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  • UN GOUVERNEMENT PATRIOTIQUE COMME CADEAU DE NOËL POUR LES AUTRICHIENS

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    Les patriotes, absents depuis plus de dix ans du gouvernement national, y reviennent.

    L’Autriche, malmenée, suite à l’ouverture des frontières par la chancelière allemande Angela Merkel au cours de l’été 2015, par l’afflux massif de migrants, désire tourner la page et disposera avant Noël d’un gouvernement regroupant les sociaux-chrétiens de l’ÖVP et les patriotes du FPÖ.

    Lors des élections législatives du 15 octobre 2017, l’ÖVP, dirigé par le jeune Sebastian Kurz, est arrivé premier – sous l’étiquette « Liste Sebastian Kurz – Le nouveau parti populaire » – avec 31,5 %, les sociaux-démocrates du SPÖ deuxièmes avec 26,9 % et le FPÖ troisième avec 26 %. Afin de sauver son parti en mauvais état dans les sondages, Kurz en avait pris avant le scrutin le contrôle tout en lui donnant une posture anti-immigration. Il deviendra bientôt chancelier d’Autriche.

    Alors que les responsables de ces deux formations patriotiques poursuivent intensivement les négociations, ceux-ci annoncent que les résultats en seront présentés ce samedi 16 décembre 2017. Le nouveau gouvernement disposera de quatorze postes de ministre et deux de secrétaire d’État.

    Les sociaux-chrétiens détiendront les attributions de l’Économie et des Finances. Ils pourraient aussi recevoir celles de la Formation et de la Famille. Si le parti patriotique FPÖ obtient le ministère de l’Intérieur, l’ÖVP contrôlera celui de la Justice car le président de la République Alexander Van der Bellen, issu des milieux politiques écologistes, a posé comme condition fondamentale le fait que ces deux ministères ne soient pas aux mains du même parti.

    Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache sera vice-chancelier, le secrétaire général du FPÖ Herbert Kickl est prévu pour la fonction de ministre de l’Intérieur et le dirigeant du FPÖ en Styrie Mario Kunasek pour celle de ministre de la Défense si cette attribution tombe dans l’escarcelle de son parti. L’ancien candidat du FPÖ à la présidence de la République Norbert Hofer recevra le ministère des Transports et des Infrastructures ainsi que des compétences dans le domaine de l’économie et de la recherche. L’ex-député du FPÖ madame Beate Hartinger pourrait obtenir le ministère des Affaires sociales et de la Santé et l’experte du Proche-Orient et publiciste Karin Kneissl le ministère des Affaires étrangères en tant que personnalité politique indépendante proposée par le FPÖ.

    L’ÖVP impose au FPÖ de conduire une politique étrangère conforme à celle de l’Union européenne. Les deux partenaires s’accordent sur la fin définitive des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne et le renforcement du contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne. Sebastian Kurz recevra les compétences européennes en tant que chancelier et le ministre des Affaires étrangères ne siégera plus à Bruxelles que lors de réunions portant sur la politique étrangère de l’Union européenne.

    Le président de la République a joué le jeu et accepté que les deux partenaires ÖVP et FPÖ forment un gouvernement alors que, lors des négociations de 2000, le président de l’époque Thomas Klestil – pourtant élu à ce poste en 1992 avec le soutien de l’ÖVP, qui ne s’était pas opposé à sa réélection en 1998 – avait refusé que certaines personnalités du FPÖ deviennent ministre, arborant une tête d’enterrement lors de l’entrée en fonction du gouvernement.

    Les patriotes, absents depuis plus de dix ans du gouvernement national, y reviennent. Alors qu’en 2000, l’homme fort du FPÖ de l’époque, Jörg Haider, avait renoncé au poste de chancelier ou de vice-chancelier et que le gouvernement ÖVP-FPÖ avait été victime d’ostracisme au niveau international, cette fois le président du FPÖ Heinz-Christian Strache assurera la vice-chancellerie. La participation d’un parti de ce type à un gouvernement national n’est plus un tabou au sein de l’Union européenne et le FPÖ a évité de conduire des campagnes électorales axées sur la provocation comme il le faisait du temps de Jörg Haider.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Désinformation : un ours blanc victime du réchauffement ?

