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Peur de l’islam : Véronique Genest ne regrette rien de ses propos
Et une polémique de plus comme on les adore par chez nous, surtout lorsqu’on s’ennuie en plein mois d’août. Et, comme à la télé qui repasse pendant les vacances les valeurs sûres – Fantomas, Angélique, marquise des anges ou Le Gendarme à Saint-Tropez -, quoi de mieux que de ressortir les vieilles polémiques qui ont cartonné par le passé ! Télé Star vient de nous en donner une merveilleuse occasion en interviewant Véronique Genest.
« À 62 ans, Véronique Genest semble plus en forme que jamais. Si elle se sent bien dans son corps et dans sa tête, le cap de la soixantaine l’a éloigné (sic) de la télévision », écrit la journaliste pour introduire le sujet. Jusque-là, rien qui augure d’un scandale divertissant. On se souvient en effet qu’en 2013, TF1 avait invité le commissaire Julie Lescaut – 57 ans, à l’époque – à faire valoir ses droits à la retraite par anticipation, après vingt-deux ans de bons et loyaux services à résoudre des énigmes policières. Allez comprendre l’administration : le commissaire Navarro, lui, sous les traits de Roger Hanin, rempila jusqu’en 2007 : il avait 82 ans ! Mais là n’était pas le sujet qui allait faire le bruit susceptible de réveiller la France de sa sieste aoûtienne. Ni même les trente-six kilos que Véronique Genest a perdus en dix-huit semaines. Quoique, cet acharnement à vouloir mincir pourrait être interprété comme de la grossophobie, ce qui n’est pas bien du tout par les temps qui courent.
Ce qui n’est pas bien du tout, non plus, par les temps qui courent, c’est une autre phobie : celle qui frise la correctionnelle, voire plus, si l’on écoute certains adeptes du vivre ensemble. Vous voyez évidemment de quoi il s’agit. En janvier 2012, l’actrice avait fait part de sa peur de l’islam dans une émission sur NRJ 12 : « Phobie veut dire peur. Donc, oui, peut-être oui, probablement, je suis islamophobe comme beaucoup de Français. J’ai peur de l’islam comme on a peur d’une chose que l’on ne connaît pas. » La polémique était déclenchée. L’Obs, qui sait tout mieux que tout le monde avec Libé, avait titré à l’époque : « Véronique Genest n’est pas qu’islamophobe, elle est ignorante et entend bien le rester. » Car la France est le pays qui ne connaît pas la peur, c’est bien connu. Non seulement le peuple français est le plus intelligent, le plus modeste mais aussi le plus courageux du monde. Donc, logique, il est interdit d’avoir peur. En 2016, quelques attentats islamistes plus loin, Véronique Genest maintenait ses propos sous la question ordinaire de LCI : « Je ne regrette rien, c’était des propos sur la peur. Aujourd’hui, tout le monde a peur. Mes propos n’ont jamais parlé que de la peur… J’ai toujours aussi peur et je ne suis pas la seule à avoir peur. »
Et donc, dans cette interview sur Télé Star parue ce 13 août, la comédienne revient sur ses propos sans rien en retrancher. « Les gens sont intelligents et mes prises de position, ils les ont bien comprises… Certains tiennent des propos bien plus durs que moi… » Paradoxe bien de notre époque : Véronique Genest a le courage de dire qu’elle a peur. Dire ce que l’on pense et ressent, est-ce « déraper », comme le titrait Le Parisien en 2012, en « rajouter une couche », comme l’écrit aujourd’hui Gala ? Celle qui « persiste et signe », comme le relève, visiblement dépitée, Femme actuelle, est déjà condamnée à l’exil médiatique par certains plateaux télé. Faudra-t-il appliquer à la prochaine interview la question extraordinaire pour obtenir repentance de la comédienne ?
