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  • Ukraine scoop: des snipers de Maïdan témoignent à la TV italienne que les commanditaires de la tuerie étaient dans le camp américain

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    C’est un scoop international, un documentaire à couper le souffle, diffusé sur la chaine italienne Canale 5 en novembre 2017: Gian Micalessin a retrouvé trois tireurs d’élite, trois responsables du massacre de la place Maïdan, qui, - vous le verrez dans le documentaire -, loin d’être pro-russes étaient au contraire sous autorité pro-américaine. Ce documentaire exceptionnel le démontre: En Ukraine la tuerie du Maïdan qui a fait 80 morts et d’innombrables blessés, et qui a renversé le pouvoir légitime du président Ianoukovytch a bien été commandité par les services spéciaux Américains via leur homme de Géorgie, Mikhaïl Saakachvili.

    Un grand reporter de guerre Gian Micalessin a obtenu le témoignage détaillé de trois des nombreux snipers (tueurs en fait) qui ont été engagés en Géorgie pour se rendre en Ukraine renverser le pouvoir au profit des intérêts occidentaux. Ce sont des témoignages du massacre, -et de son déroulement-, abondamment  illustré en fond par les nombreux enregistrements vidéo d’époque, caméras de surveillance et reportages divers. D’autres documents accablants démontraient déjà ce scénario abominable, mais ces trois témoignages concordants et amplement argumentés ne laissent plus subsister le moindre doute. Les spectateurs attentifs seront alertés par ce document emblématique des diverses révolutions de couleurs qui ont frappé les pays d’Europe central, emblématique aussi des différents printemps arabes qui ont servi à renverser certains chefs d’Etat du Moyen-Orient inaugurant le terrorisme islamique actuel, jusqu’à la volonté aujourd’hui des Américains de saboter les négociations de paix de Genève sur la Syrie ainsi que le révèle notre précédent article.

    Au cours de son reportage, Gian Micalessin donne alternativement la parole à ses trois témoins en fonction de la chronologie des événements, chacun les ayant vécu de son côté:

    Ci-dessous l’enregistrement de la conversation  captée, 5 jours après les massacres de la place Maïdan, entre le ministre d’Estonie, Urmas Paet et Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE; Urmas Paet revenant de Kiev après le massacre a été le premier a contester la version officielle et obligatoire diffusée jusqu’à aujourd’hui par les médias occidentaux. Micalessin fait référence dans son reportage ci-dessus, à cette conversation accablante pour la version officielle :

    Ci-après le script intégral du documentaire de Gian Micalessin diffusé en novembre 2017 sur la chaine de TV italienne Canale 5, suivi du témoignage de Vladimir Poutine sur le sujet :

    http://www.medias-presse.info/ukraine-des-snipers-de-maidan-temoignent-a-la-tv-italienne-que-les-commanditaires-de-la-tuerie-etaient-dans-le-camp-americain/83986/

  • Notre Europe enracinée… ou leur terrain vague mondialisé?

    Oui à « l’Europe des nations européennes », « Ils sont européistes, nous sommes européens ! »: les cadres et élus du  Front National étaient en réunion de travail vendredi à l’Assemblée nationale autour de Marine Le Pen  et  de députés  - Bruno Gollnisch,  Nicolas Bay, Gilles Lebreton, Bruno Bilde, Gilbert Collard… Ils ont traité de leur vision de l’Europe, de la façon par laquelle nous pourrions recouvrer notre indispensable souveraineté. Ce  que Gilles Lebreton a expliqué en soulignant  qu’il existe des alternatives  moins brutales et anxiogènes pour nos compatriotes   que l’article 50 du traité de Lisbonne -qui a  permis dernièrement le Brexit- et qui stipule que « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. » Il existe en effet une possibilité offerte aux Etats de faire évoluer le traité. Cela est précisé notamment dans le second alinéa de son article 48 : « Le gouvernement de tout Etat membre, le Parlement européen ou la Commission peut soumettre au Conseil des projets tendant à la révision des traités. Ces projets peuvent, entre autres, tendre à accroître ou à réduire les compétences attribuées à l’Union dans les traités. Ces projets sont transmis par le Conseil au Conseil européen et notifiés aux parlements nationaux. »

