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Lecture & Voyage • Sylvain Tesson, sur les chemins de chez nous
Sylvain Tesson publie Un été avec Homère, en librairie le 26 avril
par Louis-Joseph Delanglade
Sylvain Tesson fait la une de nombreux médias ces temps-ci. Il est en couverture du Figaro magazine de cette semaine. [Illustration]. Plusieurs chaînes de télévision l'ont invité, ont diffusé les images de ses reportages. Il publie le 25 avril Un été avec Homère, reprise de ses chroniques de l'été 2017 sur France Inter. Louis-Joseph Delanglade lui a consacré l'un de ses Lundis [19.12.2016] alors qu'il venait de faire paraître Sur les chemins noirs. Cette chronique nous renseigne sur la personnalité attachante de cet auteur, qui ne cesse de marcher sur les chemins de chez nous. Au propre et au figuré. LFAR
Peu importe qui il est. Désireux d’accomplir la promesse qu’il s’était faite sur son lit d’hôpital (« si je m’en sors, je traverse la France à pied »), un jour, il s’est mis en marche. Pas façon Macron, façon chemineau, comme un personnage de Giono. A pied donc, de Tende à La Hague, une belle diagonale du Mercantour au Cotentin, du 24 août au 8 novembre 2015, en empruntant au maximum les chemins les plus improbables, les plus délaissés, les plus retirés de la vraie France profonde. En est résulté un petit livre qui, en contrepoint du récit de cette pérégrination, propose une véritable réflexion sur la France d’aujourd’hui.
Fuyant le « clignotement des villes » et méprisant les « sommations de l’époque » (en anglais, comme il se doit à l’ère de la globalisation : « Enjoy ! Take care ! Be safe ! Be connected ! »), le voyageur met en pratique une stratégie de « l’évitement ». Eviter quoi ? Ce qu’il appelle « le dispositif ». D’abord visible à l’œil nu : c’est la France des agglomérations telle que l’ont voulue les « équarrisseurs du vieil espace français », ZAC et ZUP des années soixante ayant enfanté les interminables zones pavillonnaires et les hideuses zones commerciales. Laideur partout.
Ce réquisitoire implacable contre le saccage du territoire rejoint la dénonciation de la mondialisation, cette « foire mondiale » qui ruine un terroir « cultivé pendant deux mille ans ». Aux « temps immobiles » a succédé un « âge du flux » dont le « catéchisme » (« diversité », « échange », « communication ») est véhiculé par l’arrivée d’internet et la connexion généralisée. Temps immobiles : une nuit passée au monastère de Ganagobie (« Les hommes en noir […] tenaient bon dans le cours du fleuve. En bas, dans la vallée, les modernes trépidaient ») ; ou la vision du Mont-Saint-Michel (« C’était le mont des quatre éléments. A l’eau, à l’air et à la terre s’ajoutait le feu de ceux qui avaient la foi »).
Faisant sienne la vision de Braudel selon laquelle la France procède d’un « extravagant morcellement » humain et paysager, l’auteur dénonce ensuite le « droit d’inventaire » que s’arrogent « les gouvernants contemporains », notamment « les admirateurs de Robespierre » qui, favorables à « une extension radicale de la laïcité », veulent « la disparition des crèches de Noël dans les espaces publics » (et pourquoi pas des milliers de calvaires ?) pour les remplacer par … rien du tout, le néant, la mort.
Ce n’est certes pas un livre de propagande, ni un bréviaire idéologique mais bien l’œuvre d’un loup solitaire. Un livre qui peut sembler défaitiste, voire nihiliste (« je me fous de l’avenir »), au mieux nostalgique. Voir dans l’auteur un énième avatar du « bon sauvage » serait pourtant bien réducteur. On l’imagine mieux prêt à « chouanner » (selon le mot de Barbey qu’il rapporte lui-même). C’est sans doute là sa véritable portée : « Sur les Chemins noirs » de Sylvain Tesson est l’œuvre d’un antimoderne de bonne race qui nous aide à retrouver le chemin de chez nous.
