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  • Attentat au concert d’Ariana Grande à Manchester : 19 morts et 59 blessés

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    Il était 22 h 30 hier soir à Manchester (23 h 30, heure de Paris) quand une explosion s’est produite à la Manchester Arena à l’issue du concert de la chanteuse américaine Ariana Grande qui avait réuni 20 000 personnes. Selon le dernier bilan, l’attentat – car le caractère terroriste ne fait aucun doute – a fait 19 morts et au moins 59 blessés. Si l’identité des victimes n’a pas été communiquée, il est à craindre qu’il s’agisse principalement de très jeunes gens, adolescents voire enfants, qui constituent l’essentiel du public d’Ariana Grande.

    Selon les premières constatations, l’attentat a été commis au moyen d’un sac empli de TATP (triacetone triperoxide), l’explosif préféré des salopards de l’Etat islamique, auquel avait été adjoint des vis et boulons. « Des témoins ont raconté que des visages d’enfants se déchiraient lorsque l’explosion a eu lieu. »

    MAJ 8 h 10 : Le bilan provisoire vient d’être porté à 22 morts et plus de 60 blessés.

    https://fr.novopress.info/205902/attentat-au-concert-dariana-grande-a-manchester-19-morts-et-59-blesses/

  • Najat Vallaud-Belkacem réinvente l’eau tiède !

    Soyons indulgents : le français est une langue très compliquée.

    On savait l’ancien ministre de l’Éducation nationale un peu fâché avec l’orthographe. Qu’elle salue les « equipes » de la gendarmerie de Tulle pour leur « professionalisme », félicite le PSG d’avoir « fait rêvé notre jeunesse » ou méprise le « gros rouge qui tâche », il arrive plus souvent qu’à son tour à Mme Vallaud-Belkacem de dépasser allègrement les bornes autorisées par la réforme de 1990.

    Eh oui, malgré qu’on en ait, et n’en déplaise aux détracteurs de l’ex-locataire de la rue de Grenelle, cette réforme date bien de 1990. Aussi, à ceux qui prétendent la lui imputer, Mme Vallaud-Belkacem pourrait-elle rétorquer, tel l’innocent agneau de la fable : « Comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né[e] ?/ […] je tette encor ma mère. » Mais sans doute goûte-t-elle plus l’agneau en méchoui que le charme suranné des vers de La Fontaine. Pour répondre à Vanessa Burggraf, qui lui reprochait, sur le plateau d’« On n’est pas couché », d’avoir mené cette tristement fameuse réforme, elle a préféré s’esclaffer bêtement, d’un rire de gorge forcé, avant de crier à la « fake news ! »

    Mme Vallaud-Belkacem, visiblement, manie un peu mieux le franglais que la langue de Molière : « C’est incroyable, poursuit-elle, cela fait trois ans que je suis sujette à toutes les insanités de la Terre. » On se gratte la tête… On attrape le Larousse pour vérifier… Mais oui ! C’est bien cela ! Si l’on essaie de traduire ce français approximatif, la candidate aux législatives (donnée battue par un sondage IFOP-Fiducial pour le JDD et Sud Radio), est tout bonnement en train de dire qu’elle est « naturellement encline » à proférer toutes les âneries possibles. Ce n’est certes pas précisément un scoop mais, dans une bouche aussi arrogante, un tel aveu, même involontaire, fait rudement plaisir à entendre !

    Soyons toutefois indulgents : le français est une langue très compliquée. Ce n’est pas Jean-François Copé, qui n’entretient pourtant pas avec Najat Vallaud-Belkacem des relations franchement cordiales, qui lui jettera la première pierre. Lui-même n’avait-il pas écrit dans un tweet : « Ma mission c’est de tout faire pour que notre famille politique reconquérisse le cœur des Français aux prochaines élections » ? Les mathématiques aussi, il faut l’avouer, sont bien difficiles. Et si M. Copé excelle à multiplier les pains au chocolat à 15 centimes, Mme Vallaud-Belkacem, elle, n’a jamais fait mystère de ses difficultés dans cette discipline. À une époque où tant de politiques s’inventent de faux diplômes, on ne peut qu’être touché de cette franchise.

