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« Document exceptionnel : Les 100 ans de crimes communistes. »
Le documentaire réalisé par Bernard Antony, l’AGRIF, Chrétienté-Solidarité et TVLibertés rompt le silence assourdissant autour d’un funèbre anniversaire : les 100 ans du communisme.
Depuis 1917, cette idéologie est synonyme de cruauté, d’assassinats, de tortures, de souffrances et d’asservissement. Et pourtant, les élites françaises et la presse mainstream semblent oublier de rappeler les 100 millions de victimes de ce totalitarisme. Ces morts n’existent pas, tout au moins dans le débat public ! Ceci est peut-être l’illustration d’une caste dirigeante qui n’arrive pas à rompre avec le marxisme-léninisme, de certains dirigeants politiques qui n’ont jamais reconnu leurs erreurs et leurs errements ou de partis politiques qui n’ont jamais fait acte de repentance.
C’est l’honneur de la presse alternative, et tout particulièrement de TVLibertés, de diffuser un documentaire afin de faire découvrir l’ampleur du malheur dans lequel furent ou sont encore plongés des peuples entiers. Ce document exceptionnel qui a nécessité des semaines de préparation est une arme pour la guerre idéologique contre les totalitarismes actuels-et, hélas, le communisme en est un. -
À 3 jours de la réunion de dimanche de Synthèse nationale, Riposte laïque donne la parole à Roland Hélie
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Comment passer à côté du jovial et sympathique Roland Hélie, qui va organiser ce dimanche une journée sur le thème « Ne laissons pas mourir la France »…
Riposte Laïque : Vous fêterez ce dimanche 14 octobre, à Rungis, le 12e anniversaire de Synthèse nationale, dont vous êtes le fondateur, et le président. Pouvez-vous nous rappeler le concept de votre association ?
Roland Hélie : Effectivement, la revue Synthèse nationale a été créée en 2006, il y a déjà 12 ans.
À l’époque, l’objectif était simple. Nous pensions, quelques amis et moi-même, qu’il fallait introduire un nouvel état d’esprit au sein de la famille « nationale ». Nous devions en finir avec ce climat difficile qui régnait entre les différentes formations de la droite nationaliste et identitaire (j’emploie le mot « droite » afin de simplifier les choses, mais cette démarche devait aller bien au-delà, vous le savez mon cher Pierre) qui stérilisait chacune d’entre elles.
Pour cela, nous avons, dans un premier temps, créé la revue ouverte aux différente sensibilités de la famille nationale, puis nous avons organisé les journées annuelles de Synthèse nationale au cours desquelles de nombreux responsables de formations, allant de Civitas à Riposte laïque en passant par Terre et peuple ou le Parti de la France, sont venus s’exprimer. La 12e édition aura lieu dimanche prochain, 14 octobre, à Rungis (*).
Synthèse nationale c’est, en quelque sorte, le carrefour de toutes les forces nationales, identitaires, anti-mondialistes et non conformistes.
Riposte Laïque : Et en dehors d’une journée annuelle, quelles sont vos autres activités ?
Roland Hélie : Depuis 2012, nous avons monté une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, qui vient de publier son 40e ouvrage, Pour une troisième voie solidariste de Georges Feltin-Tracol. Nous publions aussi deux autres revues, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, le n° 14 est sorti cet été et il est consacré à l’Anglais Oswald Mosley, et, dans un tout autre domaine, la revue Confrontation, dirigée par Jean-François Touzé, qui traite des problèmes liés à l’immigration et à l’islamisation de la France et de l’Europe (**).
Outre nos journées régionales de Lille, nous organisons aussi des conférences, tant à Paris qu’en province, sur différents thèmes. Par exemple, depuis quelques mois, nous menons une campagne contre l’implantation des éoliennes en France. Nous avons édité sur ce sujet, un livre, Éoliennes un scandale d’État, que nous devons à Alban d’Arguin et qui est maintenant une référence pour ceux qui s’engagent dans ce combat. Pour nous, l’implantation des éoliennes, aussi inutiles que nuisibles et coûteuses, relève de la volonté des mondialistes de détruire les identités en saccageant la nature et la beauté de chaque pays.
