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  • L’Europe a besoin de Nous. Nous avons besoin de l’Europe

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    Par Eurhope ♦

    L’Europe est une entité géographique, historique, ethnique, culturelle, spirituelle et symbolique qui se différencie des autres continents, des autres civilisations et incivilisations.

    L’Europe est un lieu de virilité Olympique, de spiritualité héroïque qui va de pair avec la pratique et le bon sens. C’est un lieu où le sacré, la religion et la mystique ne se perdent jamais dans le tourbillon de l’hallucination, de l’obscurantisme et de la soumission individuelle.

    L’Europe est une civilisation exemplaire, de créativité, d’art, d’imagination, de libertés individuelles, de communauté, de solidarité et de défis.

    Le mondialisme nie l’Europe dans ses fondements en attaquant toutes les caractéristiques européennes, déchaînant des forces obscures, indifférenciées et anti-viriles.

    Le défi géopolitique, historique, ethnique, culturel, spirituel, symbolique se mène principalement sur la tenue de l’Europe et sur la sauvegarde de ses gens.

    Il n’y aura de délivrance sans une volonté de puissance et une acquisition de puissance qui se fondent sur le concept romain d’Imperium.

    L’Europe ne peut être qu’un conseil d’administration géré par des banquiers ou des techniciens, mais doit être avant tout une idée forte, immanente et transcendente, qui exalte et guide toutes ses composantes.

    La réalite européenne n’est pas celle que nous constatons aujourd’hui. Elle n’est pas celle que nous imaginons, non plus. C’est celle que nous allons créer, dans la sagesse et dans la lutte, par des actions concrètes au niveau européen, pour former et proposer une alternative viable.

    L’Europe, à l’âge des satellites qui a changé les critères du temps et de l’espace et a légué la souveraineté à ceux qui sont en mesure de la gérer à ce niveau, doit innover et actualiser la souveraineté des peuples européens en réalisant cette Europe en parallèle.

    NOUS…

    …devons contribuer à fournir des élites existentielles, culturelles, politiques et de pensée pour le défi que nous devons remporter.

    Il ne s’agit pas tant d’exposer des théories sociales, monétaires, économiques ou institutionnelles (qui sont aussi nécessaires) mais d’aller dans la juste direction pour améliorer les tendances positives.

    Les dénominateurs communs des tendances positives sont: rajeunissement de la population, contenance de l’immigration et inversion de cette tendance, sauvegarde des fondamentaux “volkische” des peuples européens, récupération d’une vision économique non-capitaliste, fondée sur les corporations et les synergies, restauration de la virilité olympique, opposition de l’autonomie des impositions autoritaires et aliénantes.

    Nous devons garantir l’idée que l’Europe conserve et intègre les particularités nationales et régionales, le communautarisme et les libertés individuelles.

    Notre engagement est de faire levier sur tous ces dénominateurs communs pour surmonter toutes ces divergences d’opinion et de fétichisme qui caractérisent l’engagement politique en ce temps des réseaux sociaux.

    Sur ces directives, les Lansquenets s’engagent à soutenir tous les efforts politiques, culturels, socio-économiques et métapolitiques qui vont dans la juste direction pour former une lymphe vitale en Europe et pour l’Europe, celle authentique.

    Ils le feront dans la participation au rôle de Think Tank, dans l’engagement pour l’organisation sociale des producteurs, dans les relations internationales, dans l’exemple de vie et de contribution politique sans interêts propres.

    Ainsi en produisant des idées et des initiatives, butinant sur le meilleur que chaque nation européenne nous lègue, et que chaque personne y participant a à offrir, nous parviendrons à notre cause commune qui se veut le fer de lance d’Europe.

