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  • La France servile du président Macron

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    Le président sacrifie l'indépendance de la France sur l'autel de son Europe intégrée par Roland Hureaux

    Le président Macron a récemment émis l’idée d’un nouveau traité franco-allemand qui renforcerait les liens entre les deux pays, noués en 1963 par De Gaulle et Adenauer. Il est vrai qu’on cherche en vain un sujet sur lequel la France aurait, depuis l’élection du nouveau président, seulement envisagé de se démarquer du « grand frère » d’outre-Rhin. Il est clair que pour Macron, plus que le partenariat, c’est l’union franco-allemande qui est l’objectif.

    Vade retro Poutinas !

    A l’inverse, on ne voit guère de rapprochement avec les Etats-Unis et la Russie.

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  • Grenoble lundi 19 mars, Centre Lesdiguières : soirée exceptionnelle de 2 conférences dont l'une d'Hilaire de Crémiers

    Soirée exceptionnelle organisée avec le Cercle Dauphinois de Documentation et de Communication Culturelle et Alliance Royale du Dauphiné).

    Dès 18h30une première conférence évoquera le dernier Connétable de France, François de Bonne, Duc de Lesdiguières. lequel a légué son nom à notre association. Ce prince oublié fut un grand serviteur de la France, des rois Henri IV et Louis XIII. Avec Jean Nemoz-Rajot, nous retracerons sa vie, ses exploits de chef de guerre et d’homme politique, ses réalisations de bâtisseur, d’administrateur du Dauphiné et de stratège, de pacificateur des esprits après l’édit de Nantes. Nous tacherons de retenir ensemble quelques leçons d’actualité pour notre temps.

    A 20 heures, seconde conférence, ce sera à Hilaire de Crémiers, directeur de Politique Magazine et Rédacteur en chef de la Nouvelle Revue Universelle,de traiter de la question : Où va la France ?
    Après une revue de l’état de notre pays, Hilaire de Crémiers tentera de discerner comment la France, afin de servir le bien commun et renouer avec sa vocation dans le concert des nations, pourrait réinventer les voies du bon sens, du sens politique et social, du sens de son destin de communauté la plus large en paix et en harmonie avec ce qui lui a toujours permis de vivre et prospérer.
    Venez ombreux et invitez largement autour de vous !  

    Un buffet convivial suivra nos échanges. Inscriptions souhaitées avant le samedi 17 mars