Riposte Laïque : Vous avez choisi, cette année, comme thème « Ne laissons pas mourir la France ». La situation vous paraît donc plus grave que l’an passé ?
Roland Hélie : Cela ne semble pas s’arranger. De toute façon, il n’y avait rien à attendre de Macron car, depuis le début, nous savions qu’il n’était que la roue de secours du Système aux abois après les catastrophiques quinquennats de Sarkozy et de Hollande.
Pour en revenir au thème de la journée de Synthèse nationale, aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultra-libérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formatés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à Rungis.
Riposte Laïque : Comment se passera cette journée, et qui y interviendra ?
Roland Hélie : Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la Droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.
Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.
En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés, Jean-Claude Rolinat, écrivain qui vient d’écrire un nouveau livre « La bombe africaine » (Éditions Dualpha). Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…
Riposte Laïque : Pourquoi choisir Rungis, vous n’avez pas de solutions, à Paris ?
Roland Hélie : Dans un premier temps, jusqu’en 2012, nous organisions ces journées à Paris. Et en 2013 il y a eu ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric » dont j’ai eu l’occasion de parler récemment dans les colonnes de Riposte laïque. À la suite de celle-ci les idiots utiles du Système, les « antifas », se sont déchaînés contre les nationalistes et pas seulement de manière frontale mais aussi de manière sournoise en intimidant les directeurs de salles (les vitres de la salle où nous devions tenir cette année-là notre réunion ont été brisées et les murs recouverts de grafittis quelques jours avant). Nous avons donc été obligés de trouver une solution de rechange et, il faut le dire, c’est grâce à Pierre Vial et à Terre et peuple, qui organisent depuis longtemps leurs réunions dans cet endroit, que nous nous sommes retrouvés à l’Espace Jean Monnet à Rungis.
Depuis, plusieurs organisations patriotiques nous ont emboîté le pas…
Riposte Laïque : Je présume que vous allez expliquer à nos lecteurs comment faire pour s’y rendre, et espérant qu’il reste des places disponibles…
Roland Hélie : Simple ! En voiture il suffit de se rendre à Rungis dans le Parc d’affaire ICAD et là l’Espace Jean Monnet est bien indiqué. De plus il y a deux grands parkings. En RER, Ligne C2, Train Mona, station Rungis La Fraternelle à 300 m de l’Espace Jean Monnet. En tramway Ligne T7, départ de la station de métro Villejuif Louis Aragon, arrêt La Fraternelle.
Riposte Laïque : Vous avez d’autres projets, après le 14 octobre ?
Roland Hélie : Continuer le combat pour que la Droite nationale se ressaisisse et qu’elle redevienne une force crédible capable de mettre fin au processus criminel contre notre nation et contre notre civilisation. Ce ne sont pas les exemples qui manquent en Europe…
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Roland ?
Roland Hélie : Les lecteurs et les militants de Riposte laïque, dont je salue ici le juste combat, sont tous les bienvenus dimanche prochain 14 octobre à la 12eJournée de Synthèse nationale à Rungis.
Propos recueillis par Pierre Cassen
(*) 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val-de-Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 h à 18 h 30, billet entrée 10 €.
(**) consultez le site Synthèse éditions cliquez là
Réaction de l'intéressé : Merci Cher Pierre pour une si aimable présentation. Roland Hélie
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Le gouvernement mondial à l’œuvre : l’ONU somme l’Algérie d’arrêter d’expulser des migrants
L’Algérie vient d’expulser des milliers de migrants. Au terme d’un rapport incendiaire qui la condamne, l’ONU la somme d’arrêter. Il s’agit d’une ingérence manifeste dans les affaires d’un pays souverain en matière d’immigration : le gouvernement mondial s’installe et nous menace.