    Eurhope 11/08/2018

    Source : Eurhope, via Metamag

    Crédit photo : Domaine public, via Pixabay

    https://www.polemia.com/europe-besoin-nous-eurhope/

  • SORTIE DU N°49 (été 2018) DE LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"

    1691809348.jpgAU SOMMAIRE DU N°49 (été 2018) :

    P 2 : ÉDITORIAL  Roland Hélie

    P 4 :  SORTIR DE L’EUROPE ? Arnaud Menu

    P 6 : LA DÉSINFORMATION PAR LE DÉTAIL Bernard Plouvier

    P 11: AFFAIBLIR LES MÉDIAS AUX ORDRES 

    P 15 : LEXIQUE ANTI-SUBVERSIF Éric Delcroix

    P 22 :  QUE DEVIENT SERGE AYOUB ? Rencontre avec Basile Tomé

    P 28 : ENTRETIEN AVEC VINCENT VAUCLIN (DISSIDENCE FRANÇAISE)

    P 33 : LA CHRONIQUE BARBARE Philippe Randa

    P 35 : NON AUX ÉOLIENNES Aristide Leucate

    P 38 : L’AVENIR INCERTAIN DES BLANCS SUD-AFRICAINS Jean-Claude Rolinat

    P 44 : ERDOGAN VOILÀ UN ENNEMI Jean-François Touzé

    P 48 : IL Y A 30 ANS : DÉCÈS DE ROMUALDI ET D’ALMIRANTE Massimo Magliaro

    P 52 : UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE Charles-Henri d’Elloy

    P 58 : UN GRAND ENTRETIEN AVEC JEAN-PIERRE COUSTEAU Clothaire de La Rue

    P 72 : LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    P 75 : LES EXPOS VISITÉES PAR Scipion de Salm

    P 80 : REÇUS, LUS ET APPRÉCIÉS 

    P 82 : LES PAGES LITTÉRAIRES Georges Feltin-Tracol, Daniel Cologne

    P 93 : LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Activités de l’association

    106 PAGES : 12 € (+ 4 € de port)

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  • Incendies de forêts en Californie : rien à voir avec le climat et rien d’exceptionnel, affirment des scientifiques

    Incendies forets californie climat
     
    Les médias obtus du climato-alarmisme s’en donnent à cœur joie : si la Californie brûle « comme jamais », c’est que le climat change à cause de l’homme, thèse reprise ad nauseam par les organes de la pensée obligatoire. The Economist, organe central du libéral-réchauffisme anglo-saxon et hebdomadaire des élites économiques « disruptives », titrait récemment sur fond de flammes : « Sur la ligne de feu. On est en train de perdre la guerre contre le changement climatique » Mensonge. « Les incendies de forêts sont bien plus un problème social qu’un problème naturel » assurent les chercheurs de l’Université Carlos III de Madrid. Le professeur David B. South de l’Université d’Auburn témoignait devant le Sénat américain en 2014 que « Les chiffres démontrent que les très grands incendies de forêts étaient quatre fois plus fréquents avant 1940 » que de nos jours. Il ajoutait que « Nous ne pouvons raisonnablement pas affirmer qu’un réchauffement global anthropique entraîne des incendies d’ampleur » et « qu’attribuer une augmentation du risque d’incendies aux émissions humaines de carbone est juste antiscientifique ».

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  • ALEX JONES dénonce la conspiration de big pharma

  • Le Puy de Fou invente encore un concept bio et utile : le corbeau anti-mégots

    Il fallait y penser : 

    "Certains sont déjà entrés en action, les autres vont commencer leur besogne à partir de lundi… Six corbeaux, spécialement dressés pour le ramassage des mégots et des déchets, participeront dès la semaine prochaine au nettoyage du parc de loisirs du Puy du Fou, a indiqué vendredi son président, Nicolas de Villiers.

    « L’objectif n’est pas simplement de nettoyer, car les visiteurs sont globalement respectueux de la propreté, mais aussi de mener une action pédagogique », montrant que « la nature elle-même peut nous apprendre à faire attention à l’environnement », a-t-il expliqué.

    L’idée a germé, « il y a plusieurs années, dans l’esprit de l’un des fauconniers du parc, à partir de l’observation des oiseaux », a raconté Nicolas de Villiers. Christophe Gaborit, spécialiste de l’affaitage (dressage) des rapaces, a donc « inventé une petite boîte », contenant d’un côté des croquettes, « dont raffolent les corbeaux », et offrant de l’autre un espace vide, destiné à « accueillir des mégots, ou autres petits déchets », a poursuivi Nicolas de Villiers.