    6a00d83451619c69e201bb09e03ac0970d-250wi.jpgLu sur Réinformation.tv :

    "Vous n’avez pas pu les manquer : des images ont circulé partout sur les sites d’information, montrant un ours polaire affamé, sur fond de commentaires sur le « changement climatique » qui va inéluctablement multiplier ce genre de tragédies insoutenables. Malheur à vous si vous mettez en doute l’exactitude de l’annonce. Et pourtant – tout semble indiquer qu’il s’agit d’un fake ou d’un hoax, au choix…

    On a vu la bête puissante se traîner lamentablement sur une île sans glace, sur l’île de Baffin, sur fond de violons pleureurs, façon indienne. Les commentaires des images qui ont tourné partout sur Internet indiquaient que tous les membres de l’équipe vidéo de Sea Legacy avaient les larmes aux yeux, le cœur brisé : « C’est à cela que ressemble la mort de faim. Les muscles sont atrophiés. Il n’y a pas d’énergie. C’est une mort lente et douloureuse… »

    Alors que la population des ours polaires se porte plutôt bien, voire trop bienla responsable de l’équipe de tournage a avoué qu’il était impossible de connaître la cause de l’état de l’ours.Cristina Mittermeier, co-fondatrice de Sea Legacy, a reconnu au micro de CBC Radio que son état pouvait s’expliquer par une blessure ou une maladie. Peu importe, à son avis : « Ce qui compte, c’est qu’il mourait d’inanition et… à mesure que nous perdrons de la glace maritime dans l’Arctique, les ours polaires vont mourir de faim. »

    Hoax avoué, à moitié pardonné ? Les internautes qui auront vu le film n’auront en général pas eu cette précision. Révélatrice, puisqu’elle montre une volonté de manipuler l’opinion.

    L’ours a été filmé en août, période où les ours polaires affichent généralement le poids plus important : s’il était jeune comme l’affirme Mittermeier il a peut-être été vaincu dans la compétition pour la nourriture par des ours plus vieux et plus expérimentés. Ce qui est sûr, c’est que si la perte de glace maritime était la cause de sa mort, il n’aurait pas été le seul. Par ailleurs, les études réalisées par les spécialistes des ours polaires montrent que la cause de mort naturelle la plus fréquente au sein de ces population est la mort de faim qui frappe les ours jeunes, les trop vieux, les blessés et les malades, les jeunes de deux à cinq ans étant notamment plus vulnérables que les individus plus âgés. Selon Susan Crockford, si l’absence de glace au printemps a un effet démontré sur le poids et la survie des ours polaires, il n’y a pas d’études convaincantes sur le fait que l’absence de glace en plein été soit liée à des phénomènes massifs de faim chez les ours."

    Le Figaro reconnaît à moitié l'erreur :

    "Les auteurs des images reconnaissent de leur côté ne pas pouvoir dire s'il existe un lien direct entre le réchauffement et la mort de cet animal en particulier. Ils jouent habilement sur les mots en expliquant avoir voulu montrer ce à quoi ressemblait un ours en train de mourir de faim, car c'est le destin qui attend ces animaux si le réchauffement en cours continue de s'accentuer. Il n'y a pas de raison a priori de douter de leur bonne foi [sic]. Ce qui est gênant, c'est que ces images ont été prises en plein été, une époque où la région est naturellement dénuée de glace, pour être diffusées à la fin de l'automne. Et que cette information a été soigneusement éludée au moment de leur publication, comme le souligne le National Post canadien dans une excellente analyse. Pour frapper un peu plus les esprits? Probablement. Autre souci, le cliché a été pris dans l'une des régions où les populations d'ours polaire sont stables, note le journal. Une information encore une fois passée sous silence."