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LA POLITIQUE… SOUS L’ŒIL DE GUILLAUME BERNARD

    Les risques de l’espérance

    Le 22 février, Marion Maréchal s’est exprimée, une dizaine de minutes, dans le cadre de la prestigieuse convention organisée, depuis 1964, par l’American Conservative Union. Cet événement ne semble pas signifier le retour dans la politique active de l’ancienne députée élue dans le Vaucluse qui s’était mise en marge du FN après l’élection présidentielle de 2017. Elle a d’ailleurs explicitement réfuté toute ambition électorale dans un entretien à Valeurs Actuelles (21 février). Son discours de Washington a mêlé le rejet du multiculturalisme et la dénonciation du danger de l’islamisme. Faisant l’apologie de la défense du patrimoine matériel et immatériel des nations, elle a distingué la bureaucratie étouffante de l’Union européenne d’avec l’Europe-civilisation. Tout en prenant la défense des libertés, elle a renvoyé dos à dos le libéralisme et le socialisme, affiché un refus du progressisme (justifiant la marchandisation de l’être humain) et fait l’apologie de la tradition. Et de conclure sur la nécessité de nourrir « la flamme conservatrice ».
    L’habileté de son positionnement est indéniable. Elle appelle de ses vœux la convergence des conservatismes des « deux rives ». Dans cette expression, il faut bien sûr entendre les deux bords de l’Atlantique. Mais, il est également possible d’y voir une allusion aux deux versants du conservatisme né aux confins des pensées classique et moderne. Ainsi, Marion Maréchal ne tente-t-elle pas d’utiliser cette doctrine comme un lieu (intellectuel) de discussion et comme un instrument (politique) de rassemblement (y compris, à terme, électoral) des droites ? D’ailleurs, n’a-t-elle pas déclaré à VA que la droite avait « besoin d’union et de bienveillance » ?
    Stratégiquement, en déclarant accompagner la création d’une « académie » de management de science politique, elle se pose en vecteur de l’éclosion de nouveaux cadres susceptibles de s’engager électoralement. Elle n’affiche donc pas l’ambition de prendre la tête d’un nouveau mouvement, mais elle crée les conditions pour y être comme naturellement appelée s’il venait à se développer. Pour peu qu’elle affiche son soutien à des actions locales, elle disposera de relais territoriaux, indispensables à une campagne nationale, susceptibles de s’unir sous sa direction. Elle ne se déclare pas le chef ; elle se donne les moyens de pouvoir, un jour, désigner les (sous-)chefs. C’est incontestablement intelligent.
    Mais, la rentrée métapolitique de Marion Maréchal n’est pas sans ambiguïté. D’un côté, alors qu’elle n’est pas véritablement revenue, elle attise pourtant les fantasmes du chef providentiel. Par ce retour en demi-teinte ne risque-t-elle pas de paralyser les tentatives de recomposition qu’elle préconise pourtant ? Attendre l’émergence du chef est un bon prétexte à l’inaction. De l’autre, en mettant pour l’heure de côté la question des personnes (à commencer par elle-même), Marion Maréchal contribue à libérer les esprits (de la logique partisane) et donc les énergies pour s’atteler au cœur du problème de la droite : l’établissement d’un programme commun permettant de rassembler électeurs, militants et cadres qui sont aujourd’hui artificiellement éparpillés entre différentes organisations.

    Tout le monde il est le chef

    Toute union ne peut être durable qu’à la condition de s’appuyer sur des engagements clairs. Une plateforme commune apparaît donc indispensable pour permettre l’unité de la droite. Mais, quelles sont les conditions de sa réalisation ? Toutes les tentatives sont sans doute bonnes à prendre. Plus il y aura d’effervescence, plus l’idée se banalisera dans l’opinion publique. Il est cependant à craindre que si la puissance invitante est un parti ou un regroupement de partis, les choses n’aillent pas très loin. Car, malgré les déclarations (y compris sincères !) de désintéressement et d’abnégation, les suspicions d’instrumentalisation sont difficiles à éliminer. S’agit-il de s’allier ou de se rallier ? La discussion suppose-t-elle d’aboutir à des concessions réciproques ou sert-elle uniquement de faire-valoir à l’initiateur du projet ? Appeler au débat tout en créant les conditions pour qu’il n’ait pas lieu, accepter le dialogue mais uniquement dans un cadre que l’on contrôle : tout cela n’est qu’hypocrisie !
    Voilà pourquoi il paraît indispensable que des débats publics soient organisés par des structures électoralement neutres (tel celui réuni à Angers le 27 mars prochain par le « Cercle Anjou Conférences ») afin que le décloisonnement se fasse au-delà des partis et, au besoin, contre eux. L’unité de la droite ne viendra pas de la connivence des partis et de leurs chefs mais, manifestation du principe de subsidiarité, du peuple de droite lui-même. Si les partis continuent à défendre leurs intérêts de boutiques, si les chefs cherchent, tout en dissimulant leurs égos, à tirer subrepticement la couverture à eux, la base aura-t-elle une autre solution que de les remplacer ?

    http://www.monde-vie.com/le-blog/150-la-politique-sous-l-oeil-de-guillaume-bernard

  • La russophobie, annonciatrice de la prochaine guerre européenne ?

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    Par Michel Geoffroy, essayiste ♦

    Il ne se passe plus une semaine sans que la Russie soit mise en cause, directement ou indirectement, dans les médias mainstream et par les gouvernements occidentaux. Aujourd’hui, le Premier Ministre britannique accuse la Russie d’être « probablement responsable » (sic) de la mort de l’espion Sergueï Skripal et de sa fille Youlia.
    La russophobie devient une composante majeure du politiquement correct occidental.
    Mais que signifient en réalité cet acharnement et cette russophobie d’Etat ?