    Lorsque le corbeau dépose un mégot dans la boîte, un mécanisme se déclenche, et une croquette lui est délivrée. « Motivés par la récompense », les corbeaux ont « vite compris comment fonctionnait le jeu », s’est-il réjoui. L’installation a ensuite été réorganisée de manière à ce qu’une seule boîte, « de la taille d’une brouette », permette à tous les oiseaux de déposer leur butin et à Christophe Gaborit de jouer les « chefs d’orchestre ».

    L’espèce sélectionnée, le corbeau « freux », est un oiseau « particulièrement intelligent », qui « lorsqu’il est dans une atmosphère affective porteuse, aime communiquer avec l’homme et établir une relation avec lui par le jeu ». Ces oiseaux sont « très rapides » : en moins de trois quarts d’heure, un corbeau est capable « de remplir un seau », a-t-il ajouté".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Viktor Orbán a raison de dénoncer le libéralisme

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    Au cours du récent discours qu’il a prononcé en Roumanie, Viktor Orbán a mis en avant l’idée selon laquelle, aujourd’hui, le libéralisme est l’ennemi principal des peuples, des nations et des cultures qui leur sont liées. En disant cela, Viktor Orbán fait preuve d’une grande cohérence, ce qui n’est pas très fréquent chez les « nationistes » (notre ami Henri Temple a proposé ce terme dans son ouvrage intitulé Théorie générale de la nation).

    Le libéralisme est souvent associé, par les gens de droite, à la défense de la nation et de la culture nationale ; à tort, parce que la nation (je ne parle pas ici de la nation des révolutionnaires français, qui est constituée des seuls partisans de l’idéologie révolutionnaire, mais de la nation comprise comme une communauté culturelle et historique) est une communauté tandis que la société libérale n’est qu’un agrégat aléatoire d’individus. Le libéralisme philosophique/politique est d’abord et avant tout une idéologie individualiste (dont ont hérité les acteurs de la Révolution de 1789) qui a comme corollaires l’universalisme et le mondialisme ; il est, de ce seul fait, incompatible avec toute idée de communauté nationale telle que définie ci-dessus.

    Certains m’opposeront sans doute que le libéralisme économique n’est pas incompatible avec le « nationisme », ce qui ne va pas de soi. En effet, s’il n’est pas certain que le libéralisme philosophique/politique ne soit qu’une construction intellectuelle visant à justifier le libéralisme économique, il n’y a aucun doute quant à la centralité de l’individualisme au sein de cette doctrine économique. Il est, d’ailleurs, intéressant de noter que tous les courants conservateurs qui l’ont adoptée se sont finalement convertis au libéralisme politique/philosophique, ce qui conforte la théorie de Michéa selon laquelle le libéralisme est comparable à un ruban de Möbius ayant deux faces qui n’en font qu’une seule.

    Il est évident que le système économique fondé sur la libre initiative des entrepreneurs, la concurrence et le marché est le plus efficace de tous les systèmes économiques qui ont été expérimentés sur une durée significative ; néanmoins, il peut être dévastateur s’il n’est pas étroitement tenu en laisse par le pouvoir politique et surplombé par un ensemble de valeurs conservatrices (importance décisive d’une métapolitique conservatrice). Pour illustrer ce pouvoir dévastateur, il n’est besoin que d’évoquer l’immigration de masse que nous subissons depuis le début des années 1970, laquelle a été voulue par le patronat dès les années 1960 (cf. les mémoires d’Alain Peyrefitte). Récemment, la chancelière d’Allemagne a ouvert en grand les frontières de son pays pour satisfaire aux demandes du patronat libéral et, en France, le lobby hôtelier et les macronistes se félicitent ouvertement de la présence des migrants (avant eux, Pompidou, Giscard, Chirac, Sarkozy ont laissé entrer des populations étrangères pour satisfaire le même patronat). Pour les libéraux, le changement de population ne pose pas de problème parce que, pour eux, le territoire national (mais aussi celui de l’Union européenne) n’est que le lieu d’un marché ouvert à tous les flux.

