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  • Catalogne : soirée des dupes pour les indépendantistes

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    Jean Bonnevey ♦

    Carles Puigdemont s’est dérobé devant l’obstacle. Il a cédé à la pression. Il se retrouve entre l’enclume et le marteau. Pour les indépendantistes les plus radicaux, il s’est dégonflé. Pour le gouvernement de Madrid, il a malgré tout été trop loin. C’est dire si pour lui l’avenir n’est pas rose.

    Il n’aura réussi qu’une seule chose, le réveil du nationalisme espagnol et la remise dans le jeu unitaire de ce qu’il reste des mouvements franquistes.
    Face aux pressions de toutes parts, y compris européennes, le président séparatiste de la région, Carles Puigdemont, a promis de transformer la Catalogne en “République” indépendante, tout en défendant une suspension du processus pour trouver une “solution négociée” avec Madrid.
    Il a estimé que sa région vivait un “moment historique“, s’appuyant sur la victoire du “oui” à l’indépendance à 90,19% des voix, lors du référendum d’autodétermination –interdit et contesté– du 1er octobre.

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  • LE CHANTAGE AUX FONDS EUROPÉENS CONTRE LA POLOGNE : UNE ARME À DOUBLE TRANCHANT

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    En juin, le nouveau Président français Emmanuel Macron accusait carrément l’ex-Europe de l’Est de traiter l’Union européenne comme un supermarché.

    L’argument des fonds européens dont bénéficient la Pologne et les autres pays du groupe de Visegrád est régulièrement avancé pour leur reprocher leur refus de prendre des quotas de demandeurs d’asile arrivés illégalement en Italie et en Grèce.

    Parlant de « dilemmes européens » de la Pologne le 2 octobre dernier, Le Figaro insistait lourdement, comme le font généralement les médias français, sur le fait que ce pays est un grand bénéficiaire des fonds européens.

    En juin, le nouveau Président français Emmanuel Macron accusait carrément l’ex-Europe de l’Est de traiter l’Union européenne comme un supermarché.

    Pourtant, à y regarder de plus près, le solde des transferts de fonds entre les pays « de l’Est » et l’Europe occidentale n’est pas forcément à l’avantage des premiers. Certes, pour ce qui est du budget de l’Union européenne, les pays qui se sont libérés du communisme en 1989-1990 et restent plus pauvres que la moyenne, malgré un rattrapage progressif, sont largement bénéficiaires, surtout grâce aux fonds de cohésion et aussi, dans une moindre mesure, avec les subventions agricoles. Ainsi, entre 2004 et 2013, la Pologne a reçu près de 90 milliards d’euros alors que sa contribution au budget commun était plus de trois fois moindre, ce qui donne un solde positif d’environ 60 milliards d’euros.

    Seulement la Pologne, comme les autres pays de la région, a cédé une grande partie de son économie à des entreprises d’Europe occidentale avec les grandes privatisations qui ont suivi la chute du communisme. Ces privatisations ont, d’ailleurs, souvent permis aux communistes de s’enrichir et de conserver des postes d’influence avec la complicité active des entreprises acheteuses et la complicité tacite des gouvernements occidentaux. Elles se sont donc faites sans profiter à la majeure partie de la population.

    Aujourd’hui, cette mainmise des entreprises d’Europe occidentale sur l’économie nationale génère d’importantes sorties de richesses sous forme de versement de dividendes, mais aussi de combines comptables plus ou moins légales. Pour la Pologne, ces transferts de fonds vers l’étranger ont totalisé 538 milliards de złotys, soit 125 milliards d’euros au cours actuel, pour la période 2005-2015. Le chiffre a été publié à la fin du mois de septembre par le ministère du Développement et des Finances polonais en réponse à une question de députés du parti d’opposition national-conservateur Kukiz’15.