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« Plutôt que de poursuivre Lafarge, il faudrait s’interroger sur la politique de la France en Syrie »
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- WAUQUIEZ, L'HOMME AUX 180 000 IMMIGRÉS !
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Islam radical dans les médias : de quoi cette empathie est-elle le nom ? L’exemple de Libération
Par l’Observatoire du journalisme
Les médias français sont-ils complices – au moins involontaires – de l’islamisation de l’Europe ? Pour l’Observatoire du journalisme, la question se pose évidemment. Pour répondre à cette question, l’Observatoire du journalisme analyse un cas précis, celui du traitement par Libération de l’attentat islamiste du 12 mai 2018.
Après l’attentat perpétré à Paris le samedi 12 mai 2018 par un tueur islamiste musulman, Libération a publié un article donnant la parole à d’anciens camarades de classe et à un ancien professeur du terroriste. Les témoignages anonymes sont ceux de quatre personnes ayant connu le tueur ainsi que son complice au lycée Marie-Curie de Strasbourg. Ce qu’ils racontent est édifiant et ajoute à ce que l’on sait par ailleurs de l’état mental, intellectuel et ethnique des lycées français. Toute aussi édifiante est la façon dont Libération « raconte » les faits, par le prisme de ses témoins.
Voyage au bout de l’islamisme
Comme il est devenu habituel, le tueur musulman était « gentil », « timide », « sympathique » et rien ne semblait le prédisposer à tuer des innocents avec un couteau de cuisine. C’est ce qui ressort des témoignages. Libération ne prend pas la peine, ni le recul critique, une vertu pourtant éminemment journalistique, d’interroger ce fait : quelle information se cache derrière ce qui est dit depuis plus de trois ans, après chaque attentat islamiste, au sujet de tueurs toujours présentés ainsi ? Et que signifie que des journaux tels que Libération fassent ressortir de tels portraits au sujet d’assassins, sans en interroger le sens ?
Les témoignages vont très loin dans l’empathie, bien plus que tout ce que pourrait imaginer l’observateur moyen concernant un autre cas de figure potentiel, par exemple si un tel article était publié au sujet d’un tueur évangéliste du Sud des États-Unis : le terroriste musulman « allait chercher à manger », « il n’avait pas de musique sur son téléphone », « on ne le soupçonnait pas de quoi que ce soit », « c’était un mec discret et gentil », « c’était un ami », « il disait qu’il voulait sauver des vies », « nos classes étaient mixtes, avec des athées, des chrétiens et des musulmans. Il n’y avait pas de discrimination », « ils me montraient des textes ou des images pour me prouver que le Coran n’incitait pas à la violence », « personne ne pouvait imaginer cela de quelqu’un de si respectueux, si poli », « un mec adorable, il était discret, studieux, il voulait devenir médecin », « ce qu’il a fait est impardonnable mais quand on l’a connu, quand on l’a côtoyé pendant trois ans, quand on a mangé avec lui pendant trois ans, ça nous choque que le voir diabolisé par les médias » (sic !), « on sait tous qu’il s’est fait laver le cerveau »… Un tueur gentil, sympa, un pote auquel il n’aurait pas fallu toucher, lequel est cependant coupable d’un attentat au motif d’une conception religieuse et politique totalitaire du monde. Imaginons que Libération ait existé en 1945, il est permis de se demander si sa rédaction aurait mené l’enquête au lycée de Himmler, histoire de voir si ce garçon reconnu coupable de quelques meurtres n’auraient pas été un type discret, sympa et poli…
