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  • Comment répondre aux mensonges sur la discrimination des banlieues ? (argumentaire des Identitaires)

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    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un douzième document qui propose de répondre aux mensonges sur la discrimination des banlieues.

    Ils disent souvent : « Les habitants des banlieues sensibles sont traités comme des citoyens de seconde zone, ils sont mis à l’écart et discriminés ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    En insistant autant sur la discrimination dont seraient victimes les habitants des banlieues, ils disent que c’est aux Français de faire des efforts, de payer encore plus, pour régler les problèmes des banlieues sensibles.

    Pourquoi c’est faux ? L’universitaire Dominique Lorrain (Directeur de recherche au CNRS) a publié en 2006 (« La dérive des instruments. Les indicateurs de la politique de la ville et l’action publique », revue française de science politique 2006/3 (Vol. 56), p. 429-455) une étude comparant le quartier sensible des Hautes-Noues, à Villiers-sur-Marne (94), et le quartier de la cité Verte, à Verdun.

    Avec des caractéristiques sociales extrêmement proches (avec une différence notable : un taux d’étrangers beaucoup plus important aux Hautes-Noues), il a montré que les Hautes-Noues bénéficiaient d’un investissement public de 12 230 euros par habitant via la politique de la Ville, quand Verdun ne recevait que… 11,8 euros par habitant, soit mille fois moins d’argent.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2017/10/les-banlieues-sont-discriminees-par-rapport-au-reste-de-la-france/

    https://fr.novopress.info/

  • Annonce débat sur le racialisme et le foyer blanc sur Discord #HS 16

  • Bruxelles ma belle ? NON, Bruxelles poubelle !

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    Pieter Kerstens

    Il ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»

    Ce samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est pas à leur goût.

    Le gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais, flamands ou expatriés français.

    Une responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays(l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. » Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.

    FAIRE FACE !

    Malgré les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.

    En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges » les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre civilisation.

    QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !

    De nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés. En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux, il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.    

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  • L’Hebdo Politique #10 avec Serge Federbusch - Paris, la ville poubelle d'Anne Hidalgo

  • JEAN-PAUL GOURÉVITCH : « D’AUTRES ROUTES DE MIGRATION SE SONT OUVERTES… »

    Jean-Paul Gourévitch revient de Moscou, où s’est tenu un colloque international, organisé par l’Institut d’Europe de l’Académie des sciences de Russie et rassemblant des spécialistes des questions migratoires. L’occasion de dresser un état des lieux mais aussi de faire des propositions.

    Vous revenez de Moscou après deux jours passés à réfléchir avec d’autres confrères européens sur un moyen efficace de juguler les vagues migratoires. Racontez-nous !

    C’est un rendez-vous rituel organisé par l’Institut de l’Europe de l’Académie des sciences de Russie.
    Il rassemble des chercheurs venant d’Allemagne, d’Italie, de Russie, de France, de Grande-Bretagne et d’un certain nombre d’autres pays.
    Ce rendez-vous a pour but de faire un état des lieux des constats généraux et de proposer des solutions.
    On s’est tous accordés sur un certain nombre de constats. Le premier est l’augmentation du nombre de mineurs non accompagnés. On retrouve ce phénomène dans tous les pays représentés.
    Le second est la baisse de l’acceptabilité de l’arrivée des migrants. En effet, les autochtones, mais aussi un certain nombre d’immigrés, ont peur de subir le contrecoup des nouvelles vagues.

    Toutes les nations représentées se sont-elles accordées ?