    Les chiffres dévoilés par le ministère des Finances polonais montrent que les 125 milliards d’euros transférés de la Pologne vers l’Europe occidentale en 2005-2015 se décomposent comme suit, pour les principaux pays bénéficiaires : 117 milliards de złotys (27 milliards d’euros) vers les Pays-Bas, 102 milliards de złotys (24 milliards d’euros) vers l’Allemagne, 59 milliards de złotys (14 milliards d’euros) vers la France, 56 milliards de złotys (13 milliards d’euros) vers le Royaume-Uni, 44 milliards de złotys (10 milliards d’euros) vers le paradis fiscal de Jean-Claude Juncker et son demi-million d’habitants, 25 milliards de złotys (6 milliards d’euros) vers l’Italie, 20 milliards de złotys (4,5 milliards d’euros) vers l’Irlande, 19 milliards de złotys (4 milliards d’euros) vers la Suède et 14,5 milliards de złotys (3,5 milliards d’euros) vers la Belgique.

    Cela explique peut-être pourquoi les capitales du groupe de Visegrád n’expriment pas une reconnaissance folle pour des pays comme la France ou l’Allemagne et qu’ils ne fassent pas preuve de la docilité attendue d’eux à Berlin, Paris et Bruxelles. Cela montre aussi que le chantage aux fonds européens exercé contre la Pologne et les autres anciens pays de l’Est est une arme à double tranchant, car ces pays pourraient tout à fait compenser les sanctions adoptées à leur encontre par des mesures fiscales visant les transferts entre filiales et maisons mères.

    http://www.bvoltaire.fr/chantage-aux-fonds-europeens-contre-pologne-arme-a-double-tranchant/

  • Les réponses du Pouvoir au terrorisme islamiste : spectacle, commémoration et déni !

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    Michel Geoffroy, essayiste, contributeur régulier de Polemia.com

    ♦ En France « on n’a pas de pétrole mais on a des idées ». Voyez l’exemple du terrorisme islamiste.

    Car en France on a réussi à faire disparaître les terroristes : on a seulement affaire à des « attaquants », des « hommes menaçants » (1) et surtout à des « déséquilibrés » ayant tous des « antécédents psychiatriques ». Ce qui permet, les pauvres, de les hospitaliser d’office sans enquête policière. Et hop, plus de terroristes !

    De même on n’a pas de terroristes qui écrasent les gens avec leurs véhicules comme l’a recommandé Daesh : on a seulement des « camions-fous » ou des « véhicules » qui percutent des abribus ou foncent sur des policiers et des militaires. Des sortes d’accidents de la route, en quelque sorte.
    On est vraiment très forts en France !

    En France il n’y a pas de djihadistes

    On n’a pas de djihadistes non plus en France, même quand les terroristes crient Allah est grand en arabe, conchient les « mécréants » ou se promènent avec « un ouvrage de vulgarisation religieuse » (2). Ni même lorsque Daesh revendique l’attentat, comme à Marseille la semaine dernière.

    Car on ne nous la fait pas, à nous autres Français : on ne se laisse pas prendre au piège des apparences ni à la propagande de Daesh !

    Ainsi que le déclare si bien le président (3) du Conseil français du culte musulman, ces individus « n’ont aucune once de proximité avec les valeurs que prône l’islam, religion de paix universelle ».

    D’ailleurs tous les médias et les ministres sont unanimes : il ne faut pas faire d’amalgame entre islam, islamisme, islamisme radical et terrorisme. Ni tomber bien sûr dans « l’islamophobie » maladive. Car les « attaquants » se sont radicalisés tout seuls, en allant sur Internet.

    Internet : voilà la source du terrorisme !

    L’islam salafiste et l’environnement familial n’ont aucune responsabilité dans leur passage à l’acte violent. Ce sont des loups solitaires, même lorsqu’ils ont des complices. Et puisque l’islam n’a aucun rapport avec ces « attaques », la police et les juges s’interrogent gravement sur les « motivations » forcément « floues » de ces individus : elles ne peuvent être que psychiatriques, finalement. CQFD !