Par contre, son complice et supposé inspirateur est présenté comme le grand méchant de ce drame. L’effet de contraste est saisissant, renforçant le sentiment d’empathie véhiculé par les témoignages au sujet du tueur. N’oublions pas, à ce propos, que ce qui est dit par les témoins dans cet article résulte d’un choix de la rédaction de Libération, laquelle ne publie pas ici l’intégralité des propos des témoins mais ce qu’elle veut publier. Le complice ? « Je sais qu’il voulait partir en Syrie pendant un petit moment. C’était des rumeurs comme cela. Après ça s’est étendu et tout le lycée l’a su et après il s’est calmé et il a dit qu’il avait retrouvé la raison. On se moquait de lui en disant qu’il allait partir en Syrie », « il était assez brutal », « plus pratiquant », « il voyait tout à travers le prisme de la religion », « j’avais bien perçu qu’il y avait un problème quant à sa vision de la démocratie ou sur le rapport aux femmes. Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes », « il avait fait un exposé sur le sujet et j’ai dû y mettre fin car je ne pouvais pas laisser dire tout ça au sein d’une institution laïque », « quand je le voyais parfois après le bac, je changeais de trottoir », « il avait une vision extrémiste, en tout cas poussée de l’islam. Il s’exprimait toujours contre les actions terroristes mais il disait aussi que c’était normal qu’il y ait des attaques si la France lançait des frappes en Syrie », « il tenait toujours à ce qu’on ne fasse pas d’amalgame entre islam et terrorisme »…
Ce qui devrait étonner Libération
‣ Le complice de l’assassin est présenté comme violent et ses camarades se méfient de lui depuis qu’il s’est levé en classe et a jeté violemment des tables et des chaises dans un mur.
‣ Ce même complice est radicalisé et fait un exposé de propagande sur l’islam radical en classe, même si cet exposé est interrompu.
‣ L’avancée discrète des islamistes radicaux apparaît comme une stratégie évidente dans ce cas d’école et pourtant de cette stratégie Libération ne dit mot.
Plus surprenant encore :
- Dans un lycée de la République française, la question de l’islam est devenue centrale : au point que l’on peut envisager d’en exposer les doctrines sectaires et radicales en classe. Il est possible d’affirmer dans ce cadre que la « charia est une bonne chose ».
- Un élève peut se lever et jeter chaises et tables contre un mur.
- Des individus scolarisés en France tiennent ouvertement des propos de collaboration avec des ennemis de la France
- Les lycéens s’amusent, se moquent d’un individu radicalisé dont il est supposé qu’il envisage de partir en Syrie
- Le chef d’établissement d’un lycée de la République doit concentrer son attention sur des musulmans attirés par le salafisme, source avérée du djihadisme.
- Le quotidien n’interroge pas l’origine des deux complices, ni le fait qu’ils sont des migrants devenus français depuis peu.
Cette phrase : « Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes » devrait interpeller les journalistes des médias officiels. Dans l’expression du témoin, le voile en tant que marqueur de l’inégalité hommes femmes au sein de l’islamisme est évident. Voilà qui donne de la perspective à un autre moment de présence de l’islam dans l’espace public et médiatique français, une présence qui est devenue permanente : l’intervention de la musulmane voilée présidente de l’UNEF Sorbonne à la télévision, le 14 mai ; une musulmane voilée prenant la parole en tant que syndicaliste étudiante, responsable d’un syndicat féministe et « progressiste » de gauche.
Devant les critiques, une salve d’empathie à fusé, un peu comme au sujet du « sympathique » lycéen devenu tueur dans les rues de Paris. Pourtant, le simple bon sens ne peut que conduire à dire ceci : il est incroyable qu’une représentante syndicale de l’UNEF soit voilée, et tout autant incroyable que nombre de journalistes ne voient pas une évidence en cela. Ce qui n’est pas le cas par exemple de Marianne, très clair à ce sujet. D’autres discours deviennent pour le moins confus : ici. Discours de méconnaissance complète des stratégies des islamistes en direction de la jeunesse. N’est-il pas problématique qu’une religion en particulier occupe une telle place, quotidienne, empathique et souvent militante, dans l’espace public de la République laïque, avec le soutien d’une partie de la gauche radicale et la bienveillance de nombre de médias officiels ?
