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Réunion publique de Marine Le Pen à Arcis-sur-Aube (11/04/2017) | Marine 2017
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Quel sera le nouvel ordre? - tepa - Meta TV 3/3
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Les chômeurs s’abstiennent davantage et votent pour les populistes
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Les chômeurs représentent un électorat de 6 millions de personnes, soit près de 10 % des Français. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique de l’Ifop, analyse le comportement électoral des demandeurs d’emplois, dans un entretien paru sur Atlantico.
On relève une abstention plus élevée, avec près d’un chômeur sur deux qui envisage de ne pas aller voter contre un tiers pour la moyenne des Français. Le chômage, qui est un facteur d’exclusion sociale explique cette abstention. En effet, malgré de fortes attentes en matières sociale et économique, les chômeurs se sentent moins intégrés à la vie du pays. On remarque un accroissement de cette tendance chez les chômeurs à la recherche d’un premier emploi.
Le vote des chômeurs est plus ferme et plus tranché. Un tiers d’entre eux voterait pour Marine Le Pen et un autre tiers pour Jean‑Luc Mélenchon. En effet, 36 % voteraient pour Marine Le Pen soit un différentiel de 11 points par rapport aux 25 % d’intention de vote dont elle est créditée. L’étude montre que les chômeurs constituent l’une des catégories les plus acquises au Front national.
Pour autant, ce vote n’est pas homogène, car la gauche, tous candidats confondus, est également créditée d’un tiers d’intentions de vote. Ce sont les candidats Mélenchon et Hamon qui profitent de ce survote. Notons néanmoins que l’écho des mesures pourtant très sociales de Benoît Hamon comme le revenu universel reste assez faible chez les chômeurs.
A l’inverse, Fillon et Macron n’ont pas la côte chez les demandeurs d’emplois.Leur audience est très faible : 17 % envisagent de voter pour Macron et 8 % pour Fillon. Les réformes libérales et les différentes affaires handicapent François Fillon. Macron ne séduit pas avec un programme pourtant orienté vers les « outsiders » ; comprendre les chômeurs.
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Une situation extrêmement dangereuse
C’est aujourd’hui, à Moscou, que le ministre russe des Affaires étrangères,Sergueï Lavrov rencontre son homologue américain Rex Tillerson, six jours après les frappes de missiles tomahawks contre une base aérienne de l’armée syrienne à Chayrat. Une attaque annoncée comme les représailles yankees au bombardement aérien chimique imputé sans aucune preuve aux forces gouvernementales dans la localité de Khan Cheikhoun, non encore non libérée de l’emprise des milices islamistes. L’Afp le constate, c’est un climat de guerre froide qui s’est de nouveau installé entre les deux pays. «Le secrétaire à la Défense américain James Mattis a déclaré hier qu’il n’y avait pas de doute sur la responsabilité des militaires syriens loyalistes dans cette attaque au gaz ». « Un haut responsable de l’administration américaine s’exprimant sous couvert de l’anonymat – maniant classiquement l’inversion accusatoire, NDLR - avait accusé Moscou de semer la confusion sur le rôle du régime syrien dans l’attaque chimique présumée pour tenter de mettre en cause les rebelles ou les djihadistes de l’organisation Etat islamique»… Ce qui est pourtant en effet la piste la plus sérieuse et crédible. « Un autre haut responsable américain avait par ailleurs indiqué qu’il fallait poser aux Russes la question de leur éventuelle complicité dans cette attaques .» « Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont présenté au Conseil de sécurité un nouveau projet de résolution demandant la coopération du régime syrien dans une enquête sur l’attaque chimique. Le vote est prévu mercredi mais, selon des diplomates, la Russie devrait utiliser son droit de veto. Ce serait alors la huitième fois que Moscou se servirait de cette prérogative au Conseil de sécurité pour bloquer une action onusienne à l’encontre de son allié syrien ».