    Malheureusement, elle semble également assez hermétique à la physique, même la plus élémentaire. Selon L’Express, pour nous faire comprendre « que la stratégie d’Emmanuel Macron de placer des personnalités de gauche comme de droite dans le même gouvernement, ne peut fonctionner », elle aurait eu recours à cette étonnante analogie :

    « Ce n’est pas parce qu’on mélange de l’eau froide et de l’eau chaude que ça donne de l’eau tiède. »

    Quand on n’a pas inventé l’eau tiède, on peut toujours, pour donner l’illusion de brasser de grandes idées, essayer de la réinventer !

    http://www.bvoltaire.fr/najat-vallaud-belkacem-reinvente-leau-tiede/

  • La Manif pour Tous : la grande illusion ?

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    Billet de Patrice de Plunkett sur son blog :

    "Mme de La Rochère et les siens repartent en campagne à partir de cette semaine : Angers, Rennes, Tours, Toulouse, Montpellier, Bordeaux, Strasbourg, Lyon, Montélimar, Annecy... Cette série de réunions-débatsporte un titre amer : "Election, la grande illusion".  Diagnostic exact. Mais un peu tardif... Nous sommes quelques-uns à avoir tenté d'expliquer depuis deux ans : 1. que l'aventure de Sens Commun ne menait nulle part ; 2. qu'interpeller les candidats sur les questions "sociétales" - comme le firent Mme de La Rochère et ses amis avant la présidentielle - ne menait nulle part non plus. Cela pour deux raisons différentes, selon que l'on considère Sens Commun ou la MPT...

    Les leaders de SC se sont enlisés dans le politicien, avec une candeur pieuse et militaire qui les empêchait de voir ce qu'était un parti. Le parti a contaminé SC, qui dérapa vite de la noble théorie à la manœuvre de couloirs ; manœuvre qui fit un frustré (M. Poisson) et un agacé (M. Fillon) ; lequel ne promit rien à SC, mais en obtint l'hommage-lige sans contrepartie. On hésite à qualifier cet élan des candides vers un politicien... Mais on sait comment l'affaire a tourné : plombé dans l'opinion par son programme libéral extrémiste, piégé par des ténors de la droite (c'est d'eux qu'est venue l'affaire des "emplois fictifs"), coincé par les juges, M. Fillon en désarroi dut oublier son agacement pour accueillir l'élan - redoublé - de SC, qui lui organisa le Trocadéro. Puis ce fut le crash. On dit que les leaders de SC n'ont toujours pas compris qu'ils avaient perdu leur temps ; j'hésite à croire à une telle persistance dans la cécité.

    La MPT n'était pas dans le même cas. Son "illusion", si illusion il y eut, fut de croire qu'on pouvait interpeller les candidats à la présidentielle sur les questions anthropologiques, sociologiques et bioéthiques... On ne le pouvait pas : la règle du jeu l'interdisait ! Les principaux candidats n'avaient pas la tête à un tel excursus. L'idée ne leur serait pas venue de mettre en question le système économique qui s'est emparé de tout, y compris de l'intime des vies privées (voire des consciences), et qui produit des "avancées sociétales" allant toutes dans le même sens : la dissolution hyper-individualiste... L'extrême droite jugeait ces questions sans intérêt. L'extrême gauche ne voulait pas voir que les nouvelles mœurs sont un produit du néocapitalisme libéral. Et ce dernier allait s'annexer plus que jamais la classe politique dominante, centre-droit + centre-gauche...

