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  • Non au prélèvement à la source : mesure à la fois liberticide, déresponsabilisante, coûteuse et inutile

    Avis_dimposition

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I-Média#162 : L’Imposteur BHL entarté par le Monde diplo

  • Les dernières statistiques prouvent-elles le Grand Remplacement ?

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    Tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés.

    Les bien-pensants nient avec véhémence que les immigrés venus d’autres continents remplacent progressivement les « autochtones » européens (j’utilise ce terme avec précaution, alors qu’il est employé sans aucune restriction pour les « progressistes « dès qu’il s’agit d’anciennes colonies). Le « Grand Remplacement » ne serait qu’un fantasme de la fachosphère, vaste conglomérat d’individus dont les avis sont immédiatement rejetés avec indignation par les partisans du « camp du bien », quelles que soient les preuves apportées.

    Pourtant, les chiffres sont têtus (et ne mentent pas) et même Libération, chantre de la pensée correcte, est obligé de les admettre en relayant une étude d’Eurostat, office statistique de l’Union européenne. Depuis deux ans, le nombre de décès égale celui des naissances dans l’Union européenne (autour de 5,1 millions). Par contre, 2 millions d’immigrés extra-européens sont venus s’installer dans notre continent en 2015, et 1,5 en 2016. Trois bébés pour un migrant !

    Et encore, ces chiffres officiels sous-estiment peut-être la réalité, du moins pour la France. Il n’y aurait chez nous, selon cette étude, que 65.900 arrivées alors que l’INSEE certifie qu’elles seraient 220.000, en y incluant les clandestins et les originaires de l’Union européenne. 

    Les bien-pensants, pour nous rassurer, mettent en avant que 35 % des arrivées sont des regroupements familiaux ; cela signifie qu’un migrant venu seul fera ensuite venir sa femme et ses enfants, voire ses parents ou ses frères et sœurs et, donc, que les deux millions d’immigrés de 2015 généreront, au final, plus de six millions d’entrants, plus que les naissances !

    L’autre grand contingent de ces nouveaux arrivés est formé de réfugiés, tandis que l’immigration « choisie » (personnes disposant d’un contrat de travail) représente moins de 10 % du total ; cela pose évidemment le grave problème de l’insertion dans le marché de l’emploi d’immigrés souvent sans qualifications. En Allemagne, seulement 42.000 réfugiés sur 1.500.000 auraient trouvé du travail. Les experts les plus pessimistes estiment que, dans vingt ans, 50 % seront toujours au chômage ; l’immigration serait donc un total non-sens économique. L’Union européenne pourra-t-elle supporter longtemps ce fardeau ?

    Une bonne partie des bébés européens ont des parents immigrés. En France, combien de nouveau-nés ont des aïeux originaires d’Afrique ou d’Asie. 20 % ? 35 % ? Difficile de le dire, car tous les fichages dits ethniques sont interdits par la loi. Même compter les prénoms est légalement dangereux. Mais au vu de ces chiffres, on peut avancer que, tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés. La première à basculer sera l’Allemagne. Et nous ? Quand viendra notre tour, s’il arrive ? En 2050 ? En 2100 ?

    Nier ce « Grand Remplacement » paraît absurde. Le problème est, à mon sens, le suivant : faut-il le craindre ? Simplement le déplorer ? Le trouver naturel, neutre et sans importance ? Ou faut-il carrément s’en réjouir et trouver que c’est une formidable occasion ? À chacun sa réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/dernieres-statistiques-prouvent-grand-remplacement/

  • Fin d’année cacophonique à l’Assemblée - Journal du vendredi 28 juillet

  • Le ministre du Travail aurait spéculé sur la suppression de 900 emplois dans le groupe Danone où elle dirigeait les ressources humaines

    Selon l'Humanité, Muriel Pénicaud, l'actuelle ministre du Travail, aurait réalisé en 2013 une importante plus-value boursière alors qu'elle était directrice générale des ressources humaines chez Danone, à la faveur de l'annonce de la suppression de 900 emplois, qui avait fait bondir le cours de l'action du groupe. Une pratique pas illégale mais jugée "scandaleuse" par les représentants syndicaux.

