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  • ANVERS : LE VLAAMS BELANG ET FILIP DEWINTER REPARTE EN CAMPAGNE

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    Filip Dewinter présentant la campagne lors d'une conférence de presse

    Le Vlaams Belang d’Anvers a lancé ce 11 décembre 2017 un tract portant la phrase « Diversité ? Nous en avons assez ! » Après la conférence de presse, le tract a été distribué en compagnie du Père Noël, du Père fouettard et du lapin de Pâques.

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    Lionel Baland cliquez ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Royaume-Uni : un enfant nait à 23 semaines alors que l'avortement est légal jusqu'à 24

    6a00d83451619c69e201bb09e05bd5970d-250wi.jpgLa législation anglaise autorise des avortements jusqu’à la 24èmesemaine de grossesse, car ce n’est qu’après cette date que le fœtus est considéré par la loi comme un humain... 

    Arthur Brumby est né le 31 octobre, à seulement 23 semaines de grossesse, soit sept jours avant le délai légal pour avorter en Angleterre (photos). Un « bébé miracle » se réjouissent ses parents qui souffrent en outre de problèmes de fertilité. Arthur est l’un des plus jeunes bébés prématurés ayant survécu en Grande Bretagne. A la naissance, il pesait 510 grammes. Depuis, il a survécu à deux hémorragies cérébrales et une infection mortelle à EColi. Il fêtera Noël à l’hôpital, subira une chirurgie cardiaque mais devrait pouvoir « rentrer à la maison » au mois de mars.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Al-Andalus, l’invention d’un mythe », de Serafin Fanjul

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Certes, le livre* est énorme, d’apparence austère, parfois touffu et alourdi d’un considérable appareil de notes mais son auteur, historien, islamologue et arabisant, membre de l’Académie royale, est l’un des universitaires les plus titrés et les plus respectés d’Espagne. Comment expliquer, sinon par l’inféodation de notre pays à la pensée unique, que son étude définitive, parue en 2000 à Madrid, ait dû attendre dix-sept ans pour être publiée en France, non par une grosse maison mais par un « petit » éditeur ? Pourtant, ce livre n’était pas inconnu puisque notre ami Arnaud Imatz, qui préface – excellemment – l’édition française, avait signé un long entretien avec Serafin Fanjul dans la Nouvelle Revue d’histoire alors dirigée par Dominique Venner, entretien dont l’intégralité parut dans Polémia le 8 septembre 2012.

    Al-Andalus, justification du « vivre-ensemble »

    Mais voilà, pour justifier le dogme actuel du « vivre-ensemble » avec des occupants arrivés, non pas le cimeterre, mais la valise à la main, il faut absolument préserver le mythe d’un idyllique Al-Andalus polyethnique et multireligieux, exalté dans maints colloques universitaires. Or, la « réalité historique de l’Espagne des trois cultures » – chrétienne, juive et musulmane – que, documents d’époque à l’appui et fort de lustres de travaux approfondis sur la question, présente Serafin Fanjul, est fort éloignée de cet Eden du métissage racial et culturel.

    D’une part, les chrétiens qui refusaient la conversion à l’islam n’étaient pas traités sur un pied d’égalité par les envahisseurs musulmans mais, au mieux, pressurés d’impôts et accablés de brimades, au pis, persécutés et massacrés.

    D’autre part, ceux des envahisseurs qui se laissaient finalement tenter par les cultures indigènes et donc hispaniser étaient systématiquement supplantés, détrônés et eux aussi massacrés, par des tribus plus rigoristes franchissant le détroit du Djebel Tarek (Gibraltar) pour mettre un terme à cette dégénérescence dans les délices de Capoue qu’étaient la musique ou la poésie profane. Ainsi finirent les derniers des Almoravides, vaincus par les Almohades fanatiques… eux-mêmes renversés ensuite par les Mérinides.

    Qu’ont apporté les « Arabes » ?

    Enfin, si les « Arabes » (en fait, pour l’essentiel, des Berbères arabisés) laissèrent en effet des trésors dans le sud de l’Espagne, ces mosquées et palais somptueux, pour la plupart édifiés par des Espagnols ou des esclaves européens razziés, virent le jour dans des zones bénéficiant d’une solide tradition architecturale romaine puis wisigothique – constante que l’on retrouve d’ailleurs dans toute l’aire d’expansion mahométane où l’ « art islamique » tant célébré a prospéré sur le terreau grec, égyptien, perse ou byzantin. Le fameux Sinan, architecte au XVIe siècle des plus fameuses mosquées de Turquie, n’était-il pas un Gréco-Arménien de Cappadoce, enlevé à sa famille par le système du « devşirme » – enrôlement forcé de jeunes garçons chrétiens, convertis à l’islam et versés dans l’armée – et s’étant illustré comme ingénieur militaire avant que Soliman le Magnifique, étonné par ses dons, ne l’envoie, si l’on en croit André Clot, biographe du sultan (éd. Fayard, 1992), étudier l’architecture à Vienne ? Et il en va de même pour l’art d’Hippocrate, Serafin Fanjul montrant que la célèbre école médicale d’Al-Andalus devait moins aux marabouts du Haut-Atlas qu’au Grec Galien, que le Moyen Age ne connaissait pas seulement par les traductions arabes.

