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  • LUTTE CONTRE LES TERRORISTES OU LUTTE CONTRE LES CHEMINOTS

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    Passionnante, l’édition spéciale de « Samedi politique » proposée par Élise Blaise sur TV Libertés à propos du terrorisme islamique en France décrypté par Xavier Raufer. Une émission que chaque Français devrait avoir écoutée en priorité (je fais un rêve…).

    Une brillante analyse dont un passage m’a interloqué. Xavier Raufer y surprend totalement à propos de ces viviers du terrorisme que sont les quelques centaines de quartiers urbains bénéficiaires de la politique de la ville. La politique de la ville, globalement, c’est une machine financière d’État à acheter la paix sociale dans les quartiers dits pudiquement « difficiles ». Une machine qui coûte très cher, car son coût réel est éparpillé en de nombreuses lignes budgétaires dans plusieurs ministères différents.

    Élise Blaise rappelait que, tant que le clientélisme électoral sévira dans notre pays, rien ne changera. Et là, surprise, Xavier Raufer rétorque qu’au contraire, « c’est enfantin » de résoudre le problème : suivre la piste financière et voir où va l’argent, et suivre la piste policière, renseignement et surveillance en priorité dans ces quartiers, puisque l’on sait que tout le terrorisme part de ces zones bien précises. En d’autres termes, mettre simplement le paquet sur les nids de terrorisme.

    Mon pessimisme sur la gangrène du terrorisme en France vole en éclats, un spécialiste d’envergure, parfaitement au fait du problème, nous enseigne que rien n’est irréversible.

    À mon espoir succède mon étonnement. Puisque les spécialistes considèrent que le terrorisme n’a rien d’inéluctable, pourquoi n’est-t-il pas déjà éradiqué ?

    N’est-ce pas une réforme urgente que celle de mettre fin aux menaces terroristes qui peuvent surgir partout en France ? Ne serait-ce pas plus urgent que la réforme du statut de la SNCF ? Certes, notre gouvernement « bruxellois » a décidé que le service public à la française devait disparaître pour laisser la place au libre jeu de la sacro-sainte concurrence. Comment, diable, ai-je pu vivre des décennies comme usager de la SNCF sans les bienfaits de la concurrence ? Mais, au fait, quel service public va-t-on liquider après les cheminots ? La RATP ? Les services d’incendie ? L’hôpital public et ses urgences ? Le ramassage des ordures ?

    Revenons aux cheminots. Quoi de plus subversif et dangereux, pour la paix publique, qu’un cheminot, je vous le demande. Grassement enrichis à ne rien faire, payant presque tous l’ISF, vivant scandaleusement sur les impôts des pauvres contribuables, en particulier les contribuables habitant dans les quartiers de la politique de la ville, ces cheminots privilégiés doivent disparaître en priorité. D’où la haine bien compréhensible et clairvoyante des autres Français pour ces nouveaux exploiteurs.

    Notre Premier ministre vient, d’ailleurs, de confirmer qu’il ira jusqu’au bout dans cette lutte salvatrice pour la France. Le terrorisme peut bien attendre, n’est-ce pas ? L’ennemi à abattre, c’est le dangereux et criminel cheminot. Je comprends mieux, maintenant, la politique du gouvernement. C’est limpide !

    http://www.bvoltaire.fr/lutte-contre-terroristes-lutte-contre-cheminots/

  • Attentat de Magnanville : six personnes, dont une policière, interpellées et placées en garde à vue

    Six personnes ont été arrêtées lundi dans les Yvelines dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Magnanville, au cours duquel deux fonctionnaires de police avaient été tués à leur domicile le 13 juin 2016, a appris LCI de source judiciaire.

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  • Une Europe qui se protège de l’immigration

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    L’immigration qui submerge l’Europe est actuellement encouragée par la Commission de Bruxelles ainsi que par plusieurs États membres comme l’Allemagne. Ligne droite préconise de mettre un terme à cette absurdité en exigeant que l’Europe se protège de l’immigration. Une politique au demeurant parfaitement réalisable à condition de défendre les frontières extérieures de l’Union, d’agir dans les pays d’émigration pour tarir les flux et de diminuer pour les migrants l’attrait économique de l’Europe.

    Inverser la logique suicidaire de l’Europe bruxelloise

    « Il est temps d’affronter la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter l’immigration », a déclaré en décembre 2017 le Commissaire européen chargé de l’immigration, Dimitris Avramopoulos. On ne saurait mieux résumer le fait que l’Europe de Bruxelles ne protège pas les Européens de la catastrophe migratoire : au contraire, elle baisse les bras, quand elle ne se félicite pas du phénomène.