    Deux ans d'illusions, politiciennes ou périphériques, se sont donc achevés par l'avortement que l'on sait. Un avortement fruit de l'aveuglement... Chérir les causes et déplorer les effets est un vice "libéral-conservateur" ; comme, à l'inverse, chérir les effets et déplorer les causes est un vice de la gauche bobo. Tant que ces "résistants" n'auront pas cessé, soit d'adorer le libéralisme (cause de ce qu'ils déplorent), soit d'adorer les effets sociétaux causés par le libéralisme qu'ils abhorrent, leur "résistance" sera du verbiage. Rien n'avancera tant qu'ils ne comprendront pas pourquoi la classe politique  - recomposée ou non -  a cessé d'être "politique", c'est-à-dire capable de débattre des fondements non-économiques de la société.

    ► Les persévérants de la MPT devraient étudier la conférence d'ouverture du dernier colloque d'Ichtus (octobre 2016). Matthieu Detchessahar - professeur d'économie - y analyse le phénomène de "dissociété" qui corrode les fondamentaux de la condition humaine. Ce phénomène, souligne-t-il, est produit par "la société de marché, fausse conception récurrente depuis trois siècles et revenue au galop depuis une trentaine d'années"Le monde humain est dévoré par l'expansion illimitée du marché dans tous les domaines : d'où la destruction des liens et des biens sociaux. D'où aussi, dit par exemple Detchessahar, "la promotion de comportements jadis répréhensibles" : effet direct de la pression économiciste ! Cette pression "recompose en profondeur les clivages politiques", explique-t-il (sept mois avant le succès de l'OPA Macron) : "elle mélange droite et gauche, libéralisme philosophico-moral et libéralisme économique, en un seul modèle indissociablement" ; sa logique est de "fonder le lien social sur les seuls liens économiques, au détriment de la conscience collective de la société", ce qui amène à "croire résoudre les problèmes en les diluant dans l'économique".

    Rompre tendanciellement avec la société de marché est un préalable à toute action collective digne de ce nom. La droite catholique en est loin. Il ne suffit pas de dénoncer en théorie la "marchandisation" avec les dernières MPT : encore faut-il ne pas se ruer ensuite - de façon schizoïde - chez M. Fillon, dont le programme ("le meilleur", disait oncle Charles-Henry) impliquait, précisément, la marchandisation de choses aussi fragiles et précieuses que la couverture santé ! (...)"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/05/la-manif-pour-tous-la-grande-illusion-.html

  • Cannes : Le festival de La bien-pensance - Journal du lundi 22 mai 2017

  • Accueil des clandestins en Europe et condition de la femme : une équation impossible

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Le Parisien du 18 mai nous livre un témoignage glaçant sur le quotidien cauchemardesque des femmes du XVIIIe arrondissement de Paris depuis l’installation des clandestins

    Le constat est sévère, tranchant, et figure le quotidien d’une France occupée par l’islam radical et les clandestins : insultes, harcèlement, viols, vols, trafics, bagarres, alcoolisme. En France, en plein cœur de Paris, dans le XVIIIe arrondissement, les femmes sont abandonnées à l’obscurantisme islamique et privées de leurs droits les plus élémentaires.

    Cela a commencé il y a plus d’un an, au moment où l’Union européenne, Angela Merkel en tête, décide de l’accueil des premiers flux d’envahisseurs africains

    Désormais, les femmes ne sont plus libres d’aller dans les cafés, les restaurants, les parcs, de se vêtir, de circuler dans les rues, ni même d’emprunter les trottoirs… Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles suite à des viols. Les femmes le savent, porter plainte ne sert à rien et même si la présence policière a été renforcée, elle est trop peu efficace pour assainir le quartier.

    La faute à la lâcheté de nos politiques, qui sont à genoux devant l’islam pour des raisons électoralistes

    On observe une absence de réaction des élus, trop soumis à Bruxelles et tétanisés par le politiquement correct. On constate également que ces clandestins, qui véhiculent un soubassement culturel et cultuel ont des mœurs incompatibles avec les nôtres. Pour eux la femme est un être inférieur, propriété d’un homme.