    Marine a  plaidé pour la « transition séquencée » que rend possible cet article 48 qui « délie (les) liens les uns après les autres » en lieu et place du « passage en force», du « big bang institutionnel » de l’article 50. Et dans un souci d’aller au fond des choses, de faire aussi  notre mea culpa, elle a  rappelé les ambiguïtés de ces derniers mois: « nous avons pensé que seule l’élection présidentielle pouvait réorienter l’Europe, laissé penser qu’on voulait en sortir seuls, avec une vision trop franco centrée »;  or  « nous  sommes européens, pas antieuropéens, même si nous avons entretenu cette idée par maladresse sémantique. »

    L‘Europe du FN  n’est pas en effet  celle du père fondateur Jean Monnet tel que le décrit Christophe Baudouin dans son livre  Le grand malentendu:  « Monnet vit entre avions et hôtels, se pense en nomade attalien et rêve l’Européen du futur – vous, moi – à son image : déraciné, désaffilié, pacifié. Il aime la France comme l’aime de nos jours la classe politique : il a le patriotisme paysager. Il rêve d’un monde sans frontières, sans nations et sans Politique, où les gouvernements cèdent la place à une administration rationnelle. Monnet est à la géopolitique ce que Le Corbusier est au même moment à l’urbanisme : un architecte de la table rase habité par une vision glacée, géométrique et fonctionnelle du monde futur.  »

    Une journée de réflexion qui a délivré un message d’espoir que doivent entendre  tous les patriotes de notre continent: l’Union européenne bruxelloise, dont les tendances  liberticides, mondialistes et  totalitaires n’ont  cessé de se renforcer en  profitant des   démissions et/ou des  soumissions idéologiques de nos gouvernements,   n’est pas une fatalité. Les nationaux le savent, eux  qui défendent  (depuis toujours)  son alternative , l’Europe enracinée, de  la libre coopération,  de nations capables de s’unir autour de grands projets scientifiques, culturels, économiques… celle qui fonctionne! Bref une Europe  respectueuse de nos identités, de nos traditions, de nos  souverainetés, une Europe qui en  suivant ce modèle-là,    comme n’a cessé de le proclamer Bruno Gollnischserait conforme au véritable  génie de notre civilisation. 

    « Entre les mondialistes et nous, il n’y a rien ni personne » notait aussi la présidente du FN et le spectacle offert actuellement par LR confirme singulièrement ce jugement. Les ex cadres sarkozystes et/ou fillonistes effrayés par la reprise des thématiques frontistes par Laurent Wauquiez,  rallient officiellement le parti d’Emmanuel Macron (Thierry Solère, Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu…) ou clament leur volonté de travailler encore plus étroitement avec LREM. C’est le cas des autres   élus  LR dits constructifs que sont la sénatrice Colette Mélot, le député  Franck Riester, le maire de Verdun Louis Vogel  qui viennent d’annoncer  avec une quinzaine de leurs collègues  la création d’Agir, un micro-parti au sein de LR qui se veut totalement macrono-compatible…  

    Une droite courbe, couchée, faillie qui n’a pas le courage de celle qu’incarne Nicolas Dupont-Aignan qui lui,  ne baisse pas l’échine devant le premier  lobby venu et dénonce les oligarchies financières. Invité de France 3 hier, le président de Debout la France a réagi aux dernière attaques en date subie par le Front National. Il a  jugé «  très choquant qu’une banque essaie de mettre à mort un parti politique. Il y a un vrai problème de financement de la vie politique… »

    Une droite antinationale qui est aussi à l’oeuvre en Espagne et qui souffre de la même débilité intellectuelle, de la même capacité aussi  à atteindre le point Godwin  en un temps record. Nous en voulons pour nouvelle preuve cette saillie au cours d’une conférence de presse,  cette fin de semaine  à Palma de Majorque,  d’Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular, membre du PPE  au Parlement européen.

