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  • Des groupes comme Dextra s’emparent avant l’UMP et l’UDI des questions du mariage pour Tous, contestant ainsi leur représentativité

     
    Au fil des mois, LMPT se revendiquera toujours plus comme un « mouvement social ». Cette auto-identification à un terme qui, jusqu’alors, n’appartenait pas à l’hémisphère droit de la vie politique constitue un fait nouveau. LMPT est née après la défaite de Nicolas Sarkozy d’une contestation du monopole des partis de droite à représenter l’opposition. Cette capacité de substitution explique pour partie sa force. Act Up s’était, en son temps, saisi d’une cause délaissée par les partis politiques de gauche. De la même façon, des groupes comme Dextra, l’UNI, le Parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, s’emparent avant l’UMP et l’UDI des questions du mariage des personnes de même sexe et de l’adoption par les couples homosexuels, contestant ainsi leur représentativité

  • Rappel important Migrants : l’envers du décor que nos médias ne montreront pas

    http://www.oragesdacier.info/

  • L’Espagne serre la vis aux migrants

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    Après le débarquement hyper-médiatisé des « migrants » de l’Aquarius refusés par l’Italie, l’Espagne se repend et serre la vis aux clandestins.

    Il y a deux mois, l’Aquarius de l’Ong SOS Méditerranée accostait à Valence en Espagne et débarquait 600 « migrants » accueillis par 2000 personnes enthousiastes. L’Espagne avait déployé pour l’occasion des volontaires, des agents de l’État, des interprètes, tous prêts à applaudir les « réfugiés » repoussés par l’Italie méchante et brutale. 600 journalistes accrédités étaient là pour faire circuler dans le monde entier la bonne nouvelle d’une Espagne hospitalière et ouverte.

    Le premier ministre Sanchez était au début de son mandat et sacrifiait ainsi sur l’autel de l’humanitarisme cosmopolite selon les diktats du mondialisme sauvage. S’opposant à Matteo Salvini, le ministre italien de l’Intérieur, il entrait par là dans les bonnes grâces immigrationnistes de Merkel et de Macron. « L’empathie » et « l’impressionnante solidarité active » de Madrid faisaient pleurer dans les chaumières et dans l’antre bruxelloise. Mais la séance lacrymale en faveur des migrants n’a pas duré : les pleurs se sont transformés en grincements de dents !

    Aujourd’hui, l’Espagne dépasse l’Italie en nombre de débarquements (22 000 personnes enregistrées par rapport aux 18000 en Italie) et l’enclave de Ceuta a été de nouveau prise d’assaut par des aspirants africains à l’Eldorado européen. Après l’euphorie, Sanchez doit faire les comptes avec les protestations de la droite espagnole. Le nouveau chef du Parti Populaire, Pablo Casadoa demandé au premier ministre de faire preuve de « responsabilité sans démagogie ». « Nous ne pouvons pas absorber les millions d’Africains qui cherchent en Europe un meilleur avenir », a-t-il affirmé. Et Sanchez a du un peu faire volte-face.

    Le système d’accueil espagnol est à bout de souffle et les autorités n’arrivent pas à identifier tous les clandestins qui errent dans les villes. Le gouvernement madrilène a du demander l’aide de l’UE et silencieusement a abandonné la ligne immigrophile bien-pensante. Tandis qu’aux clandestins de l’Aquarius il a été offert un statut exceptionnel, depuis hier de nouvelles règles sont entrées en vigueur : tous les étrangers qui débarqueront dans les ports espagnols de bateaux des Ong ou des gardes-côtes seront considérés des immigrés en situation irrégulière. Donc clandestins. Les demandeurs d’asile n’obtiendront pas le permis de séjour extraordinaire de 45 jours concédé à ceux de l’Aquarius mais ils finiront directement dans des centres d’accueil pour étrangers . Ils y seront reçus pour un maximum de 72 heures tandis que la police procédera aux mesures d’identification.

    Ainsi les 87 « migrants » recueillis le 2 août dernier au large de la Libye par le bateau de l’Ong Open Arms n’ont par reçu d’accueil enthousiaste lors de leur débarquement hier à Algésiras en Andalousie. Pas de cris de joie. Juste une arrivée discrète. Austère.

    L’Espagne se repentirait-elle déjà de son hospitalité solidaire ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/lespagne-serre-la-vis-aux-migrants/96422/

  • Patricia Perez chez Bourdin : « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! »

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    C'est un bel article que Gabrielle Cluzel vient d'écrire sur cette tragédie. Une de plus. [Boulevard Voltaire, 8.08].  

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.  