    Selon les comptes officiels de Danone, Muriel Pénicaud a choisi, le 30 avril de cette année, d'acquérir un lot de 55.120 actions pour 34,85 euros pièce, selon le principe des "stock-options" réservées aux dirigeants. Le prix de ces actions lui était garanti depuis quatre ans et avait été fixé en pleine crise financière, en 2009. La directrice a donc pu acquérir ses actions "bien en-dessous du cours de l'action ce jour-là", selon le quotidien, avant de les revendre "aussitôt pour l'essentiel, à 58,41 euros l'unité", réalisant au passage une plus-value d'environ 1,129 million d'euros.

    Les critiques résident dans l'explication du cours élevé auquel la ministre a pu revendre ses actions, après les avoir achetées à un prix très bas. L'annonce, quelques jours avant l'opération de Muriel Pénicaud, de la suppression de 900 emplois de cadres chez Danone - dont 230 en France - avait en effet fait bondir le cours de l'action du groupe.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Valse d’incompétence des députés macronistes qui votent contre leur propre proposition sans rien y comprendre

    La quantité d’incompétents propulsés à l’Assemblée Nationale grâce à l’effet Macron entretient de jour en jour les sujets de plaisanterie.

    Les débats à l’Assemblée nationale ressemblent à une foire sans nom et les présidents de séance alternent, plus incapables les uns que les autres, malgré le souffleur qui reste collé à leur oreille.

    Sommet du ridicule : la majorité LREM suivant le déroulé des votes des articles et des amendements sans en comprendre la différence, a voté contre un article validé par ses représentants en commission.

  • Au travail!

    Les dirigeants du Front National se sont retrouvés samedi et dimanche derniers à Nanterre  en séminaire à huis-clos. Une des réunions qui jalonneront, jusqu’au congrès prévu en février 2018, les travaux de réflexions et d’analyses auxquels seront associés les adhérents, afin de tirer tous les enseignements de la séquence électorale qui vient de s’achever, des bouleversements observés dans toutes les familles politiques, et bien sûr de rendre plus performant notre Mouvement. Un processus de clarification et d’affinement de nos positionnements, de notre programme, de notre mode de fonctionnement qui a permis notamment  à Bruno Gollnisch de faire entendre ses souhaits, ses vœux, les orientations qu’il juge bénéfique pour l’avenir de l’opposition nationale, populaire et sociale. N’ayant pas pour habitude d’alimenter les médias de propos off,  de divulguer  la teneur de débats qui dans cette phase préparatoire ont vocation à rester internes, Bruno s’est contenté d’esquisser quelques réflexions devant la presse qu’il aura l’occasion de présenter plus avant au moment opportun,  dans les mois qui viennent.

    Bruno Gollnisch  s’est d’ores et déjà réjoui de la bonne tenue et ambiance  de cette réflexion collective  – « il n’y a pas eu de sang versé sur les murs, en tout cas pas de mise en cause personnelle »- et a précisé que s’il était légitime que «(Florian Philippot)  n’impose pas tout à une maison plus vieille que lui et dont il est un hôte récent », « il  aurait tort de quitter le FN,  c’est un garçon intelligent et sincèrement patriote ». Bruno Gollnisch s’est donc félicité de la diversité des sensibilités, des approches qui s’est de nouveau manifestée lors de ce séminaire,  diversité qui est une vraie richesse à partir du moment ou le but, le bien commun visé est partagé par tous. « On ne sort pas du séminaire clonés les uns aux autres, mais nous sommes en phase sur l’essentiel,  la souveraineté de la France ». Une souveraineté qui passe aussi par  la sauvegarde de notre identité, de nos libertés, des valeurs constitutives de notre civilisation.