Hodie sibi, cras nobis : ce qui arrive à l’Algérie et aux Algériens aujourd’hui peut nous arriver demain en France si nous menons une politique de fermeté comparable à celle que mènent les autorités algériennes en Algérie. -
Subvention LGBT : ils ne lâchent rien et nous non plus
Un jugement du Tribunal Administratif de Nantes avait annulé une subvention de 22000€ versée au Centre LGBT de Nantes au motif que cette association s’était livrée à des actions militantes en faveur de la légalisation du mariage pour tous, de l’extension de la PMA et avait effectué une action de promotion de la GPA.
L’association et la commune de Nantes ont contesté ce jugement devant la cour administrative d’appel de Nantes. Le 5 octobre dernier, la Cour Administrative d’Appel aannulé ce jugement en considérant que l’association menait des activités locales à caractère social éducatif et culturel et que, partant, l’attribution d’une telle subvention ne serait pas entachée d’un motif politique.
Cette jurisprudence, particulièrement permissive, risque d’encourager encore davantage des associations de la nébuleuse « LGBT » à se livrer à des actions militantes sur fonds publics. Il suffira, en effet, pour ces associations, de faire valoir qu’elles mènent également des actions d’intérêt général au plan local.
Aussi un pourvoi en cassation sera prochainement déposé.
Henri Jozefowicz, Docteur en droit public, écrivait à propos du jugement condamnant la ville de Nantes :
Le tribunal administratif a souligné que dans une période proche de l’attribution de la subvention, l’association s’était clairement engagée pour l’élargissement des conditions d’accès à la PMA, ainsi que pour la GPA, dont il prend le soin de souligner le caractère « contraire à l’ordre public et pénalement réprimée ». Le tribunal rejetait clairement un quelconque aspect social dans l’objet de l’association, dont la présence aurait pu éviter de relever un motif politique. Peut-être, eût-il été plus judicieux pour l’association de communiquer sur des thèmes davantage sociaux (l’accueil psychologique, la prévention sanitaire…) que « sociétaux », ce que son militantisme actif en faveur de certaines « causes » nationales ne pouvait que vouer à l’échec. Si la ville de Nantes a péché, c’est bien par le faible « localisme » de son intervention en faveur d’une association adoptant des positions ouvertement clivantes. Une reconnaissance électorale est un exercice qui doit tout de même prendre quelques gants… Pour le tribunal administratif, en raison de ces différentes prises de position publiques du centre LGBT, il y avait bien un militantisme qui pouvait difficilement caractériser la délibération de la ville de Nantes comme exempte de tout motif politique. Pour cette raison, cela suffisait à considérer la délibération du conseil municipal de Nantes du 5 février 2016 comme illégale.
https://www.lesalonbeige.fr/subvention-lgbt-ils-ne-lachent-rien-et-nous-non-plus/
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AU FORUM des rapatriés #8 : La vraie histoire des colonies
Les Français rapatriés d’Afrique du Nord et d’Outre-mer attendent toujours une réponse du Chef de l’Etat, Emmanuel Macron, à son affirmation accusatrice « la colonisation est un crime contre l’humanité. Une vraie barbarie » tenue en Algérie en février 2017 lors de la campagne électorale présidentielle. Dans ce nouveau Au Forum des Rapatriés, Martial Bild et Bernard Coll accueillent Arnaud Folch, rédacteur en Chef du hors-série de Valeurs Actuelles : « La vraie histoire des colonies » qui présente, par des faits concrets, le bilan réel de la colonisation française. A cette réalité coloniale s’ajoute une autre réalité de l’histoire de France, celle du drame de l’exode des Français d’Algérie et notamment des Harkis et de leurs familles. Un problème auquel le Président de la République, fidèle aux principes qu’il a présenté le 3 juillet 2017 au Parlement réuni à Versailles, semble vouloir apporter une réponse concrète. Bernard Coll présente, dans le contexte favorable d’une récente décision du Conseil Constitutionnelle et de l’indemnisation de nos compatriotes juifs d’Algérie par l’Allemagne, ce que pourrait être la nouvelle loi de reconnaissance et de réparation que prépare le préfet Dominique Ceaux et son Groupe de travail, L’évocation des dates dramatiques des 19 mars et 26 mars 1962 invitent les Français à se souvenir de l’origine et des drames qui ont marqué le retour du général De Gaulle au pouvoir en juin 1958. Une Histoire que doit assumer la France d’aujourd’hui en cette année qui marquera, le 4 octobre, 60e anniversaire de la Constitution de la Ve République.
