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  • PARIS, ON S'EN FOUT !

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    Pierre Vial

    Dimanche 16 décembre. En obéissant aux consignes du pouvoir en place, les media aux ordres se réjouissent bruyamment  (mais qui croit encore ce que disent les media ?) : hier, 15 décembre, les manifs des Gilets Jaunes, à Paris, ont connu un échec. Echec relatif, mais échec quand même. Par contre, dans les provinces, les Gilets Jaunes ont réussi à maintenir la pression. Le contraste est révélateur.

    Les Gilets Jaunes sont tombés dans un piège en se focalisant sur Paris. Ils sont en cela victimes d’un mythe qui est central dans l’idéologie républicaine : le mythe jacobin, dont la base logique est que tout ce qui compte, en France, est à Paris, se passe à Paris. Les Gilets Jaunes ont donc foncé tête baissée et, dans leur sillage, la racaille venue des banlieues a sauté sur l’occasion de piller les magasins chics des quartiers bourgeois, où les bobos macroniens faisaient dans leur froc. Belle aubaine pour le Système : ceux qui se révoltent contre lui sont, forcément, des irresponsables, des amateurs de violences, bref des nuisibles.

    Les Gilets Jaunes doivent en tirer les conséquences qui s’imposent. Il ne faut plus tomber dans le piège parisien et se concentrer sur les enjeux locaux, les objectifs « à portée de main » qui permettent un harcèlement durable, usant le pouvoir macronien, en s’épargnant les fatigues et les dépenses provoquées par les longs déplacements et en utilisant au mieux un terrain qu’on connait bien. Le combat des Gilets Jaunes sera durable s’il est enraciné dans nos terroirs. Là où on se contrefout des manœuvres et manipulations parisiennes. Laissons Paris crever sur son fumier.

    Source Terre & peuple cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Têtes à Clash n°40 – Gilets Jaunes : une liste aux Européennes, LA bonne idée ?

     

     
     

    Franck Tanguy reçoit Gérard Delépine, Yves Christen, Philippe Chevrier et François Bert. Ils débattent de l’éventuelle liste des Gilets Jaunes aux élections européennes, du référendum d’initiative citoyenne, du phénomène des GJ comme nouvelle agora et des abus des laboratoires pharmaceutiques.

  • 450€ le meurtre

    450€ le meurtre

    Lu sur le blog d’Yves Daoudal :

    Le Président irlandais Michael D. Higgins, a signé hier soir la loi autorisant l’avortement.

    Dans le même temps, les médecins ont été informés qu’ils toucheront 450€ pour chaque meurtre in utero.

    L’ordre des médecins s’est avisé tout à coup que cette loi est en « conflit » avec le code de déontologie médicale. Il s’est réuni en urgence mercredi soir pour supprimer les articles concernant l’avortement, afin de « rassurer les médecins qui vont être impliqués par cette prestation de service ». Sic. Les mêmes qui disaient que c’est un meurtre disent aujourd’hui que c’est une « prestation de service ». Puisque la loi a changé… Et les médecins avortueurs devraient être rassurés parce qu’on change la « déontologie ». Ce qui importe est la loi et le règlement. La conscience n’entre pas en ligne de compte.

    Un article a été conservé, celui qui indique que les médecins « ont le devoir de fournir des soins, un soutien et un suivi aux femmes qui ont eu une interruption de grossesse ». Mais dans la formulation antérieure il y avait « avortement », pas « interruption de grossesse ». On légitime le meurtre et on y ajoute l’hypocrisie et le mensonge. Normal, quand on sombre dans la culture du diable.

    https://www.lesalonbeige.fr/450e-le-meurtre/

  • Vive émotion après la mort d’Olivier Daurelle, responsable gilet jaune de Villeneuve-sur-Lot

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    Le rond-point du Campanile, à l’entrée sud de Villeneuve-sur-Lot, c’était un peu le centre du mouvement en Lot-et-Garonne. Certes, Florence Aubenas avait choisi Marmande pour son immersion. Mais, à Villeneuve, c’était bien là le QG, le cœur battant, en plein centre du département, dans cette ville sans gare, sans autoroute, carrefour de routes secondaires. À deux pas du lycée, d’où l’on entendait les klaxons et les « Marseillaise », à égale distance du Leclerc et d’Auchan, à l’entrée de la route d’Agen : des milliers d’automobilistes s’étaient habitués à ces banderoles, à ce feu, à cette fraternité.