    Opposé à l’indépendantisme catalan, ce qui est bien compréhensible, mais au nom de l’« Union des pays » et de la « générosité » incarnées selon lui par l’Europe de Bruxelles,  M. González Pons, rapporte L’indépendant, « est le quatrième élu du Partido popular ces derniers mois a opéré à un parallèle entre le régime nazi dictatorial d’Hitler et le mouvement indépendantiste en Catalogne»…en prenant  soin d’y assimiler le FN au passage. Il a ainsi déclaré :  « Ceux qui votent pour les partis de l’indépendance  votent pour un projet hors de l’Union européenne (…). Le populisme national a des noms différents dans les Etats membres (de l’Union européenne, NDLR), il s’appelle Marine Le Pen en France, le Brexit en Grande Bretagne, le Nazisme en Allemagne et en Espagne ça s’appelle mouvement d’indépendance en Catalogne

    Propos délirants,  indignes mais qui sont dans la ligne des obsessions de cet élu qui faisait en mars dernier dans l’hémicycle la promotion du « vivre-ensemble» et l’étalage de toutes ses peurs: «L’Europe est aujourd’hui cernée au Nord par le populisme, au Sud par les réfugiés qui se noient dans la mer, à l’Est, par les tanks de Poutine, à l’Ouest, par le mur de Trump. (…) L’Europe est plus seule que jamais, mais ses citoyens ne le savent pas. Malgré tout, l’Europe reste la meilleure des solutions, et nous ne savons pas comment le leur expliquer.» En effet il ne sait vraiment  pas!

    Plus sérieusement,  Adrien Abauzit, interrogé sur le blogue eurolibertés,  souligne que tous les peuples d’Europe sont attaqués à des degrés divers dans leur être et qu’au delà du cas de notre nation, « nous assistons à une décomposition des pays dont l’unité est historiquement plus bancale que celle de la France (…), le cas de la Catalogne est intéressant. Nous pouvons avoir l’impression que la Catalogne, terre aujourd’hui de bobocratie et de politiquement correct, cherche à se défaire de la Couronne d’Espagne pour les mêmes motifs que la République (la coterie mondialiste au pouvoir sous le masque républicain, NDLR)  cherche à se défaire de la France. Dans les deux cas, il s’agit de se détacher d’un passé jugé contraire aux courants idéologiques dominants contemporains

     M  Gonzales-Pons et ses amis bruxellois, plus largement leurs clones que nous voyons à l’oeuvre au sein de notre classe politicienne, devraient balayer devant leur porte plutôt que de tenter bien grossièrement de faire diversion,  en  convoquant  la bête immonde pour s’exonérer de leurs propres fautes et turpitudes. Ils sont responsables et coupables des forces centrifuges que l’on voit  aujourd’hui à l’oeuvre. Notre Europe n’est décidément pas la leur. 

    https://gollnisch.com/2017/11/27/europe-enracinee-terrain-vague-mondialise/

  • Interdits de manifester, des militants de Génération identitaire se rassemblent devant le Bataclan contre l’islamisme

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    Communiqué de Génération identitaire :

    Des militants de Génération Identitaire se sont rassemblés spontanément devant le Bataclan cette après-midi pour dénoncer l’islamisme qui a fait tant de morts dans notre pays.

    Ce n’est pas parce que l’État interdit à la jeunesse de manifester contre ceux qui tuent nos frères et nos sœurs que nous baisserons la garde. Bien au contraire, nous combattrons l’islamisme dans toute l’Europe, avec ou sans l’autorisation de ceux qui ont décidé de les protéger.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/26/interdits-de-manifester-des-militants-de-generation-identita-6002765.html

  • DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ?