    Car, avant Sylvain Gougenheim, qui scandalisa la bien-pensance avec son Aristote au Mont Saint-Michel/Les racines grecques de l’Europe chrétienne (Le Seuil, 2008) et Guy Rachet auteur de Les Racines de notre Europe sont-elles chrétiennes et musulmanes ? (Ed. Jean Picollec, 2011), Serafin Fanjul faisait déjà litière des théories complaisantes sur le rôle primordial qu’auraient joué les Arabes dans la transmission de la littérature et de la pensée scientifique de la Grèce classique. Rôle tenu en réalité par les monastères.

    Un nouveau mythe : la liberté des chrétiens d’Orient

    C’est dire combien la lecture de son livre est nécessaire à l’heure où l’on est prié de s’émerveiller devant l’exposition « Les Chrétiens d’Orient » organisée à l’Institut du Monde arabe que préside l’ancien ministre socialiste Jack Lang, grand passeur de « mythes » devant l’Eternel. Car en exposant des chefs d’œuvre – en effet remarquables, et qui méritent la visite – de l’art chrétien en terre d’islam, l’IMA nous refait le coup d’Al-Andalus : voyez comment, au Proche et au Moyen-Orient, les Evangiles cohabitaient harmonieusement avec le Coran sous l’œil bienveillant de leurs suzerains musulmans ! Voyez combien les artistes chrétiens, y compris les moines, étaient libres, et comment ils pouvaient en toute impunité glorifier Jésus et la Vierge ! Il leur suffisait d’accepter leur statut de Dhimmi : un sytème qui, contrairement à ce que croient les esprits vulgaires, est, nous explique-t-on, protecteur et non pas coercitif et ségrégationniste.

    Exposition ou bourrage de crânes préparatoire au Grand Remplacement ? Contre cette lobotomisation rampante, il est un antidote : Al-Andalus, l’invention d’un mythe – un mythe qui, pour notre plus grande honte, dut beaucoup, assure le professeur Fanjul, à Théophile Gautier, Prosper Mérimée et autres littérateurs français du XIXe siècle. Aveugles à la beauté austère mais sans doute trop « européenne » de Ségovie ou de Burgos mais fous d’exotisme, ils se pâmaient devant la Giralda ou l’Alhambra et tiraient de cette luxuriance une considération exagérée pour la conquête arabe, et donc un rejet tout aussi outrancier de la Reconquista par les Rois très catholiques. Décidément, rien de nouveau sous le soleil !

    Camille Galic 10/12/2017

    Note :

    *Serafin Fanjul, Al-Andalus, l’invention d’un mythe, L’Artilleur éditeur novembre 2017, traduction de Nicolas Klein avec la collaboration de Laura Martinez, 700 pages plus index.

    Illustration : Le califat de Cordoue au temps d’Abd-al-Rahman III (Xème siècle). Abd al-Rahman III reçoit des ambassadeurs, tableau du peintre Dionisio Baixeras Verdaguer (1885). Source : Wikimedia (cc)

    https://www.polemia.com/al-andalus-linvention-dun-mythe-de-serafin-fanjul/

  • Têtes à clash n°18 : Trump et Jerusalem, Johnny, Wauquiez, Noël

  • Stéphane Ravier : « Fermer cette mosquée, c’est bien, mais il faut traquer les autres salafistes qui diffusent leurs messages de haine. »

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    Le sénateur Front national de Marseille se félicite de la décision du nouveau préfet de fermer pour six mois une mosquée salafiste du centre-ville de Marseille dont l’imam, salafiste dit « quiétiste », prêchait un djihadisme armé. Mais il rappelle qu’il y a d’autres mosquées, dans son arrondissement, qui posent problème.

    Stéphan Ravier, la préfecture vient de fermer une mosquée salafiste dans le centre-ville de Marseille dont l’imam prêchait le djihad armé. Vous avez salué la décision. Êtes-vous satisfait de cette fermeture ?

    Je me félicite de cette fermeture d’autant qu’elle était attendue depuis longtemps.
    Tout le monde savait que dans cette mosquée, les prêches étaient plus que virulents avec des appels à la haine au quotidien. Qu’elle soit fermée, c’est une bonne chose.
    Le préfet ne l’a cependant fermée que pour 6 mois seulement. Mieux vaut cela que rien du tout. Mais il ne nous dit pas ce qu’il compte faire de l’imam, de celles et ceux qui ont propagé dans le quartier ces discours d’appel à la haine et de combattre les mécréants et de les crucifier. Les messages ont même été diffusés dans les écoles.
    C’est bien de fermer la mosquée, car il faut bien commencer par quelque chose, mais il faut traquer celles et ceux qui continuent à diffuser ces messages dans le quartier.