    Le libéralisme ignore la notion de bien commun (celui de l’ensemble des membres de la communauté nationale) ; les libéraux considèrent qu’il n’y a que des biens individuels et que les entrepreneurs ne doivent pas être limités dans leur recherche de l’enrichissement par les aspirations de ceux (très majoritaires aujourd’hui) que gêne la présence de plus en plus massive d’étrangers africains et maghrébins. Les libéraux, qui en ce début de XXIe siècle ont fait leur jonction avec les libertaires soixante-huitards (Alain Madelin, tout comme Daniel Cohn-Bendit, est partisan de l’ouverture totale des frontières), n’accordent aucune importance aux appartenances communautaires (nationales, régionales, familiales…) qui, selon eux, oppressent les individus (l’ineffable Yann Moix considère que toute réunion familiale relève de l’inceste !).

    Viktor Orbán a raison de dénoncer le péril libéral ; c’est seulement en désignant clairement l’ennemi que l’on peut gagner la bataille.

    Bruno Guillard

    http://www.bvoltaire.fr/viktor-orban-a-raison-de-denoncer-le-liberalisme/

  • Objectivité subjective

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    Entretien de Politque magazine avec Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine 

    Est-ce le rôle de l’Assemblée nationale de définir ce qui est vrai, comme la loi sur les fake news tendrait à le démontrer ?

    Je ne le pense pas. Et dans cette loi, ce ne sera même pas l’Assemblée mais les juges qui, en dernier recours, décideraient de la vérité. Tout cela part d’un bon sentiment, mais on s’apercevra à l’usage que les juges auront une forte marge d’interprétation pour décider si une information est juste ou non. Et ça, c’est dangereux. Je ferai l’analogie avec la 17e chambre, qui condamne des journalistes comme Éric Zemmour, un de nos collaborateurs, où, partant d’un concept apparemment simple, comme l’incitation à la haine, le juge décide à partir de quel moment un propos est seulement descriptif d’une situation, ou incitatif… Je suis très réservé.

    En même temps, il y a une volonté de judiciarisation de la vérité par les militants et même les Français dans leur ensemble : on peut signaler à chaque média, au CSA, tout ce qui nous déplait, et personne ne s’en prive, au vu des statistiques.

    Il y a cette « envie de pénal » généralisée dont parlait Philippe Muray. Il y a là le résultat de deux mouvements. Le premier, c’est la victimisation, qui est devenue une règle d’existence : quand je ne suis pas d’accord, je suis forcément une victime et donc je demande réparation. La logique de la contradiction, traditionnelle dans le débat démocratique, s’amenuise au profit d’une logique de la réparation. On voit ça sur tous les sujets, c’est devenu un réflexe. Le second, c’est tout bonnement le refus du débat. Avec les réseaux sociaux, chacun a pu se construire une bulle dans laquelle il est conforté par les gens qui pensent comme lui, les sites qu’il consulte, les comptes Twitter qu’il suit, et il ne supporte plus ceux qui ne rentrent pas dans cette bulle, au point que son obsession devient alors de les faire taire. C’est la grande contradiction d’Internet supposé vous ouvrir au monde et qui vous referme sur vous-même.

    Avec des initiatives comme le Decodex, ou le fait d’être officiellement chargés de certifier le vrai et d’indexer le juste, d’être une référence, les médias ne sont-ils pas victimes des mêmes travers ?

    L’erreur de base de cette construction est de considérer qu’il y a une vérité objective. Sur les faits, sur les chiffres, comme ceux de l’immigration, par l’exemple, on voit qu’on peut choisir ceux qu’on met en avant. C’est pourquoi nous ne rentrons pas dans ce dispositif consistant à dire qu’il y a une vérité officielle qu’on ne peut plus contester. C’est une impasse. Chacun fait son travail de journaliste honnêtement mais chacun met en avant des chiffres, des réalités, des faits qui sont vrais mais qui vont à l’appui de la thèse défendue, à l’appui d’une vision du monde et même, surtout à gauche, d’une idéologie, avec des bons et des méchants. Et les bons, ce sont ceux qui pensent comme Le Monde et Libération. On ne dit pas que les autres sont méchants, on dit « les autres ont tort, ce sont des menteurs ». Il y a là un glissement sémantique, puisqu’on travestit le débat contradictoire en un affrontement entre le mensonge et la vérité.