    Certains Italiens ont mis en avant le devoir humanitaire. Celui-ci consiste à accueillir au maximum les migrants qui commencent leur traversée en Méditerranée ou qui sont déjà arrivés. Ils avaient initialisé l’opération Mare Nostrum, qui consistait à sauver les migrants.
    Certains admettent qu’aller chercher les migrants directement sur les côtes libyennes n’est pas une solution idéale.
    Le troisième constat est nouveau pour nous. Il consiste en l’ouverture de nouvelles routes de migration. On nous a parlé de cette route allant de la Turquie à la Roumanie et la Bulgarie en traversant la mer Noire. Les passeurs se sont déjà installés pour pouvoir convoyer les migrants qui sont en Turquie et qui vont vers la Roumanie et la Bulgarie dont les frontières ne sont pas sûres.
    Ce constat général est partagé par tout le monde, y compris par les Italiens. Il est très difficile, pour les migrants arrivés ces dernières années, de trouver du travail. L’accueil est plus ou moins bien fait dans les différents pays.
    On se heurte à des tas de difficultés en voulant leur fournir un travail.
    Parmi ces difficultés, nous trouvons des difficultés de formation, de compétence et parfois de discrimination. Il ne faut pas le cacher. Certains restent réticents à embaucher des migrants, surtout dans l’économie formelle. En revanche, dans l’économie informelle, les migrants trouvent plus facilement du travail.

     

    Après le constat commun, quelles solutions avez-vous retenues ?

    Nous avons fait des propositions dont certaines ont recueilli une adhésion.
    La première consiste à trouver des moyens techniques pour diminuer le temps entre le dépôt d’une demande d’asile et la réponse. Chez nous, ce temps est en moyenne de dix-huit mois et, dans les autres pays, de six à neuf mois. La solution que nous avons proposée est de faire en sorte que les migrants qui font appel paient une caution. Il faut rappeler que, chez nous, on peut faire appel au tribunal administratif, à la CNDA (Cour nationale du droit d’asile), à la Commission européenne des droits de l’homme ainsi qu’au niveau de l’Europe. Cette caution leur est remboursée si l’appel a été accepté, elle n’est pas remboursée si leur appel n’a pas été accepté. Cela va diminuer notablement le nombre de personnes qui font appel et réduire le nombre de demandes ainsi que le temps.
    Le deuxième point consiste à faire en sorte que les gens qui ont été déboutés du droit d’asile puissent revenir dans leur pays d’origine. C’est toujours difficile, car pour revenir dans son pays d’origine, il faut un laissez-passer que certains consulats refusent de délivrer. La proposition que nous avons faite était très précise. Si un consulat d’un pays refuse d’accueillir ses ressortissants déboutés après avoir épuisé tous les recours possibles, alors il n’y a aucune raison de continuer à donner à ce pays une aide. On la retire jusqu’à ce que le consulat accepte d’accueillir ses déboutés.
    La troisième proposition renvoie au problème du suivi des aides médicales données aux personnes en situation irrégulière. En France, nous dépensons un milliard d’euros pour 300.000 personnes. Nous ne sommes pas les seuls. L’Allemagne, la Suède et d’autres pays sont concernés. Nous constatons un manque de suivi. Il n’y a pas d’inscriptions ni de cotisations données au départ. L’idée serait d’avoir une cotisation symbolique qui permettrait d’établir un dossier et d’avoir un suivi de ces personnes. L’État a choisi de donner une aide à ces personnes en faisant en sorte qu’elles ne paient pas les prestations médicales qui leur sont fournies.

    Pour le cas de la France, ne craignez-vous pas que ces mesures soient irréalisables ?

    C’est un sujet difficile. Il touche à la fois des problèmes humanitaires, financiers et économiques. Ces problèmes divisent la population française. C’est pourquoi nous constatons un silence assourdissant de certains médias.
    Quand Lionel Jospin et Martine Aubry ont établi l’aide médicale d’État, ils l’avaient programmée pour 75 millions d’euros. On a multiplié ce chiffre par 12. Ce n’est plus gérable.
    D’autre part, il y a des abus. Ce n’est certes pas une raison pour refuser l’aide médicale d’État à des gens qui en ont besoin. Il faut faire en sorte d’avoir un suivi de ces personnes. D’abord pour éviter la fraude, puis pour faire en sorte que des gens qui peuvent contracter des épidémies n’en constituent pas des viviers ou des vecteurs de propagation.
    Je suis conscient de la difficulté de ce problème et du clivage que cela créerait dans la population française. Le gouvernement n’a pas trop envie de se saisir de ce problème extrêmement sensible, mais il faudra bien y arriver.
    Il n’est pas possible de faire comprendre à certaines personnes ayant du mal à se soigner que d’autres en situation irrégulière peuvent se soigner gratuitement.