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    Vincent Vauclin (Boulevard Voltaire)

    Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

    Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

    On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

    Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

    Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
     
    À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

    Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

    On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Liberté et sécurité face au défi migratoire : le contrôle de la population, par Ivan Blot

    Mao-Tsé-Toung, l’ancien révolutionnaire et chef de la Chine communiste, l’a dit : le bon révolutionnaire ne peut être efficace que s’il vit dans le prolétariat comme le poisson dans l’eau. Il en est exactement de même des terroristes qui se réclament de l’islamisme révolutionnaire. Que ferait un terroriste islamiste à Varsovie entouré de Polonais catholiques ? Les terroristes ne sont pas, sauf exceptions rarissimes, des « loups solitaires ». Ils vivent en réseaux et c’est bien plus facile depuis l’avènement de l’informatique. Ils trouvent sur Internet des sources d’inspiration et des conseils pour mener des actions meurtrières.

    Il n’y a pas « les méchants terroristes » qui sont des tueurs et « les gentils musulmans » qui seraient pacifistes. Il y a toute une gradation entre le terroriste actif et le musulman indifférent. Il y a cinq cercles concentriques :

    – Au milieu, les terroristes prêts à tuer, quelques milliers de personnes en France qu’il faut surveiller de près ;

    – Puis il y a un deuxième cercle, celui de gens qui ne tueront jamais mais qui adhèrent aux idées révolutionnaires islamistes et qui sont prêts à fournir une aide logistique : prêter une voiture, un appartement, par exemple ;

    – Puis il y a le troisième cercle, celui de ceux qui approuvent l’idéologie des islamistes révolutionnaires mais qui ne mèneront aucune action en leur faveur. Cela peut faire des millions de personnes. C’est toutefois dans ce cercle infecté idéologiquement que peuvent apparaître de jeunes djihadistes nouveaux ;

    – Il y a ensuite le cercle des vrais indifférents, encore quelques millions sur les 7 millions de musulmans résidant en France ;

    – Enfin, il y a ceux qui sont ouvertement hostiles aux islamistes et aux attentats. Ils ne sont pas si nombreux que cela car beaucoup ont peur.

    On voit que le problème n’est pas seulement celui des terroristes actifs. Il faut surveiller des populations beaucoup plus nombreuses, peut-être des millions de personnes et c’est très difficile.

    L’Académie des sciences de Russie, avec son Institut d‘Orient, appelle notre attention sur ce qu’elle nomme des « califats localisés ». Il s’agit de quartiers de grandes villes où se concentrent des musulmans dont beaucoup sont des immigrés clandestins. Ils ne sont nullement recensés de façon exhaustive et ne tolèrent guère d’autres populations de religion ou d’ethnie différente. En France, des enquêtes ont été faites sur la persécution sournoise des juifs dans ces quartiers, si bien que certains veulent émigrer, vers des quartiers moins « toxiques » voire hors de France (voy. par exemple l’enquête de Stéphane Kovacs intitulée « Ces juifs apeurés qui déménagent pour fuir l’antisémitisme » dans le journal Le Figaro du 25 octobre 2017, page 8).

    Dans ces banlieues déstructurées mono-ethniques des imams peuvent prêcher la haine et former la jeunesse à détester l’Occident. Il faut empêcher les musulmans de s’intégrer à la société mécréante et les inciter à rejoindre les guerriers du djihad. Il y a bien longtemps que la police n’est plus présente dans ces « zones de non-droit » dont l’Etat français nie l’existence.

    Ces quartiers abandonnés par l’Etat ne le sont pas pour tout le monde. Apparemment, la mise en place d’un petit « califat délocalisé » se caractérise par une baisse de la criminalité et de la délinquance. Les autorités islamistes de fait décident si le trafic de drogue doit ou non s’arrêter. Ils sont plus efficaces que les assistantes sociales. Un jeune sans repères qui devient islamiste peut en effet adopter un comportement correct et renoncer à la délinquance. Mais ce calme sur le front de la criminalité est trompeur. Il n’empêche pas les accumulations secrètes d’armes et d’explosifs. On prépare les attentats du futur. Le paradoxe est que dans les démocraties occidentales (sauf la Suisse ou les États-Unis), la population est totalement désarmée sauf pour les islamistes ! La législation sur le port d’armes est ridiculisée. Le coordinateur antiterroriste près du président de la République, le préfet Bousquet de Florian, a cité le cas d’un terroriste arrêté aux Champs-Élysées à Paris qui avait obtenu six autorisations de port d’armes de différentes préfectures, et pourtant il était fiché « S » sur le fichier des suspects dans les services antiterroristes.