    Michel Janva

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  • La FED, les grands prédateurs et la condition humaine

    Bernard Plouvier

    Chaque année depuis l’entre-deux-guerres, paraissent une vingtaine d’articles de par le vaste monde, fatigants par leurs stéréotypes, consacrés à la Federal Reserve des USA, donc au dieu-dollar et à ses très puissants manipulateurs, car, contrairement aux clergés, les financiers savent exactement pour quelle raison ils roulent le vulgum pecus, ce troupeau humain qui, depuis des millénaires, réclame, non du pain et des jeux, mais de quoi se remplir la panse abondamment et tromper son ennui, par le travail et les loisirs dépaysant.

    Tout le monde sait que le système monétaire des USA, donc celui de la quasi-totalité de la planète – soit directement, soit par le jeu de la convertibilité –, est une arnaque où de richissimes familles de financiers (et leurs employés de haut vol) s’enrichissent à mesure que l’économie mondiale croît et embellit.    

    Et n’en déplaise aux pisse-vinaigres anti-US (groupe auquel l’auteur de ces lignes est fier d’appartenir), ce système fonctionne depuis plus d’un siècle : il est né en décembre 1913. Certes, il s’est déréglé en 1929 et en 1937, parce que des ânes bâtés ont très stupidement réagi par un réflexe archaïque de repli sur soi, après l’explosion de bulles spéculatives new-yorkaises.

    Depuis lors (grâce en soient rendues aux mânes de Franklin Delano Roosevelt, authentique canaille de génie), les dirigeants du cartel mondialiste ont compris que le système tournera à la façon d’une vis sans fin tant qu’il y aura des marchandises à consommer (quelles qu’en soient la qualité et la provenance) et des consommateurs, le système étant alimenté en faisant tourner ad libitum la planche à billets (quelles qu’en soient la couleur et l’unité de compte).

    Et que nul ne nous casse les pieds avec la Dette mondiale (étatique ou privée). Les expériences du Directoire français (1796-99) ou de l’après-1918 en Europe prouvent qu’on peut fort aisément tout annuler ou presque, en ruinant les citoyens-créanciers, puis recommencer, car la leçon est perpétuellement oubliée du public.

    Les vrais riches achètent de l’or, du platine, des pierres précieuses, des objets d’art (dont l’unicité fait la valeur, bien plus que leur qualité esthétique), des propriétés autosuffisantes (au point de pouvoir assurer une survie de grande qualité si « tout pète » ailleurs), des mines (qui a la différence des usines ou des navires restent immuables), en plus d’armes et de mercenaires.

    Le seul aléa, incontrôlable, est le génial illuminé qui embrase une grande Nation, lui proposant une grande aventure, fondée sur un idéal (politique ou religieux, il importe peu) et sur « l’étalon-travail », plutôt que sur les dieux habituels : or, stupéfiants, dollar (ou équivalents exotiques).

    Au pis-aller, après la période guerrière où de jeunes excités se sont éclatés, tout en détruisant des milliards en biens ainsi que des milliers ou des millions de vies « sans importance », on recommence le cycle économique. En clair : on repeuple et on rebâtit.

    Autant que peut en juger un sujet qui a un peu étudié l’histoire, c’est comme cela que fonctionne l’humanité depuis l’Antiquité. La FED et ses imitatrices régionales ne font que réguler le fait humain : à la tragédie succède la bouffonnerie hédoniste… certains nomment cela Comédie humaine. L’essentiel est de s’occuper durant la période de vie sur Terre, avant de sombrer dans le néant… en n’oubliant pas trop la phrase d’un grand moraliste : « Jouir rend vulgaire ».

    La guerre (ou tout autre activité destructrice – en médecine, on parle de catabolisme) et l’économie (ou tout autre système constructeur – l’anabolisme) participent du même processus que l’on peut résumer simplement par l’adage populaire : « L’argent, c’est fait pour rouler »… quant aux experts, ils n’ont jamais rien prévu et ont rarement proposé de mesures efficaces, les « amateurs » s’avérant généralement plus inventifs, il n’est que d’étudier l’histoire pour s’en assurer.