    C’est de plus en plus la faute aux Russes !

    Hier, on accusait les réseaux russes d’être à l’origine de la victoire du centre droit et de la Ligue du Nord lors des élections générales en Italie. Comme les démocrates américains accusaient les Russes d’avoir déstabilisé la candidature d’Hillary Clinton. Ou d’avoir « désinformé » les britanniques pour les conduire à choisir le Brexit.

    La chaîne Arte, dans son reportage du 6 mars dernier sur les mouvements pro-vie, y voyait bien sûr l’influence perverse des oligarques russes. Et on n’oubliera pas la Syrie, où tout est prétexte à mettre en cause le soutien russe au gouvernement de Bachar El Assad, alors qu’il a permis de mettre Daesh à genoux.

    A tout instant, la Russie devient le bouc émissaire en Occident. Des attaques de hackers ? Russes évidemment. Des sportifs privés de leur drapeau national par le Comité Olympique ? Des sportifs russes évidemment. Des « fake news » ? Exclusivement russes bien sûr.

    La russophobie devient le prêt à penser occidental.

    Mais dans quel but en réalité ?

    Les russophobes : la voix de leurs maîtres

    D’abord, les médias mainstream, propriété de l’oligarchie transnationale, ne font en la matière qu’appliquer la stratégie fixée par les Etats Unis depuis la chute de l’URSS : empêcher par tous les moyens la constitution d’une Europe « de l’Atlantique à l’Oural », pour reprendre la célèbre formule du Général De Gaulle, c’est-à-dire une alliance stratégique entre l’Europe et la Russie, susceptible d’équilibrer et finalement de contrebalancer la surpuissance américaine.

    La diabolisation de la Russie, qui est paradoxalement plus importante que lorsque l’URSS existait, sert ainsi à créer un obstacle psychologique à une telle alliance, en présentant ce pays comme un perpétuel agresseur, une perpétuelle menace.  Et par la même occasion, elle sert à diaboliser aussi ceux qui, en Europe, rêvent d’une Europe Puissance, en les accusant d’être des agents« de Poutine ».

    La Super Classe Mondiale qui a pris le pouvoir en Occident après la chute de l’URSS s’efforce en effet de maintenir par tous les moyens le leadership américain, car elle a besoin de lui pour faire avancer son projet de gouvernement mondial. Et pour semer le chaos partout, afin d’affaiblir les Etats-Nations qu’elle veut supplanter.

    En diabolisant la Russie, les médias et les gouvernements européens n’expriment donc, une fois encore, que la voix de leurs vrais maîtres : la Super Classe Mondiale.

    La russophobie : diaboliser ceux qui défendent les vraies valeurs

    En outre, la Russie incarne, comme justement nombre de pays de l’ex Pacte de Varsovie, des valeurs qui vont à l’encontre de la doxa libérale/libertaire et cosmopolite qui s’est imposée en Europe occidentale.

    Ces pays sont notamment patriotes, hostiles à l’immigration comme à l’islamisation, soucieux de préserver leur identité et leur religion chrétienne et adoptent une politique familiale dynamique et respectueuse des traditions morales. Tout le contraire de l’idéologie occidentale !

    La Russie incarne donc, non seulement un adversaire stratégique, mais aussi idéologique pour la Super Classe Mondiale qui règne au Forum de Davos. Elle devient pour cette raison, de plus en plus, un adversaire à abattre.

    La russophobie cache en effet l’attitude de plus en plus agressive et belliqueuse qu’adoptent les Occidentaux, et notamment les anglo-saxons, vis-à-vis de la Russie, selon un processus classique d’inversion accusatoire.

    La russophobie : une propagande de guerre

    En effet les Etats-Unis n’ont nullement renoncé à leur traditionnelle politique d’encerclement stratégique de la Russie, malgré la fin de la menace communiste en Europe et la fin des blocs Est/Ouest. Comme ils ne renoncent pas à la déstabilisation ou à la mise en tutelle de tous les pays musulmans anciens alliés de l’URSS. Comme ils multiplient les sanctions économiques vis-à-vis de la Russie. Comme l’ambassadeur américain à l’ONU, Nikki Halley, ne cesse de multiplier les provocations verbales vis-à-vis du « régime de Poutine » comme elle le dit bien peu… diplomatiquement.