    Il semble que vous ayez également une liste de mosquées qui, selon vous, devrait subir le même sort dans votre secteur.
    Combien et pourquoi ?

    Les 13e et 14e arrondissements ne sont malheureusement pas épargnés. J’ai présenté au préfet il y a quelques semaines ces trois mosquées, deux dans le 13e et une dans le 14e. Il n’était pas étonné, mais il m’a répondu que sa priorité était cette fameuse mosquée qu’il a fini par fermer.
    Il a toutefois reconnu que les trois mosquées dont je parlais posaient problème. Alors, on attend, on attend, on ne sait pas bien quoi, mais on attend. J’espère que désormais nous n’attendrons plus trop longtemps.

    Avez-vous l’impression que le dialogue est meilleur avec les services publics depuis l’attentat de Marseille et l’arrivée du nouveau préfet ? Les problèmes préoccupants du djihad et de l’islam radical sont-ils désormais mieux traités ?

    Le précédent préfet était lui aussi parfaitement au courant. Tous ces appels à la haine et au meurtre dans cette mosquée du boulevard National, tout un symbole, dans le 3e arrondissement de Marseille ne l’a pas conduit à agir.
    Le nouveau préfet a agi sans doute grâce à l’actualité dramatique qui lui a permis d’avoir des coudées franches. Car le pouvoir politique a peur des réactions.
    C’est déjà devant cette mosquée, il y a quelques années, que des policiers ont dû utiliser la force pour se dégager d’une bande de riverains qui « portaient secours » à une musulmane contrôlée par la police car elle portait un Niqab. La police avait dû user de la force parce qu’il y avait eu une démarche violente de la part de la population. Les pouvoirs publics marseillais ont peur que la situation dégénère.
    Le préfet de police, Olivier de Mazières, ne semble pas effrayé. Tant mieux !
    J’espère qu’il pourra développer son action.

    D’après un spécialiste, l’imam représenterait le courant quiétiste du salafisme et donc ne devrait pas inciter au djihad armé.
    Qu’en pensez-vous ?

    On en apprend chaque jour. Maintenant, j’apprends qu’il y a deux versions du salafisme. Le salafisme quiétiste et le salafisme djihadiste.
    Il y aurait donc les bons salafistes et les moins bons salafistes… Toute cette histoire commence à devenir compliquée !
    Si les quiétistes sont tous comme cet imam, alors comment doivent être les autres. Je pense qu’on est en train d’essayer de noyer le poisson. Il y a des salafistes, point. Ils appellent à la haine, au djihad, à la violence et au meurtre. Il est donc temps d’agir en profondeur, et c’est ce qui a été fait à Marseille. Ce n’est que le début de commencement de quelque chose. Il faut évidemment aller beaucoup plus loin, car cela se développe.
    Dans le 14e arrondissement, la directrice d’un collège me disait qu’elle observait de plus en plus de jeunes filles portant le voile et de plus en plus travaillées à l’esprit par qui d’un cousin qui arrive du bled, ou d’un imam autoproclamé de la cité et que personne ne connait.
    Notre temps de réactivité est beaucoup, beaucoup trop long.

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Fraude électorale

    Les dépenses de campagnes électorales sont plafonnées mais les associations subventionnées faussent les règles :

    Voir l'image sur Twitter 
     

    La Ligue de l’enseignement qui a appelé à voter contre @MLP_officiel et contre nos candidats aux élections législatives a reçu des subventions pour un montant total approchant 1 million d’euros.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Républicains : Pécresse libre pour 2022 - Journal du Vendredi 15 Décembre 2017

  • Bisounours : Amnesty International déplore l’exécution de trente-huit djihadistes en Irak

    Il s’agit du plus grand nombre d’exécutions en Irak depuis celles de 42 djihadistes menées le 25 septembre dernier, dans la même prison.

    Lynn Maalouf, directrice de l’ONG Amnesty International pour le Moyen-Orient, a dénoncé ces exécutions, parlant de « mépris flagrant de la vie humaine et de la dignité ».

    Selon Mme Maalouf, « Les personnes ayant commis des attaques meurtrières contre la population civile doivent être jugées, mais les exécutions ne sont pas une réponse».

    Les bisounours, ça ose tout, aurait dit le regretté Audiard

     
    @HaiderAlAbadi must stop immediately mass executions. In September, 42 people were executed without fair trials, and now 38 persons. Battle against  should address root causes, not create new seeds of violence @AmnestyAR @AmnestyIraq

    https://

    status/941350788785491968 

     
  • JEUDI PROCHAIN, 21 DÉCEMBRE, FRANCK BULEUX, AUTEUR DE "L'EUROPE DES PEUPLES FACE À L'UNION EUROPÉENNE" SERA L'INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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