Sur le site de l’Obs, Vincent Jauvert observe comme beaucoup que « la politique de Donald Trump vis-à-vis de la Syrie est en train d’évoluer à grande vitesse (…). Au point que l’on peut se demander si, en coulisses, Washington n’est pas en train de préparer une vaste opération pour renverser Bachar al-Assad.» Dimanche, l’ex gouverneur républicain Nikky Haley, ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU depuis fin janvier « a déclaré qu’obtenir le départ de Bachar était l’une des priorités du gouvernement américain. Lundi, (Le porte-parole de la Maison Blanche), Sean Spicer, « qui affirmait il y a encore quelques jours encore que le sort d’Assad importait peu tant qu’il luttait contre Daech », « annonçait que le président Trump considérait désormais comme une ligne rouge non seulement l’utilisation d’armes chimiques, mais aussi les attaques aux bombes barils, d’usage quasi quotidien. »
Quant à Rex Tillerson, hier à Rome pour la rencontre des ministres des Affaires étrangères du G7, il serait « allé plus loin encore », en « (présentant) à ses homologues la position de la nouvelle administration américaine vis-à-vis de Moscou (…) selon le quotidien britannique The Guardian (…) il aurait déclaré qu’il allait présenter un ultimatum au Kremlin : Soit vous coupez vos liens avec Bachar al-Assad et vous bénéficierez d’un dégel des relations avec les Etats-Unis et donc, semble-t-il, d’un abandon de certaines sanctions ; Soit vous continuez à le soutenir et le leader syrien risque de connaître une fin à la libyenne. On se souvient que l’intervention militaire franco-britannique avait abouti au renversement puis à l’exécution du colonel Kadhafi.» On se souvient surtout et on constate quotidiennement que le renversement du régime en Libye comme celui de Saddam Hussein en Irak, Marine Le Pen le rappelait il y a peu, ont conduit à un épouvantable chaos meurtrier pour les populations civiles concernées, déstabilisé toute la région, entraîné l’explosion de la menace terroriste et des flux migratoires en direction de l’Europe…
Certes à trop vouloir peindre sous les traits les plus abominables la République arabe syrienne, certains responsables américains se prennent les pieds dans le tapis. c’est le cas de Sean Spicer cité plus haut. Il a déclaré lors d’un point-presse que «Pendant la Seconde guerre mondiale, on n’a pas utilisé d’armes chimiques. Une personne aussi abjecte qu’Hitler n’est même pas tombée aussi bas que d’utiliser des armes chimiques (…) Je sais qu’il les a apportées dans les centres d’Holocauste. Mais je parle de la façon dont Assad les a utilisées, quand il est allé dans les villes et les a lâchées sur des innocents, au milieu des villes…». Des propos qui ont déclenché la colère de Steven Goldstein, directeur du centre Anne Frank aux Etats-Unis: «Rien de moins que pendant la Pâque juive, Sean Spicer a nié l’Holocauste, la forme la plus répugnante de fake news possible, en niant qu’Hitler a gazé des millions de Juifs». Pas en reste, le chef des démocrates de la Chambre des représentants Nancy Pelosi, s’est engouffrée dans la brèche: « Le principal porte-parole de la Maison Blanche minimise l’horreur de l’Holocauste». «Sean Spicer doit être licencié, et le président doit immédiatement désavouer les propos de son porte-parole.»
Ce dernier s’est confondu en excuses, au cours d’un mea culpa public et médiatisé: «En toute franchise, j’ai fait par erreur un commentaire inapproprié et manquant de sensibilité au sujet de l’Holocauste et il n’y a aucune comparaison», «Je n’ai aucunement tenté de minimiser la nature terrible de l’Holocauste.». «Pour cela, je présente mes excuses. C’était une erreur de faire cela.» Une erreur qui brouille aussi le message qui était (?) celui du président américain car si Assad est pire qu’Hitler, faut-il en conclure que la lutte contre l’ennemi public numéro un, à savoir l’Etat Islamique, n’est plus la priorité des priorités?