    Contrairement à ce qu’ils avaient promis au gouvernement russe lors de la chute du mur de Berlin, les Occidentaux n’ont donc eu de cesse d’étendre l’OTAN, organisation dominée par les Etats-Unis, aux pays de l’ex Pacte de Varsovie, par le truchement des révolutions colorées. L’opération Euromaïdan – où les services secrets occidentaux ont joué un rôle des plus troubles – a servi ainsi à empêcher tout rapprochement économique entre l’Ukraine – pays ruiné – et la Russie. Et à renforcer l’encerclement de la Russie.

    Les Etats-Unis, non contents de remettre en cause l’équilibre nucléaire en Europe, n’hésitent d’ailleurs pas à vendre des armes antichars sophistiquées aux Ukrainiens, armes qui ne peuvent servir que contre la Russie. De même, l’OTAN multiplie les gesticulations militaires dans les pays baltes, dans une logique d’affrontement avec l’armée russe : une logique belliqueuse présentée évidemment sous l’angle de la protection de ces pays ! Mais une logique qui ravit les Etats-Majors européens puisque ceux-ci n’ont eu de cesse de se préparer à une guerre qui… n’a jamais eu lieu en Centre Europe, au grand dam de l’OTAN.

    Sur ce plan, force est de constater que l’élection de Donald Trump n’a rien changé du tout, sans doute parce que la politique internationale américaine relève plus désormais de « l’Etat profond » que des institutions démocratiques de ce pays.

    Danger russophobie !

    La russophobie occidentale n’est donc pas seulement ridicule. Elle n’est pas seulement une forme de racisme d’Etat, qui fait du peuple russe un coupable ou un danger par essence.

    Elle est surtout dangereuse car elle prépare les esprits européens à un affrontement avec la Russie : elle véhicule des bobards de guerre, un « bourrage de crâne » comme on disait pendant la Grande Guerre, qui toujours annoncent la vraie guerre !

    En effet, la Super Classe Mondiale n’a nullement renoncé à la guerre pour parvenir à ses fins. Car le monde est en passe de lui échapper. La puissance des anglo-saxons – qui constituait le cœur nucléaire de l’oligarchie occidentale – ne cesse de décliner à l’échelle du monde, dans tous les domaines et pas seulement économiques. Et les oligarques le savent bien.

    Les médias mainstream s’efforcent de nous cacher ce grand secret : le monde échappe aux mondialistes parce qu’il devient de plus en plus multipolaire. Parce que de grandes civilisations – notamment en Eurasie – se réinventent et veulent se libérer de la tutelle occidentale. Et qu’elles acquièrent de plus en plus les moyens de le faire.

    On ne peut donc exclure que certains oligarques anglo-saxons ne soient tentés, une nouvelle fois, de miser sur un conflit mondial pour maintenir leur leadership, c’est-à-dire leur domination et leur projet liberticide de gouverner le monde à leur seul profit.

    Un tel conflit serait évidemment catastrophique pour l’Europe qui serait certainement, de nouveau, un « théâtre d’opérations ». Mais cela n’entrerait-il pas aussi dans les intentions de la Super Classe Mondiale de détruire cette fois définitivement les Européens ?

    Il faut donc dénoncer les russophobes médiatiques européens pour ce qu’ils sont : non seulement des imbéciles, mais aussi des fauteurs de guerre au service de la Super Classe Mondiale.

    Michel Geoffroy 16/03/2018

    Crédit photo : ISAF Headquarters Public Affairs Office from Kabul, Afghanistan [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/la-russophobie-annonciatrice-de-la-prochaine-guerre-europeenne/

  • VIOLS COLLECTIFS DE TELFORD : POURQUOI CE SILENCE DES MÉDIAS À L’HEURE DE #BALANCETONPORC ?