    http://www.bvoltaire.fr/dautres-routes-de-migration-se-ouvertes/

  • Manifestation à Ploërmel

    Au moins 300 personnes sont actuellement rassemblées devant la statue de Jean Paul II à Ploërmel (56) pour dénoncer la décision du conseil d’Etat qui demande le retrait de la croix de ce monument situé sur un parking public.

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  • Après Patrick Buisson, les déclarations de Michel Houellebecq : scandale pour la bien-pensance !

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    Les propos de Michel Houellebecq - qu'on va découvrir - n'étonneront pas ceux qui l'ont lu. Ont-ils surpris les lecteurs du Spiegel pour qui ils ont été tenus ? Ils ont été rapportés et commentés de toutes parts et notamment hier matin sur France Inter par Claude Askolovitch, au cours de sa revue de presse de 8 h 30, avec un mélange d'ironie et d'indignation à peine contenues. Mettons-nous à sa place : ce que dit ici Houellebecq est insupportable pour lui et ceux de son engeance. On lira ci-dessous l'information que 20 minutes a donnée en ligne dès hier. Nous y reviendrons. LFAR 

    Michel Houellebecq a donné une interview fleuve à Der Spiegel fin octobre. Elle a été traduite par Valeurs actuelles en étroite collaboration avec le romancier. Le magazine reproduit cette semaine le texte dans son intégralité et voilà un condensé de « la pensée de l’un des plus grands écrivains français des 30 dernières années ».

    L’auteur des Particules élémentaires analyse la recette d’Emmanuel Macron, « une ode à l’optimisme ». Il y décrit le chef de l’Etat, « un être étrange » qu’il a rencontré avant son élection. « Il s’hypnotise lui-même, et ensuite hypnotise le pays tout entier », explique-t-il avant d’évoquer le retour du catholicisme.

    Le retour du catholicisme pour éviter la guerre civile 

    Il a d’ailleurs la solution pour éviter la guerre civile en France. « Au fond, l’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État. Occuper la deuxième place, en tant que minorité respectée, dans un État catholique, les musulmans l’accepteraient bien plus facilement que la situation actuelle. Ils n’arrivent pas à se faire à l’État laïc, porteur d’une liberté de religion qu’ils ne comprennent pas. Le prophète Mahomet ne pouvait pas imaginer l’existence d’un athée », explique celui qui a écrit (...) Soumission, un livre d’anticipation où il imaginait l’arrivée au pouvoir d’un parti musulman.

    Michel Houellebecq s’attaque ensuite à la politique. « La gauche (…) est à l’agonie. Ses idées sont mortes, le succès de Mélenchon ne reposait que sur lui-même, en aucun cas sur ses idées. » Et de poursuivre : « Il n’y a plus en France que la droite et l’extrême droite. La gauche a perdu sa force mobilisatrice. »  

    Valeurs actuelles

    20 minutes

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Mireille Chevet (FN) demande une crèche de Noël dans le hall du Conseil régional des Hauts de France

    En séance plénière du jeudi 23 novembre, Mireille Chevet demande à l'Exécutif l'installation d'une crèche de Noël dans le hall du Conseil régional. Son intervention touchante se termine par une chanson A Capella "Entre le boeuf et l'âne gris". Insensible, l'Exécutif de X.Bertrand refuse cette demande légitime.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html