    Il y a des exceptions à cette situation notamment en Suisse et en Norvège où toute personne doit être enregistrée avec son adresse dans les fichiers de la police. Un de mes amis français est allé un jour à Genève en Suisse chez des amis helvétiques. Les amis partirent faire des courses et il resta seul dans l’appartement. On sonne à la porte. Il ouvre et se trouve face à deux gendarmes suisses qui lui disent : « Qu’est-ce que vous faites là ? » Il répond qu’il est venu passer le week-end chez des amis suisses qui ont cet appartement. On lui répond : Ils ont commis une faute ; ils devaient venir vous enregistrer dans nos bureaux. Le Français était étonné. « Mais alors comment savez-vous que je suis là ? » dit-il. Réponse des gendarmes : les voisins ! En Suisse, qui est indiscutablement une démocratie, il est normal de dénoncer une personne inconnue dans l’immeuble ! Dans une telle société, il est difficile de constituer des quartiers entiers avec des personnes inconnues. Le contrôle des populations pour assurer la liberté et la sécurité est assuré.

    Les Russes s’inquiètent de notre sécurité pour les années à venir. L’Arabie saoudite et le Qatar financent des mosquées et des tribunaux de la charia. Ces derniers concurrencent la justice de l’État. L’éducation des jeunes, les cours de Coran, l’arbitrage des conflits se font au sein d’enclaves géographiques où l’autorité de fait est détenue par l’imam. L’autorité musulmane locale organise les barrières mentales entre « sa » population et le reste du pays. Tout cela s’opère dans le cadre des lois et libertés garanties par les constitutions démocratiques interprétées selon l’idéologie des « droits de l’homme ».

    C’est pourquoi, déclarer verbalement la guerre aux terroristes comme le font les gouvernements occidentaux n’a guère d’effets dès lors que des territoires entiers, les califats délocalisés, prospèrent sous leurs institutions et que la police ne peut plus pénétrer sur les territoires concernés. Ces califats sont des noyaux d’enracinement pour les terroristes à venir et doivent être combattus comme tels et non tolérés par des pouvoirs publics inconscients.

    Cela passe par la répression des activités délictuelles (propagation de la haine, accumulation d’armes, etc…) mais aussi par la lutte contre l’immigration clandestine et l’organisation du retour des immigrés clandestins.

    Ivan Blot

    Texte repris du site Polemia

    https://fr.novopress.info/208545/liberte-et-securite-face-au-defi-migratoire-le-controle-de-la-population-par-ivan-blot/

  • Le Parti de la France part en campagne

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    Un communiqué du Part de la France :

    Devant la multiplication des attentats et des agressions à l'égard des Français, la France et son peuple sont en état de légitime défense. Le Parti de la France s'inscrit dans une démarche de résistance nationale et appelle les nationaux et patriotes à le rejoindre. Cette volonté de résistance nationale se concrétise, dès à présent, par le lancement de notre campagne politique d'hiver sur le thème « Touche pas à mon peuple ! »

    Affiches et autocollants disponibles très bientôt. Cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • MARC FROMAGER : « IL Y A 70 FOIS PLUS DE MOSQUÉES EN FRANCE QUE D’ÉGLISES DANS LA PÉNINSULE ARABIQUE »

    Le 5 décembre, l’AED (Aide à l’Église en détresse) organise un colloque intitulé « L’après-Daech, entre géopolitique et mystique ». Pourquoi traiter ensemble ces deux thématiques ? Marc Fromager s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. Il constate, notamment, qu’il y a de moins en moins de chrétiens au Moyen-Orient, et pourtant ces chrétiens sont un liant qui permet – y compris aux différentes communautés musulmanes entre lesquelles règnent de graves tensions – de vivre ensemble en paix.