    Bruno Gollnisch a donc simplement réitéré aux journalistes qui l’ont interrogé en marge de ce séminaire son  constat selon lequel « l’une de nos priorités c’est l’accueil de la vie et pas de chanter les louanges de l’avortement »,  mais aussi qu’il  « ne (pense)  pas que nous fassions peur sur les questions de l’immigrationJean-Marie Le Pen n’a jamais dit qu’il s’en prenait à la personne de l’immigré. Et même dans nos rangs, nous avons des filles et des fils d’immigrés ». La question  du changement de nom du Front National est aussi sur la table.  « C’est un nom tout à fait honorable a-t-il jugé,  il traduit quantité de sacrifices, de résistance à des persécutions, je ne vois pas en quoi un nouveau empêcherait la diabolisation ».

    Autre thème évoqué, et non des moindres, celui de l’euro. « Cette monnaie a certes trahi ses promesses, notamment celle d’être un obstacle à la hausse des prix, mais il faut adopter une communication moins anxiogène » a proposé Bruno Gollnisch. En politique, c’est ainsi, il n’est pas toujours évident (et électoralement payant) d’avoir raison, de voir juste  avant tout le monde;  a fortiori quand la propagande officielle matraque sur tous les modes et sur tous les canaux que la sortie de l’euro signerait une apocalypse économique. D’autant que pour prendre une autre question sur laquelle le FN a été furieusement  diabolisé, à savoir l’immigration,  les inconvénients majeurs générés par son caractère massif  sont perceptibles de manière beaucoup moins abstraite, de façon autrement plus  évidente  et sensible par l’ensemble de  nos compatriotes.

    Aussi, a-t-il suggéré, fort de l’adage gouverner c’est prévoir, une approche tactique différente consistant pour le Front National  à proposer  « un plan B de sortie de crise que l’on pourra dégainer quand cette monnaie mourra de sa belle mort, car comme l’a dit le prix Nobel Maurice Allais, comme le disent aujourd’hui de nombreux  économistes de renom dont les analyses ne sont jamais ou très peu relayées dans les médias français,  l’euro  n’est pas viable à terme ».

    De manière plus générale, le député frontiste entend rappeler aussi que contrairement à ce que l’on  peut lire ou entendre de la part de commentateurs qui n’ont pas travaillé le sujet dont il parle ou, ce qui n’est pas mieux, mentent délibérément, le FN a toujours nourri une réflexion et des propositions sur des sujets et des thèmes qui n’étaient pas réductibles aux questions de l’immigration et de l’insécurité.   Quand bien même ces deux questions-préoccupations là  sont en effet très structurantes du vote en faveur du Front National.

    A titre indicatif,  le dernier programme étoffé  publié  par le  FN en 2001  - il y a eu bien évidemment depuis des projets présidentiels portés par les candidats Jean-Marie Le Pen puis Marine - couvrait pleinement  le  champ des  questions civilisationnelles,  sociales,  économiques, fiscales, entrepreneuriales,  environnementales, européennes, les thématiques  de l’agriculture, de la famille, de la justice, de la Défense etc. Ainsi sur les 433 pages dudit programme, le chapitre immigration comportait seulement 30 pages ,  et celui sur la sécurité (hors défense nationale mais incluant la justice) 22 pages.  Un petit travail de mémoire est toujours nécessaire…

    Mémoire qui permet aussi de se souvenir que c’est en août 2012 que débuta pour  François Hollande l’inexorable érosion de sa cote de popularité, qui s’établissait à 50% de bonnes intentions à la rentrée de cette même année. Après le calamiteux épisode de l’humiliation du général de Villiers contraint à la démission sur fond de promesses budgétaires trahies pour nos armées,  manifestation éclairante du caractère du chef de l’Etat selon le  général Tauzin  ; alors que la rentrée promet d’être compliquée pour l’exécutif – levée de boucliers contre la loi travail,  l’augmentation de la CSG, la baisse de l’APL, la poursuite de l’immigration massive... - la chute d’Emmanuel Macron dans les sondages apparaît très brutale.

