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  • « Cette France de gauche qui vote FN » de Pascal Perrineau [rediffusion]

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    Par Carl Hubert, essayiste ♦ Le politologue Pascal Perrineau a publié début juin un livre intitulé Cette France de gauche qui vote FN : une suite actualisée à la théorie du gaucho-lepénisme défendue depuis 1995 par le professeur à Sciences Po.

    couv-france-de-gauche-fn-le-seuil-205x300.jpgLe professeur Perrineau revient, avec force chiffres, sur ce phénomène incontestable : des électeurs de gauche, qui se revendiquent parfois expressément comme de gauche, votent FN.

    En termes de flux, Pascal Perrineau estime qu’un tiers du surcroît d’électeurs de Marine Le Pen entre 2012 et 2017 (soit un peu plus de 400.000 électeurs) viendrait de la gauche. La porosité des électorats de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon n’est d’ailleurs pas nulle : d’après la dernière enquête du Cevipof avant le 1er tour (16-17 avril), 28% des électeurs de Marine Le Pen susceptibles de changer d’avis (soit 4,5% de ses électeurs au total) donnaient Jean-Luc Mélenchon en second choix, tandis que symétriquement 11% des électeurs de ce dernier susceptibles de changer d’avis (soit 7,7% de ses électeurs) donnaient Marine Le Pen en second choix.

    En termes de stock, ce sont cependant seulement 6% des électeurs de Marine Le Pen en avril dernier (soit environ 460.000 électeurs) qui se disaient « plutôt de gauche » (même enquête du Cevipof des 16-17 avril). Ce qui signifie que ce phénomène du frontisme de gauche est clairement minoritaire – ou tout du moins que les anciens électeurs de gauche ayant rejoint le FN ont coupé les amarres avec leur ancienne famille politique, convertie à la ligne Terra Nova de la gauche mondialiste et libéralo-libertaire.

    Si le FN a pour partie remplacé la gauche dans l’électorat populaire, il n’est pas pour autant un parti de gauche

    Pascal Perrineau le rappelle explicitement : sa thèse n’est ni que le gaucho-lepénisme est majoritaire au FN ni que ce dernier est devenu un parti de gauche. En revanche, il estime que la dynamique du Front national depuis 2012 est à mettre au crédit d’une inflexion politique plus ouverte à gauche, à savoir la ligne Marine Le Pen/Philippot, qui a permis le ralliement d’électeurs issus de la gauche. A cet égard, le 1er tour des législatives a confirmé que, dans les Hauts de France, le FN a pour partie remplacé le PCF et le PS dans l’électorat populaire.

    Perrineau décrit là un phénomène réel de déplacement à gauche du centre de gravité du parti frontiste. Mais son analyse est celle d’un politologue et non d’un stratège politique. D’une part – et il en convient –, ces électeurs de gauche ne sont pas seulement venus au FN pour son discours social mais aussi pour son discours sur l’immigration, la gauche ayant rompu avec le patriotisme. D’autre part, ce que Marine Le Pen a gagné d’un côté – cet électorat issu de la gauche –, elle l’a reperdu de l’autre côté : c’est cet électorat bourgeois ou même de classes moyennes, ou tout simplement âgé, qui se détourne du FN, comme on l’a observé lors de l’élection présidentielle.

    Ce positionnement ni droite ni gauche condamne le FN à l’isolement politique et donc à l’éternel échec

    Le second tour de la présidentielle l’a montré avec fracas. L’électorat de gauche a très peu voté Marine Le Pen : environ 10% des électeurs de Mélenchon, 2% de ceux de Hamon. L’électorat de centre-droit offrait davantage de réserves de voix. Environ 20% des électeurs de Fillon se sont d’ailleurs in fine reportés sur la candidate « patriote », un tiers de ceux de Dupont-Aignan – bien moins que ce que promettaient les sondages avant la campagne de 2nd tour (environ 30% et 45% respectivement). Mais cet électorat de centre-droit a été dissuadé par le discours gauchisant de Marine Le Pen. Or, sans lui, aucune majorité électorale n’est possible.

    Pour expliquer l’échec de Marine Le Pen au second tour, Pascal Perrineau préfère quant à lui pointer son manque de « gouvernementalité », que le débat du 2nd tour a mis en lumière, lui faisant perdre 6 points dans les urnes. Ce reproche est fondé. Mais pour faire preuve de « gouvernementalité », il faut aussi rompre avec le discours de classe hostile aux catégories socioprofessionnelles aisées, qui condamne à l’opposition démagogique. Et pour réussir le 1er et le 2nd tour d’une élection majeure, il faut être crédible auprès de l’électorat actuel et potentiel du FN, en répondant d’abord à ses préoccupations au lieu de répondre à celles d’autres électorats.

