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Manifestation « Face aux islamistes : Défendons l’Europe ! » à Paris le 25 novembre
Ces dernières années, l’Europe a été régulièrement frappée par des attentats commis au nom de l’islam. Les islamistes ont déclaré la guerre à notre civilisation et leurs cibles sont notre peuple, notre mode de vie. Le temps n’est plus aux mots ni aux bougies. Nous devons réagir, manifester notre colère et surtout montrer notre détermination à ceux qui pensent pouvoir nous terroriser et nous intimider.
Samedi 25 novembre, deux ans après les attentats du Bataclan, Génération identitaire organise une grande manifestation à Paris.
Des bus seront organisés au départ des grandes villes de France.
Face aux islamistes, défendons l’Europe !
Plus d’informations seront disponibles sur l’événement Facebook.
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LR et FN ne peuvent pas gagner seuls. La preuve par Julien Aubert
Hervé de Lépinau, Conseiller départemental Front National de Vaucluse, conseiller municipal de Carpentras, déclare sur Boulevard Voltaire à propos de Julien Aubert :
"Je juge un homme politique avant tout par ses actes. En 2014, Julien Aubert a démontré rigoureusement le contraire de l’esprit d’union des droites qu’il pourrait, dans une certaine mesure, professer. Il était tête de liste aux élections municipales pour Les Républicains et le centre. J’étais tête de liste Front national. Je suis arrivé en 2e position derrière l’union des gauches, à tout juste deux points avec plus de 30 %. Julien Aubert était loin derrière, à 16 %. Le bon sens aurait voulu qu’il se désistât ; il ne l’a pas fait. Moralité : nous avons aujourd’hui un exécutif socialo-écolo-ethno-communiste minoritaire en voix, mais qui a pu passer dans le cadre d’une triangulaire, grâce à Julien Aubert."
Aux dernières nouvelles, Julien Aubert n'a pas recueilli suffisamment de parrainages pour se présenter à la présidence LR.
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Le Qatar en passe de prendre la tête de l’Unesco
http://lafautearousseau.hautetfort.com/ -
Zoom - Alain de Peretti : Le Coq français pour résister au halal
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Marion, l’épée de Damoclès sur la tête de Marine. Front National ou Union Nationale ?
Raoul Fougax ♦
On ne sait rien sur la réflexion de Marion Maréchal-Le Pen par rapport aux dernières évolutions du Front National.
Même sa tante, surtout sa tante, n’en sait rien. Elle ne peut pas s’opposer à un éventuel retour dont elle a cependant tout à craindre. Le vrai problème de Marine Le Pen, ce n’est pas le départ de Philippot, ce serait le retour de Marion.
Marine Le Pen se remet péniblement d’un raté non prévu. Le débat lui est régulièrement renvoyé par des médias hostiles comme la preuve qu’elle ne sera jamais à la hauteur. A france-info, un des piliers du parti décrit une candidate « groggy », encore sous le choc de son échec, « en roue libre ». « Elle se cherche et n’a pas encore une idée de la ligne qu’il faut adopter », précise-t-il anonymement.
L’occasion ratée a fortement démoralisé un électorat impatient qui sait que le temps joue contre leur France. Le temps perdu ne se rattrape jamais au regard de l’immigration et de l’islamisation, c’est cela le préjudice causé par Marine, le plus grave. Mais la présidente du FN sait bien qu’un échec ne marque pas définitivement la fin de l’espérance présidentielle…. Sinon ni Mitterrand ni Chirac n’auraient jamais été élus. Il faut donc relativiser.
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Drapeau européen à l’Assemblée : pour Marine Le Pen, « Macron agit en valet de l’UE »
Emmanuel Macron a donc annoncé hier qu’il souhaitait officiellement reconnaître le drapeau européen au prochain sommet de l’Union européenne afin qu’il ne puisse plus être « enlevé de l’hémicycle » de l’Assemblée nationale. Une réponse à la polémique lancée par la France Insoumise au sujet de la présence de ce drapeau au côté de celui tricolore au sein de l’Assemblée nationale.
Plusieurs députés comme Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan ont déjà fait part de leur opposition à la présence du drapeau de l’UE dans l’hémicycle de l’Assemblée. La présidente du Front national a ainsi tweeté le message suivant :
La reconnaissance officielle du drapeau européen est le dernier clou sur le cercueil du « Non » de 2005. #Macron agit en valet de l’UE !