    L’Europe de Bruxelles obéit en effet à une idéologie libre-échangiste et cosmopolite pour qui le principe de libre circulation doit s’appliquer aux marchandises mais aussi aux hommes. Considérant d’ailleurs ceux-ci comme interchangeables, elle prétend en outre que l’apport d’une population immigrée permettra de compenser la diminution de la natalité européenne, négligeant par là même le danger de remplacement civilisationnel qui en résulte. Aveuglés par leur idéologie, les technocrates de Bruxelles encouragent donc l’immigration, cherchant même à sanctionner les pays qui, comme ceux du groupe de Visegrad, veulent s’en prémunir.

    Ligne droite préconise d’inverser cette logique suicidaire et considère que la droite nouvelle doit militer pour une Europe forte qui soit capable de protéger les Européens de l’invasion migratoire.

    Défendre les frontières extérieures de l’Union

    L’expérience d’autres pays prouve que l’immigration, notamment irrégulière, n’est pas une fatalité. Elle s’apparente en effet à un fleuve qui coule en suivant la plus grande pente et va donc vers les pays qui ne savent pas s’en protéger tout en s’écartant de ceux qui font preuve de vigilance et de fermeté.

    Comme l’ont montré les pays de l’Est européen, mais aussi Israël ou encore l’Australie, c’est d’abord en établissant un contrôle sérieux aux frontières que l’on peut réguler l’immigration. Malheureusement, l’Europe de Bruxelles est mondialiste avant que d’être européenne et les frontières extérieures de l’Union sont une véritable passoire, surtout à l’ouest.

    L’Europe puissance doit donc définir clairement ses frontières extérieures et les surveiller, les contrôler et les protéger en se dotant pour ce faire des forces nécessaires, nationales d’abord mais aussi communes, car en ce domaine tous les Européens sont solidaires.

    Adopter une attitude offensive pour tarir à la source les flux de migrants

    Il faut ensuite tarir en amont les flux de migrants, ce qui implique une projection de forces à l’extérieur de l’Union pour démanteler les réseaux de trafiquants qui organisent les passages en Europe, souvent d’ailleurs avec la complicité d’ONG mondialistes, comme l’a reconnu l’agence européenne Frontex.

    L’exemple de la campagne « Defend Europe », comme les actions engagées par l’Italie auprès de la Libye ou encore les premiers résultats de la politique américaine vis-à-vis des clandestins, montrent qu’il est tout à fait possible de tarir les sources d’immigration irrégulière.

    Pour cela, il serait d’abord indispensable que les marines européennes qui repêchent les clandestins en détresse, continuent certes de leur porter assistance, mais les reconduisent à leur port de départ plutôt que de les convoyer en Europe comme elles le font aujourd’hui. Un moyen certainement plus sensé de « sauver des vies ».

    L’Europe puissance doit aussi nouer des alliances avec les pays par lesquels transitent les flux migratoires pour aider à leur régulation. Il ne faut pas renouveler les erreurs commises en Libye où l’on a déstabilisé un régime qui verrouillait efficacement les migrations africaines vers le vieux continent.

    Enfin, l’Europe puissance doit aider les pays d’Afrique et du Moyen-Orient à assurer leur développement et à réguler la croissance exponentielle de leur population, car en la matière nos intérêts stratégiques sont convergents.

    Réduire l’attrait économique de l’Europe pour les migrants

    Dans cet esprit, il est également nécessaire de réduire l’attractivité de l’Europe aux yeux des migrants potentiels. Car, contrairement à ce que prétendent les médias de propagande, la majorité des migrants ont des motivations de nature économique. En tentant de s’installer en Europe, ils veulent avant tout y trouver de meilleures conditions de vie.

    Pour réduire la pression migratoire, il est donc indispensable de diminuer l’attrait économique des migrations vers notre continent Aussi faut-il instaurer une véritable préférence européenne dans l’accès à l’emploi et aux prestations sociales. De même, la taxation des emplois étrangers extra-européens devrait réduire chez les employeurs l’attrait pour la main-d’œuvre immigrante.

    Cesser de brader la citoyenneté des pays européens

    Pour aller encore plus loin dans cette voie, il conviendrait de revoir les règles d’octroi de la nationalité dans les pays de l’Union. Comme dans le Bas-Empire romain décadent qui accordait la citoyenneté à tous les habitants de l’empire, les pays d’Europe de l’Ouest finissent par accorder la nationalité à tout étranger qui y réside, même s’il y est entré irrégulièrement.