    L’un des leaders du mouvement s’appelait Olivier Daurelle, ancien chauffeur routier, motard confirmé. « S’appelait », car ce jeudi 20 décembre, à la veille du grand feu qui devait signer la fin – peut-être provisoire – du mouvement, il a été mortellement percuté par un poids lourd à Agen, où il était venu participer à une action des gilets jaunes. Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché. Car Olivier Daurelle, c’était un sage, toujours vigilant sur la sécurité, rappelant, la veille encore, le caractère pacifiste du mouvement. Il avait soixante ans, et des problèmes de santé qui l’empêchaient de dormir sur le rond-point.

    Coup de tonnerre dans le ciel des gilets jaunes : on dit, ici, que c’était un sage, on pleure, on est désorienté, on ne sait plus que faire. Rapidement, une marche blanche est organisée en ville pour lui rendre hommage. De nouvelles inscriptions apparaissent : « Gilets jaunes en deuil », « Campanile en deuil ». Carole, l’autre responsable, prend la parole en larmes. Dans l’après-midi, le curé de la paroisse Saint-Joseph de Villeneuve-sur-Lot, qui s’adresse aux enfants de l’aumônerie dans l’église Sainte-Catherine pour Noël, exprime son émotion et lui rend hommage.

    À Paris, rien n’est venu de l’Élysée, ni de Matignon. Christophe Castaner, toujours flanqué de Laurent Nuñez et de sa morgue insupportable, n’a rien trouvé à dire que « ça suffit », qu’il fallait discuter, participer au débat. Pas les mots qu’il faut, ni le ton. Mais bon, ici, on n’attend plus rien de Christophe Castaner.

    Décidément, malgré toutes ces semaines, tous ces blessés, tous ces morts, toutes ces analyses qui devraient leur ouvrir les yeux, ils n’ont rien compris à ce qui se jouait dans cette révolte, toute l’épaisseur humaine dont elle est faite : les gilets jaunes ont eu leur fraternité, ils ont aujourd’hui leurs deuils. Et le gouvernement ne voit pas que, loin de mettre un terme au mouvement, cela le renforce, lui donne une autre dimension. Quand on souffre d’insuffisance respiratoire comme Olivier Daurelle, qu’on est « vidé », comme il le disait, par 36 jours de lutte, et qu’on continue à dire sa détermination, à assurer que, même chassé d’un rond-point, « on ira ailleurs », c’est qu’on a affaire à autre chose qu’une « séquence médiatique » dont on peut tranquillement tourner la page.

    Ce vendredi, une nouvelle marche blanche est organisée à Villeneuve-sur-Lot. Il y aura beaucoup de monde. Loup Mautin écrivait très justement que ces morts nous obligeaient tous. À Villeneuve-sur-Lot, on le sait désormais un peu plus qu’ailleurs.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/vive-emotion-apres-la-mort-dolivier-daurelle-responsable-gilet-jaune-de-villeneuve-sur-lot/

  • Alain Finkielkraut : « L’immigration est une catastrophe pour les pays de départ africains et pour les pays d’arrivée européens » (MàJ)

    [La meilleure moitié commence à 21:15.Thèmes abordés très divers : sa prise de conscience de la vulnérabilité de la nation française, de la valeur de la culture, de la consubstantialité de la nation à la démocratie, le conservatisme et le progressisme, le pacte de Marrakech, « l’immigration est une catastrophe », les gilets jaunes…]

    « Le gouvernement craint un embrasement des banlieues (…) les policiers ne sont pas armés pour faire face comme ils l’étaient encore en 2005 »

    « Ce qu’on ne supporte pas dans la nostalgie aujourd’hui, c’est la référence à une France d’avant la diversité. Cette France que vous aimez était ethniquement homogène, et si vous l’aimez parce qu’elle était ethniquement homogène, c’est parce que vous êtes un raciste. L’antiracisme dominant veut nous faire aimer la diversité à tout prix alors même qu’elle est de moins en moins aimable.

