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  • Jean-Frédéric Poisson « J’ai rencontré Marine Le Pen ! »

    Jean-Frédéric Poisson est le président du Parti Démocrate Chrétien. Ancien candidat de la primaire de la Droite, il est aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan pour animer la plateforme des « Amoureux de la France ».

    Invité sur TVLibertés, il annonce sa volonté de participer à un programme commun de la Droite ouvert à tous les eurosceptiques. Et pour se faire, l’ancien député a rencontré la présidente du Front National, Marine Le Pen.

    En ligne de mire, les Européennes de juin 2019. Jean-Fréderic Poisson mène aussi la charge contre la politique d’enfumage d’Emmanuel Macron et dénonce la mascarade organisée par le gouvernement contre les Etats généraux de la bioéthique.

  • Message de Roland Hélie aux participants au 2e dîner de Synthèse nationale samedi dernier à Paris

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    Soyez les bienvenus au 2e dî­ner annuel cliquez ici des Amis franciliens de Synthèse nationale.

    Après la réussite du premier dîner que nous avions organisé l’an passé, ici même, à l’occasion du 70eanniversaire du Mouvement social italien, dî­ner au cours duquel notre camarade Massimo Ma­gliaro, ancien respon­sable national du MSI, nous avait éclairé sur l’histoire de son mouvement, nous avons décidé d’institutionnaliser ce nouveau rendez-vous annuel entre nos lecteurs et amis et notre revue.

    Nous pensons en effet que, dans la situation actuelle, il faut que les natio­naux, les nationalistes et les identitaires multiplient les occa­sions de se retrouver pour créer une véritable communauté combat­tante face à l’oligarchie mondialiste qui veut détruire notre nation et notre civilisa­tion. Il y a les meetings et les manifs, il y a les actions militantes et il y a aussi les réunions amicales comme celle de ce soir.

    Nous avons l’honneur et le plaisir de recevoir ce soir Jean-Marie Le Pen, Président d’honneur du Front national, qui nous parlera de ses Mémoires cliquez là dont le premier tome vient de sortir en librairie. Ce livre rencontre un énorme succès et il est d’ores et déjà classé parmi les meilleures ventes, ce qui ne nous surprend pas vraiment.

    Pendant des décennies, Jean-Marie Le Pen a incarné, en particulier lors des différentes élections présidentielles, la Droite nationale, sociale et populaire. Il avait prévu dès le début les dangers qui mena­cent de plus en plus la France et l’Europe. Il a été calomnié, insulté, condamné… Mais aujourd’hui un nombre croissant de nos compa­triotes reconnaît la véra­cité de ses dires et a envie, finalement, de mieux le connaître. C’est sans doute ce qui explique l’engouement pour son livre qui sera suivi, dans quelques mois, par un second tome. Mais je laisserai le soin au Prési­dent Le Pen de nous en parler lui-même.

    Quelques mots maintenant pour vous donner des nouvelles de Syn­thèse nationale. Notre prochain grand rendez-vous est fixé au di­manche 14 octobre à Rungis. Ce sera notre douzième Journée natio­nale et identi­taire à laquelle vous êtes tous conviés. Une fois de plus cette journée devra être une réussite car elle sera l’aboutissement d’une année d’efforts militants pour faire avancer nos idées et un tremplin vers 2019.

    Sur le plan éditorial, notre petite maison a publié cette année plu­sieurs livres dont celui de Carl Lang, Président du Parti de la France, Un che­min de résistance, et celui d’Hubert de Mesmay, Autop­sie d’un crash annoncé. De plus la campagne que nous avons amorcée au printemps dernier autour du livre d’Alban d’Arguin, Eo­liennes un scandale d’Etat, ne cesse de s’amplifier. Ce thème original nous permet, à cha­cune des conférences de l’auteur, de nous faire con­naître encore plus dans la France profonde.

    Quant au site d’information quotidien Synthèse nationale, lien perma­nent entre notre organisation et nos sympathisants, il est regardé chaque jour par plus de 5 000 personnes.