    Les journalistes sont en fait prescripteurs de vérité : en sélectionnant l’information, ils constituent l’univers de référence dans lequel le lecteur se positionne. Ils informent la réalité plus qu’ils n’en rendent compte. Mais les journaux paraissent refuser d’admettre ce rôle constitutif et prescripteur…

    Je ne sais plus qui disait que la vérité était comme une sphère, on ne peut jamais la voir toute entière. J’adore cette image. « Il fait jour sur la terre », ce n’est vrai que pour la moitié de la planète. Les médias sont de bonne foi quand ils disent qu’ils décrivent la vérité, mais ils doivent admettre qu’ils décrivent la partie de la vérité qui est cohérente avec leur vision du monde, quitte à nier la réalité quand ils affirment par exemple qu’il n’y a pas de crise de l’immigration mais seulement une crise sociale. On est toujours sur cette ligne de crête où on doit admettre qu’on a une vision des choses. Je m’efforce d’abord et avant tout de respecter les faits mais je ne me considère pas comme un journaliste neutre, je ne suis pas au Figaro Magazine par hasard. J’ai une vision libérale et conservatrice de la société, et je décris des situations qui sont le reflet de cette vision. Je dois admettre cette subjectivité. Ce qui n’est pas supportable, ce sont les médias qui disent « mais nous, on est objectifs ». Ce n’est pas vrai : on peut être honnête, on ne peut pas être objectif… Même quand on est journaliste scientifique !

    Que penser des journaux qui expliquent qu’ils ne parlent pas d’une information parce qu’elle desservirait leur cause ou favoriserait celle de leurs adversaires, au motif de « ne pas faire le jeu de … » ? En quoi est-il légitime de ne pas parler d’une information ?

    Ce type de raisonnement n’est plus opérationnel, il est même contre-productif. Si on prend l’affaire des agressions sexuelles de Cologne pendant le réveillon, même la police avait occulté les événements, et quand cela a fini par se savoir, le scandale a été décuplé. Taire, cela ne marche plus. Quand un média occulte une information, ça lui est reproché immédiatement – et les réseaux sociaux la répandent à sa place. Quelle est la réflexion du journaliste ? Ne pas en parler parce que dans la hiérarchie de l’information ce n’est pas le plus important, ou ne pas en parler parce que ça ne va pas dans le sens de sa thèse ? Il ne devrait pas y avoir les mêmes règles selon qu’on est un média de service public ou non. Il n’y a pas assez de neutralité, et c’est un euphémisme, sur ces médias financés par les Français de toute conviction. En revanche, il n’est pas choquant qu’un journal dont la ligne éditoriale est claire décide de mettre ou non l’accent sur tel ou tel sujet.

    Plusieurs journaux justifient pourtant leur silence au nom de l’idéal qu’ils défendent et vont jusqu’à réclamer que les fournisseurs alternatifs d’information soient réduits au silence. Le gouvernement veut maîtriser l’information et certains médias dits « de référence » veulent protéger la vérité officielle ou protéger, peut-être, leur rente de situation.

    Je pense qu’il faut relativiser ce constat. Les journalistes de L’Obs doivent penser qu’au Figaro Magazine on ne met en avant que ce qui accrédite nos constats : on est toujours le « politiquement correct » de quelqu’un ! Tant que toutes les opinions s’expriment, ça ne me choque pas. Mais que le gouvernement commence à mettre un pied là-dedans avec cette loi, ça devient inquiétant.

    Le gouvernement veut légiférer alors que la confiance envers les politiques et les médias est au plus bas, selon le baromètre du Cevipof*. Cette perte de confiance ne vient-elle pas en partie de l’idée que politiques et médiatiques gouvernent ensemble ?