    On peut toujours critiquer « le monde comme il va », ça fait passer le temps et ça donne l’impression d’être un grand penseur. Mais une vie d’homme est peut-être une activité plus sérieuse : transmettre son héritage génétique, participer à une grande aventure collective ou laisser une œuvre… jouer les Cassandre participe-t-il de cet idéal ? À chacun d’en décider souverainement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

    Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

    Michel Janva

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  • La circulaire du gouvernement visant à recenser les immigrés illégaux hébergés dévoilée

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    Ce mercredi, l’Agence France Presse a dévoilé la circulaire du ministère de l’intérieur sur le recensement des étrangers en centres d’accueil d’urgence.
    Celle-ci a pour but d’évaluer la situation administrative des immigrés illégaux hébergés actuellement dans ces centres.

    Différents cas de figures se poseront alors. Les étrangers entrant dans les critères permissifs de l’ONU les définissant comme réfugiés seront alors dirigés vers un logement pérenne. Les autres immigrés pouvant bénéficier du droit d’asile seront alors redirigés vers le dispositif dédié.

    Enfin, les quelques étrangers faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire se verraient proposer une aide au retour.
    Une fois encore, l’accumulation de moyens déployés pour satisfaire des immigrés entrés illégalement sur le territoire laisse rêveur.

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  • Donald Trump est en train de dégauchir la justice américaine

    Dans Le Point, Hélène Visiière s'inquiète : Donald Trump est en train de dégauchir la justice américaine. Depuis son arrivée, il a nommé près de 60 juges fédéraux. A la Cour Suprême, Donald Trump a nommé le conservateur Neil Gorsuch. Quatorze ont déjà reçu le feu vert. Ils sont aidés par le fait que les démocrates ont changé en 2013 les règles et que la confirmation se fait désormais à la majorité simple. Sur les deux dernières années de la présidence Obama, les républicains ont délibérément freiné ou bloqué des nominations. Ils ont confirmé seulement 22 juges, le taux le plus bas depuis les années 50. Par comparaison, lors des deux dernières années de la présidence Bush, le Sénat, contrôlé par les démocrates, avait confirmé 68 juges. 

    Le choix des juges fédéraux est crucial parce que, ce sont eux, de plus en plus, qui décident in fine dans des sujets aussi importants que l'immigration, le redécoupage électoral, l'avortement ou la réforme de la Santé... Or, les candidats de l'administration Trump sont sélectionnés par la Federalist Society, et Heritage Foundation, deux think tank tout aussi à droite. Comme la plupart sont nommés à vie, leur influence va s'étendre bien après le départ de Donald Trump de la Maison-Blanche. John Bush, qui a été confirmé pour siéger à Cincinnati, a comparé l'avortement à l'esclavage, « les deux plus grandes tragédies de notre pays ». On comprend que les libertaires du Point soient choqués...

    Ces nominations vont se poursuivre. Nombre de juges actuellement en poste sont âgés. Il devrait donc y avoir dans les années à venir beaucoup de vacances, y compris à la Cour suprême. Cela pourrait être le legs le plus important de l'administration Trump.

    Michel Janva

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  • Une conférence islamiste pour Jérusalem

    6a00d8341c715453ef01bb09df8590970d-320wi.jpgCe 12 décembre à Istanbul arrivaient l'un après l'autre les représentants de la plupart des États majoritairement musulmans, convoqués par Erdogan. La Turquie n'exerce pas seulement en effet une présidence symbolique ou tournante de cette Organisation de la Conférence Islamique regroupant 57 pays, elle se considère comme leur chef de file naturelle.

    Outre les États membres de l'OCI étaient invités, comme observatrice la RTCN république fantoche créée par l'armée turque d'occupation au nord de Chypre, qu'aucun pays ne reconnaît, et plus curieusement, le Venezuela dont le président dictateur Nicolas Maduro n'a pas à ce jour rendu publique sa conversion.