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    Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.

    La campagne « balance ton porc » bat son plein et nous sommes abreuvés de dénonciations qui concernent le plus souvent des harceleurs de race « caucasienne ». Si des hommes influents ont profité de leur position pour importuner ou violer de jeunes femmes, il est normal qu’ils rendent des comptes et qu’ils soient déférés devant des tribunaux s’ils ont commis des délits ou des crimes. Les médias bien-pensants ne cessent de parler de ce phénomène et s’indignent du silence qui a régné trop longtemps. On peut trouver leurs protestations exagérées et penser que, dans beaucoup de cas, la modération devrait être de mise, mais on ne peut pas leur donner tort sur le fond. La société a, sans doute, trop longtemps toléré une culture machiste.

    Mais ces mêmes médias si prompts à faire la morale encourent des accusations d’hypocrisie et de racisme lorsqu’ils n’évoquent pas les faits divers épouvantables qui se sont produits à Telford entre 1980 et 2010. Dans cette ville du Royaume-Uni, on déplore une série de viols dont l’ampleur dépasse l’imagination. Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise. Comble de l’horreur, selon le Mirrordu 12 mars, la police aurait refusé de prendre les plaintes par peur d’être accusée de racisme. Et on aurait renvoyé des lanceurs d’alerte qui, devant l’inertie des autorités, voulaient prévenir les journaux. Quant aux services sociaux, ils auraient été en dessous de tout.

    Une commission d’enquête indépendante vient d’être constituée afin de faire toute la lumière sur ce scandale effrayant. Or, peu de médias en parlent (il n’y a rien dans LibérationLe Monde ou sur le Portail Orange ce vendredi 16 à 20 heures) alors que le retentissement de l’affaire devrait être mondial et que tous les journaux télévisés devraient ouvrir sur ces informations.

    Pourquoi cette omission ? Parce que ni les victimes ni les bourreaux n’ont ni la bonne couleur de peau ni la bonne religion ? L’attitude frileuse des médias est-elle dictée par le racisme ? On peut légitimement se le demander. Je parie avec qui le souhaite que, si un gang de skinheads blancs avait violenté des jeunes musulmanes, on en aurait parlé cent fois plus (ce qui aurait été sans doute la bonne mesure). Et on aurait, une nouvelle fois, dénoncé la civilisation occidentale coupable de générer de tels monstres. Pourtant, si une centaine de Pakistanais ont commis des crimes atroces, ils sont les seuls responsables et leur communauté n’a absolument pas à subir le poids de leur faute. La religion ou l’origine ethnique d’un criminel ne doit jamais entrer en ligne de compte. Une ordure reste une ordure et la noirceur de son âme n’a rien à voir avec le Dieu qu’il prie.

    Espérons que cette commission va éclaircir les circonstances de ce drame, que tous ceux qui, par lâcheté ou par peur de paraître racistes, ont laissé se perpétrer de telles abominations seront sévèrement punis et que plus jamais de tels faits ne se reproduiront.

    http://www.bvoltaire.fr/viols-collectifs-de-telford-silence-medias-a-lheure-de-balancetonporc/

  • Découverte Vive l'Europe - La chaîne "Mite dans la Caverne" fait du super boulot pour la cause

  • Macron lance la guerre des générations, par Guy Rouvrais

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    9073-20180317.jpgDans notre système par répartition, les salariés cotisent pour abonder la retraite de leurs aînés. A leur tour, ayant atteint l’âge de la retraite, ceux qui travaillent aujourd’hui bénéficieront de la solidarité de ceux qui leur ont succédé. Macron entend nous changer cela aussi ! Les retraités depuis le 1er janvier sont ponctionnés de 1,7 % de CSG pour laquelle ils ne bénéficient d’aucune compensation. Ainsi, après avoir financé la pension de leurs prédécesseurs, ils auront à payer aussi pour leurs successeurs. Ils devront donc être deux fois solidaires. Les retraités ont manifesté un peu partout jeudi pour dire leur refus : « Stop à la traite des vieux ! », ont-ils lancé.