    Cet antiracisme est une idéologie planétaire, qui s’est exprimée notamment dans le Pacte de Marrakech (…) Je crois que notre époque est tragique, parce qu’une évolution se produit, qui semble inexorable et qui est catastrophique »

    http://www.fdesouche.com/1130257-alain-finkielkraut-le-gouvernement-craint-un-embrasement-des-banlieues-les-policiers-ne-sont-pas-armes-pour-faire-face-comme-ils-letaient-encore-en-2005

  • Acte 6 des Gilets jaunes : comment devrait se dérouler la mobilisation ?

    Acte 6 des Gilets jaunes : comment devrait se dérouler la mobilisation ?
    © BENOIT TESSIER Source: Reuters
    Un manifestant Gilet jaune déguisé en père noël, participe à un rassemblement à Paris, le 15 décembre 2018 (image d'illustration).

    A quoi s'attendre pour l'acte 6 de la mobilisation des Gilets jaunes ? L'essoufflement du mouvement lors de l'acte 5 est-il réel ? Il pourrait prendre de nouvelles formes ce 22 décembre.

    Alors que médias et gouvernement parlent d'essoufflement de la mobilisation des Gilets jaunes, ce sixième acte s'annonce crucial pour la suite des événements et le mouvement va devoir se réinventer. A observer les réseaux sociaux, c'est bien ce que les Gilets jaunes comptent faire.

    Ils ne lâchent pas l'affaire. Des Gilets jaunes suivis par des milliers d'internautes appellent à un acte 6, le 22 décembre, au premier jour des vacances de Noël. Cette fois, la mobilisation s'annonce multiforme, plus éclatée que les quatre précédents samedis où les Gilets jaunes se donnaient rendez-vous à Paris, tout en maintenant des mobilisations locales dans les grandes villes. Cette fois, des actions sont prévues en région parisienne mais aussi aux frontières, à l'appel notamment de Priscillia Ludosky, qui a annoncé qu'elle se rendrait à la frontière espagnole.

    A Versailles et à Paris

    Eric Drouet, l'un des leaders du mouvement, a appelé sur une page d'événement Facebook à un rassemblement à Versailles à partir de 8 heures le 22 décembre. «Fini Paris et ses petites rues !», a-t-il écrit dans la description dans laquelle il explique que «Versailles est très accessible aux bus, voitures et autres transports».

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  • Des Gilets Jaunes sur la liste RN aux Européennes ? “Une possibilité” selon Nicolas Bay

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    L’Assemblée nationale a voté cette nuit les mesures annoncées par Emmanuel Macron, la semaine dernière, en faveur du pouvoir d’achat. “Des mesures mineures qui ne règlent pas le problème de fond”, a estimé Nicolas Bay, député européen du Rassemblement national, invité politique du Grand Matin Sud Radio.

    Emmanuel Macron ne répond pas non plus à la fracture démocratique, a poursuivi Nicolas Bay. Il y a une aspiration profonde à plus de démocratie, à une vraie démocratie directe avec le Référendum d’Initiative Citoyenne. On y est évidemment favorable. Le RIC pourrait être utilisé pour trois choses : adopter une loi que le gouvernement ne veut pas adopter alors qu’elle a un soutien populaire. Ensuite, abroger une loi. Et enfin, ratifier les accords internationaux.