    Cependant, parce qu’ils sont riches et puissants, les oligarques mondiaux qui commandent cette invasion depuis leur tour d’ivoire, sont eux protégés de ce marasme. En 2017, l’Europe compte accueillir encore 3 millions d’immigrants économiques. Cela se fera au détriment de notre liberté, de notre culture, de notre civilisation. La situation du XVIIIe arrondissement de Paris pourrait bien être une projection de ce que sera la France dans les années à venir.

    https://fr.novopress.info/205894/accueil-des-clandestins-en-europe-et-condition-de-la-femme-une-equation-impossible/

  • Vous avez voulu Macron… et nous avons Macron

    Il est normalement une tradition, au conseil municipal d’Orléans, que chaque groupe puisse commenter le résultat d’une élection ; sauf pour la dernière.

    On peut supposer que le député-maire d’Orléans, Olivier Carré, du parti Les Républicains, peu fier de la prestation et des résultats de sa famille politique à la présidentielle, n’a pas eu envie de laisser les membres de son conseil s’exprimer, dérogeant ainsi à cette tradition d’expression démocratique et républicaine.

    N’ayant donc pas eu le loisir de m’exprimer au nom de mon groupe (élus non inscrits), voici ce qu’aurait pu être mon intervention au cours du dernier conseil municipal :

    Monsieur le Maire,

    Vous avez voulu M. Macron… et nous avons M. Macron.

    En 2014, l’invité aux fêtes de Jeanne d’Arc était l’animateur Stéphane Bern, soutien affiché de M. Macron. En 2015, c’était la journaliste Audrey Pulvar, soutien engagé de M. Macron, tellement engagé que la chaîne d’information l’employant l’a suspendue d’antenne pour (je cite) « avoir manqué à son devoir de réserve et de neutralité ».

    En 2016, vous invitiez M. Macron lui-même… lui permettant, ainsi, de lancer sa campagne à grand renfort de médias et, en 2017 – cerise sur le gâteau -, M. Borloo, autre soutien de M. Macron, qui finalement se désistait.

    Mais le mal était fait, le message était passé clairement auprès des Orléanais : votez Macron ! Et ils ont voté massivement Macron, le plaçant largement en tête au premier tour, loin devant votre candidat, M. Fillon. 

    Est-ce le fait du hasard ? Mais vous auriez souhaité favoriser l’élection de M. Macron que vous ne pouviez pas mieux vous y prendre.

    Lors du conseil municipal du 14 décembre 2015, conseil qui suivait les élections régionales, je vous avais personnellement demandé, à vous et à votre majorité, de changer urgemment de paradigme et de bien choisir votre candidat pour la présidentielle afin d’éviter à la France un deuxième quinquennat hollandien…

    Être de gauche, comme l’explique très bien Fabrice Luchini, « c’est un gros boulot, c’est un dépassement de soi. C’est une attitude, une présence à l’autre… Faut être exceptionnel, quand t’es de gauche ! »

    Depuis de nombreuses années, votre famille politique adorerait être de gauche, mais « c’est une vertu tellement élevée » qu’elle aurait dû faire comme M. Luchini : y renoncer !

    Au lieu de cela, elle s’acharne, depuis plusieurs décennies, à vouloir être de gauche, notamment sur les plans sociétal, identitaire, sécuritaire, judiciaire… sans oublier le piège de la primaire pour faire comme la gauche. C’en est désespérant et, une nouvelle fois, votre famille politique a porté la gauche vers la plus haute fonction, participant, ainsi, à faire régresser la France.

    C’est avec une immense tristesse pour la France que les élus non inscrits pensent que, d’ici quelque temps, Éric Zemmour pourrait bien avoir matière à écrire un nouveau livre dont le titre serait : Un quinquennat de plus pour rien.

    http://www.bvoltaire.fr/avez-voulu-macron-avons-macron/