    Le 5 décembre, l’AED organise un colloque liant géopolitique et mystère au Moyen-Orient.
    Pourquoi traiter ensemble ces deux thématiques ?

    Chaque année à cette époque, nous organisons un colloque. L’idée est de réfléchir sur ce qui se passe dans le monde en général autour d’un thème concernant l’Eglise.
    La question du Moyen-Orient est bien-sûr prégnante aujourd’hui. Il est en pleine évolution plutôt positive. C’est assez surprenant, car nous n’avions pas l’habitude d’avoir de bonnes nouvelles de cette région du monde.
    Le titre est L’après Daech, entre géopolitique et mystique.
    « L’après-Daesh », c’est peut-être un peu tôt. En Irak ou en Syrie, l’État islamique a perdu son assise territoriale ces derniers jours. Mais une partie de leurs combattants est toujours-là, disséminée, qui pourra encore perpétrer des attentats. Il y a aussi tous les groupes affiliés de l’État islamique que ce soit ailleurs au Moyen-Orient, dans la bande sahélo-saharienne, en Afghanistan ou au Pakistan…

    L’idée est tout d’abord de faire un point géopolitique sur le Moyen-Orient.
    Où en est la situation en Syrie et en Irak ?
    Quelles sont les nouvelles du Moyen-Orient, y compris de l’Arabie-Saoudite qui est au cœur de l’actualité aujourd’hui?
    Ensuite, nous allons essayer de prendre un peu de distance par rapport à cette thématique géopolitique pour essayer de voir si nous avons des réponses religieuses au chaos oriental.
    Le sous-titre original est Les pères de l’Église dans le chaos oriental.
    L’idée est de voir s’ils ont quelque chose à nous dire aujourd’hui sur l’unité de l’Église, un véritable enjeu là-bas, sur le dialogue entre chrétiens et musulmans, et sur la façon de trouver un chemin vers la paix.

    Ne craignez-vous pas que malgré la destruction de l’EI, les dommages faits au dialogue islamo-chrétien là-bas soient irréversibles ?

    C’est trop tôt pour le dire.
    Une des raisons de l’apparition de l’État islamique, notamment en Irak, est la dépossession du pays par les chiites. On se retrouve donc déjà en plein coeur de la crise interne à l’islam entre sunnites et chiites. La bouleversante invasion américaine de ce pays en 2003 a conduit à donner ce pays aux Iraniens. Ce résultat est assez impressionnant.
    Aujourd’hui, les chiites contrôlent Bagdad. Les 35 % d’Irakiens sunnites veulent leur revanche, reprendre Bagdad et le pouvoir sur le pays ce qui était le cas avant.
    Tant que nous n’aurons pas trouvé de solutions politiques à une juste répartition des responsabilités en Irak, alors, il y aura une tension sur les sunnites irakiens.
    À travers toute cette crise, l’Iran aura marqué des points en Irak et en Syrie. Paradoxalement, cela a renforcé la présence et la puissance iranienne. Par conséquent, les sunnites irakiens ou d’ailleurs sont dans une situation de tension vis-à-vis des Iraniens et des chiites.
    Même si l’État islamique disparaît, il est probable qu’il demeure un certain nombre de sunnites radicalisés. Certains auront goûté à l’État islamique et seront définitivement dégoûtés. Beaucoup de musulmans se posent des questions sur l’islam en voyant ce à quoi l’islam peut conduire.

     

    La surprenante critique du wahhabisme par le prince héritier saoudien Salman est-elle facteur d’espérance pour la pacification des éléments belliqueux du sunnisme ?