    Le député européen du Rassemblement national n’a d’ailleurs pas écarté l’idée que certains Gilets Jaunes intègrent la liste du parti aux prochaines élections européennes, l’an prochain : “C’est une possibilité. On est suffisamment connectés aux préoccupations des Gilets Jaunes pour ne pas avoir besoin de lancer un appel, mais nous tendons la main à tous ceux qui souhaiteraient prolonger leur engagement dans le combat électoral.”

    https://fr.novopress.info/213098/des-gilets-jaunes-sur-la-liste-rn-aux-europeennes-une-possibilite-selon-nicolas-bay/

  • Le référendum d’initiative populaire, ou rien

    Le référendum d’initiative populaire, ou rien

    De François Billot de Lochner :

    Au-delà des revendications sur le prix de l’essence, ou des pseudo-primes sur le SMIC, jetées en pâture aux mécontents, le mouvement des Gilets Jaunes a eu l’immense mérite de faire ressurgir ce serpent de mer politique qu’est le Référendum d’initiative populaire (ou citoyenne). Un dossier encombrant, voire dramatique pour une classe politico-médiatique qui a pris l’habitude désastreuse de gouverner depuis un demi-siècle sans le peuple, et la plupart du temps contre lui.

    Bien avant les Gilets Jaunes, France Audace et la Fondation de Service politique avaient fait de la promotion du Référendum d’initiative populaire un des pivots de leur combat :

    –          En 2007 et en 2012, les deux structures prônaient auprès de la classe politique et de la société civile l’instauration prioritaire du référendum dans les Manifestes publiés pour les élections, et adressés aussi bien aux élus qu’aux électeurs.

    –          En 2017, allant plus loin dans cette démarche, France Audace et Liberté politique faisaient du référendum d’initiative populaire la « mesure préalable » à toute autre action dans leur liste de 20 propositions pour la France.

    Sans relâchenous avons communiqué, régulièrement et avec détermination, par des articles, par des conférences spécialement dédiées, sur ce point fondamental de réforme institutionnelle, seul à même d’encadrer les dérives d’hommes politiques déconnectés de leur pays et le menant à sa perte.

    Aujourd’hui, nous assistons à un déferlement de déclarations tout aussi scandaleuses les unes que les autres, témoignant du mépris de classe dont font preuve les journalistes et les hommes politiques qui monopolisent le discours public, et révélateurs de la méfiance qui est la leur à l’égard des forces vives de la nation. Alain Duhamel crie à la « tyrannie », Jean-Claude Carrière voit revenir les spectres d’Hitler et de Mussolini, Stanislas Guérini brandit le chiffon rouge du retour de la peine de mort. Et en face de ces assertions d’une rare stupidité, et dans l’exacte ligne des sondages que nous avons fait faire par l’IFOP depuis plus de dix ans, un sondage récent témoigne de ce que de façon globale, plus des trois-quarts des Français interrogés disent être favorables au Référendum d’initiative populaire pour proposer des lois, demander l’abrogation d’une loi, approuver ou non des traités européens et internationaux, révoquer un élu, ou encore modifier la Constitution.

    La règle du jeu, en démocratie française, devrait être normalement de respecter la parole du peuple. Il est triste de constater que nos « représentants » ne « représentent » rien, et mettent même un point d’honneur à piétiner les demandes de l’immense majorité des Français. Dans ces conditions, le Référendum d’initiative citoyenne pourrait être un tsunami pour nos élites politico-médiatiques et permettre, enfin, le retour du bon sens.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-referendum-dinitiative-populaire-ou-rien/

  • Macron veut gagner et la Nation perdre sa lutte des castes

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    Bernard Plouvier

    La révolte populaire des Gilets jaunes qui, contrairement au mouvement breton des Bonnets rouges, a touché la totalité du pays va perdre la bataille par la bêtise des uns, le cynisme des autres.

    Macron, un surdoué de la démagogie mondialiste, a parfaitement compris la technique du pourrissement moderne des mouvements de grogne : la cuillère d’eau sucrée (qu’il fera d’ailleurs lourdement payer aux contribuables) et le noyautage par les ordures de service (les « casseurs », soit des vandales et des incendiaires à gages, qui s’offrent le luxe de rosser du « flic », friandise suprême des psychopathes violents).