    Carl Hubert 17/06/2017

    Pascal Perrineau, Cette France de gauche qui vote FN, Le Seuil, 1er juin 2017

    https://www.polemia.com/cette-france-de-gauche-qui-vote-fn-de-pascal-perrineau/

  • Stratégie des "migrants" : après les hommes fuyant soi-disant leur pays en guerre, les femmes exigent le regroupement familial

     : Elles exigent le regroupement familial en Allemagne 
    Effet Kiss cool de la deuxième vague

    Lahire

  • Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !

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    Quelles que soient les objurgations morales, les prétentions éthiques, qui surabondent, il était prévisible que face à ce qui est bien une invasion migratoire massive de l'Europe, l'emploi de la force - donc de la force armée - finirait, un jour ou l'autre, par s'imposer.

    Bien entendu, on ne tirerait pas sur les migrants mais l'on chargerait les militaires et les marins de détruire les embarcations destinées à les transporter, de neutraliser les passeurs ; et même de se confronter aux associations de bonnes âmes qui n'ayant de charité que pour l'étranger quel qu'il soit et point du tout pour les populations européennes malheureuses de ne plus se sentir chez elles, d'y perdre leur identité, prêtent assistance à la transhumance migratoire et à ceux qui se sont organisés pour en faire un très lucratif commerce.

    Il devait donc arriver un jour où les choses seraient devenues si graves, si massives et si intenables que l'on devrait y mettre un terme par la force. Il est possible que ce jour soit arrivé. Ou très prêt d'être arrivé.

    C'est ce dont témoigne la réaction italienne en Méditerranée où c'est par la force que les marins italiens refoulent les embarcations des migrants quittant les côtes libyennes; par la force aussi qu'ils bloquent les navires des ONG qui sont en mer pour - en fait - sécuriser et favoriser les passages. Tel le sulfureux Aquarius français ou le l'allemand Juventa. Quant à lui, Médecins Sans Frontières n'est pas seulement en action  pour soigner des malades parmi des populations lointaines mais, en l'occurrence, par idéologie, pour prêter la main aux migrations africaines et orientales vers l'Europe.

    Seulement, l'Italie est à bout. Migrants et ONG sont désormais considérés et traités pour ce qu'ils sont. Des adversaires, des envahisseurs et leurs complices.

    Il y a tout lieu de penser que cette évolution de l'attitude des Européens face à cette invasion tendra graduellement à s'amplifier.

    L'Italie montre la voie parce qu'elle est en première ligne, qu'il y a plusieurs années maintenant qu'elle est saturée d'arrivées massives de migrants, et qu'elle n'en veut plus.

    Le dernier recours, en pareille extrémité, est toujours la force; la force armée. L'Italie s'est décidée à y recourir. Elle ne fait que montrer la voie à l'Europe et l'on ne peut que l'en féliciter. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Vaccins : la collusion entre le gouvernement et Sanofi

    L’affaire incroyable des onze vaccins qui vont être imposés aux enfants de moins de deux ans posait une simple question. Pourquoi infliger une quantité pareille de  vaccins alors que 18 pays d’Europe laissaient leurs citoyens libres de se faire vacciner. On ne pouvait que déduire une collusion entre l’État et le laboratoire Sanofi qui déjà avait fait ses choux très gras avec l’Hexavax.

    Le site Neo-Nutrition nous offre la réponse sur un plateau avec photo à l’appui. On savait que la ministre de la Santé Agnès Buzyn a travaillé pour les labos et que son mari a des responsabilités dans le monde de la recherche. Mais le 20 juillet c’est le Premier ministre lui-même qui a rencontré en douce Serge Weinberg, directeur général de Sanofi qui synthétise les vaccins. Ce personnage a rencontré Macron quand ce dernier était à la banque Rothschild.

    De plus  Serge Weinberg et Emmanuel Macron se connaissent bien, puisqu’ils ont tous deux participé à la Commission pour la libération de la croissance française (dite Commission ATTALI, qui a rendu son rapport en janvier 2008), l’un en tant que membre, l’autre en tant que rapporteur.

    Ce n’est un secret pour personne que Serge Weinberg a aidé puissamment Macron durant sa campagne électorale. Celui-ci lui « renvoie l’ascenseur » avec les profits incroyables que Sanofi va faire avec les onze vaccins.