     Ecrivain, journaliste Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Commémoration de la bataille d’Amiens : un absent qui ne fait pas honneur à la France…

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    Au moment où j’écris ces lignes, ni Emmanuel Macron ni Édouard Philippe ne devraient assister aux cérémonies marquant le centenaire de la bataille d’Amiens. On aurait prié le ministre des Armées de revenir de vacances pour représenter la France chez elle en terre picarde. Car, jusqu’à ces derniers jours, l’information circulait que la nation à qui incomba, en 1918, la mission historique de commander en chef les armées alliées en la personne du maréchal Foch serait représentée par un simple secrétaire d’État, Mme Geneviève Darrieussecq, chargée des Anciens Combattants. On se pince !

    Certes, le nom de cette bataille, qui débuta le 8 août 1918, est bien moins connu des Français que ceux de la Marne ou Verdun. Mais cette bataille, où combattirent côte à côte Français, Britanniques, Australiens, Canadiens et Américains, fut décisive pour les alliés. Elle ouvrit, en effet, la voie à d’autres victoires durant les cent jours qui conduisirent au 11 novembre. « Jour de deuil de l’armée allemande », écrivit dans ses mémoires le général Ludendorff, chef d’état-major général adjoint des armées impériales. Une bataille qui coûta, en trois jours, la vie à 46.000 soldats alliés. Lorsque les Amiénois, évacués en mars 1918, reviendront, ils trouveront une ville en ruine : de mars à août, c’est près de 900 bombes et 11.000 obus qui se sont abattus sur la cité picarde. Une miraculée dans ces décombres : la cathédrale, joyau du gothique flamboyant !

    La Grande-Bretagne, elle, est à la hauteur de l’événement commémoré : le prince William, duc de Cambridge, représentant la reine, ainsi que le Premier ministre britannique Theresa May sont présents. Le président de la République française, chef des armées, Amiénois de naissance qui plus est, non. Le maire UDI d’Amiens, Brigitte Fouré, a bien tenté de justifier, au micro de RFI, cette absence : « Je pense que pour les Britanniques, la date du 8 août est une date extrêmement importante, mais il ne vous échappe pas que le 8 août est en pleine période creuse dans la vie politique française. » Vacances, j’oublie tout, plus rien à faire du tout ? Ils auraient quand même pu attendre septembre, en 1918, pour lancer cette offensive…

    Le week-end dernier, Emmanuel Macron, en bras de chemise, forcément accompagné de Brigitte, jouait au cicérone, devant des caméras complaisantes (la vidéo court sur les réseaux sociaux), en faisant justement visiter le fort de Brégançon au Premier ministre britannique, tel un nouveau riche montrant sa dernière acquisition à des amis. On échappa de peu à la visite des toilettes et, soigneusement, curieusement, nous fut épargné le zoom sur le nouveau bassin aquatique hors-sol que le Président s’est fait construire.

    Puisque c’est les vacances – service minimum oblige, donc -, mon papier s’arrêtera là. Emmanuel Macron n’assiste pas aux commémorations de la bataille d’Amiens. Il doit avoir piscine au fort de Brégançon. Il y a des matins où on aimerait être britannique.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/commemoration-de-la-bataille-damiens-un-absent-qui-ne-fait-pas-honneur-a-la-france/

  • Le gouvernement veut faire disparaître l’argent liquide d’ici 2022 – Macron au service de Big Brother

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    En octobre 2017, le Premier ministre Edouard Philippe, assisté du ministre de l’Action et des Comptes Gérald Darmanin, annonçaient la mise en place d’un Comité d’action publique 2022 constitué de soi-disant experts et chargé d’émettre un rapport proposant des réformes à mettre en œuvre d’ici à 2022.

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    Il s’agissait, selon le Premier ministre, de moderniser les  » politiques publiques  » et les  » services publics « .

    Mais le rapport publié s’avère beaucoup plus invasif qu’annoncé, envisageant des réformes aux conséquences catastrophiques pour l’ensemble des Français.

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    Dissimulée dans la partie 3, intitulée Transformer les services publics, la proposition 16 est une bombe dont rêvent depuis longtemps les grandes banques internationales :

    « Aller vers une société « zéro cash  » pour simplifier les paiements tout en luttant mieux contre la fraude fiscale. »

    Comme toujours, le mal se présente sous l’apparence d’un bien. Le rapport précise qu’il faut donc « réduire progressivement la circulation d’espèces vers une extinction complète « .

    Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? La disparition de l’argent liquide (pièces et billets) est la façon la plus sûre pour le Nouvel Ordre Mondial de vous contrôler de A à Z. S’il n’existe plus aucun autre moyen de payement que la forme électronique, l’Etat et les organismes bancaires pourront vous suivre à la trace, savoir en temps réel où vous vous situez, savoir ce que vous mangez, savoir ce que vous lisez, savoir à quel mouvement vous cotisez, savoir à quelle conférence vous assistez,…

    C’est aussi une terrible épée de Damoclès suspendue au-dessus de votre tête : toute personne un peu trop gênante pourra voir son compte en banque vidé en un clic.

    Big Brother s’occupe de vous !

    http://www.medias-presse.info/le-gouvernement-veut-faire-disparaitre-largent-liquide-dici-2022-macron-au-service-de-big-brother/96429/

  • Hongrie, Italie, Autriche, Scandinavie… Contre l’invasion, l’Europe se réveille

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    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent 

    Viols, attaques au couteau, violations du droit de propriété, déprédations diverses et variées… Il ne se passe pas de jour sur notre vieux continent européen sans que les immigrants – Africains et musulmans pour la plupart, et qui se font passer pour des demandeurs d’asile —, ne se livrent à leurs sports favoris. S’ils sont, en Espagne nouvellement socialiste par exemple, défendus bec et ongles par une minorité d’imbéciles atteints du syndrome de Stockholm et surtout désireux de gommer le passé franquiste du pays, il n’en est pas de même dans le reste de l’Europe où le succès de la droite italienne a décomplexé tous ceux qui en ont plus qu’assez de l’invasion migratoire et  du grand changement imposés par George Sörös et les puissances financières à la manœuvre  qui craignent un retour de bâton aux prochaines élections européennes de 2019 et font tout pour caricaturer les différentes droites nationales et donner le beau rôle aux nouveaux envahisseurs.

    La faillite de l’élite européenne

    Comme l’a indiqué le 28 juillet Viktor Orbán dans son discours doctrinal annuel prononcé traditionnellement en Transylvanie [1], « l’Europe a renié ses racines chrétiennes et bâti l’Europe de la société ouverte où les Européens sont interchangeables avec les immigrés ». Une constatation que l’on peut faire tous les jours dans nos différents pays et qui montre — si besoin était — le poids de l’économie réglementée par Bruxelles et les différents lobbies financiers. Pour le Premier ministre hongrois, le symbole de la faillite de l’Europe est la Commission européenne, incapable de préserver les différents pays qui la composent du Grand Remplacement. Il a donc appelé ses partisans et les autres pays européens à profiter du scrutin de 2019 pour afin barrer la route à tous ceux qui veulent « faire passer l’Europe à l’ère postchrétienne » et appelé à dire adieu « à l’ensemble de l’élite soixante-huitarde ». Faute de quoi, prédit-il, « on ne pourra plus gagner d’élections en Europe sur une base chrétienne, car les groupements fidèles aux traditions chrétiennes seront définitivement exclus des sphères du pouvoir et l’avenir de l’Europe se décidera sans eux ». A bon entendeur, salut.

    La nouvelle résistance

    Des propos que le général Robert Brieger, nouveau chef d’état-major de l’armée autrichienne a dû particulièrement apprécier, lui qui se dit préoccupé par « la migration de masse incontrôlée » qui touche toute l’Europe. Le ministre autrichien de la Défense, conscient des menaces terroristes qui pèsent sur son pays a d’ailleurs décidé de doubler le budget de son département. Le 26 juin dernier, l’armée et la police ont ainsi effectué à la frontière slovène un exercice de simulation (baptisé PUMA) d’afflux de migrants afin de se préparer à repousser une nouvelle vague transitant par les Balkans, comme cela avait été le cas en 2015.

    En Bavière voisine, une jeune femme de 28 ans qui se rendait à son travail à vélo a été interceptée par un Gambien de 22 ans qui, non content de la violer, a pris la fuite après lui avoir volé sa monture. Il s’était déjà rendu coupable de violences, mais la police locale n’avait pas jugé bon de lui mettre la main au collet. Un triste fait divers qui pourrait influer sur les élections régionales bavaroises du 14 octobre prochain, où Katrin Ebner-Steiner défendra les couleurs de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne). Cette mère de famille nombreuse pense que Merkel et son ministre de l’intérieur sont ses « meilleurs alliés objectifs » car ils ont perdu, avec leurs gesticulations, le peu de crédibilité qu’il leur restait.