    Saluons l’exploit : Macron, le soi-disant fragile, va non seulement s’en sortir, mais parvenir à se transformer en Superman du rétablissement de l’ordre ripoublicain (perturbé par les nervis stipendiés par son Premier flic) et en Bon Samaritain de l’accueil des malheureux réfugiés de tous genres, coloris et continents, avec la bénédiction des mollahs, des archevêques des toquées de la générosité absurde et même du pape, tous au service du seul vrai dieu : Mammon (la divinité proche-orientale de la puissance liée à la richesse).

    Quelle stupidité d’avoir fondé ce mouvement populaire sur de prosaïques revendications fiscales ! Les seuls sujets d’inquiétude à moyen et long termes de l’Occident, ce sont notre dénatalité et l’immigration-invasion qui dégénèrera en conquête violente, en guerre des races et des religions, une guerre qui sera gagnée par le plus violent, le plus brutal, le plus motivé, le moins encombré d’inhibitions d’ordre humaniste.

    En plus de n’avoir pas créé de garde-fou pour éviter le noyautage par l’ordure et ses débordements criminels, les participants au mouvement actuel se sont trompés de cible. Et les commentateurs, abusés par le guignol Marx qui a infesté l’historiographie et la sociologie depuis un siècle et demi, y sont allés de leurs commentaires sur la guerre des classes, alors même que le problème français, depuis la IIIeRépublique, est celui d’une guerre des castes.

    Il est évident que toujours et partout – probablement même depuis la préhistoire où l’on réglait les conflits en faisant son repas du vaincu -, celui qui se considère comme pauvre en biens et en jouissances veut ou piquer ses biens, voire prendre sa vie au « riche ». On n’a pas attendu le gros Karl pour observer le phénomène ni même pour l’étudier et y parer : toute vie organisée en cité repose sur une police pour protéger les personnes et les biens.         

    Depuis la fin du XIXesiècle, la France – à l’exception des années 1940-42, où un régime de Bien public a tenté d’instaurer une méritocratie, mais dans des conditions effroyables qui vouaient le projet à un échec certain - est dominée par des castes qui, comme partout en Occident, furent toujours entrouvertes à quelques jeunes gens dont l’ambition et la servilité servaient de sésame.

    Plutôt que de débiter le catalogue absurde des revendications de détail, un véritable chef de mouvement aurait exigé davantage de démocratie : soit la fin du régime des castes et le recours automatique au peuple pour traiter les vrais sujets de société.

    Tout poste payé avec l’argent public doit être pourvu par concours anonyme. On ne doit plus accepter l’ignominie des cooptations, sauf pour les inutilités foncières comme les académies de gâteux pontifiants.

    Tout grand problème de société doit donner lieu à de vrais débats retransmis sur les chaînes de télévision d’État, suivis d’un vote populaire dont le résultat doit impérativement être respecté par l’Exécutif, car la souveraineté n’appartient qu’à la Nation.

    C’est ainsi que doivent être traitées les questions majeures, qui engagent le présent et surtout l’avenir de notre peuple : immigration extra-européenne avec son corollaire l’islam conquérant (ou djihadiste), insécurité et rétablissement de la peine de mort, politique nataliste pour les nationaux de souche européenne et refus de l’avortement de complaisance ou des mascarades ridiculisant les notions de mariage et de famille, lutte active contre le chômage des Français de souche européenne, donc  ré-industrialisation du pays – ce qui implique une politique protectionniste, qui ne fera hurler que les négociants et les financiers engagés dans l’économie globale.

    Ces mesures dites structurelles sont les seules qui puissent justifier une mobilisation profonde et durable de notre Nation. Et non des réclamations qu’un pouvoir aux abois peut traiter par quelques cuillères d’eau sucrée... que le contribuable-consommateur devra payer très cher !

    N’ayant strictement personne en face de lui, sauf des vieilleries sans imagination créatrice de la caste politicienne, Macron, boystar de la globalo-mondialisation, ne peut que triompher, jusqu’à ce que ses maîtres le jettent après usage. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/20/macron-veut-gagner-et-la-nation-perdre-sa-lutte-des-castes-6114714.html