    En France on a une excellente police

    Il faut dire que la France a une excellente police. La preuve : après chaque attentat le gouvernement tient toujours à féliciter les forces de l’ordre ! (*)

    Ainsi on ne dit pas que la police et les services de renseignement n’arrivent pas à identifier les terroristes pour les empêcher de passer à l’acte. Non : cela ne serait pas du tout correct.

    On nous explique au contraire que les auteurs d’attentat étaient « inconnus des services de renseignement » (4) ou « non fichés S », ce qui est nettement plus valorisant, n’est-ce pas ?

    La faute aux médias

    Les médias sont aussi la cause de ces attaques : les pauvres « attaquants », sans doute frustrés, veulent certainement que l’on parle d’eux au Journal de 20 heures.

    C’est d’ailleurs pourquoi la députée (5) Brigitte Kuster a déposé une proposition de loi visant àinterdire de « diffuser, de quelque manière que ce soit, le nom de famille et l’image des personnes physiques poursuivies pour un acte de terrorisme ou ayant été jugées coupables d’un acte de terrorisme ».

    Encore une preuve du génie français : il suffit de censurer l’information pour faire disparaître les terroristes !

    Redevenons sérieux, hélas

    Face au terrorisme islamiste, le Pouvoir se réfugie dans le spectacle, la commémoration et le déni, pour tenter de masquer son impuissance.

    Car, en Europe de l’Ouest, il est désormais impuissant à surveiller les frontières, à empêcher l’immigration clandestine, à censurer la propagande islamiste, à lutter contre la délinquance comme de mettre hors d’état de nuire préventivement les terroristes potentiels, même lorsqu’ils sont « connus des services de police »… puisque la plupart d’entre eux ont commencé dans le grand banditisme et la délinquance.

    D’abord le spectacle rituel

    Après chaque « attaque meurtrière » (6), voilà donc que défilent sur place ministres et élus, flanqués d’un essaim de conseillers, sous l’œil des caméras. Sans parler des cohortes de policiers, préfets et militaires. C’est devenu un rituel : après chaque attentat, la débauche d’officiels et de moyens policiers.

    On serait aux Etats-Unis, on aurait en plus le carrousel des hélicoptères, sur fond de sirènes hurlantes, comme dans les séries télévisées. En France on a les girophares et les policiers en cagoule et gilet pare-balles : du plus bel effet devant les caméras, surtout la nuit !

    Mais quel dommage que toutes ces belles forces n’apparaissent qu’après

    Ce spectacle du pouvoir et de la sécurité ne trompe que les gogos et certainement pas les islamistes ni leurs complices. Car ce spectacle remplit la même fonction que le traditionnel défilé militaire du 14 juillet : persuader le bon peuple qu’il est bien défendu et le rassurer sur la « détermination » du gouvernement à éviter le renouvellement de ces « drames ».

    Le 14 juillet 1939 fut ainsi un très beau défilé militaire…

    Ensuite la commémoration

    La commémoration des victimes des attentats a beaucoup été utilisée en 2015 : pleurons tous ensemble les morts que nous n’avons pas su empêcher ! Badges « Je suis quelque chose », minutes de silence, drapeaux en berne et bougies de rigueur.

    Mais la manipulation a fait long feu depuis qu’à Nice la foule s’est mise à siffler les officiels.

    Aujourd’hui les commémorations se font donc plus discrètes et si possible hors de la portée des Français.

    Et surtout le déni

    Reste le déni. Il fonctionne à plein, en particulier en France.

    On tronçonne la réalité comme on coupe des comprimés pour les avaler plus facilement.

    On nous explique même désormais qu’on pourrait être un islamiste radical sans être forcément un terroriste en puissance et, par conséquent, qu’un islamiste serait quelqu’un de tout à fait fréquentable finalement. La sodomisation des coléoptères va donc bon train, à grands renforts d’experts médiatiques et autres chercheurs au CNRS. Les prédicateurs salafistes et leurs adeptes peuvent donc dormir tranquilles.