    Félicitons-nous aussi du partenariat que nous avons établi avec le groupe Libertés. Le jeudi à 18 h, vous pouvez ainsi retrou­ver l’émission « Syn­thèse » que j’anime avec Philippe Randa sur Radio Libertés.

    Mais tout cela à un prix. Tout ce que nous faisons, c’est grâce à votre générosité à tous. Nous ne sommes financés ni par les subven­tions grasse­ment attribuées à nos ennemis, ni par aucune hypothétique puis­sance étrangère. Il manque toujours quelques milliers d’€ pour boucler notre budget. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et c’est grâce aux sacrifices de quelques-uns que Synthèse nationale réalise ses projets. Si nous avions un peu plus, nous pourrions faire beaucoup plus.

    Des projets nous en avons beaucoup et le premier d’entre eux, c’est le renouveau d’une véritable Droite nationale digne de ce nom en France.

    Lors de la dernière présidentielle, en mai 2017, le Système a uti­lisé son ultime rustine : Emmanuel Macron. Et contre toute attente, ça a mar­ché. Au moment où l’on assiste à une « droitisation », voire à un « sur­saut identitaire » de nos compatriotes, l’hyper classe apa­tride continue à nous im­poser sa volonté mortifère. Cela, nous ne pouvons pas le tolé­rer.

    Chers Amis, nous profiterons bien sûr de cette soirée patriotique pour vous demander de nous aider une fois de plus. Des enveloppes sont disponibles à cet effet sur votre table. Vous pourrez, si vous le souhai­tez, mettre votre contribution à l’intérieur et les déposer dans la cor­beille prévue à cet effet au « stand librairie » à la sortie de la salle.

    Vous pouvez aussi nous aider en :

    - vous abonnant à nos revues, Synthèse nationale bien sûr, et aux Ca­hiers d’Histoire du nationalisme.

    - achetant les livres que nous proposons (les auteurs présents vous les dédicaceront).

    - adhérant aux Amis de Synthèse nationale présidés par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta et animés en Ile-de-France par Hugues Bouchu.

    Par avance nous vous remercions.

    N’oubliez jamais la devise que nous avons fait nôtre à Synthèse natio­nale : « Tant que les patriotes se battront, la France existera… »

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Pour aider Synthèse nationale cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Valérie Bugault : Les banques internationales contre les Etats.

  • Face aux « valeurs » républicaines, l’internationale populiste ?

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    Par Luc Sommeyre, contributeur de Minurne   

    Cette contribution polémique tente d’analyser le rapport entre le régime républicain et la destruction des identités nationales. Une tribune virulente au ton acéré que nous publions dans un souci de présentation de contributions iconoclastes.

    1789

    La Royauté devait être réformée et adaptée aux évolutions lentes qui font l’Histoire. En aveugles, ses Princes avaient usé le pouvoir.

    Profitant des carences – certes réelles – de l’Ancien Régime, les marchands des bourgs (les bourgeois) ont enivré le Peuple pour lui faire miroiter « le pouvoir du Peuple, pour le Peuple et par le Peuple ». Ils flattèrent avec habileté l’orgueil d’hommes braves, simples, mais pauvres et dans la détresse. Le terreau était propice. Comme toutes les promesses, c’était gratuit ! Abusés par ces envolées hypocrites, de braves gens se sont retournés contre le Roi de France, Louis XVI (qui n’aurait pas fait de mal à une mouche), pour le charger de tous leurs maux, à la manière du « Bouc Émissaire » dont certains Pères de la Révolution avaient forgé la légende. Pour l’avoir manipulée de temps immémoriaux, ils en connaissent tous les détours. Saoulés de vaines espérances, des femmes et des hommes de France, abusés, ont inconsciemment commis l’irréparable : le parricide.

    Ainsi naquit la Ripoublique, « La Gueuse ». Dans le sang de La Terreur.

    D’hier à aujourd’hui

    Les marionnettistes n’ont pas lâché les ficelles. Mais les marionnettes sont usées et les yeux du Peuple recouvrent aujourd’hui une acuité de plus en plus nette. On a simplement changé l’habit des marionnettes mais les manipulateurs sont impuissants à rendre les ficelles invisibles.