Sur le site Polemia , le Général Dominique Delawarde ( ancien chef Situation-Renseignement-Guerre électronique à l’État-major interarmées de planification opérationnelle) voit dans le limogeage par Donald Trump, au lendemain de la frappe sur la Syrie du 6 avril, de son bras droit et ex-directeur de campagne Stephen Bannon, « celui qui a assuré sa victoire à l’élection présidentielle », le signe que « Trump rentre, au moins provisoirement, dans le rang du système et tente d’acheter la paix avec les médias US en faisant allégeance à l’AIPAC (American Israeli Public Affairs Committee) ». « Alignant leur attitude sur celle de l’état hébreu qui applaudit sans réserve à cette superbe (?) initiative de Trump, les médias US, l’AIPAC, les néoconservateurs et même les démocrates conduits par Hillary approuvent avec enthousiasme cette frappe. En fait, Trump vient d’appliquer le programme politique de Bush et celui de ses adversaires néocons démocrates qu’il avait tant critiqué. Trump profite de cette pause dans les attaques menées contre lui pour faire confirmer son candidat à la Cour suprême Neil Gorsuch par le Sénat, très réticent jusqu’alors ». Le général Delawarde en tire principalement comme conclusion, que « cette frappe US aux effets militaires quasi négligeables a été probablement réalisée pour des motifs de politique intérieure US. Il s’agissait pour Trump de tenter d’échapper au harcèlement politique et médiatique sur ses prétendus liens avec les Russes. Il a, au moins partiellement et temporairement, réussi son coup, en le complétant par le limogeage de son bras droit Stephen Bannon, probablement opposé aux frappes au sein du Conseil de sécurité national US ».
Le très clivant Thierry Meyssan indique de son côté que « la Bolivie a même mis en doute (devant l’ONU) l’existence de cette attaque (‘chimique imputée aux syriens loyalistes) qui n’est connue que par les Casques blancs, c’est-à-dire un groupe d’Al-Qaïda que le MI6 encadre pour les besoins de sa propagande. Au demeurant, tous les experts militaires soulignent que les gaz de combats doivent être dispersés par des tirs d’obus et jamais, absolument jamais, par des bombardements aériens .»
La grille de lecture de M. Meyssan sur l’attitude des Etats-Unis diffère (comme souvent) de celle de la plupart des observateurs. Il s’interroge sur la réalité du revirement de Trump : « si Washington a changé de politique, pourquoi donc le secrétaire d’État Rex Tillerson a-t-il, au contraire, confirmé son déplacement à Moscou ? Et pourquoi donc le président Xi Jinping, qui se trouvait être l’hôte de son homologue états-unien durant le bombardement de Chayrat, a-t-il réagi si mollement, alors que son pays a fait par 6 fois usage de son veto pour protéger la Syrie au Conseil de sécurité ? Au milieu de cet unanimisme oratoire et de ces incohérences factuelles, le conseiller adjoint du président Trump, Sebastian Gorka, multiplie les messages à contre sens. Il assure que la Maison-Blanche considère toujours le président el-Assad comme légitime et les jihadistes comme l’ennemi. Gorka est un ami très proche du général Michael T. Flynn qui avait conçu le plan de Trump contre les djihadistes en général et Daech en particulier.»
