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  • 13 & 15 février à Montpellier et Béziers: conférences sur les mensonges antichrétiens

    Les mensonges

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Italie – les associations catholiques, collaboratrices de l’invasion

    pape_francois_refugie-300x196.jpgElles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François. En  prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.

    Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.

    A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »

    Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.

    Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas  de travail aux autochtones.

    Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.

    Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :

    « Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale »

    a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider. Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :

    « je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »

    En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/italie-les-associations-catholiques-collaboratrices-de-linvasion/87460/

  • Fake news : vers une judiciarisation de l’information en France

    La « confiance dans l’information » a bon dos. Sous prétexte de protéger le bon peuple de mauvaises influences, les autorités publiques comme privées veulent mettre à la liberté d’expression un bandeau sur les yeux et un bâillon sur la bouche. Pour son bien comme il se doit.
    Censure privée

    Du côté privé ce sont les GAFA qui précisent chaque jour un peu plus leur politique contre les fake news et autres « discours de haine, extrémistes ou violents ». Google se vante d’avoir supprimé 150000 vidéos en moins de huit mois en 2017. La France est championne en fonction du nombre de tweets supprimés sur Twitter. De son côté, Facebook paie les journaux dominants en France pour qu’ils éliminent les « fausses nouvelles ».
    Censure publique

    Mais de leur côté les autorités étatiques ne sont pas en reste. En Allemagne la loi dite NetzDG punit d’une amende pouvant aller à plusieurs dizaines d’euros les réseaux sociaux porteurs de fake news ou des fameux « messages de haine ». La France semble ne pas vouloir être en reste depuis que le président Macron a annoncé un projet de loi allant dans le même sens lors de ses vœux à la presse le 3 janvier 2018.

    Dans le JDD du 4 février 2018, la ministre de la Culture François Nyssen a précisé les intentions du gouvernement. « La loi prévoira des obligations nouvelles pour les plateformes (numériques, c’est nous qui ajoutons) qui devront coopérer avec l’État (c’est nous qui soulignons) et être transparentes sur les contenus sponsorisés. Une procédure de référé judiciaire sera mise en place pour faire cesser rapidement la diffusion d’une fausse nouvelle, lorsque celle-ci sera manifeste ».

    Elle ajoute « Il n’y a plus de liberté de la presse lorsque la mauvaise monnaie chasse la bonne, c’est-à-dire lorsque les fake news chassent les vraies informations ». Comme ce sont les médias dominants qui sont payés par les réseaux sociaux pour débusquer les nouvelles non conformes à l’esprit du jour,on imagine volontiers que les « vraies informations » seront celles de l’oligarchie médiatique. Quand ces médias en février 2017 inventent de toutes pièces une déclaration de Trump nul doute qu’une telle nouvelle ne pourra être une fake news puisque ce sont ces mêmes médias qui déterminent qui dit le vrai et qui dit le faux.

    Encore plus inquiétant la ministre ajoute “De plus, nous aurons une action forte en matière d’éducation aux médias ». Quand on connaît plus en détail les activités du CLEMI, le Centre pour l’Éducation aux Médias et à l’Information, on peut craindre le pire. De mauvaises langues murmurent que François Nyssen quitterait son ministère de la Culture pour un grand Ministère de la Vérité dès la loi votée. Une fake news ?

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • JEUDI PROCHAIN, 15 FÉVRIER, CARL LANG INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

    RL 59 2018 02 15 C LANG.jpg

    ÉCOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

    LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ

    ACHETER "UN CHEMIN DE RÉSISTANCE"

    LE LIVRE DE CARL LANG CLIQUEZ LÀ

  • Paris , 13 février, Jacques Trémolet de Villers aux Mardis de Politique magazine, une soirée à ne pas rater !

     Rendez-vous à partir de 19 h 00 - Conférence à 19 h 30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare

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    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Une déclaration de guerre aux États illibéraux

    OrbanPoutine.jpg

    Georges Feltin-Tracol

    Il faut encore revenir sur les vœux présidentiels à la presse du 3 janvier 2018, cette véritable déclaration de guerre aux « démocraties illibérales ».

    La « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 13, du 16 décembre 2016 avait déjà évoqué cette expression supposée disqualifiante. Inutile par conséquent d’y revenir. Ce qui surprend dans l’intervention présidentielle est le registre guerrier employé. « Nous devons mener cette bataille, prétend le résident de la République, et cette bataille a un nom, c’est celle qui consiste à défendre pleinement l’effectivité de toutes les libertés de nos démocraties parce qu’une tentation est là qui existe, croissante, aux frontières de l’Europe comme au sein de l’Europe, c’est la tentation des démocraties illibérales. » Le Premier Marcheur de l’Hexagone ajoute plus loin que « cette tentation illibérale, nous ne devons pas la prendre aujourd’hui à la légère et elle constituera à n’en pas douter l’un des combats que la France aura à conduire, mais également l’Union européenne, au cours de l’année 2018 parfois avec plusieurs de ses membres ».