    Peu-à-peu, de 1945 à 1990,  l’« Internationale » s’est fondue dans l’antre de la GFI, la Grande Finance Internationale. Lentement mais sûrement, la pieuvre s’est coulée de la Place Rouge à Moscou vers Constitution Avenue à Washington (le siège de la Federal Reserve – que l’on a pris l’habitude de nommer « Réserve Fédérale US » alors que cette institution n’a rien d’américain ; elle est d’essence exclusivement internationale et n’a d’autre vocation que d’établir les bases de l’« Internationale Financière & Marchande »).

    Ainsi naquit, par cette alliance mièvreusement présentée comme contre-nature par des ânes au service de leurs maîtres, le miroir aux alouettes du « Nouvel Ordre Mondial ». Or les tentacules de la Bête Immonde ne peuvent se déployer qu’en détruisant toutes les identités. En détruisant tous les Peuples.

    Ce à quoi on assiste aujourd’hui.

    Mais de quel bois sont faites les baraques de ces marionnettistes ?

    De bois républicain.

    Engluées dans des débats stériles où les décisions sont arrêtées avant les débats, les Républiques de tous poils, désormais brinquebalantes et diversement soutenues par des régimes plus ou moins parlementaires, tiennent toujours au Peuple le même discours. Un discours éculé. Plus personne n’est dupe.

    J’ai « fait Mai 68 ». (Non, pas dans le camp des crasseux.) J’ai encore le souvenir ému du jour où j’ai vivement balancé ma main dans la gueule de Cohn-Bendit au théâtre de l’Odéon (un affrontement de « jeunes » bien sûr – ni Geismar ni Sauvageot n’ont bougé – si j’ai bonne mémoire, c’était un soir de visite de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir). Un vrai plaisir ! Cette offense suprême pourrait encore faire frémir certains « juges » – mal-nommés – mais… dommage : il y a prescription.

    Eh bien oui, en 68, on en a entendu, des slogans ! Les trotsko-anarchistes beuglaient « Il Est Interdit d’Interdire » pour faire entrer dans l’esprit des « jeunes » (qui n’étaient pas encore des « djeunes ») les fantasmes déstabilisateurs de destruction de notre société et de notre identité, dont ils avaient pour consigne de creuser la tombe.

    Mais on a aussi entendu des slogans de bon-sens, noyés dans le magma des éructations libertaires, comme « Élections Piège À Con ».

    Nicolas Sarkozy (digne… « républicain » s’il en est !) l’a parfaitement illustré lors du passage en force du Traité de Lisbonne.

    Eh bien oui, ces soixante huitards-là avaient raison ! Ce slogan n’aurait pas été renié le 6 Février 34 par les clans des nationaux qui tentèrent, voici plus de 80 ans, d’abattre « La Gueuse ». Mais son heure n’avait pas encore sonné.

    Alors, que faire ?

    Résister ? – Certes oui. L’éveil des consciences est un feu sacré qu’il faut attiser sans discontinuer. En ce sens, je rends un vibrant hommage au général Antoine Martinez qui vient de publier sa « Lettre au Président » dans nos colonnes il y a fort peu.

    Se préparer au pire ? – Oui aussi. De discrets réseaux de résistance se sont constitués depuis longtemps partout en France. Et si « le pire » ne se produit pas, les Femmes et les Hommes de France (et d’ailleurs) qui ont formé ces noyaux auront pris d’excellentes habitudes tant pour eux-mêmes que pour le réveil de notre Communauté nationale.

    Mais face à la Pieuvre Mondialiste, qui dispose (encore) de tous les médias et moyens de communication-abrutissement officiels, la Résistance est bien peu armée. Armée aux sens propre et figuré.

    J’ai étudié avec attention tous les commentaires (judicieux mais d’avis divers) postés sur notre journal, particulièrement sous la publication de la Lettre du général Martinez. La possible prise de position des Forces de l’Ordre au sens large (où nous comptons une très importante majorité de soutiens individuels) est sujette à des paramètres que nous ne maîtrisons pas.