    Or, il est patent que le droit du sol et les procédures de naturalisation ou d’asile ne sont plus adaptés aux données actuelles de l’immigration de masse. Ils constituent un encouragement à l’immigration et dévaluent par ailleurs le pays d’accueil puisque rien n’est exigé pour en devenir citoyen.

    Ligne droite préconise en conséquence de remettre en cause les procédés laxistes d’acquisition de la nationalité en Europe. La nationalité ne doit plus être un droit pour les immigrants, elle doit au contraire se mériter et couronner les efforts accomplis dans la durée pour assimiler notre culture et ses valeurs. Faute de quoi les immigrants doivent quitter le territoire, a fortiori lorsqu’ils commettent des délits, des crimes ou lorsqu’ils ne respectent pas les lois en vigueur.
    Pour Ligne droite, l’immigration n’est nullement une fatalité : c’est au contraire un défi que l’Europe puissance doit être en mesure de relever.

    Ligne droite 08/04/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : JLB 1988 via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/europe-protege-immigration-ligne-droite/

  • Syrie : les mensonges jusqu’au bout - Journal du Lundi 09 Avril 2018

  • Réinfo, le magazine du Parti de la France

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  • La LICRA lors du procès de Nicolas Dupont-Aignan : « Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! »

    LICRA : « Monsieur Dupont-Aignan n’est pas raciste, ce n’est pas le sujet. Le problème n’et pas ce que dit Monsieur Dupont-Aignan mais la façon dont il le dit. Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! ».

    REQUISITOIRE : « Il faut interpréter le tweet en se mettant au niveau, à la portée du Français et de l’électeur moyen. 48% des Français sont racistes, j’en suis désolé. M. Dupont-Aignan parle d’invasion barbare et veut faire une France d’hommes blancs catholiques ».
    Lire la suite sur ContreInfo

  • 12 avril à Amiens, conférence avec les Juristes pour l'Enfance et les AFC sur les thèmes de la PMA et de la GPA

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Radicalité islamiste : lorsque des sociologues donnent raison à Robert Ménard… , par Silvio Molenaar

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    Alain Finkielkraut l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. »

    Les lecteurs de Boulevard Voltaire ont pu se réjouir de la relaxe en appel de Robert Ménard, mis en accusation pour avoir formulé une réalité : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Évidemment que ça pose problème. » Sept associations antiracistes, dont l’inévitable SOS Racisme, se sont donc vues débouter de l’accusation de « provocation à la haine et la discrimination » à l’encontre de Robert Ménard. Ces officines, dont le fonds de commerce consiste généralement à combattre une réalité incompatible avec leurs postulats idéologiques, ciblent volontiers le cuistre l’ayant formulée – devant un tribunal, de préférence.

    Alain Finkielkraut, dans l’une des fulgurances dont il a le philosophique secret, l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. » Pas de lien de cause à effet, me direz-vous, entre une classe à majorité musulmane et la violence islamiste, mais un dénominateur commun, toutefois, que l’on nomme, à tort ou à raison, islam. Que « la violence islamiste touche majoritairement les musulmans » (lieu commun) ne change rien à l’affaire d’ailleurs, mais attesterait précisément d’une guerre civile ravageant l’islam. Alain Finkielkraut (et il n’est pas le seul) s’est toujours attaché à contredire l’idée de facteurs exclusivement socio-économiques pouvant expliquer cette violence. Et si le « Ministre-Macron » adhérait encore à cette thèse, il semble que le « Président-Macron » ait modifié son approche, suite notamment à l’égorgement d’Arnaud Beltrame, ainsi qu’au massacre de Mireille Knoll. Ce qui permet au philosophe de se réjouir, dans Le Figaro du 4 avril : « Islamisme, le règne du déni touche peut-être à sa fin. »

    Reste l’idiotie utile et sa colossale puissance inertielle, magistralement illustrée ces temps-ci par quelqu’un comme Romain Goupil, épanchant sur tous les plateaux sa détestation de l’idée de patrie, de nation ou de frontière. Révulsé, en conséquence, à l’idée de consentir quelque vertu patriotique, et encore moins chrétienne, au sacrifice d’Arnaud Beltrame : ce ne peut-être, dit-il, qu’un fonctionnaire assumant honnêtement le « job » (sic). Lorsque l’on y songe, ce n’est pas sans une certaine ironie. Ce qui insupporte tant notre Romain constitue l’objet de détestation même du djihadiste lambda : la nation France ainsi que les compatriotes français. Quant aux frontières, nous savons nos amis égorgeurs aux anges lorsqu’elles sont passoires, et en extase lorsqu’elles disparaissent…