    Il a donc envoyé son premier ministre probablement pour discuter les prix. Ceci en dehors de l’agenda officiel.

    Le gouvernement va donc faire des dépenses inouïes pour ces vaccins alors qu’on ne cesse de ressasser le principe de précaution.

    Il faudra dons se mobiliser massivement au nom de ce principe.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/vaccins-la-collusion-entre-le-gouvernement-et-sanofi/77972/

  • L'Italie ose montrer la vérité sur l'arrivée des "migrants"

  • La Wallonie enfin débarrassée du Parti socialiste

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    En février 1988, après un intermède libéral–chrétien démocrate de trois petites années, le Parti socialiste revient au pouvoir en Wallonie. Il ne le lâchera plus pendant vingt-neuf ans, soit le temps d’une génération sacrifiée, au cours de laquelle les rouges ont patiemment tissé leur toile.

    Dans le sud de la Belgique autrefois prospère, tout s’est coloré de rouge et rien, absolument rien, n’a échappé à l’emprise du PS, à commencer par des médias inféodés aux empereurs successifs : hier, Guy Spitaels ; aujourd’hui, un Elio Di Rupo politiquement finissant ; et demain, pensait-on, Paul Magnette.

    Forcément, selon la formule de Lord Acton trop ressassée pour encore surprendre, si « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument ». Bien des affaires plus tard – dont la plus médiatisée fut le scandale de corruption Agusta-Dassault dans les années nonante -, le Parti socialiste est aujourd’hui évincé.

    Par crainte de subir un revers électoral majeur à la suite de nouvelles affaires de malgouvernance (rémunérations astronomiques pour prestations inexistantes ou faibles chez Publifin et scandale au Samusocial de Bruxelles), le Centre démocrate humaniste, partenaire de majorité préféré de l’ogre socialiste, a décidé de « retirer la prise ». 

    Le renvoi du Parti socialiste dans l’opposition en Wallonie est un séisme majeur, tant la formation politique et la région ont semblé indissociables dans l’inconscient collectif, tant la politisation de l’administration est devenue une image d’Épinal, tant les discours pontifiants sur un prétendu redressement ont fini par endormir l’électorat.

    C’est pourtant aujourd’hui que commence le travail de redressement. Les chantiers sont multiples : il faudra à la fois redonner le goût d’entreprendre, en finir avec l’assistanat, supprimer les trucs, bidules et machins (ou unités d’administration publique) créés pour caser et recaser les camarades, mettre fin aux gaspillages (des compétences comme l’immigration ou la lutte contre le terrorisme ressortissant au niveau fédéral, où le PS avait déjà été évincé en 2014).

    Il serait pourtant illusoire de se réjouir trop vite. Non seulement le Mouvement réformateur qui a pris place dans l’embarcation gouvernementale n’a (presque) plus rien d’un parti de droite, mais, surtout, le Parti du travail de Belgique (qui ferait presque passer Mélenchon pour un sympathique centriste) est devenu le premier parti dans les sondages et pourrait confirmer sa bonne forme en 2019.

     Conseiller politique Son blog
  • « Maire de Limoux complice du grand remplacement » (Civitas)

    collage-civitas-limoux-avortement-clandestins-100x75.jpgLimoux : « Maire de Limoux complice du grand remplacement » (Civitas)

    Les militants patriotes ont collé dans toute la ville en réaction à la transformation du parking de l’hôpital local en place « Simone Veil ». Ils se sont également opposés à la poursuite de la politique migratoire que le maire impose depuis des années, alors même que des millions de Français sont à la rue (et Limoux n’est pas épargné) ou en situation de réelle difficulté comme dans le milieu agricole. En 2015 le maire expliquait à la télévision française et aux médias locaux qu’il était désireux d’accueillir dans sa ville des « réfugiés médecins » syriens ou irakiens. Quelques années plus tard, combien de clandestins syriens sont devenus médecins à Limoux ?

    Parmi les slogans affichés, nous pouvons lire : « Simone Veil la voie de Garage » ou encore « Avortement + Immigration = le Grand Remplacement ». Les affiches font d’ailleurs le lien entre avortements (environ 250 000 par an) et immigration (environ 240 000 entrées légales par an).     

    Source : http://autan-reinfo.com/2017/08/04/limoux-civitas-lutte-contre-lavortement-et-linvasion-migratoire/

    http://www.medias-presse.info/maire-de-limoux-complice-du-grand-remplacement-civitas/78313/