Bruno Gollnisch le rappelait il y a quelques jours dans un entretien accordé à RT l’invitant à réagir à cette frappe américaine, ce qui est en tout cas certain c’est qu’il n’est jamais bon de jouer avec des allumettes près d’un baril de poudre: « le bombardement des forces armées gouvernementales d’un Etat, hors de toute procédure internationale et sans enquête, cela me paraît être une réaction extrêmement rapide, brutale et susceptible de comporter du danger. » « Je vois qu’un certain nombre de gouvernements occidentaux s’alignent complètement sur la politique américaine. Je trouve que c’est une situation extrêmement dangereuse. On commémore le centenaire de la Première Guerre mondiale mais il ne faut pas oublier comment elle a commencé. La Russie a soutenu la Serbie, quand il y eu un attentat contre l’archiduc autrichien, puis l’Autriche et l’Allemagne sont entrées en guerre pour punir la Serbie. C’est comme cela que la guerre a éclaté. »
https://gollnisch.com/2017/04/12/situation-extremement-dangereuse/
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Quel sera le nouvel ordre? - tepa - Meta TV 2/3
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Quand Rothschild organise une levée de fonds pour Macron, la discrétion est demandée…
« Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Elysées. A cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet évènement. »
Ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de la banque Rothschild donne une idée de l’identité des « bienfaiteurs » du mouvement En Marche !
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Passé Present n°146 - Emission Spéciale Histoire du Libéralisme
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Le salon des islamistes de l’UOIF doit être interdit !
Ce rassemblement se tient depuis déjà 34 ans et a compté jusqu’à 170.000 visiteurs en 2013. Il s’agit de la réunion islamique la plus importante d’Europe…
Du 14 au 17 avril 2017 se tiendra, comme chaque année, le rassemblement annuel des musulmans de France (RAMF). L’événement est organisé par l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), faux nez des Frères musulmans dans notre pays. Ce mouvement est considéré comme terroriste par plusieurs pays, notamment l’Égypte (où il fut fondé en 1928), la Russie, mais aussi bientôt, peut-être, par les États-Unis selon le souhait exprimé par le président Trump. Voulant brouiller les pistes, l’UOIF s’est d’ailleurs renommée récemment en « Musulmans de France »…
Également connu comme le congrès du Bourget, ce rassemblement se tient depuis déjà 34 ans et a compté jusqu’à 170.000 visiteurs en 2013.
Il s’agit donc de la réunion islamique la plus importante d’Europe, ce qui n’est naturellement pas sans causer quelques débordements, souvent de la part des intervenants.
On a ainsi pu voir au cours des années divers invités être purement et simplement empêchés de pénétrer sur le territoire français. En 2012, par exemple, ce sont les prédicateurs Youssef al-Qaradawi – qui recommandait au mari de « battre légèrement [sa femme], avec ses mains, en prenant soin d’éviter le visage ou d’autres parties sensibles » – et Mahmoud al-Masri qui furent interdits de séjour suite à leurs écrits et prises de position.
L’UOIF regrettait alors ce qu’elle nommait pudiquement une « controverse ». Pourtant, cette année, trois individus du même calibre sont attendus : Nabil Ennasri, agent du Qatar et des Frères musulmans en France, qui avait déclaré que « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif, est parfaitement légitime pour le peuple syrien ».
Ahmed Jaballah, ancien président de l’UOIF, qui expliquait en 2005, dans un entretien accordé à L’Express, le plan de conquête de son organisation en des termes laissant peu de place au doute : « L’UOIF est une fusée à deux étages. Le premier étage est démocratique, le second mettra en orbite une société islamique. »
Moncef Zenati est membre du bureau national de l’UOIF et, ainsi que l’explique l’ex-Frère musulman Mohamed Louizi, prône à travers ses traductions des livres de Al-Qaradawy en français un « processus stratégique [qui] part d’abord et essentiellement de l’éducation de l’individu – d’où la priorité accordée aux « jeunes musulmans », entre autres. Ensuite de l’individu, il faut former le foyer musulman, puis le peuple musulman, puis atteindre le gouvernement islamiste, puis établir le califat, puis reconquérir l’Occident puis atteindre le Tamkine planétaire. »
Ce rassemblement sera, comme chaque année, le lieu de diffusion d’un islamisme toujours plus conquérant. À l’heure où tous les pays d’Europe sont endeuillés par le terrorisme islamique, les Identitaires réclament l’interdiction du RAMF et la dissolution de l’UOIF !
http://www.bvoltaire.fr/salon-islamistes-de-luoif-etre-interdit/