Un été avec Homère, Sylvain Tesson, France Inter / Les Equateurs (en librairie le 26 avril)
Sur les chemins noirs. Sylvain Tesson, Gallimard, 144 p., 15 €
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Ce que les mots veulent dire...
Claude Bourrinet
Des néologismes tels qu'islamo-fascisme, ou islamo-nazisme, outre qu'ils peuvent rendre un grand service, par amalgame avec la résistance palestinienne, à la civilisation de garde-frontière qui s'est imposée entre le Jourdain et la Méditerranée, jettent sur une partie de la survie politique de ce qui reste de notre nation, si pénible, une lumière flageolante. Il est vrai que ces vocables, comme il est normal dans le champ sémantique de la propagande, servent à empêcher de penser, et sont utilisés comme des armes d'anéantissement de l'adversaire, réduit à l'infâme, avec qui on ne discute pas – si tant est qu'il soit susceptible de dialogue.
On ne tentera pas ici de répondre à cette manipulation linguistique par une enquête sur l'histoire de l'islam, et de son face à face avec un Occident chrétien dont le moins que l'on puisse dire est qu'il n'eut pas toujours la main légère. La prise de Jérusalem, par exemple, en 1099, se termina par le massacre intégral de ses habitants, en comptant les femmes et les enfants, cela va sans dire. Soulignons au passage que là où les musulmans accordaient aux chrétiens un statut de dhimmi, qui est toujours mieux que celui de mort, les Européens interdisaient intégralement sur les territoires qu'ils occupaient toute autre religion que la chrétienne, à l'exception du judaïsme, que l'on tolérait à peine, pour des raisons religieuses (sauf à expulser les Juifs, comme en Espagne, où ils soutinrent jusqu'au bout le colonisateur musulman).
Nous pèserons plutôt ce que l'on entend par « fascisme » ou « nazisme », ce qui n'est pas exactement la même chose.
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DÉLIT D’INGÉRENCE… L’UNION EUROPÉENNE NE RECULE DEVANT RIEN POUR IMPOSER SES VUES !
La Commission européenne imagine conditionner le versement des fonds européens au respect de l’État de droit, à la préservation de l’indépendance de la justice et à l’adhésion aux « valeurs » européennes.
Suivez mon regard : les premiers pays visés seraient la Pologne et la Hongrie, ainsi que la Roumanie, toutes les trois sous la menace d’une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne.
Les institutions européennes n’en finissent plus d’imposer leurs vues et les exemples d’ingérence sont désormais légion. Ainsi, le mois dernier, le Conseil de l’Europe a appelé Moscou à autoriser Alexeï Navalny (Алексей Навальный) à être candidat à l’élection présidentielle en Russie. En raison de condamnations pénales, il ne le pouvait. Or, l’Union européenne voulait l’imposer. En Russie, un casier judiciaire vierge est indispensable pour être candidat. Il est vrai que ce n’est pas le cas chez nous. Voilà bien une ingérence flagrante dans les affaires internes d’un pays souverain, qui plus est en faveur d’un criminel condamné.
Selon des documents internes de l’Union européenne divulgués par « The Times », la Commission européenne a créé, en décembre 2016, un fonds spécial pour combattre les partis politiques favorables à une sortie de l’Union. Des millions d’euros ont été attribués à de multiples projets dans tous les États membres, pourvu qu’ils incitent à toujours plus d’Europe « bruxelloise ». Le Royaume-Uni, qui a voté en juin 2016 pour la sortie de l’Union, n’en a pas été exempté… heureusement en vain !
Ils veulent que les États membres restent en phase avec la structure multiculturelle et supranationale de Bruxelles. Ce programme de propagande est financé par les États membres à l’insu de la majorité de leurs citoyens.