    Et voilà que Libération du 5 avril publie un article sur le travail de deux chercheurs, Anne Muxel et Olivier Galland, dont l’étude statistique fut menée durant trois ans auprès de 7.000 lycéens de 15 à 17 ans dans 23 lycées (La Tentation radicale, PUF). « La radicalité religieuse ne semble pas être principalement la fille de l’exclusion socio-économique, et sa racine spécifiquement religieuse semble forte », concluent les auteurs, selon Libération. Olivier Galland, co-auteur, sociologue, « note aussi un effet “ségrégation” : quand le taux d’élèves musulmans est très important dans un lycée, ceux-ci sont plus radicaux qu’ailleurs. Mais partout, les élèves musulmans sont plus radicaux religieusement que les autres. » Question de Libération : « Cette radicalité a-t-elle des causes sociales et économiques ? » Réponse : « L’effet “islam” explique bien mieux la radicalité que des facteurs socio-économiques. » Dont acte…

    Silvio Molenaar

    Tribune reprise dBoulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Ce que nous sommes – « Europe rime avec civilisation »

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    Par Aristide Leucate, Docteur en droit, journaliste et essayiste 

    Ce que nous sommes, bien davantage qu’une simple interrogation identitaire, est devenu un topos proprement existentiel. Conscient de cet état de fait, l’institut Iliade pour la longue mémoire, présidé par l’historien Philippe Conrad et cofondé avec l’ancien député européen Jean-Yves Le Gallou et l’africaniste Bernard Lugan, s’est proposé de revenir précisément « aux sources de l’identité européenne » à travers un petit livre de moins de 200 pages dressant l’état de lieux de ce que nous sommes réellement.

    Servi par une kyrielle d’historiens, philosophes, journalistes, linguistes provenant d’horizons divers et, notamment, de l’excellente revue Éléments, l’ouvrage ne constitue nullement un « catéchisme politique » ou une quelconque plate-forme programmatique. Ne posant aucun dogme, aucune vérité définitive, ne définissant aucun « sens de l’Histoire », il appelle, plus amplement, les Européens à s’éveiller en prenant pleinement conscience de leur identité, non seulement à partir de la mémoire de leurs origines, mais surtout en assumant hic et nunc une manière spécifique de voir et de façonner le monde.

    Organisé autour de trois chapitres selon un schéma vaguement inspiré du paradigme triparti dumézilien, ce viatique des origines commence d’abord par remonter jusqu’aux plus hautes cimes de la lointaine Histoire, de l’héritage indo-européen à la chrétienté médiévale, en passant par les legs grecs et romains. Dans un deuxième temps, les auteurs nous invitent à réinvestir, dans une perspective à la fois esthétique et éthique, la cité, les arts et la nature aux fins de déjouer cette irrésistible et incompréhensible pulsion de mort à ne vouloir consciemment plus transmettre et qui enchaîne les Européens à la déréliction de leur race comme de leur civilisation.

    Puis vient, enfin, l’heure des combats. Partis des origines du sens (indo-européen, gréco-romain et chrétien), il nous faut recouvrer le sens de nos origines primordiales. Il faut déconstruire le déconstructivisme et désarraisonner le monde européen de l’infernale mégamachine turbo-capitalistique. Le « grand ressourcement » que nos contributeurs appellent de leurs vœux, non sans avoir fidèlement et méthodiquement emprunté les sentiers patiemment creusés depuis Homère et les sages antiques, est à ce prix. Il importe, en effet, de re-territorialiser – de ré-enraciner, si l’on préfère – nos plus fondamentales libertés, à commencer par celle de demeurer foncièrement ce que nous sommes, conformément à notre matrice ethnoculturelle et physiognomonique originale et originelle.

    Il en résulte, dès lors, le droit, tout aussi essentiel et vital, pour ne pas dire viscéral, à ne pas demeurer impuissants, impassibles et impavides face aux assauts, mêmes légaux, de ce que Renaud Camus, cette ultime grande conscience européenne – avec Alain de Benoist et quelques rares autres –, appelle le « remplacisme global », consistant, à un rythme industriel effréné, à substituer les descendants de nos pères par des peuplades antipodiques aux mœurs et aux coutumes orthogonalement antagonistes aux nôtres.
    La lecture de ce livre une fois achevée, on mesure combien Europe rime avec civilisation.

    Aristide Leucate

    http://www.bvoltaire.fr/livre-sommes-aux-sources-de-lidentite-europeenne-linstitut-iliade/