    À ce stade, c’est un élément extrêmement positif qui nous arrive du Moyen-Orient.
    Avant que cela rentre en application et qu’il y ait de réelles conséquences pratiques sur le terrain, il faut encore attendre. Nous espérons que cela aille vite, si c’est le cas, nous irons de surprise en surprise. Le simple fait qu’il ait eu ses propos est vraiment très encourageant.
    Trois millions de chrétiens sont présents dans la péninsule arabique. La plupart sont catholiques. Des églises se trouvent dans tous les pays sauf en Arabie Saoudite. Ce n’est pas du tout assez. Il y a 3 millions de chrétiens et 22 églises pour les catholiques. Cela fait à peu près un lieu de culte pour 140.000 fidèles. En comparaison, en France, il y a 5 millions de musulmans et 2500 mosquées. Cela fait un lieu de culte pour 2000 fidèles. Proportionnellement, en France, il y a 70 fois plus de mosquées pour les musulmans que d’églises pour les chrétiens dans la péninsule arabique.

    Je ne dis pas qu’il faut que ce soit le même ratio, mais retenons ceci lorsque les musulmans en France viennent nous dire qu’ils n’ont pas assez de mosquées. Il ne faudrait peut-être pas exagérer.
    De fait, les églises au Qatar, au Koweït, aux Émirats Arabe Unis sont parfaitement insuffisantes et sont totalement débordées. Il y a trop de monde. Etre curé là-bas n’est pas une sinécure.
    Pour le moment, il n’y a toujours rien en Arabie saoudite, c’est pourtant là qu’il y en a le plus.
    Ce sont tous des étrangers, expatriés, des Asiatiques, des Philippins ou des Indiens. De fait, il n’y a pas d’église. Les Occidentaux vont à l’ambassade, au consulat, mais encore une fois la plupart sont Philippins ou Indiens. Ils se retrouvent chez les uns et les autres par petits groupes de 50 personnes. Ils arrivent à avoir la messe dans ces conditions, mais en prenant énormément de risques.
    La situation va-t-elle évoluer rapidement ? Espérons-le !

    Les religions peuvent-elles incarner un espoir de paix là-bas ?

    La situation est différente selon les pays. En Syrie, ça se passe plutôt bien, il y avait de bonnes relations entre les catholiques et les orthodoxes. En Irak aussi, mais en Égypte c’était un peu plus compliqué. Il y a une diversité de situation.
    Quelles que soient les tensions qui existaient au sein du christianisme, cela n’a jamais généré de guerre, en tout cas, pas dans les derniers siècles. Le problème venait des tensions entre chrétiens et musulmans. Les plus grandes tensions venaient au sein de l’islam lui-même entre sunnites et chiites.
    La plupart des victimes d’attentats au Moyen-Orient sont des musulmans tués par d’autres musulmans. En général, les attentats commis par des sunnites contre les chiites et vice versa.
    Je ne sais pas si on peut dire que plus de religion portera vers la paix. Mais si on estime que la plupart des tensions aujourd’hui sont le résultat d’une tension à l’intérieur de l’islam, alors l’islam doit évoluer et doit guérir de cette impasse dans laquelle il se trouve. Ce n’est donc pas plus ou moins, c’est peut-être une amélioration qualitative, une résolution d’un conflit qui existe entre eux et qui n’est toujours pas résolu pour le moment.
    Est-ce qu’ils le résoudront un jour ? Je ne sais pas ! S’ils n’arrivent pas à résoudre ces tensions alors peut-être que se sera la fin de l’islam.
    L’autre partie, c’est les relations entre chrétiens et musulmans. Il faudrait qu’ils se dépêchent, car il y a de moins en moins de chrétiens au Moyen-Orient. Les chrétiens ont un véritable rôle à jouer. Ils sont un liant, ils permettent aux différentes communautés de vivre ensemble. Ce n’est pas de l’idéologie, mais un constat objectif qu’on a pu voir au Liban où se trouvaient des villages mixtes.
    Il y avait des sunnites, des chiites, des druzes et des alaouites à condition qu’il y eût des chrétiens. Le jour où les chrétiens sont partis, tous ces villages sont devenus monoreligieux. Il ne restait plus que des chiites ou des sunnites ou des druzes, etc.
    Ne serait-ce que pour permettre aux musulmans de vivre ensemble en paix, il faudrait qu’il y ait encore des chrétiens au Moyen-Orient. En ce sens, on pourrait dire que plus de religion serait peut-être une solution, mais l’enjeu consiste surtout en une meilleure appréhension du fait religieux.