OJIM 13/08/2018
Source : Observatoire du journalisme
Crédit photo : Libération
https://www.polemia.com/islam-radical-medias-empathie-liberation/
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À droite contre le mondialisme
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Le clivage gauche/droite a changé de nature. Il porte désormais non plus sur la question de la propriété privée des moyens de production, mais sur celle de l’identité. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement à droite comme défenseur de notre identité face à la menace mondialiste.
Une Nouvelle Gauche
Après la chute de l’URSS et du communisme en Europe, la gauche s’est progressivement ralliée au néo-capitalisme mondialiste pour finir par prendre le visage de la Nouvelle Gauche, incarnée aujourd’hui par Emmanuel Macron.
Consciente que les solutions collectivistes qu’elle soutenait auparavant ont perdu toute crédibilité, cette Nouvelle Gauche a renoncé aux réformes socialistes de la société. Dans le même temps, elle a abandonné les classes moyennes et populaires aux conséquences désastreuses du libre-échangisme et de la dérégulation de l’économie, pour ne se préoccuper désormais que des minorités qui constituent son réservoir électoral et tout particulièrement des immigrants, érigés pour la circonstance en prolétariat de rechange.
Aujourd’hui, la gauche ne s’intéresse plus aux questions sociales, comme par exemple le processus d’appauvrissement qui touche un nombre croissant de nos concitoyens. Pour continuer dans le registre du progressisme, elle se complaît au contraire dans les réformes dites « sociétales », qui consistent à déconstruire la société, les mœurs et la décence commune, aux dépens du plus grand nombre. Ce qui en retour favorise la marchandisation de l’homme et constitue une aubaine pour les grandes firmes mondialisées. La Nouvelle Gauche fait ainsi le lit du néo-capitalisme.Mais toujours de vieilles utopies
Ce faisant, la Nouvelle Gauche reste fidèle aux constantes de l’idéologie de gauche et à ses plus vieilles utopies. Le mondialisme et l’immigrationnisme ont simplement pris la place de son internationalisme d’antan. Sa négation de la nature humaine, et donc de l’identité, s’incarne aujourd’hui dans la théorie du genre, dans un féminisme agressif ainsi que dans son goût pour tout ce qui est métissage. Sa haine sociale vise désormais non plus les capitalistes, mais au contraire les classes moyennes et populaires, coupables de vouloir défendre leur identité et de mal voter. Son vieil égalitarisme s’exprime de nos jours à travers la promotion d’un individualisme radical et dans l’idéologie des droits de l’homme. Enfin, son constructivisme, ou sa prétention à faire le bonheur des gens malgré eux, prend la forme de l’écologie punitive et de l’hygiénisme totalitaire de l’État « Big Mother ».
Quant à l’extrême gauche, elle prospère, soutenue par le système médiatique et la bienveillance de certains juges. Fonctionnant comme le « service action » de l’oligarchie, elle soutient l’immigration et combat violemment tous ceux qui s’opposent au Système.Un nouveau clivage politique
Dès lors, le nouveau clivage gauche/droite ne porte plus comme au XXe siècle sur la question de la propriété privée des moyens de production puisque le communisme est mort, ni sur la Révolution puisque la Nouvelle Gauche se place maintenant du côté des puissants.
Il oppose désormais deux camps :
— d’un côté, les libre-échangistes, les atlantistes, les immigrationnistes, les libertaires et les déconstructeurs, qui constituent la Nouvelle Gauche et incarnent les principales composantes du Système que les oligarques de Davos veulent imposer aux Européens ;
— de l’autre, les défenseurs de l’identité, de la souveraineté, des valeurs et de la liberté des peuples européens, comme du respect des cultures et de la multipolarité du monde, c’est-à-dire tous ceux qui devraient être incarnés politiquement par la droite nouvelle.La question centrale de l’identité
Le clivage principal entre la droite et la gauche porte ainsi désormais sur la question de l’identité.