    Les plus « confiants » de nos Lecteurs ont raison. Les plus « sceptiques » n’ont pas tort.

    Alors ?

    « Populisme » n’est pas un gros-mot

    C’est bien au contraire la marque de l’attachement réel aux intérêts et au bien-être du Peuple. Du Peuple de notre France comme de partout en Europe. Et partout en Occident. Et ceci, sans haine de quiconque, mais avec la fermeté inébranlable de soutenir et promouvoir « les nôtres avant les autres ». Chacun chez soi, et les vaches seront bien gardées dit-on dans nos Provinces… Ah le bon-sens paysan !

    Non, les Nationalistes ne sont pas repliés sur eux-mêmes !
    J’évoquais in limine ces « évolutions lentes qui font l’Histoire ».

    La marque des XXème et XXIème siècles est gravée dans l’évolution technologique et particulièrement dans celle de la communication. Sous le règne de SM Louis XVI (ça va vous surprendre) les réseaux GSM et Internet n’existaient pas. Mais non ! Se rendre de Paris à Orléans était une expédition. En 1934, pour aller de Paris à Nice, on devait prendre le Chemin de Fer et prévoir des provisions pour le voyage. Aujourd’hui, monter dans un jet pour visiter un client à Buenos Aires n’est pas un problème.

    Pensez-vous que nous sommes plus benêts que nos fameux « donneurs de leçon » ?

    Nous, Nationalistes, avons tissé des relations d’amitié avec nos voisins européens et relégué dans un triste passé les conflits fratricides qu’on s’est chargé de susciter pour nous détruire mutuellement. Nous avons aussi développé des relations cordiales avec des Peuples non-européens, que nous ferions mieux d’aider à se développer chez eux plutôt que de laisser s’agglutiner leurs miséreux chez nous.

    Nos frontières doivent être rétablies. Mais une frontière n’est pas une barrière. C’est une porte. Et comme l’aurait dit Alfred de Musset, une porte doit être ouverte ou fermée. Selon les besoins.

    De l’Autriche à l’Italie en passant par la Pologne, la Hongrie et tant d’autres nations, nous prenons acte du réveil des peuples d’Europe. Nous, Nationalistes d’Europe, sommes conscients de nos fondements historiques et civilisationnels communs. Nous continuerons à parler allemand en Allemagne, polonais en Pologne et français en France. Et ces « portes » que sont nos frontières dont je parlais à l’instant s’ouvriront à celles et ceux qui viennent nous visiter en amis. Outre les « véritables réfugiés » que nous avons le devoir moral imprescriptible d’accueillir et de protéger en l’attente du retour de la paix dans leurs pays d’origine, je n’exclue nullement les personnes d’origines extra-européennes qui souhaitent apprendre nos civilisations, qui nous respectent et obéissent à nos lois et à nos coutumes.

    Cette communauté d’esprit et de cœur doit déboucher dès aujourd’hui sur la création, de la Maison Blanche au Kremlin, d’une internationale populiste.

    Luc Sommeyre
    17/03/2018

    Note de l’auteur : Les prises de position ci-dessus n’engagent que votre serviteur.

    Source : Minurne Résistance

    Crédit photo : Domaine public, via Pexels

    https://www.polemia.com/valeurs-republique-internationale-populiste/

  • L’Etat va recruter des délinquants condamnés pour traquer les Français dont les opinions sont jugées déviantes par le gouvernement

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    Bientôt la peine de Momo, condamné pour trafic de drogue, sera de traquer les commentaires des patriotes et de les dénoncer à la justice !  Ils ne reculent vraimenr devant rien… Le Premier ministre Édouard Philippe avait dévoilé lundi dernier un nouveau grand « plan contre le racisme et l’antisémitisme » dont l’objectif vise à retirer de l’internet les opinions que le gouvernement décrètent comme déviantes idéologiquement.