    Le Pouvoir, à défaut de mettre hors d’état de nuire les terroristes, déploie ainsi des trésors d’inventivité pour essayer de cacher la dure réalité de la guerre de civilisation qui frappe l’Europe.

    Un attentat dans le métro de Londres devient ainsi un « incident terroriste » (7) pour le journal Libération et la tentative de tuer à coups de couteau un agriculteur de Lot-et-Garonne au cri de « Allah est grand » devient un simple « fait divers ». Et malheur à celui qui montrerait des photos des crimes des terroristes de l’Etat Islamique : il se rendrait coupable de « diffusion d’images violentes » ! On ne sait pas censurer les prêches haineux des islamistes mais au moins on sait censurer la représentation de la vérité.

    « Cachez ce djihad que je ne saurais voir » nous disent les Tartuffe du Pouvoir, relayés aimablement par tous les médias de propagande et les officines immigrationnistes.

    Empêcher de poser les questions qui fâchent

    Le déni n’empêche évidemment pas les terroristes de terroriser.

    Mais il permet d’éviter les questions qui fâchent. Et au premier chef celle de la responsabilité des politiciens qui ont semé le chaos en Libye ou en Syrie, qui ont ouvert toutes grandes les portes de l’Europe aux djihadistes mélangés aux immigrants clandestins, qui ont encouragé le communautarisme et qui font en permanence des risettes électoralistes à l’islamisme.

    Le déni cache non pas tant le terrorisme islamiste que la complicité des oligarchies occidentales dans la catastrophe qui s’abat sur l’Europe.

    Mais le déni, comme la novlangue, trompe de moins en moins les victimes : les Européens.

    Michel Geoffroy 6/10/2017

    Notes :

    1. Le Parisien du 17 septembre 2017.
    2. Le Télégramme de Brest du 24 août 2017.
    3. Ahmet Ogras est un… Turc.
    4. FR3 après l’attaque contre des piétons à Marseille.
    5. Les Républicains.
    6. Comme l’écrit en novlangue le journal Le Monde pour évoquer l’attentat de Marseille.
    7. Le 15 septembre 2017.

    (*) Voir image : la compassion et les félicitations du ministre !!!! (ndlr)

    https://www.polemia.com/les-reponses-du-pouvoir-au-terrorisme-islamiste-spectacle-commemoration-et-deni/

  • Weinstein : “the pig” ami des démocrates ! - Journal du Jeudi 12 Octobre 2017

  • Martine Aubry refuse d’armer la police municipale de Lille

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    11/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Lors du conseil municipal de Lille vendredi dernier, Martine Aubry, maire de la ville, a de nouveau affiché son opposition à l’armement de la police municipale. Les élus FN avaient déposé une motion réclamant que les policiers municipaux soient armés. Martine Aubry a avancé qu’armer les policiers municipaux en ferait « des cibles, face à des bandes » !

    L’écologiste Jérémie Crepel l’a apuuyée, dénonçant la prise de position du groupe FN, qui était – pour une fois ! – soutenu par les élus LR, UDI et divers droite. Parlant de « rêves de shérifs et de cow-boys » (sic), Jérémie Crepel a ajouté :

    « Il est indécent de tenir un discours pro‑armes à feu après la tuerie de Las Vegas, indécent d’instrumentaliser les peurs par démagogie ! »

    Lille restera donc avec 120 policiers municipaux désarmés pour environ 230 000 habitants…

    https://fr.novopress.info/

  • Elle ressort un ancien manuel de lecture : "ça a été radicalement efficace"

    6a00d83451619c69e201b8d2b38f32970c-200wi.jpgL'apprentissage de la lecture, c'était mieux avant, comme en témoigne cette institutrice de CP en Seine-et-Marne :

    "J'enseigne au CP depuis 17 ans. En 2000, voyant les résultats catastrophiques des enfants, qui apprenaient par coeur, qui ne déchiffraient pas, qui ne lisaient pas, je suis allée dans une librairie regarder les manuels existants, à la recherche d'une autre méthode. J'ai cherché un manuel efficace, et le Boscher, qui utilise la méthode alphabétique, m'est apparu comme celui qui était le plus rigoureux, le plus construit, et qui surtout qui donnait des résultats immédiatement.