    Interpellé en ces termes par une femme, retraitée : « Là vous nous avez vraiment pompés ! », le président lui a répondu : « Je vous demande un petit effort pour m’aider à relancer l’économie et les actifs. La CSG, on ne l’a pas fait pour vous pomper comme vous dites, on a baissé de trois points toutes les cotisations salariales. Donc tous ceux qui travaillent touchent plus pour qu’ils gagnent plus par le travail. »

    Cette dernière phrase oppose ceux qui « gagnent par leur travail » à ceux, les retraités, qui « gagnent » en ne faisant rien, les fainéants, les premiers sont donc appelés « actifs » et les seconds « inactifs. » Ce qui est mensonger car, sans le troisième âge, le secteur associatif serait en panne, la majorité de ceux qui s’y dévouent sont des bénévoles dont la retraite est très active. Combien d’économies fait la société grâce aux grands-parents qui gardent leurs petits-enfants, libérant de coûteuses places de crèches et de garderies ! Cela Macron veut l’ignorer. Il préfère entretenir une guerre des générations, au motif, a-t-il expliqué dans Le Point, que « les pauvres d’aujourd’hui sont souvent moins les retraités que les jeunes ».

    Les jeunes, pauvres, tous ? Nous connaissons tel jeune cadre qui a un salaire de 4 500 euros, il a vu ses cotisations baisser en compensation partielle de la hausse de la CSG, tandis que son père, avec 1 500 euros de retraite a eu la hausse sans la compensation. Où est la justice ? Le député LREM Eric Alauzet en rajoute en prétendant que « les retraités d’aujourd’hui font partie d’une génération dorée » ! Une génération qui a beaucoup travaillé, qui a eu à reconstruire un pays dévasté par la guerre, en accomplissant des semaines de 40 heures et non pas de 35.

    Cette génération « dorée », qui n’a rien pris à personne, doit donc rendre gorge et amputer une pension qu’elle croyait acquise. Le chef de l’Etat assure que cela ne frappe que les plus « aisés » et ne leur demande qu’un « petit effort ». L’aisance commence pour lui à… 1 200 euros mensuels ! Ce qui fait une baisse de 25 euros par mois, effort négligeable pour Macron et ses têtes chercheuses, mais c’est une semaine de courses pour telle vieille dame. Même avec 900 euros de pension, le retraité est touché, il suffit que son conjoint en ait une de 1 500 euros pour que le foyer fiscal se voie appliquer la hausse de 1,7 % sur l’ensemble de ses revenus. La compensation promise, en l’occurrence la baisse de la taxe d’habitation – mais pas pour tous –, n’aura lieu ni à Pâques ni à la Trinité, mais en octobre, si tout se passe bien. En attendant, les retraités devront se serrer la ceinture.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 17 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Natalia, veuve d'Alexandre Soljenitsyne, «peinée» par le président Emmanuel Macron

    6a00d83451619c69e201b8d2e360fb970c-250wi.jpgAu Salon du livre, le chef de l'Etat a refusé de se rendre sur le pavillon russe. Réaction de Natalia, veuve d'Alexandre Soljenitsyne :

    « J’avais l’impression, au vu de ce qui s’est passé, pas hier mais ces derniers mois, que le président Macron n’était pas le pire des amis de la Russie ». « J’avais l’impression qu’il était moins influencé par cette hystérie qui règne dans les médias occidentaux quand il s’agit de la Russie ». « Quand les diplomates ne savent plus se parler ça devient encore plus important que se parlent les artistes et les gens de la culture et des arts ». « Tourner le dos au dialogue avec les gens de la culture et des arts c’est extrêmement étonnant et ne sied pas à un leader politique français ».

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Filip Dewinter n'entend pas laisser les noms des quartiers d'Anvers s'arabiser

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    La figure de proue du Vlaams Belang Filip Dewinter fait campagne afin que le quartier d'Anvers dénommé Borgerhout et surnommé Borgerokko (contraction du nom de ce quartier et de Marokko [Maroc en néerlandais]) redevienne Borgerhout.

    Source Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/