Héritière de l’esprit des Lumières, la Nouvelle Gauche nie la nature de l’homme et croit que tous les hommes sont interchangeables. Pour cette raison et malgré ce qu’elle prétend, elle ne représente pas à proprement parler un humanisme, à la différence de la Droite qui a toujours pris en compte la nature de l’homme et la diversité des sociétés.
La Nouvelle Gauche veut réduire l’humanité à son plus petit commun dénominateur, la dissoudre dans un grand néant métissé et lui imposer un modèle unique, alors que la droite a de tout temps eu pour vocation de préserver mais aussi de valoriser la diversité du monde.
La Nouvelle Gauche, contrairement à ce qu’elle affirme, ne défend aucune valeur, car elle prêche constamment le relativisme, le nihilisme et la haine de notre civilisation. Seule la droite peut aujourd’hui défendre les valeurs de notre civilisation, notamment face à l’islamisme qui les menacent avec la complicité de la Nouvelle Gauche.
Enfin, la Nouvelle Gauche n’incarne plus l’espoir des peuples comme autrefois la gauche puisqu’elle n’est plus que le parti des puissants, des lobbies, des minorités et des immigrants. Alors qu’au contraire les valeurs de la droite la placent maintenant du côté des peuples, des peuples qui veulent rester eux-mêmes et qui refusent qu’on les « change », qu’on les déconstruise ou qu’on les transforme en agrégats de « communautés » indifférentes ou hostiles.La Nouvelle Gauche, qui incarne le Système de Davos et dont l’idéologie politiquement correcte provoque chaos et destruction, a perdu toute légitimité à incarner le progrès de notre civilisation. Aussi, la droite nouvelle devient-elle l’espoir de tous les Européens. Et c’est bien le positionnement à droite face à la Nouvelle Gauche qui constitue la seule alternative crédible.
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Agnès, Marlène et les autres : les vacances de la bande à Emmanuel
Super Agnès, on l’a vue partout !
C’est elle qui a géré toute cette horrible canicule : là dans un hôpital, ici dans une maison de retraite ou en visite à une association. Elle a bien mérité des vacances. Tout de même, il faut bien que les ministres aillent en personne là où il faut pour donner les consignes nécessaires. Nul doute qu’Agnès est bien plus douée qu’un médecin urgentiste ou même qu’un pompier de base pour savoir ce qu’il faut faire pour soigner une vieille dame victime « d’un coup de chaud » !
Tenez, puisqu’on parle de « coup de chaud », que fait donc Marlène ?
Elle devrait, naturellement, foncer dans les camps naturistes du Cap d’Agde et d’ailleurs pour vérifier qu’il n’y a pas trop de mains aux fesses ou de titillages de tétons ou de regards trop salaces !
Rendez-vous compte, à une heure de pleine écoute, on pourrait voir sur BFM TV Marlène en train de verbaliser les coupables et encaisser des amendes qu’elle pourrait glisser discrètement dans une bourse.
Quel bel exemple de professionnalisme et de « don de soi » pour la collectivité !
Et madame Borne, le ministre chargé des Transports, que ne la voit-on sur les aires d’autoroutes pour donner des brumisateurs aux mères de famille ou dans les gares à distribuer des bouteilles d’eau tièdes aux voyageurs exténués et dégoulinants, ou tout simplement assise sur une borne pour surveiller la circulation ?
Et madame Pénicaud, ministre du Travail, ne ferait-elle pas mieux d’aller vérifier par elle-même que les restaurateurs de la Côte d’Azur respectent bien les procédures d’embauche en CDD et qu’il n’y a pas de travailleurs « au noir », même d’origine africaine ?
En revanche, ce pauvre Gérard, il faut l’épargner et je tiens à sa disposition la liste des meilleurs établissements de retraite de la région lyonnaise. Il faut rester humain. Là, il y a des limites.