    Je l'ai testée dans ma classe, ça a été radicalement efficace. Les enfants déchiffraient très, vite construisaient des mots qu'ils pouvaient lire immédiatement. Il n'y avait pas de "globalisation" comme aujourd'hui. Il y a plusieurs étapes à la lecture: le fait de déchiffrer, d'accéder directement au mot. On a une forme de lecture qui est vraiment alphabétique. C'est la base même de la lecture depuis les Phéniciens. Boscher entrait dans la continuité d'une transmission ancestrale. Tandis que les méthodes dites semi-globales et globales, par idéogrammes, ne fonctionnaient pas. J'ai moi-même essayé à mes débuts et j'ai tout de suite arrêté.

    Les élèves parviennent à déchiffrer avec une base de mots et quelques syllabes. Une fois que le mécanisme de déchiffrage est enclenché, c'est exponentiel: les sons complexes, qu'on ajoute, se déduisent très rapidement. Quand un enfant apprend "ca-ma-ra-de", ce sont des sons simples. Dès qu'on introduit le "ou", le "on", il va de lui même déduire le mot. On commence en septembre. A partir de novembre, l'enfant sait lire des petits texte. Décembre, on ajoute des sons plus complexes, et des enfants lisent dès janvier des livres de lecture courant et se passant même du Boscher! Mes élèves adorent. Ils sont libres, ils peuvent tout lire.

    6a00d83451619c69e201bb09cc47ff970d-200wi.jpgMoi-même ayant appris avec la méthode alphabétique dans les années 70, dans un quartier populaire de Belleville à Paris, je n'ai pas très bien compris pourquoi on avait abandonné quelque chose qui marche. Les moins bons élèves de la classe à l'époque ne correspondent pas aux meilleurs d'aujourd'hui. J'avais 9,12 de moyenne sur 10. Et j'étais 11e de la classe, car on avait un niveau sur les fondamentaux qui était excellent.

    La rupture avec cette transmission qui marchait s'est faite, je pense, pour des raisons idéologiques. On a voulu rompre avec la transmission de papa. Et on a voulu tester. Des enseignants ont voulu tester des pédagogies innovantes. Mais on ne peut pas tester sur des enfants comme sur des souris blanches. On voulait peut-être que 100% des enfants sachent lire, au lieu de 90%. Au nom de ces 10%, il fallait autre chose….

    On a des preuves scientifiques, avec les travaux des neurosciences, que ça marche. Au bout de 40 ans d'échec, on devrait en tirer des leçons. On le fait bien pour les médicaments. Les enseignants, qui sont censés être des gens de réflexion, devraient avoir le courage de se mettre en cause. Et se dire que si ça ne marche pas, c'est parce que la méthodologie ne marche pas. Ils ont une liberté pédagogique, qui a été réaffirmée par Allègre en 2002. S'ils étaient honnêtes, ils reviendraient d'eux-mêmes à la méthode alphabétique. C'est une question d'idéologie, de bonne foi, et d'honnêteté intellectuelle. Mais on culpabilise les profs, en leur disant que c'était ringard et passéiste. C'est un pseudo-progrès qui a détruit ce qui marche."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • NOUVELLE VERSION : Un pas en arrière pour les indépendantistes ? - JT du 11 octobre 2017

  • Petit retour en arrière : MILITANTISME : DU DIMANCHE DE SYNTHÈSE NATIONALE AU SAMEDI DU BASTION SOCIAL

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    Rungis le 1er octobre avec Synthèse nationale