    De son point de vue, l’inquiétude est palpable : la Syrie du Président Bachar al-Assad a presque gagné la guerre. L’Allemagne, la Grande-Bretagne et l’Espagne sont fragilisées par des crises politiques internes inédites. Les États-Unis sont en proie à une guerre civile froide larvée. L’Autriche, la Bulgarie, la Slovaquie comptent dans leur gouvernement de coalition des ministres nationalistes et populistes en attendant peut-être l’Italie et la République tchèque. La Hongrie, le Bélarus, la Turquie, la Pologne, la Russie prennent une voie institutionnelle originale. Ces quelques exemples confirment la fin de l’idéologie sordide des Lumières.

    L’ancien assistant du philosophe Paul Ricœur ne se trompe pas. « La crise que nous vivons aujourd’hui n’a pas de précédent dans notre époque contemporaine, dit-il encore, c’est cette rupture entre une économie de marché, des classes moyennes, des équilibres sociaux, la démocratie et l’attachement aux libertés qui vont avec. Ce socle, qui depuis le XVIIIe siècle avait construit le progrès continu de nos démocraties, est en train de se fissurer et, au nom de la protection d’un État, au nom parfois de la lutte contre tel ou tel risque, telle ou telle menace extérieure, d’une fascination nationaliste qui revient au portillon, plusieurs régimes politiques sont tentés par l’illibéralisme politique. » Le Progrès se trouve dans une impasse, du moins souhaitons-le ! La théocratie stupide des droits humains, de l’homme, de la femme, des gamins, du trans, du cyborg et des poux ne fait plus consensus. Excellente nouvelle !

    « Cette montée des fausses nouvelles, se lamente encore le locataire de l’Élysée, est aujourd’hui totalement jumelle de cette fascination illibérale que j’évoquais puisqu’elle est bien souvent financée par les mêmes, elle est bien souvent utilisée par des puissances qui s’amusent en quelque sorte des faiblesses de la démocratie, de son ouverture extrême, de son incapacité à trier, à hiérarchiser, à reconnaître au fond une forme d’autorité.» Mais trier, n’est-ce pas là une forme de discrimination ? Hiérarchiser, n’est-ce pas contraire à l’égalité ? Ne pas reconnaître une forme d’autorité, n’est-ce pas la revendication centrale d’un certain Mai 68 qu’il veut par ailleurs célébrer ? Et quand il affirme que « toutes les paroles ne se valent pas », ne s’agit-il pas d’imposer une doxa officielle et de prétenduesvérités révélées bien sûr incontestables ?

    L’ancien ministre de l’Économie de François Hollande a toutes les raisons de s’en soucier. L’échec de la forme démocratique représentative bourgeoise conduira tôt ou tard les peuples du Vieux Continent à adopter selon leur génie national spécifique, des autorités charismatiques, populaires et illibérales.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°65, diffusée sur Radio-Libertés, le 9 février 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’UNION EUROPÉENNE FINANCE LE TERRORISME AU KOSOVO

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    Il y a à peine moins de deux ans, le 9 mai 2015, plusieurs dizaines d’hommes armés, essentiellement venus du Kosovo, rentraient dans la ville de Kumanovo, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, pour attaquer la ville au nom du nationalisme albanais. Durant quasiment deux jours, les terroristes vont s’opposer aux forces armées macédoniennes dans un combat apocalyptique au feu nourri, en plein milieu de cette municipalité majoritairement slave et orthodoxe, qui est la deuxième la plus peuplée du pays.

    Au bout de 48 heures, les terroristes vont se rendre après un bain de sang où quatorze des leurs vont périr, ainsi que huit policiers macédoniens. Cette attaque surprise, d’ampleur inédite dans le sud des Balkans depuis les guerres de 1998 à 2001, se produisit comme par hasard le jour où le président macédonien Gjorge Ivanov avait bravé les ukases des atlantistes et osé se rendre à Moscou aux côtés de Vladimir Poutine pour célébrer le 70e anniversaire de la victoire sur la nazisme en 1945. Au Kosovo, les assaillants tués vont avoir droit à des funérailles en grande pompe et vont être considérés comme de véritables héros du nationalisme albanais.

