmentation des pensions de retraite pour les moins favorisés, instauration des premières allocations familiales depuis la chute du communisme en 1989-90, à raison de 500 złotys (environ 120 €) par enfant à partir du deuxième enfant sans condition de ressources (et dès le premier enfant sous condition de ressources), lancement d’un programme de construction subventionnée de logements pour les familles modestes, instauration d’une taxation spéciale sur les banques, etc. : voilà autant de mesures « populistes » qui auraient dû faire exploser le budget polonais et saborder l’économie depuis l’arrivée des sociaux-conservateurs du parti Droit et Justice (PiS) au pouvoir en octobre 2015.
Eh bien, non ! C’est tout le contraire qui semble se produire. Le chômage, d’abord : à 5,3 % des actifs en février 2017, contre 6,5 % un an plus tôt selon les statistiques Eurostat, il n’a jamais été aussi bas, malgré la présence massive de travailleurs ukrainiens (plus d’un million) compensant en grande partie l’émigration polonaise depuis l’adhésion à l’Union européenne (également plus d’un million d’émigrés depuis 2004, s’ajoutant au million parti au cours des années précédentes). Autre donnée, celle de la croissance économique : après une baisse au 3e trimestre 2016, elle est repartie à la hausse et devrait dépasser 3,5 % en 2017, contre 3,2 % en 2016. L’inflation est quasi inexistante et les taux d’intérêt de la banque centrale sont les plus faibles de toute l’histoire du pays (taux de référence à 1,5 %). Quant au déficit du secteur public, qui devrait être dans le rouge selon les libéraux qui ont perdu le pouvoir à l’automne 2015 (et qui avaient eux-mêmes puisé dans les fonds de retraite des Polonais pour limiter leurs propres déficits), il a été de 2,4 % du PIB en 2016, contre 2,6 % en 2015. Certes, c’est encore trop, puisque cela a fait passer la dette publique de 51,1 % du PIB (fin 2016) à 54,4 % (fin 2015), mais il n’y a pas encore de quoi paniquer.
Néanmoins c’est avec la mise en place d’allocations familiales que le gouvernement de Beata Szydło enregistre son plus gros succès. La réussite est double : encore modeste, mais réelle, sur le front de la natalité, et spectaculaire en ce qui concerne la lutte contre la pauvreté.
Un an après l’entrée en vigueur du programme « 500+ », les allocations familiales sont désormais versées pour 3,82 millions d’enfants, soit 55 % des moins de 18 ans. Les familles nombreuses étaient, jusqu’ici, pour beaucoup des familles pauvres ou très pauvres en Pologne. Du coup, l’arrivée de 500 złotys par mois et par enfant à partir du deuxième enfant a nettement amélioré la situation de ces familles, et la pauvreté a été réduite en un an de 48 %. L’extrême pauvreté (revenu par tête en dessous du minimum vital), dans ce pays où les aides sociales sont très modestes ou inexistantes pour beaucoup, a quant à elle chuté de… 98 % ! Et alors que la Pologne est un des pays du monde avec le plus faible taux de fécondité (un peu plus de 1,3 enfant par femme), on assiste pour la première fois à une hausse du nombre de naissances : 16.000 naissances supplémentaires en 2016 par rapport à 2015 et, si la tendance actuelle se confirme, probablement entre 25 et 35.000 de plus cette année. La Pologne, qui compte un peu plus de 38 millions d’habitants, pourrait ainsi dépasser la barre des 400.000 naissances cette année. À titre de comparaison, l’Italie, avec ses 61 millions d’habitants, en a eu 474.000 en 2016. Parallèlement, le nombre de mariages en Pologne est en hausse et le nombre de divorces en baisse, ce qui incite à un certain optimisme pour la natalité des années à venir.
Taxer les banques, conserver la monnaie nationale et mener une politique familiale volontariste, voilà des recettes qui portent déjà leurs fruits en Hongrie depuis 2010 et qui semblent réussir également aujourd’hui en Pologne. Non seulement les politiques « populistes » s’avèrent-elles être bonnes contre l’immigration et pour la natalité, mais elles semblent aussi être bonnes pour l’économie !