De même que demander au ministre de la Culture une présence au festival off d’Avignon et aux concerts de rap, ce serait vraiment trop cruel.
Jean-Michel, en revanche, pourrait faire la tournée des lycées pour s’assurer qu’ils sont bien fermés pendant les vacances. Et des universités aussi pour s’inquiéter de savoir si elles seront ouvertes à tous les nouveaux étudiants, Parcoursup aidant. Il pourrait faire du covoiturage avec Nicole, elle pour les tribunaux.
Quant à Bruno, lui, il a tout compris : inutile de lui demander d’aller visiter les usines, il a fait en sorte qu’il n’y en ait plus, presque plus du tout. Trop fort, ce Bruno !
Mais il faut vraiment qu’Agnès (sainte Agnès est la patronne de la chasteté) se calme, sinon Marlène va se fâcher tout rouge. M’enfin, c’est qui, cette minette qui a osé lui voler la vedette médiatique durant cette canicule ?
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Débarquement des migrants de l’Aquarius : l’Espagne dit « non »
Si l’Aquarius avec à son bord 141 « migrants » fait à nouveau cap vers la bien-pensante Espagne qui lui avait ouvert ses ports il y a deux mois, l’Espagne elle a changé de cap dans sa politique d’accueil des migrants. Après l’euphorie, voici venir le temps de la grosse déprime…
Depuis vendredi dernier le bateau Aquarius vogue donc sans but portuaire, le pays des Ibères ne l’invitant pas comme par le passé récent à accoster dans une de ses villes méditerranéennes. Open Arms, l’ONG espagnole propriétaire du navire, a lancé un appel dramatique aux autorités bruxelloises afin qu’elles interviennent pour qu’un port lui soit ouvert mais cette fois-ci Madrid a fait la sourde oreille. Un signe tangible que le premier ministre espagnol, le socialiste Sanchez, rattrapé par la réalité de l’invasion migratoire et du ras-le-bol de ses concitoyens, est décidé a changé sa politique de l’accueil radical, en s‘alignant sur la fermeté de l’Italie, qui fut accusée pourtant il y a un mois par ce même Sanchez, à l’unisson avec Macron, « de manque de solidarité et d’insensibilité » pour avoir refusé les 600 clandestins de l’Aquarius.
Ainsi, si la commune de Barcelone, toujours inspirée pour s’opposer au gouvernement madrilène, s’est offerte à accueillir les nouveaux migrants de l’Aquarius, Madrid s’y oppose en arguant que « l’Espagne n’est pas le port le plus sûr selon la loi ». Un dur bras de fer s’amorce entre la ville catalane aux velléités d’indépendance et l’exécutif espagnol. « Même dans ce cas nous nous offrons pour recevoir les migrants » a répliqué le vice-maire de Barcelone délégué aux droits sociaux, Laia Ortiz. Elle a en outre insisté pour que des permis temporaires pour le travail soient concédés aux clandestins.
En attendant, Malte et l’Italie ont refusé au bateau d’accoster chez eux. SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont faits avoir par twitter :
« Les autorités maritimes de Malte et de l’Italie ont informé le bateau Aquarius qu’elles ne concéderont pas un lieu sûr de débarquement aux 140 personnes à bord. Nous avons rejoint une position de stanby exactement entre Malte et l’Italie. Nous restons en attente d’ultérieures indications. »
La fermeté de l’Italie et de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini fait de émules pour le plus grand dam du business lucratif du trafic d’êtres humains et de l’humanitarisme mondialiste.
Francesca de Villasmundo
http://www.medias-presse.info/debarquement-des-migrants-de-laquarius-lespagne-dit-non/96554/
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Meurtre d’Adrien Perez : il faut qu’éclate la juste colère des Français
Un communiqué de Romain Espino (Génération identitaire) :
Le 29 juillet dernier, Adrien Pérez est poignardé à mort par deux racailles en Isère : les frères Younes et Yanis El Habib. Samedi dernier, nous étions 150 jeunes identitaires à demander justice pour Adrien devant le tribunal de Grenoble.