    Les 37 terroristes survivants arrêtés, quant à eux, vont quasiment tous être condamnés à de lourdes peines de prison. En réaction à cette décision, le gouvernement autoproclamé du Kosovo a promis, fin 2017, de débloquer un fonds d’urgence de 219.000 € pour venir en aide aux familles des terroristes tués ou incarcérés. Saluons, au passage, le travail réalisé par le journaliste albanais Parim Olluri qui a largement médiatisé et condamné cette incroyable affaire de soutien au terrorisme et qui s’est fait beaucoup d’ennemis dans sa propre communauté. Outre le scandale, il est important de souligner que cette somme est considérable pour une petite région où le salaire mensuel moyen est de 365 €, 60 % des jeunes sont au chômage et 10 % de la population vit avec moins d’un euro par jour.

    Cela est d’autant plus ahurissant que le Kosovo ne doit sa survie qu’au soutien militaire et financier de Bruxelles et de Washington. Depuis 1999, le Kosovo a reçu de ses mentors 4,5 milliards d’euros, soit plus d’argent par tête d’habitant que l’Europe avec le plan Marshall, et l’Union européenne s’est d’ailleurs engagée sur un plan de subvention de 645,5 millions d’euros du Kosovo entre 2014 et 2020. L’accord de stabilisation et d’association signé entre l’Union européenne et le Kosovo stipule que « l’Union européenne continuera à aider le Kosovo à avancer sur la voie européenne grâce au processus de stabilisation et d’association, politique conçue par l’UE pour stimuler à la fois la coopération avec les pays des Balkans occidentaux et la coopération régionale ». Les contribuables français et européens seront heureux de savoir que cela signifie également que leurs impôts serviront à soutenir l’extrémisme albanais qui continue de tuer et de déstabiliser la région qui, aujourd’hui, plus que jamais, peut retomber dans la guerre.

    http://www.bvoltaire.fr/lunion-europeenne-finance-terrorisme-kosovo/

  • Quand Anne Hidalgo méprise Michel Déon

    6a00d83451619c69e201b8d2d93920970c-250wi.jpgDe Benoît Rayski sur Atlantico :

    "L'académicien Michel Déon a eu le mauvais goût de mourir en Irlande. Ce qui fait que, selon les règles administratives, rien n'oblige la mairie de la capitale à lui accorder une sépulture dans un cimetière parisien. Rien n'oblige mais à cette règle, une municipalité a le droit de déroger en faisant des exceptions. Des exceptions qui concernent des cas particuliers. Des hommes et des femmes illustres. Des célébrités. Des à qui la nation est reconnaissante. Mais pas question de faire une exception pour Michel Déon.

    L'homme, un des plus talentueux écrivains de l'après-guerre n'était pas fréquentable. Il était ardemment royaliste. Il appartenait à la bande des Hussards : Blondin, Nimier, Laurent… Et, crime des crimes, il fut un temps secrétaire de Charles Maurras.

    L'auteur du Taxi Mauve avait demandé à être incinéré. Son urne funéraire se trouve au domicile de sa fille à Paris. Cette dernière, Alice Déon a invité la mairie de la ville à lui trouver une place au cimetière Montparnasse. Pas de réponse de la mairie. On n'allait quand même pas se bouger pour une inconnue…

    Alors l'Académie française a fait une démarche officielle dans le même sens. Là on a répondu. Dans un mail – c'est le Figaro qui rapporte les faits – la directrice de cabinet d'Anne Hidalgo, Ivoa Alavoine répond "niet". Et quand on lui fait observer qu'une personnalité aussi importante que Michel Déon mérite peut-être une exception, elle précise que ce n'est pas possible car ça créerait un "précédent"! Ben oui… Imaginons que des cohortes d'académiciens aient la fantaisie d'aller mourir au Lesotho, dans les îles Tonga, à Bahreïn, en Mongolie, au Népal. Mais s'ils choisissent intelligemment d'aller trépasser à Cuba ou au Venezuela, ça peut s'arranger non ? Anne Hidalgo, la mère Ubu de la mairie a en la personne d'Ivoa Alavoine une digne fille Ubu.

    Très remontée, Hélène Carrère d'Encausse a appelé Anne Hidalgo. Cette dernière n'a pas daigné décrocher. L'académicienne a retéléphoné en demandant que la maire de Paris la rappelle. Rien non plus. Nous vivons une époque où une Anne Hidalgo, qui n'est pas grand-chose, peut se permettre de traiter avec dédain une femme qui fait honneur à la pensée française."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L' Hebdo Politique : Macron chez les Corses avec Laurent Ozon et Pierre Hillard