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“Crispations identitaires” ?
Le site communautaire oumma.com se félicitait mardi de la décision du tribunal administratif de Nîmes qui a « purement et simplement annulé » la décision du maire de Beaucaire (Gard), notre camarade Julien Sanchez, « de supprimer les menus sans porc dans les cantines scolaires de Beaucaire ». L’édile national est accusé par l’auteur anonyme de cet article de « livrer une croisade, aux relents nauséabonds, dans les assiettes de ses chères têtes blondes », d’être porteur d’une « haine aveugle (qui) conduit vers des abîmes aussi absurdes qu’insondables » (sic). Pugnace, Julien n’entend cependant pas plier devant les injonctions du juge déplore le site. Il a fait savoir dans un communiqué que « les menus de substitution ne seront en aucun cas remis en place » qu’il ne se soumettrait pas à un interdit religieux, à des exigences communautaristes. Le site du quotidien La Croix attirait lui l’attention de ses lecteurs sur les avis des « experts » du très décrié Comité des droits de l’homme de l’ONU qui affirment que la législation anti-burqa, la loi de 2010 interdisant la dissimulation du visage dans la rue », serait discriminatoire et porterait atteinte à la liberté religieuse.Bernard Gorce rappelle opportunément que « la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a par deux fois validé l’interdiction de la burqa, qui peut passer pour proportionnée au but poursuivi, à savoir la préservation du vivre ensemble. La CEDH considère même la mesure comme nécessaire dans une société démocratique. » « La Cour reconnaît une marge d’appréciation aux États, prenant ainsi en compte des circonstances politiques, la menace que représentent certains courants de l’islam radical. »
Dans les faits, et ici Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, fait la même constatation que Bruno Gollnisch, les dirigeants du RN et les policiers sur le terrain, les consignes données par le pouvoir politique font qu’ « il y a des lieux en France où la loi est si peu contraignante que l’homme le plus recherché de France (Redoine Faïd) se sent en sécurité quand il est couvert par un vêtement pourtant interdit. » Notamment en effet dans les quartiers pluriels où la verbalisation d’un contrevenante dégénérerait en émeute…
C’est cette même frousse des autorités publiques, des partis soumis au prosélytisme islamique qui a été dénoncée ces derniers jours par Stéphane Ravier. Le sénateur RN des Bouches-du-Rhône s’est indigné de ce que « les élus socialistes et communistes ont refusé qu’une place du 15è arrondissement de Marseille porte le nom d‘Arnaud Beltrame, pour ne pas provoquer la population. On peut toujours compter sur la gauche pour trahir et se coucher ! »
Une gauche progressiste qui veut encore et toujours plus d’immigration, à l’image de Laurence Rossignol, sénatrice PS de l’Oise. Elle se désolait dans un communiqué de ce que le Français n’ouvre pas assez son portefeuille et sa maison aux immigrés clandestins («migrants » ) convoyés par l’Aquarius de George Soros. Car «dans une Europe qui est rongée par les nationalismes, la peur de l’autre, le rejet de l’autre, la France devrait, au contraire être le pays qui organise l’accueil des migrants et qui sait tendre la main (…). On ne pourra pas, dans les années, qui viennent perdre notre identité au motif qu’il faudrait sauver l’identité nationale. » Une saillie qui illustre mieux qu’un long discours le fossé qui sépare des élites ayant une vision abstraite, hors-sol de ce qu’est la nation française et un peuple français tabassé par l’idéologie mondialiste mais attaché charnellement à notre pays.