« Il y a une invasion en Europe », dit Orbán dans un de ses discours de campagne. « Si nous permettons cela, des dizaines de millions de réfugiés viendront d’Afrique et du Moyen-Orient dans les prochaines décennies. » Orbán ne respecte pas les accords européens pour la redistribution des réfugiés. Il est attaqué au Parlement européen. Or, la Hongrie refuse de coopérer avec la décision de l’Union européenne depuis plus de deux ans, de redistribuer les demandeurs d’asile à travers l’Union. En 2017, déjà, les commissaires européens se sont penchés sur les « tendances très inquiétantes » constatées contre les libertés fondamentales en Hongrie.
Seule la lutte contre la criminalité grave devrait être susceptible de justifier une telle ingérence. Or, le vrai visage de l’Union européenne c’est le musèlement des nations souveraines par des technocrates non élus et l’ingérence dans les affaires des États.
Une disposition du traité de Lisbonne renforce pourtant l’influence des États membres sur l’évolution de l’Union européenne en introduisant un nouvel acteur dans les relations institutionnelles qui se nouent autour de la mise en œuvre du principe de subsidiarité. Elle prévoit, en effet, que « les Parlements nationaux veillent au respect du principe de subsidiarité ». L’Union européenne devrait en tenir compte et respecter la souveraineté de tous les pays d’Europe.
Alors, nous aussi, observons ce qui se passe à l’Est… car le réveil de ces nations suscite chez des millions de gens, à l’Ouest, une formidable espérance.
http://www.bvoltaire.fr/delit-dingerence-lunion-europeenne-ne-recule-devant-rien-imposer-vues/
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MUNICIPALES DE 2020 : MACRON À LA MANŒUVRE. FAUDRAIT VOIR À SE RÉVEILLER, À DROITE…
Emmanuel Macron a surpris les droites par sa prise du pouvoir aussi méthodique qu’inattendue, l’an dernier. Après cette période de lancement du produit réussie, toute l’entreprise est mobilisée sur les prochains objectifs : s’implanter localement et, donc, gagner les élections municipales de 2020. L’enjeu est capital pour le parti présidentiel : des municipales gagnées à mi-mandat valideraient la politique réformatrice du Président et assurerait sa réélection en 2022. On comprend donc l’extrême attention avec laquelle il traite ce sujet personnellement, demandant des rapports précis sur telle ou telle ville.
Déjà, le 28 février dernier, il recevait une dizaine de maires de droite recrutés par M. Estrosi. On sait aussi que le parti LREM s’est doté d’une équipe et d’une stratégie entièrement tournées vers ces municipales : analyse de la situation locale, contacts, repérages des personnalités macron-compatibles, mobilisation des relais locaux de 2017, mise en orbite de députés LREM. Comme il y a un an, rien n’est laissé au hasard et la stratégie commerciale d’alors, gagnante, tourne à plein régime.
Au passage, cela devrait inquiéter la droite qui se perd en querelles de ligne et d’appareils au niveau national au lieu d’effectuer ce travail de terrain, dans les villes, non seulement pour ces municipales de 2020, mais aussi pour retrouver ses bases perdues. La dynamique préparatoire macroniste peut devenir une véritable dynamite pour la droite qui se repose, à tort, sur ses « bastions » locaux. Or, les sortants de droite sont usés et fragiles. Certains par l’âge et le positionnement ambigu, comme MM. Juppé et Gaudin (qui ne se représente pas). D’autres par le besoin de renouveau de la population. Tous, enfin, par le chamboulement politique engagé : si le PS est mort avec MM. Hollande et Hamon, LR bouge encore, mais étranglé entre le siphonnage macroniste et la poussée frontiste.