De son côté, pour Nicolas Dupont-Aignan, « vouloir reconnaître ce drapeau » revient à « tuer la liberté du peuple français de choisir son destin, puisqu’il n’y a aucune démocratie au niveau européen ». Tout en ajoutant : « C’est un véritable coup d’État symbolique. C’est la fin de la démocratie nationale. »
Pour Nicolas Dupont-Aignan, il est nécessaire d’organiser un référendum sur cette question : Seul le peuple peut défaire ce qu’il a tranché.
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#QuaiDeValmy Vitrines brisées, poubelles renversées: la tension ne risque pas de redescendre
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Gard : la naturalisation refusée après 25 ans de vie sur le territoire à … une mère de famille allemande
Résidant en France depuis 25 ans, fonctionnaire territoriale stagiaire, on lui refuse la nationalité française. Antje Wichmann est Allemande, en couple avec un Français, et son fils est franco-allemand.
Par choix personnel, elle a souhaité acquérir la nationalité française après avoir pris connaissance d’un accord franco-allemand facilitant les naturalisations entre les deux pays et dont a bénéficié l'ignoble Daniel Cohn-Bendit.
Son désarroi interpelle, car qui peut alors prétendre acquérir la nationalité française si des candidatures comme la sienne sont rejetées ? Sachant que des extra-européens parlant à peine notre langue et ne démontrant aucun signe d'assimilation sont naturalisés par dizaines de milliers alors qu'ils ne résident que depuis quelques années en France...
Source Thomas Joly cliquez ici
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Djihadistes à Fresnes : l’attentat stoppé in extremis, par Caroline Parmentier
Un converti de 22 ans qui devait sortir de prison mardi et un Camerounais de 28 ans ont été stoppés in extremis par l’anti-terrorisme, alors qu’ils projetaient un attentat islamiste depuis la prison de Fresnes où ils étaient incarcérés. Ils ciblaient entre autres des policiers et des surveillants de prison qu’ils ont dû tout particulièrement rêver d’égorger jour après jour.
On savait déjà qu’ils avaient des portables, qu’ils étaient connectés avec l’extérieur, qu’ils circulaient parfois librement dans les couloirs, qu’ils pouvaient se faire la belle à un rythme effréné lors de balades à vélo, on apprend maintenant que les détenus radicalisés ont le loisir de monter en prison des « groupes de combattants » de l’Etat islamique en vue de passer à l’acte dès leur prochaine sortie !
Les deux djihadistes étaient connus pour leur radicalisation en prison et incarcérés pour des faits de droit commun. Le meneur camerounais, lié à un tueur de l’EI en Syrie, était suivi depuis fin 2016 par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il a confirmé aux enquêteurs qu’il comptait bien commettre un attentat et qu’il était un disciple de l’Etat islamique.
Il y a deux ans, lors d’un parloir, les surveillants de Fresnes avaient trouvé sur lui des clés USB contenant des journaux et des vidéos de propagande djihadiste faisant l’apologie des crimes de l’EI. Il avait alors été placé quelques mois à l’isolement, puis remis en détention classique (aucune autre solution n’est prévue dans ce cas-là) parce qu’il n’avait plus manifesté de prosélytisme qu’il continuait bien évidemment de pratiquer « en lousdé » et qui a abouti à l’embrigadement du détenu français de 22 ans. Condamné à quatre ans pour braquage et tentative de meurtre, ce dernier devait sortir de détention mardi et commettre un attentat préparé et téléguidé depuis la prison. La DGSI a été alertée par des écoutes incidentes sur la remontée de filières djihadistes. Un téléphone a été retrouvé dans la cellule des radicalisés.
Dans les établissements de région parisienne, où sont concentrés les 250 à 300 profils terroristes islamistes les plus dangereux, « les détenus radicaux ne font que ça toute la journée : échafauder des plans » décrit un cadre de l’administration pénitentiaire au Figaro. En 2016, la tentative d’égorgement d’un surveillant d’Osny au sein de la vitrine des expérimentations de déradicalisation françaises avait arrêté net le beau projet. Depuis, le gouvernement n’a aucune solution et n’a pris aucune mesure. Ce sont des centaines de radicalisés nourris, logés, réchauffés et entretenus par nos soins et nos impôts qui menacent de sortir à plus ou moins long terme et de massacrer d’autres Mauranne et Laura.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 12 octobre 2017