Ancien ministre de la famille, de l’enfance et des droits de l’enfance de François Hollande, Mme Rossignol sait cependant faire preuve de fermeté pour élargir encore un peu plus le droit imprescriptible à l’IVG. Ce qui n’est pas sans une certaine logique si l’on part du principe que le maintien de la démographie sur notre sol doit être assuré par le recours à l’immigration de peuplement non européenne… Elle a ainsi déposé le 28 septembre une proposition de loi pour supprimer la clause de conscience qui permet à des soignants de ne pas pratiquer d’avortements. Une réponse à la déclaration de Bertrand de Rochambeau, président du Syndicat national des gynécologues-obstétriciens de France (Syngof) qui avait affirmé quelques semaines auparavant, s’attirant les foudres des grandes consciences mélenchonistes, socialistes, macronistes, que les gynécologues n’étaient pas là « pour retirer des vies. »
Le pulsion liberticide de Laurence Rossignol a été fermement taclée par l’ Association Catholique des Infirmières et Médecins, qui a rappelé dans un communiqué que «le droit à l’objection de conscience est reconnu par la Déclaration Universelle des Droits de l’homme, la Convention européenne des droits de l’homme, la loi de séparation de l’Eglise et de l’État, le droit constitutionnel français, le Code de déontologie médical, la loi Veil et bien d’autres textes reconnaissent le droit à la liberté de conscience. » «Refuser la liberté de conscience aux médecins suppose de modifier tous ces textes un par un. Passer par-dessus toutes ces lois et décrets correspond à mettre notre pays à l’égal des régimes totalitaires staliniens et hitlériens. Ainsi les médecins de la mort obligés par la SS de faire des euthanasies, des expérimentations humaines et des avortements n’ont pas eu le choix.»
Cette question de l’avortement, toujours sensible, a été évoquée sur RTL au détour de l’actualité. Isabelle Choquet affirme ainsi que le pape « s’est livré à une comparaison à l’emporte-pièces qui a surpris et parfois choqué» en estimant que « le recours à l’IVG était semblable à l’utilisation d’un tueur à gages. Est-il juste d’éliminer une vie humaine pour résoudre un problème ? En France, ses propos ont suscité une vague d’indignation et de l’incompréhension jusque dans les rangs des catholiques (lesquels? NDLR). En Italie, la presse s’est emparée du sujet avec, là aussi, des réactions assez vives. » Porté au pinacle par les bien-pensants quand il déclare qu’il faut accueillir en Europe plus largement l’immigration en provenance des pays du sud, le pape François perd régulièrement son crédit progressiste quand il a l’audace de rappeler le dogme catholique du respect et de la protection de la vie à naître.
Il nous semble que la cohérence devrait conduire le pape à défendre le devenir de la catholicité sur notre continent européen de manière globale. Dans son remarquable livre publié l’année dernière Eglise et immigration : le grand malaise (Presses de la renaissance) Laurent Dandrieu, rédacteur en chef des pages Culture de Valeurs actuelles, remet salutairement les pendules à l’heure. Il pourfend les errements intellectuels d’une certaine hiérarchie catholique dont l’immigrationnisme ne répond en rien aux valeurs chrétiennes qu’elle dit défendre… et menace même la pérennité de la foi catholique en Europe.