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VERCINGÉTORIX ET LA GUERRE DES GAULES (58-50 AV. J.-C.) | AU CŒUR DE L’HISTOIRE | EUROPE 1
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L'Horreur ABSOLUE du Terrorisme musulman, en 1 SEULE PHOTO...
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Tout faire pour empêcher Marine Le Pen de faire campagne…
Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».
Tout est bon pour essayer de faire taire Marine Le Pen et le Front national. Rappelons-nous, en 2015, les propos de Manuel Valls, Premier ministre émérite : « Tout faire pour empêcher le Front national de gagner une région. » Et aujourd’hui : tout faire pour empêcher Marine Le Pende faire campagne. Tout ? Tout.
Par exemple, arguer du risque de trouble à l’ordre public, comme ce fut le cas en début de semaine dernière dans le Vaucluse, dans la petite ville de La Tour-d’Aigues, fief socialiste de longue date, accroché sur les contreforts sud du Luberon. Marion Maréchal-Le Pen avait en effet obtenu, depuis plusieurs semaines, du maire socialiste l’autorisation en bonne et due forme d’y tenir une réunion publique. Certains ont pu croire un instant que le respect du débat démocratique et que les conditions apaisées de l’expression de ce débat étaient une réalité dans ce pays. Eh bien, non : à la veille du meeting, à la surprise générale, le maire prend un arrêté interdisant la réunion publique, prétextant de l’annonce d’une contre-manifestation gauchiste. Le Front national ose vouloir tenir réunion publique dans ce que la gauche et ses alliés gauchistes considèrent comme un fief inaliénable, vous n’y pensez pas ! Tout faire pour empêcher le Front national de s’exprimer, disais-je.
Finalement, la justice administrative, saisie par le Front national, lui donne raison en suspendant l’arrêté. La réunion publique peut se tenir.
Évidemment, entre-temps, la presse locale n’a pas manqué de relayer l’annulation de la réunion, histoire sans doute que les gens ne se déplacent pas pour rien… Malgré tout, plus de 200 personnes réussissent à se rendre au meeting, après avoir passé les barrages gauchistes, souvent plus difficiles à franchir que les frontières nationales !
Le maire désavoué par la justice, toute honte bue, déclare à la presse le lendemain que le Front national aurait pu décaler sa réunion et souligne le fait que le déploiement des forces de l’ordre pour assurer la sécurité de la réunion aurait coûté 60.000 euros. En clair, une dépense qu’on aurait pu éviter si le Front national n’avait pas voulu faire valoir ses droits constitutionnels. Vu comme ça, effectivement, Staline et Ceaușescu étaient de parfaits gestionnaires des deniers publics.
Tout faire pour empêcher Marine Le Pen de faire campagne ? On continue. Aujourd’hui, samedi, c’était des manifestants indépendantistes ou gauchistes qui voulaient empêcher Marine Le Pen de tenir son meeting à Ajaccio, usant de violence et scandant des slogans anti-français (« Dehors, les Français »). La réunion publique, qui se tient au moment où sont écrites ces lignes, a dû se tenir dans une autre salle que celle prévue initialement.
Évidemment, les médias relativisent la gravité de tels incidents. Ainsi, Camille Langlade, journaliste de BFM TV, n’hésite pas à comparer ces actes de violence avec la manifestation des pieds-noirs lors de la venue d’Emmanuel Macron à Carpentras, le 16 février dernier. Quoi de commun entre ces pieds-noirs ou enfants de pieds-noirs, certes en colère – et il y avait de quoi, après les propos scandaleux d’Emmanuel Macron –, mais pacifiques, rassemblés sous leur drapeau d’association, et ces bandes de casseurs ? Le relativisme comme mode d’action contre le Front national. Tout faire, disais-je.
Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».
http://www.bvoltaire.fr/faire-empecher-marine-pen-de-faire-campagne/