    http://www.bvoltaire.fr/y-a-70-plus-de-mosquees-france-deglises-peninsule-arabique/

  • La politique actuelle repose sur l’idée qu’il existe trop de communes alors que ces 35 000 communes représentent une force

    6a00d83451619c69e201bb09d9ba29970d-250wi.jpgAlors que se tient actuellement le congrès des maires de France, Minute a interrogé le maire de Béziers Robert Ménard. Extrait :

    "[...] Personnellement, j’ai quitté l’Association des maires de France parce qu’elle avait pris position contre les crèches dans les mairies. Je n’y adhère donc plus – et cela fait autant d’économies pour ma ville.

    J’écouterai attentivement ce que M. Macron dira aux maires et je ne veux pas lui faire de procès d’intention avant de l’avoir entendu. Mais la politique actuelle repose sur l’idée qu’il existe trop de communes et qu’il vaudrait mieux en réduire le nombre au profit de grandes intercommunalités ; alors qu’au contraire, ces 35 000 communes représentent une force pour la France. Les conseillers municipaux et les maires sont proches de la population. Etre maire d’une petite commune – ce qui est le cas de la moitié d’entre eux – n’est pas une sinécure, mais un apostolat, un sacrifice. Ils perçoivent 625 euros par mois d’indemnité et sont à la disposition permanente de leurs concitoyens.

    Il arrive que des gens viennent sonner à ma porte à une heure du matin ! M. Macron ne comprend pas cela, il ne le sait même pas. A ses yeux, il n’existe qu’une quinzaine de métropoles, et au-delà, c’est le désert français !"

     par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-politique-actuelle-repose-sur-lid%C3%A9e-quil-existe-trop-de-communes-alors-que-ces-35-000-communes-re.html

  • L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire

    Par Renaud Camus, écrivain et militant politique français ♦ L’écrivain et essayiste Renaud Camus a décrit magistralement ce phénomène historique majeur qu’est le Grand Remplacement. Grand Remplacement ethnique. Grand Remplacement civilisationnel. Il poursuit ici son propos. Et a lancé à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre 2017, l’idée d’un CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE EUROPÉENNE. Voici le texte de son allocution (les intertitres sont de Polémia). Un texte fort qui dit fortement des vérités fortement déplaisantes.
    Polémia

    La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

    L’armée de la conquête, ce sont les délinquants

    Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants, petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

    La substitution ethnique est l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe

    Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe puisque, avec un autre peuple, l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être ; elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom et une méconnaissance totale de ce qu’est un peuple pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.

    Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés

    Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

    On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas – bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

    Pas d’autre issue que la remigration !

    On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors : ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

    2022 est trop loin

    L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé ; les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas : ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

    Transferts sociaux ? Non : transferts ethniques !

    Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous : demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

    Un spectre hante l’Europe et le monde, c’est le remplacisme

    Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissances par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

    Le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète

    De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

    Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

    Nous voulons sortir de la politique par l’histoire

    Macron sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles De Gaulle – que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe pour l’anniversaire de sa mort –, Charles De Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

    Le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine

    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas d’un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil national de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

    Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi-même, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

    Arrêter le balancier fou des colonisations et contre-colonisations

    Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

    Vive la France libre ! Vive la civilisation européenne !

    Renaud Camus 10/11/2017

    https://www.polemia.com/limmigration-est-devenue-invasion-linvasion-submersion-migratoire/