Il l’expliquait notamment dernièrement sur TVL et en janvier 2017 dans un entretien accordé au site Atlantico à l’occasion de la sortie de son livre: «l’Eglise regarde l’installation progressive de millions de musulmans en Europe comme une simple conséquence de phénomènes migratoires globalement positifs, et la progression du culte musulman sur notre continent comme une manifestation inéluctable de la liberté religieuse. Mais la question civilisationnelle n’est tout simplement jamais posée. Il y a une certaine confusion entre politique et charité, et une tentation de faire des préceptes évangéliques, qui sont des chemins de salut personnel, des principes de gouvernance politique. Il me semble que la confusion s’étend aussi à la notion même de la charité, dont on oublie qu’elle doit être juste, responsable, efficace, et qu’elle obéit à un ordre de priorité: Les plus proches ont un droit de priorité, écrit saint Thomas d’Aquin. Si l’on oublie ces adjuvants, la charité devient l’une de ces vertus chrétiennes devenues folles décrites par Chesterton, une caricature humanitariste d’elle-même qui n’a plus grand-chose de chrétien. »
Et M. Dandrieu d’ajouter encore: « le risque est double : pour l’Europe, que l’Eglise participe à la plonger dans le chaos et l’anarchie, sans profit pour personne, car les migrants n’y trouveront aucun secours si le continent ne possède plus ni stabilité, ni prospérité. Pour l’Eglise elle-même, qu’elle contribue à se marginaliser encore davantage en favorisant la progression en Europe d’un islam conquérant, et qu’elle se coupe encore plus profondément des populations européennes, qui sentent leurs souffrances ignorées au profit d’une attention exclusive donnée aux migrants, et qui s’indignent de voir que leurs inquiétudes quant à leur avenir et à celui de leur civilisation sont balayées d’un revers de main comme autant de crispations identitaires. Or ces inquiétudes pourraient constituer un formidable terreau pour cette nouvelle évangélisation à laquelle aspire l’Eglise en Europe, et qui jusqu’à présent, peine à prendre de l’ampleur : car il faudrait peu de choses pour que cette crise d’identité que traverse l’Europe accouche d’un retour vers le christianisme. Au lieu de quoi, l’Eglise prend ces inquiétudes de haut, adoptant vis-à-vis d’elles le même discours surplombant et moralisateur qu’une caste politico-médiatique pourtant massivement rejetée. En se coupant de ces populations autochtones européennes et de ses préoccupations légitimes, l’Eglise ne conduit pas seulement l’Europe à l’impasse, elle se tire aussi une balle dans le pied. » Puissions-nous être entendus… -
Le problème Palantir : la France livre-t-elle ses secrets aux Etats-Unis ?
Les services secrets américains ont-ils un accès direct aux informations collectées par les services secrets français ? Le sujet commence enfin à être abordé par quelques médias. Le nœud du problème : la société américaine Palantir, considérée comme experte dans l’analyse des données et de la prédiction, et qui a pour clients en France des entreprises stratégiques telles qu’Airbus ainsi que la DGSI, direction générale des services de renseignement intérieur.
Fondée en 2004, la start-up Palantir, créée par Peter Thiel (qui siège au conseil d’administration de Facebook et est un entrepreneur proche de Donald Trump) et dont le lancement a été soutenu financièrement par la CIA, s’est imposée comme l’un des leaders mondiaux du traitement massif de données via des algorithmes et travaille désormais avec de nombreuses agences de renseignement américaines telles que la National Security Agency (NSA).
Or, en mai 2016, Palantir décroche un contrat de 10 millions d’euros auprès du renseignement intérieur français, la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure).
De quoi susciter des questions essentielles au sujet du risque qu’une porte dérobée soit cachée dans le logiciel américain et permette de s’emparer des secrets français.
Thomas Gassilloud, député LREM et corédacteur d’un rapport parlementaire sur la numérisation des armées, tire enfin la sonnette d’alarme :
« Ne pas contrôler ses outils peut avoir de graves conséquences technologiques »
« Nous l’avons vu avec le système GPS : c’est un outil performant et gratuit, mais qui peut être coupé ou bridé sur décision des Etats-Unis, et c’est pourquoi nous avons développé Galileo en Europe. Sans compter qu’il existe toujours un risque de fuites d’informations : même si on pouvait être certains que le logiciel de Palantir ne comporte aucune porte dérobée, il restera toujours le fait que vous dites à leurs employés ce sur quoi vous travaillez (…) »
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12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, DIMANCHE 14 OCTOBRE, LE PROGRAMME :
12eJOURNÉE DE
SYNTHÈSE NATIONALE
NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !
DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018
ESPACE JEAN MONNET, 47 rue des Solets 94 Rungis
11 h 00 : ouverture des portes - Entrée : 10,00 € (gratuit pour les moins de 16 ans)
11 h 15 : message de bienvenue de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
11 h 20-12 h 30 : forum des initiatives avec Hugues Bouchu, les Amis francilien de SN, Vincent Vauclin, La Dissidence française, Juan-Antonio Lopez Larrea, El cadenazo (site phalangiste de Barcelone), Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets (Rome), Emmanuel Albach,auteur de "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes", Gérard Orget, dirigeant du CIDUNATI francilien, un responsable du Bastion social
A partir de 12 h 30 et jusqu'à 17 h 30 : Restaurant ouvert au public (repas ou sandwichs)
14 h 00-14 h 45 : forum sur la réinformation animé par Luc Pécharman avec avec Philippe Randa, éditeur, Radio Libertés, Jean-François Touzé, Directeur de Confrontation, Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, Arnaud Menu, journaliste, Marie-Jeanne Vincent, contributrice à Nous sommes partout, Jean-Claude Rolinat
14 h 45–15 h 15 : Affaire Méric : rétablir la vérité avec Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, Aristide Leucate, écrivain et collaborateur à Présent pour qui il a suivit le procès, Roland Hélie
15 h 30–16 h 15 : concert, Docteur Merlin… présenté par Thierry Bouzard
16 h 30-18 h 00 : le meeting politique présidé par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta avec : Roland Hélie, Richard Roudier, la Ligue du Midi, Alain Escada, Président de Civitas, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Massimo Magliaro, ancien responsable du MSI, Carl Lang, Président du Parti de la France, et
JEAN-MARIE LE PEN
Séance de dédicace du 1ertome de ses mémoires
Toute la journée : le grand stand de la revue Synthèse nationale, des Cahiers d'Histoire du nationalisme,de Confrontation, des Bouquins et de l'Association des Amis. Vous pourrez y retrouver Jean-Claude Rolinat, Alban d'Arguin, Georges Feltin-Tracol, le Dr Jean-Pierre Cousteau, Didier Lecerf, Pieter Kerstens, Thierry Bouzard, Arnaud Menu, Patrick Parment, Hubert de Mesmay, Commandant Aubenas, le dessinateur Ignace et les collaborateurs de la revue.
Nombreux stands d'associations, journaux, mouvements, éditeurs, libraires, artistes et artisans...
Un bar (bières, sodas, pas de Coca...)
Comment accéder à l'Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94) ?
En RER : ligne C2 Train Mona, station Rungis La Fraternelle (située à 300 m de l'Espace Jean Monnet)
En Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (directe en partant de la station de métro Villejuif-Louis Aragon)
En voiture : se rendre dans le Parc d’affaires ICAD de Rungis, l'Espace Jean Monnet y est bien fléché. Vaste parking gratuit à la disposition des visiteurs.
En savoir plus cliquez ici
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milliard pour la propagande européiste
Mettez votre ceinture et lisez :
Il y a une multitude de réunions en tout genre au Parlement européen, chaque jour de session, et l’on ne nous en dit rien en général. Mais EUobserver croit nécessaire de nous informer que hier a eu lieu, parmi les 11 débats (sic) de la seule Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures, l’examen d’un projet de rapport de Bodil Valero (Suédoise Verte) relatif au programme Droits et valeurs et son financement dans le budget à long terme qui doit commencer en 2021.
Bodil Valero propose dans son rapport que le programme de promotion des valeurs démocratiques et de la société civile soit presque doublé, à hauteur de 1 milliard d’euros.
Vous avez bien lu : 1 MILLIARD d’euros pour faire, sous couvert des « valeurs démocratiques », la propagande pour l’européisme et les droits LGBT (c’est devenu indissociable), et contre les méchants populistes.
https://www.lesalonbeige.fr/1-milliard-pour-la-propagande-europeiste/