    Selon l’enquête Ifop pour le JDD, le président de la république a d’ores et déjà perdu dix points de popularité ce dernier mois ( 54% de satisfaits), le pourcentage des Français  mécontents bondissant  de 33% à 43%, chute touchant aussi  le  Premier ministre LR  Edouard Philippe (de 64% à 56% de satisfaits.) Les observateurs rappellent à cette occasion que M. Macron est avec Jacques Chirac (en 1995) le chef d’Etat qui enregistre la plus forte dégringolade dans l’opinion  deux mois après son arrivée à l’Elysée.

    Nous sommes bien placés pour le savoir, la roue tourne très vite en politique.  Les espoirs,  du moins chez ceux de nos compatriotes, minoritaires, qui ont glissé dans l’urne un bulletin Macron et LREM en mai et juin derniers,  générés par le renouveau, la synthèse macroniste pourraient s’éteindre avec la même rapidité qu’ils sont apparus. Encore une fois, le choc du réel, le principe de réalité s’impose toujours à tous, d’autant que l’idéologie portée par Emmanuel Macron et ses soutiens politiques, médiatico-financiers, philosophiques, et ce n’est pas là un des moindres paradoxes de cette année électorale, est rejetée plutôt nettement par les Français.

    Quant à l’opposition républicaine au gouvernement,  ses trahisons en cascade, ses ambiguïtés (à tout le moins) laissent le champ libre au Mouvement national pour apparaître, plus que jamais comme une alternative sérieuse, crédible au Système, pour peu  que nous sachions  être pleinement audibles sur nos thématiques,  communiquer, argumenter intelligemment.

    Alain de Benoist l’indiquait en creux dans un récent entretien, « L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron dit-il, qui symbolise la réunification du libéralisme sociétal de gauche et du libéralisme économique de droite, pourrait en principe favoriser une clarification en faisant comprendre une fois pour toutes que le libéralisme est intrinsèquement  progressiste  et non pas conservateur (…) . C’est ce qu’explique très bien Guillaume Bernard : La combinaison du libéralisme et du conservatisme peut, de prime abord, apparaître séduisante : le libéralisme pour l’économie, le conservatisme pour la société. Mais c’est méconnaître la doctrine libérale, qui s’appuie sur l’individualisme et le subjectivisme. C’est en soi et par soi que chacun détermine son bien. Il n’existe pas de valeur objective, mais uniquement des consensus issus de la rencontre de volontés. Le libéralisme porte en lui la destruction des traditions sociales, alors qu’il n’est nullement nécessaire de s’y adonner pour combattre la spoliation fiscale des familles et des entreprises. C’est ce qu’il faudrait comprendre si l’on veut gagner la bataille des idées. Les Républicains, eux, se veulent les représentants de la droite et du centre. Encore un oxymore !». Bataille des idées qu’il s’agit de gagner en ce qu’elle  précède en toute logique la victoire dans les urnes. Au travail!

  • Macron: faux libéral, vrai autoritaire

    Macron s’est complu dans ses premières déclarations publiques, comme son discours au Congrès de Versailles, à dénoncer les « démocraties illibérales ». Mais respecte-t-il lui-même le libéralisme?

    Il avait suffi qu’il débute sa campagne présidentielle avec une réputation de libéral pour prendre plusieurs longueurs d’avance sur ses concurrents: il a ainsi d’emblée conquis 10 % de voix de droite sans beaucoup perdre sur sa gauche grâce à ses connivences libertaires.

    Quelques faux-semblants

    D’être issu de l’aile droite du Parti socialiste n’aurait pas suffi. La loi Macron de 2015 avait pour but d’ancrer cette réputation libérale, notamment auprès du patronat. Les réticences qu’elle a rencontrées au parti socialiste – au point de nécessiter le passage en force par le 49-3, n’ont fait que conforter l’image du jeune ministre.

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