    Le développement d’informations fausses sur les réseaux sociaux, supposés libérés, a redonné une crédibilité aux médias. Aux États-Unis, la prolifération des fake news, dans tous les camps, a fait considérablement augmenter les abonnements numériques aux journaux dits sérieux, traditionnels. Le Figaro arrive à cent mille abonnés numériques. Il ne faut donc être ni naïf, ni tranché : le discrédit n’est pas absolu. Mais c’est à nous de prouver qu’une information donnée par un journaliste, signée de son nom, a plus de valeur qu’une opinion donnée sur les réseaux, ne serait-ce que parce que je suis soumis à des règles dont les internautes s’affranchissent. Pour répondre plus directement, je ne crois pas à une coalition d’intérêts concertée. Je pense plutôt qu’il y a une vision moderne du monde partagée entre les derniers gouvernements, de Macron à Sarkozy, et la majorité des journalistes. Ça n’a donc pas besoin d’être concerté : ces gens pensent la même chose. Il y a en fait beaucoup de gens honnêtes. Ce système médiatique, dont on a le sentiment qu’il est engagé dans un camp, n’est pas une machine militante : c’est « juste » que ses artisans sont profondément et sincèrement convaincus. Les médias engagés doivent donc éveiller les consciences – et on voit, en Europe, à quel point les choses peuvent bouger. Que cette concordance de points de vue entre le pouvoir en général et les médias en général ait participé ou provoqué ce discrédit, c’est une évidence. Mais le double constat que les gens sont honnêtes et que les choses peuvent bouger me rend optimiste !  ■

    www.sciencespo.fr/cevipof/fr/content/les-resultats-par-vague : vague 9, janvier 2018, page 29.

    Propos recueillis Par Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Une élue des Pays-Bas se suicide après avoir posté une vidéo racontant son viol par des musulmans

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    Willie Dille était une élue du PVV (Parti pour la liberté), le parti anti-islam de Geert Wilders.

    Dans sa vidéo en forme de testament, Willie Dille raconte que son viol se serait déroulé l’année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi pour lui faire cesser ses activités politiques.

    «Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j’ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», raconte-t-elle.

    «Après que cela est arrivé, je ne l’ai dit à personne, j’ai simplement été au débat le lendemain

    Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort

    http://www.medias-presse.info/une-elue-des-pays-bas-se-suicide-apres-avoir-poste-une-video-racontant-son-viol-par-des-musulmans/96453/

  • Le Dossier Rockefeller (Gary Allen)

    dossier-Rockefeller.jpgGary Allen (1936-1986) est un journaliste indépendant américain, diplômé de l’université Stanford et de l’université de l’Etat de Californie. Ses recherches l’ont conduit à prendre conscience des objectifs réels des Rockefeller, loin de la version officielle qui nous les présente comme des milliardaires philanthropes.

    Ce Dossier Rockefeller qu’il a lentement et méticuleusement constitué a été publié aux Etats-Unis en 1976, accompagné d’une préface de Lawrence P. Mc Donald, membre du Congrès.

    Le Dossier Rockefeller ne relève pas de la fiction. C’est un exposé synthétique terrifiant au sujet de la décision prise par les Rockefeller et leurs affidés de créer un gouvernement mondial, au-delà de tout clivage politique gauche-droite. Ce livre se distingue des autres ouvrages publiés sur cette famille par le fait qu’il ose révéler et démontrer comment les Rockefeller et leurs proches ont, depuis des décennies, scrupuleusement suivi une stratégie mettant à contribution leur puissance économique afin de prendre le contrôle de l’Amérique dans un premier temps, puis ensuite celui du monde entier.

    Ce livre extrêmement bien documenté met en évidence l’incroyable maîtrise par le clan Rockefeller de vastes pans de l’économie mondiale (banques, compagnies d’assurances, sociétés de transport, énergie,…), soit par la possession d’actions dans des sociétés, soit par l’influence des services de fiducie des banques Rockefeller. En outre, le répertoire complet de tous les mouvements, organismes, publications et établissements favorables à un gouvernement mondial et contrôlés en coulisse par le réseau des Rockefeller et du CFR dépasse l’imagination.

    Par ailleurs, ce livre souligne la capacité d’adaptation des Rockefeller à toutes les situations, sachant tirer parti de la gauche comme de la droite pour faire avancer son plan machiavélique.

    Le Dossier Rockefeller, Gary Allen, éditions Hades, 300 pages, 23 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

    http://www.medias-presse.info/le-dossier-rockefeller-gary-allen/96088/