Encore une fois, c’est un jeune Français qui est mort pour « une cigarette refusée ou un regard de travers », comme nous le dénoncions déjà dans la Déclaration de Guerre de Génération identitaire en 2012. Quelques jours après, en Meurthe-et-Moselle, c’est un autre jeune homme fêtant ses 30 ans qui a été égorgé et qui se trouve aujourd’hui en état de mort cérébral. Dans les deux cas, les jeunes hommes ont payé de leur vie leur intervention pour protéger un ami ou une fiancée.
Un silence médiatique assourdissant entoure le meurtre d’Adrien Pérez. Lorsque l’on sait tout le raffut qui a été fait autour de l’affaire Théo, cette différence questionne sur l’émotion à géométrie variable qui règne au sein de la classe journalistique.
C’est sans doute que, contrairement à elle, nous nous sommes déjà tous interposés entre une racaille et sa proie. Nous savons très bien qui agresse qui dans la vraie vie. D’ailleurs, la mère d’Adrien Pérez l’a dit et les bien-pensants ne le supportent pas : « nos enfants se font assassiner et toujours par les mêmes ! »
Cette racaille nous la connaissons par cœur parce que nous avons grandi avec elle. Nous l’avons fréquentée, malgré nous, dans les collèges et les lycées, dans les transports en commun, ou bien le soir venu dans les fêtes où elle s’incruste et les rues qu’elle écume. Cette racaille, c’est celle qui parle toujours de respect, mais qui n’attaque jamais à moins de trois contre un, qui s’en prend aux plus faibles. Nous n’avons pas besoin de sociologues de seconde zone qui nous expliquent que Younes et Yanis avaient subi plusieurs difficultés sociales, des problèmes familiaux ou n’allaient plus à l’école. Les racailles n’ont pas besoin d’excuses, leur haine n’est pas la responsabilité de la société. Elles nous haïssent pour ce que nous sommes et notre vie n’a pas d’importance à leurs yeux.
C’est pour cette raison que depuis sa création, Génération Identitaire se présente comme un mouvement anti-racaille. Loin d’être un simple slogan, défendre les « gwers » ou les « babtous », comme ils nous appellent, constitue l’ADN même de notre mouvement de jeunesse.
Nous avons sécurisé des métros dans les grandes villes de France, nous avons donné des cours d’autodéfense gratuits, nous avons distribué des bombes lacrymogènes aux jeunes femmes lors d’actions de sensibilisation. Nous avons fait prendre conscience aux nôtres qu’ils pouvaient et avaient le droit de se défendre et d’être solidaires.
Chaque Français qui tombe ne doit surtout pas être oublié. Mais ces morts aussi tragiques et douloureuses soient-elles ne doivent pas uniquement laisser place à l’émotion légitime qu’elles provoquent. Comme le dit Gilles-William Goldnadel : « entre les marches blanches avec bougies victimaires et les saccages, il devrait désormais exister un juste milieu pour la juste colère. »
Cette colère est indispensable pour que notre peuple réapprenne à réagir en situation d’agression, réapprenne la solidarité et surtout tire les conclusions politiques de ces meurtres et de toutes les violences dont sont victimes aujourd’hui les jeunes Français.
Source cliquez ici
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Les Bestofes – Le Journal (2ème Partie)
Chaque soir, vous êtes nombreux à regarder le Journal de la rédaction de TV Libertés. Après une année riche en actualité, la chaîne a réuni les meilleurs sujets réalisés au cours de la saison 2017-2018… et il y en a pour tous les goûts.
Lien Rutube :
Pour revoir la première partie du bestofe du Journal Télévisé, cliquez ici
https://www.tvlibertes.com/2018/08/13/24626/bestofes-journal-2eme-partie