    Lire la suite sur Contreinfo

  • La dictature victimaire a ses commissaires politiques

    6a00d83451619c69e201b7c95b9548970b-800wi.jpgFrançois Bousquet, rédacteur en chef de la revue Eléments, est interrogé sur Boulevard Voltaire. Extrait :

    "Vous consacrez votre dossier à la « dictature victimaire ». Une pandémie mondiale, selon vous…

    C’est la victimocratie, du grec « kratos », qui veut dire « pouvoir ». Autrement dit, la victimocratie est ce nouveau régime dans lequel le pouvoir est détenu par les victimes, réelles ou présumées. Cela leur confère un capital lacrymal, très lucratif, et les place au centre du jeu social. Or, qui dit victime dit coupable. Celui-ci est tout trouvé, c’est le fléau de la « suprématie blanche » : tout individu porteur de ce que les Américains appellent le « white privilege », le privilège blanc censé conférer un ensemble d’avantages invisibles par rapport à ce que vivent au quotidien les non-Blancs (sic). L’objectif, c’est d’abolir ledit privilège dans une nuit du 4 août mondiale depuis les États-Unis, où sévit un néo-maccarthysme hystérique qui n’est pas sans rappeler les délires ubuesques de la révolution culturelle chinoise. Il est l’œuvre de minorités « racisées » et « genrées » ; et s’appelle lutte contre le racisme, le sexisme, l’homophobie et tout ce qui est susceptible d’une suffixation phobique, des handicapés aux islamistes, selon la logique d’emballement victimaire qui commande notre monde.

    Ainsi, tout un chacun, à la condition qu’il soit pourvu d’un stigmate social, est-il invité à s’installer dans une posture victimaire parce que c’est symboliquement la position dominante la plus confortable et la plus rentable. En somme, c’est : Maman, quand je serai grand, je serai une victime ! Ce néo-maccarthysme diffuse partout une culture gémissante de la vindicte publique et de la délation. Au lieu de parler de culture du viol, il serait du reste bien plus juste de parler de culture de la délation. Sur les réseaux sociaux, on est sommé de « signaler un contenu inapproprié » (comprenez : un discours de haine). Le CSA croule sous les signalements (90.000 en 2017). Facebook encourage la dénonciation, Google déréférence à tout-va et Twitter suspend au même rythme. Avec les réseaux sociaux, le moindre minuscule « dérapage » se transforme tout de suite en affaire d’État. Ces réseaux fonctionnent comme l’effet papillon. Un battement d’ailes à Hollywood provoque une tornade dans tous les médias occidentaux. Et un éternuement de Caroline De Haas, un tremblement de terre à Paris, Londres et Berlin. Seuls les Russes sont épargnés. Pourvu qu’ils tiennent !

    C’est ce qui vous fait dire qu’« on peut plus rien dire », comme le chantait Didier Bourdon des Inconnus ?

    Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit. Une nouvelle génération d’inquisiteurs est en train de s’imposer. Ce ne sont plus les austères commissaires politiques à l’ancienne, comme dans feu l’Union soviétique, mais des Robespierrettes féministes, des Torquemada transgenres, des procureurs revêtus de robe arc-en-ciel, des Tontons macoutes antiracistes, des Toussaint Louverture geeks. Un mélange d’Ubu roi, de Harry Potter et de Bisounours… qui finissent par ressembler à des gremlins, ces peluches qui se transforment en petits monstres. Des noms ? Osez le féminisme !, les collectifs LGBT, la LDH, SOS Racisme, la LICRA, le MRAP, le CRAN, le Parti des indigènes de la République (PIR), le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). On dénombre même une Brigade anti-négrophobie. Ces associations font régner un climat de terreur, ou plutôt de tiédeur, dans les salles de rédaction, mises à l’amende dès qu’elles franchissent la ligne jaune. Ce n’est plus tant le législateur – même s’il est déchaîné depuis un demi-siècle (les lois liberticides Pleven, Gayssot, Taubira, Lellouche, Perben II, etc., sont là pour en témoigner) – qui tient aujourd’hui les ciseaux d’Anastasie (du nom de la censure au XIXe siècle) que ces associations. Au fond, la puissance publique sous-traite la censure à des prestataires extérieurs : les associations antiracistes et les ligues de vertu féministes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Radouane Lakdim, un destin français ?, par Caroline Parmentier

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    Le sacrifice héroïque du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame qui a bouleversé la France, redonne aux Français le sens de leur identité. L’amour de la patrie, l’idéal de sa mission, l’amour chrétien capable de donner sa vie pour en sauver une autre. Honneur à lui. A travers lui, nous ne sommes plus des soumis.