    Sa présence, essentiellement motivée par son propre contentieux avec les États-Unis, ravive un vieux souvenir, celui de la conférence de Bakou de 1920, marquant la volonté du Komintern de récupérer les forces anti-occidentales de l'islam.(1)

    Au total 48 pays seront représentés à ce sommet d'Istanbul. Les chefs d’État ou les souverains de 16 pays ont confirmé leur participation : Afghanistan, Azerbaïdjan, Bangladesh, Indonésie, Palestine, Guinée, Iran, Qatar, Koweït, Libye, Liban, Somalie, Soudan, Togo, Jordanie et Yémen. Djibouti, la Malaisie et le Pakistan seront représentés par leur chef de gouvernement. Les Comores seront représentés par leur secrétaire d’État, Oman par le vice-Premier ministre, l’Algérie, le Kazakhstan et l’Ouzbékistan par les présidents de leurs parlements.

    On se souviendra que, pratiquement et matériellement, depuis 1948, tous ces gens n'ont pas fait grand chose pour leurs frères Palestiniens.

    Inutile de souligner que le motif de ce rassemblement repose sur la décision, évidemment unilatérale et inattendue, de Donald Trump de reconnaître Jérusalem capitale d’Israël, et d’y transférer l’ambassade des États-Unis qui était jusqu’ici maintenue comme toutes les autres à Tel Aviv.

    Mais l'hypocrisie est totale.

    On ne rentrera pas ici dans la polémique islamologique tendant à s'interroger, scientifiquement, sur le caractère de troisième lieu saint de l'islam d'une ville et d'une mosquée dont on ne trouve aucune trace dans le Coran. Soulignons par exemple que les chiites ne rentrent pas dans ce raisonnement. Ils reconnaissent en effet 5 (cinq) villes saintes, au nombre desquelles celle-ci ne figure pas.

    Le fait objectif est que la controverse agite les foules en colère, de façon bien concrète, dans la plupart des pays musulmans et que même le président iranien Rouhani sera de la fête.

    La réalité de cette conférence est que la Turquie et son président entendent en tirer un grand prestige.

    Mais ce qui pourrait interpeller, aussi, les commentateurs agréés est le fait que le président turc Erdogan a d'ores et déjà annoncé une déclaration d'Istanbul qu'il s'apprête, d'avance, à faire avaliser par ses coreligionnaires.

    Il n'entend tenir aucun compte des Nations Unies qui pourtant ont formulé de longue date des résolutions dont il pourrait se servir. Des procédures diplomatiques civilisées et de la communauté internationale, les islamistes, Erdogan en tête, n'ont cure. Seules comptent pour eux, leur communauté mondiale et sa mobilisation pour n'importe quel prétexte, que ce soit celui que vient de leur fournir le président américain, venant après les caricatures danoises ou le livre de Salman Rushdie de naguère.

    Ne parlons même pas de l'Union européenne à laquelle la Turquie feint encore  d'être candidate sans daigner se concerter avec les représentants de sa politique extérieure.

    Le seul statut que les islamistes reconnaissent aux autres, c'est, rappelons-le, dans le meilleur des cas, celui de dhimmis.

    Que des gens se réclamant de la gauche, de l'égalité entre les hommes, etc., qui ne nous décevrons décidemment jamais, fassent un bout de chemin aux côtés de cette forme de subversion mondiale ne nous surprend même plus.

    (1) Retrouver le livre "La Faucille et le Croissant"

  • Les adeptes de la théorie du complot russe

    6a00d83451619c69e201b8d2c75536970c-800wi.jpgLu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "'Une commission parlementaire britannique avait demandé à Facebook d’enquêter sur l’intolérable ingérence russe dans la campagne pour le Brexit.

    Facebook a publié son rapport. Explosif. On y apprend en effet qu’une ONG russe, l'Internet Research Agency, la fameuse « usine à trolls » pilotée du Kremlin, a dépensé 0,97 dollar pour trois annonces qui ont été vues par 200 internautes pendant quatre jours…

    Et c’est tout.

    Nigel Farage ne s’est pas privé de souligner : « Où est la théorie du complot russe sur le référendum pour la sortie de l'Union européenne, maintenant que nous savons qu'ils ont dépensé moins de 1 dollar sur Facebook ? »"

    Michel Janva

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