D’ailleurs, M. Macron a bien compris tout le parti qu’il pouvait encore tirer de cette droite fragilisée. Il l’a fait exploser au niveau national en nommant M. Philippe et d’autres membres LR au gouvernement. Il poursuit ce dépeçage au niveau municipal. Mais, après la phase « séduction », comme tout bon commercial, le Président impose ses conditions : plus question de double appartenance tranquille LR-LREM. Il faudra que les élus de droite intéressés par un soutien des macronistes donnent « des gages », « des preuves d’amour », selon Le Figaro ! Le « en même temps » a ses limites. Et les élus de droite intéressés devront adhérer à une « charte de valeurs et d’engagements » actuellement en préparation. On parle même d’une adhésion obligatoire au nouveau parti. LREM est un peu comme tous ces sites où vous êtes libres de venir, « sans engagement », mais où très vite, au moindre clic, on vous demande votre adhésion. Chez les macronistes, on commence à s’agacer de la « duplicité » de certains maires de droite « bienveillants en apparence mais qui ne jouent pas le jeu »au niveau local. Des noms ? Le maire LR de Reims, Arnaud Robinet, celui d’Angers, Christophe Béchu, celui de Niort, Jérôme Baloge (UDI) ou encore de Nancy, Laurent Hénart (radical).
On comprend bien ces maires de droite. Pas facile de miser deux ans avant, en politique… Surtout quand on a des convictions assez floues. Et surtout au moment où un sondage Elabe, pour Les Échos, indique que la popularité de M. Macron, forte chez les cadres (65 %), s’effondre dans les milieux populaires (27 %). Ce qui est bon pour M. Griveaux à Paris ne l’est pas forcément à Reims ou à Agen…
Ce qui est sûr, c’est que l’activisme du Président Macron pour ces municipales devrait susciter un sursaut à droite.
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L'avenir de la SNCF
par Charles de Bourbon-Parme
Chers amis,
Une fois de plus, le pays a été pris en otage par une minorité de travailleurs privilégiés, aux régimes de protection sociale adaptés, aux nombreux avantages salariaux, confortés dans une situation de quasi inamovibilité de leur emploi.
Les cheminots de la SNCF, puisqu'il s'agit d'eux, ont participé au mouvement national de grève ayant frappé les services publics ces derniers temps. En cause ? La réforme de leur statut, nécessaire à la redynamisation de leur entreprise pour faire face à son ouverture à la concurrence. En somme, ces employés ont préféré menacer la survie de leur entreprise, et donc leur bien commun, plutôt que de s'asseoir à la table des négociations pour étudier les moyens d'assurer son avenir et donc l'emploi de tous. Quelles sont les victimes immédiates de ces actions ? Les usagers. Quelles sont les victimes collatérales ? Les grévistes eux-mêmes, à terme, s'ils persistent à s'opposer à la réforme nécessaire de leur entreprise.
Oh ! Bien sûr, la direction de la SNCF n'est pas exempte de critiques. Ainsi, la fermeture annoncée de nombreuses lignes dites déficitaires risque de peser lourdement sur l'aménagement du territoire et la compétitivité économique des communes isolées. Par ailleurs, si les régions, les départements et les communes s'organisent pour sauver ces lieux abandonnés de la SNCF, c'est à des compagnies étrangères que Réseau Ferré de France ouvrira les voies. La SNCF, alors, dans un deuxième temps, pâtira de sa vision purement gestionnaire.
Dans ces deux exemples, nous voyons bien que l'essentiel est oublié à chaque fois. Les employés négligent leur bien commun qui est l'entreprise pour ne penser qu'à leur bien particulier immédiat. L'entreprise néglige le bien commun du monde économique qui est la préservation de la vigueur des territoires français. Enfin, l’État qui, depuis tant d'années, néglige son rôle d'actionnaire principal en n'anticipant pas les réorganisations nécessaires, laisse cette structure folle développer ses erreurs, comme des prix du billet de TGV de plus en plus prohibitifs, l'abandon du calcul du coût du billet au kilomètre, l'absence de réforme de fond des structures de l'entreprise et de sa masse salariale, le délaissement d'un réseau ferré et d'une flotte de trains aujourd'hui vieillissants pour une part importante.