    Mais son exemple qu’Emmanuel Macron nous brandit aujourd’hui avec lyrisme, va-t-il seulement en tirer la moindre leçon ? Il ne suffira pas de presser les mains de la veuve, de tapoter le dos des parents et de faire une belle rédaction de français lors des obsèques nationales. Le passage à l’acte de Radouane Lakdim, Franco-Marocain de 25 ans, qui a tué quatre personnes et qui a égorgé le lieutenant-colonel Beltrame après lui avoir tiré dessus, comme l’ont confirmé les derniers résultats de l’autopsie, était tout sauf une surprise, contrairement à ce que veut nous faire gober Gérard Collomb.

    Suivi par les services de renseignement depuis 2016 pour radicalisation, fiché « S » depuis l’été 2014, condamné à deux reprises en 2011 et 2015, pour des faits de droit commun, il avait été signalé comme dangereux après un déplacement dans plusieurs pays susceptibles d’être des terrains de formation au djihad. Il a de nouveau été signalé en 2017 pour ses relations avec la mouvance islamiste radicale.

    Nous le savions, nous l’avons répété pendant toute la campagne présidentielle, la présidence Macron ne changerait rien à celle de Hollande en matière de terrorisme islamiste, d’acquisition de la nationalité, de droit du sol, d’islamisation, de submersion migratoire musulmane.

    Fichés « S » et binationaux radicalisés, réseaux salafistes, rien n’a bougé. Lorsque Laura et Mauranne ont été égorgées à la gare Saint-Charles à Marseille en octobre dernier, rien n’a bougé. Il faut une volonté politique pour expulser les binationaux fichés « S », « entamer le bras de fer avec les pays d’origine notamment en agissant sur les fonds de développement mais aussi sur les transferts d’argent massifs qui sont envoyés dans ces pays-là par ceux de leurs compatriotes qui travaillent en France », comme le préconisait Marine Le Pen dans l’interview qu’elle donnait samedi à notre journal. (Présent du 24 mars).

    Le pire, dans l’indécence le disputant à l’incompétence, est venu de Christophe Castaner, secrétaire d’Etat du gouvernement et patron de LREM. 48 heures après les faits, il déclarait sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie, prétendant qu’une telle mesure permettrait « d’identifier le risque » ! On ne l’identifie déjà pas ou mal, la preuve. Nos services de sécurité sont dans l’incapacité de suivre tous les fichés « S ». C’est vrai qu’il n’y en a que 20 000 à surveiller…

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 26 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Dimanche 13 mai : Fête nationale de Jeanne d'Arc

    2772073719.pngLe 13 Mai prochain, la Dissidence Française organise son grand rassemblement en hommage à Sainte Jeanne d’Arc, Martyre et Patronne France.
    Nous invitons tous les patriotes à se joindre à ce rassemblement traditionnel autour de la figure de celle qui, envers et contre tout, leva haut le drapeau national pour libérer la France de l’occupant.
    Nous rendrons hommage à cette figure centrale de l’Histoire de notre pays, en qui l’on trouve encore aujourd’hui une source de foi et d’inspiration inépuisable.
    Plusieurs organisations et personnalités seront présentes à cette occasion, et nous comptons sur chacun d'entre vous pour prendre part à ce grand rassemblement !
    RDV LE DIMANCHE 13 MAI 2018, À 10 HEURES DEVANT LA STATUE EQUESTRE DE JEANNE D’ARC, PLACE DES PYRAMIDES, 75001 PARIS.
    Tous à Paris le 13 Mai prochain !