    Réaction « populiste » en Scandinavie

    Après avoir accueilli plus de 30 000 clandestins et autres demandeurs d’asile entre 2015 et 2017 et fait grimper les populations non européennes à plus de 8% de la population, le Danemark a fermé ses frontières terrestres avec l’Allemagne et durci ses conditions d’accueil. Quant au parti social-démocrate, première force d’opposition au gouvernement de centre-droit, il vient de présenter, au grand dam des autres partis de gauche, un projet de réforme plafonnant le nombre d’étrangers non occidentaux accueillis au Danemak. Les demandeurs d’asile qui se présenteront spontanément dans le pays seront renvoyés vers un centre d’accueil situé hors d’Europe pendant l’examen de leur dossier. Si le dossier est accepté, ils resteront dans le pays de transit où la demande a été traitée, sous la protection du HCR, mais à la charge financière de Copenhague. Le projet a bien évidemment reçu le soutien du Parti populaire danois, fort de 38 députés.

    Dans la Suède voisine, où ne cesse de progresser le parti dit populiste des Jeunes Démocrates, la majorité municipale social-démocrate d’Eskilstuna, ville de plus de 100 000 habitants à l’ouest de Stockholm touchée par une immigration importante, a voté une motion avec le soutien de l’extrême-droite, soumettant la « collecte passive d’argent » sur la voie publique à une autorisation obtenue en commissariat contre le paiement d’un droit. En ligne de mire, une bonne centaine de Roms de Roumanie et de Bulgarie qui exaspèrent la population. « L’arrêt mendicité » et le « modèle Eskilstuna » auraient même les faveurs de Jimmy Jansson, à la tête de la municipalité de Stockholm depuis 2011. Ce social-démocrate qui n’hésite pas à dire que « la totalité des jeunes qui se tirent dessus, se font exploser et se battent pour le marché de la drogue sont d’origine étrangère », reconnait volontiers que son parti a trop longtemps refusé de reconnaître les méfaits de l’immigration.

    Puissent les édiles suédois être imités un jour par tous les maires de France qui devraient prendre le même arrêté !
    Puissent Macron et ses sbires arrêter de nous imposer, comme l’a récemment dit Marine Le Pen s’agissant de la Loi Asile/Immigration censée régler tous les problèmes la simple « organisation d’une immigration supplémentaire » !

    Françoise Monestier 10/08/2018

    [1] Province nord de la Roumanie revendiquée par la Hongrie dont elle fut une principauté du XIème siècle au traité de Saint-Germain-en-Laye imposé à Budapest en 1919.

    Source : Présent

    Crédit photo : Bataille de Lépante, Musée national de la Marine [Domaine public], via Wikimedia Commons

  • Etats-Unis : les candidats de Donald Trump ont le vent en poupe

    De Christian Daisug dans Présent :

    "La grosse presse aux ordres, les chefs démocrates au Congrès et l’establishment libéral au grand complet annonçaient depuis des mois une vague de gauche à la dernière élection partielle de la saison. En fait de vague, ce fut un simple clapotis. On nous avait promis que l’exubérante construction de « l’aliéné » de la Maison Blanche serait à cette occasion fortement ébranlée par une défaite cuisante et psychologiquement mortelle de l’un de ses défenseurs locaux. C’est le contraire qui s’est passé. Dans l’Etat clé de l’Ohio, où l’on vota mardi pour doter la Chambre des représentants de Washington d’un siège laissé vacant par une démission, le républicain Troy Balderson possède, pour l’instant, 1 766 voix de plus que son adversaire démocrate, Danny O’Connor : 50,2% contre 49,3%. La nuit de mardi et la journée de mercredi furent consacrées au recomptage des résultats dans chaque bureau de vote. Balderson resta toujours en tête. [...]

    Seul, Balderson n’aurait pas pu faire grand-chose contre son rival. D’ailleurs, une semaine avant le vote, tous les sondages le donnaient perdant avec vingt points de retard. D’où vient cette fantastique remontée ? De Donald Trump. Samedi dernier, soit trois jours avant le vote, Trump prononça un discours dans l’Ohio. Un grand discours : vibrant, senti, mobilisateur. Le genre de discours d’exception où Trump plonge tout entier dans la bataille. Dans ces moments-là, il est imbattable, fascinant. Balderson était, bien sûr, au centre de cette fiévreuse dialectique, mais il y eut aussi la défense des frontières, le retour des emplois, la guerre des tarifs, l’Amérique d’abord, le populisme en marche.

    La magie Trump : une carte que les démocrates ont tendance à sous-estimer. Même sous-estimation dans les rangs de la droite molle. Et mêmes conséquences. Mardi dernier, on vota aussi dans le Michigan, au Kansas, dans l’Etat de Washington et dans le Missouri. Quatre primaires républicaines. Quatre victoires pour Trump, dont les candidats estampillés droite nationale l’emportèrent nettement contre les suppôts d’un conservatisme patenté mais corrompu."

    Michel Janva

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