    Forum SI cliquez ici

    Une actualité chargée, en particulier par l’attentat de Marseille et la crise espagnole, nous a amené à différer ce qu’il y avait à dire de la XIème Journée nationale et identitaire organisée le dimanche 1er octobre par les camarades de Synthèse nationale (cf. notre article du 28 septembre). Mais qu’on ne s’y trompe pas : cette Journée a été une incontestable réussite. Dès notre arrivée, à 11 heures, Roland Hélie, le dynamique animateur de SN, nous confiait qu’il avait d’ores et déjà enregistré plus d’entrées que lors des première minutes de la même manifestation l’an passé. Et les statistiques définitives ont confirmé cette tendance, puisque l’on a compté près de 1 500 entrées, contre 800 en octobre 2016. Cette très forte augmentation montre que la mobilisation des nationalistes est en très fort développement, ce qui est probablement une conséquence de la dernière Présidentielle : nombreux sont ceux qui, désormais, attendent des changements radicaux et qui vont là où ils s’attendent à trouver ceux qui peuvent les porter.

    Et leur attente n’a pas été déçue. Nous n’avons pu assister à l’ensemble de la journée, mais avons pu apprécier ce qui s’y est déroulé en première partie, et plus précisément l’excellent forum des initiatives du matin, où nous avons relevé, en particulier, les interventions de Gabriele Adinolfi, Vincent Vauclin et Alban d’Arguin. Le premier a fait un point du projet « Lansquenets pour l’Imperium », qu’il anime et qui est en train de devenir un vaste réseau européen de réflexion, de formation et d’action comme il n’y en a probablement jamais eu dans notre camp. Le second a présenté les activités de son mouvement, Dissidence française, d’une façon si construite et attractive qu’il a su capter l’attention et la sympathie de l’assistance. Quant au troisième, qui mène une véritable croisade contre cette nuisance économique et écologique que constituent les éoliennes, il a mis en valeur la chance que représente notre parc nucléaire, une chance qui risque d’être remise en question ; mais n’a-t-il pas, toutefois, fait preuve d’un optimisme excessif à propos du nucléaire, en restant silencieux sur cette grave question que constitue la gestion des déchets ? Dans les années 70, on réfléchissait à une filière capable d’utiliser les déchets nucléaires, une filière dont l’étude avait, à l’époque, été abandonnée sous la pression de menées gauchistes quasi-insurrectionnelles : n’y a-t-il lieu pas de réactiver ce dossier ?

    Nous attendions également, avec beaucoup de sympathie et d’intérêt, l’intervention de Steven Bissuel, le très efficace leader du Bastion social. Malheureusement, celui-ci, arrivé en retard, n’a pu participer au forum des initiatives et n’est intervenu que lors du forum sur l’identité, l’après-midi, forum auquel nous ‘avons pu assister. Nous avons néanmoins noté que le stand du Bastion a reçu la visite de très nombreux visiteurs, très chaleureux, ce qui montre à quel point l’action du BS est populaire au sein de notre camp. On attendait donc avec impatience ce qu’allait donner la manifestation organisée à Lyon, le samedi suivant 7 octobre, et que nous avions annoncée dans notre article du 26 septembre. Bien évidemment, cette manifestation avait, comme d’habitude, fini par être interdite, sous le prétexte fallacieux qu’elle risquait de « troubler l’ordre public ». Mais, comme toujours en pareil cas, le Bastion a su réagir avec détermination et intelligence, remplaçant sa manifestation par un rassemblement de plusieurs centaines de partisans très remontés devant son local, Le Pavillon noir, rassemblement qui fut suivi, le soir, d’un concert de rock identitaire très réussi. Il n’y a pas de doute : le Bastion social est une réalisation militante qui s’affirme et se développe, et dont on n’a pas fini de parler !

    DES LANSQUENETS AU BASTION SOCIAL, EN PASSANT PAR DISSIDENCE FRANÇAISE, LA RENAISSANCE NATIONALE ET EUROPÉENNE EST EN MARCHE !

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    Lyon le 7 octobre avec la Bastion social

    http://synthesenationale.hautetfort.com/