A chaque échelon, ce sont les Français, c'est la France qui souffrent de cet abandon du bon sens.
Ne nous en laissons plus compter !
Charles
http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/social-et-economie/2633-l-avenir-de-la-sncf
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Brésil – L’armée prête à prendre ses responsabilités
Au Brésil, l’armée semble prête à prendre ses responsabilités. Le général Eduardo Villas-Boas, chef de l’armée brésilienne, a publié mardi soir sur Twitter un message dans lequel il indique que les militaires « partagent le sentiment des Brésiliens qui répudient toute impunité« . Même si le général ne cite pas explicitement l’ex-président Lula, condamné pour corruption, son message est clair pour qui doit l’entendre.
Et, jeudi, la Cour suprême du Brésil a rejeté la demande d’habeas corpus de Lula, signifiant que son arrestation devrait être imminente. Ce qui irrite profondément la gauche et l’extrême gauche qui espéraient bien revoir Lula aux commandes de l’Etat à l’issue du prochain scrutin présidentiel et plaidaient pour qu’il échappe à sa condamnation.
Car Lula, 72 ans, a été condamné à une peine de douze ans et un mois de prison pour avoir reçu un luxueux appartement en bord de mer de la part d’une entreprise de bâtiment en échange de faveurs dans l’obtention de marchés publics.
Cette condamnation est l’aboutissement du travail des procureurs de l’opération « Lavage-Express », qui ont mené une enquête aux ramifications tentaculaires, dévoilant un gigantesque scandale de corruption impliquant des hommes politiques de tous bords.
Mardi soir, veille du jugement, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient manifesté dans les plus grandes villes du pays pour réclamer l’incarcération de Lula.
Et l’armée entend bien faire respecter ce jugement et voir l’ex-président corrompu derrière les barreaux. Sur les réseaux sociaux, des appels surgissent d’ailleurs pour demander à l’armée d’intervenir si nécessaire pour protéger le pays du communisme.
http://www.medias-presse.info/bresil-larmee-prete-a-prendre-ses-responsabilites/89793/
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Trump envoie la Garde nationale à la frontière du Mexique en annonçant qu’il bloquera la caravane des « migrants », et ça marche !
C’est ce que les Européens auraient dû faire mais n’ont pas fait en 2015. Confronté à une arrivée massive de « migrants » accompagnés par une ONG immigrationniste, Donald Trump, au contraire du chancelier allemand Angela Merkel qui avait ouvert ses frontières, a annoncé le 3 avril sa décision d’envoyer la Garde nationale à la frontière avec le Mexique et de stopper l’invasion. Quelques jours après, comme le constate le New American, la « caravane » d’immigrants illégaux venant coloniser le Nord, organisée par l’ONG gauchiste Pueblo Sin Fronteras (Peuple sans frontières), se disperse.
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12 avril à Paris : conférence d'Alexandre Del Valle
A l’occasion de la sortie du dernier ouvrage d’Alexandre Del Valle La stratégie de l’intimidation, l’Institut de Formation Politique, Damoclès et les éditions l’Artilleur organisent une rencontre exceptionnelle autour de l’auteur le 12 avril prochain.
Il viendra présenter son livre dans lequel il « apporte la preuve que le djihadisme et l’islamiquement correct fonctionnent de concert ».
Expert international reconnu, Alexandre Del Valle est spécialisé en géopolitique et s'intéresse principalement à l'islamisme, aux relations entre l'Europe et la Turquie et au monde arabo-musulman.
Il viendra présenter et dédicacer son ouvrage le jeudi 12 avril à partir de 19h à la brasserie Le Cardinal au 1, boulevard des Italiens 75002 Paris.
Inscription obligatoire (5 € l’entrée et une boisson gratuite). Places limitées.