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  • Marine Le Pen, seule personnalité politique dont la cote de popularité augmente

    Marine Le Pen, seule personnalité politique dont la cote de popularité augmente
    © Eric Gaillard Source: Reuters
    Marine Le Pen à Fréjus, septembre 2018 (image d'illustration).

    Selon le baromètre mensuel Odoxa, la présidente du Rassemblement national est la seule à voir sa courbe de popularité grimper. Sa cote d'impopularité, en légère hausse, reste toutefois considérable, puisqu'elle atteint 55%.

    Selon un sondage mensuel Odoxa, commandé par France inter, Marine Le Pen est la seule personnalité politique française à tirer son épingle du jeu après un mois de mouvements sociaux en France. Sa cote de popularité atteint en effet 29%. La proportion d'opinions positives au sujet de Marine Le Pen est contrebalancée par les opinions négatives. La présidente du Rassemblement national reste en effet globalement impopulaire avec 55 % d'opinions défavorables.

     

    Sur le podium, Nicolas Hulot demeure la personnalité politique la plus appréciée des personnes interrogées (avec 42 % d'opinions positives). Alain Juppé le suit avec 35% d'opinions favorables. Marine Le Pen, pour sa part, fait une entrée remarquée sur ce podium, en troisième position, avec 29% d'opinions positives.

    La présidente du Rassemblement national est ainsi passée devant Nicolas Sarkozy, ce dernier devançant Jean-Yves Le Drian et Ségolène Royal. A en croire cet institut de sondages, environ un tiers des Français consultés auraient donc une bonne image de la fille de Jean-Marie Le Pen.

    En termes d'impopularité, le président de la République la dépasse : 73 % des personnes interrogées estiment qu'Emmanuel Macron est un mauvais président. Il a perdu 5 points de popularité en un mois.

    https://francais.rt.com/france/57079-marine-pen-est-seule-personnalite-politique-popularite-augmente

  • Perles de Culture n°192 : Témoignage sur la Chine communiste

    L’équipe cinéma évoque « Sauver ou périr », « Les confins du monde », « Assassination nation » et « Ma mère est folle ». Anne Brassié reçoit ensuite Zheng Lu-Nian pour la présentation de ses ouvrages « Le petit miroir » sur sa jeunesse au sein des gardes rouges chinois et « Le bonheur de la bouche – La cuisine chinoise, quintessence d’une civilisation » préfacé par le chef français triplement étoilé Guy Savoy. Thibault Dubois parle enfin de son recueil de textes intitulé « Merveilleux Noëls de Bretagne ».
     

  • L’Union européenne prépare les nouvelles censures des mouvements sociaux sur internet. Par l’Observatoire du journalisme!

    Alors que les grands médias ont globalement tenté de désamorcer le mouvement des gilets jaunes comme nous vous l’avons expliqué à travers la télévision iciou à travers les hebdomadaires là, alors que Facebook censure à tout va avec l’aide des Décodeurs du Monde, une future loi « antiterroriste » se prépare à l’initiative de la France auprès de l’Union européenne. Une analyse de la Quadrature du Net.

    Un texte quasi secret

    Reprenons le texte de la Quadrature qui est remarquable de précision :

    « C’est un texte dont personne ne parle ou presque, et il est pourtant fondamental pour l’avenir des libertés publiques à l’échelle de l’Europe entière. Présenté au mois de septembre, il s’agit du règlement européendédié à « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste en ligne ».

    L’article 4 du règlement permet aux autorités publiques de demander directement à n’importe quel hébergeur le retrait d’un contenu relevant de l’apologie du terrorisme.

    En pratique, cela entérine la situation qui prévaut dans tous les pays réprimant l’apologie ou la provocation au terrorisme. Ainsi en France, depuis 2015, le ministère de l’Intérieur est compétent pour censurer la provocation ou l’apologie du terrorisme sur Internet (si l’hébergeur n’empêche pas l’accès au contenu visé sous 24 heures, alors le blocage de l’ensemble du site peut être mis en place par les fournisseurs d’accès à Internet français).

    Le tout sans aucun contrôle judiciaire préalable, dans le cadre d’une procédure secrète. Ainsi, en 2015, la France est devenue (devant l’Inde et la Turquie) le pays qui a obtenu le plus grand nombre de suppressions de pages Facebook (38 000suppressions en un an, pendant que l’Allemagne ou Israël n’en obtenaient que 500). »

    Plus vite, plus fort

    Reprenons notre citation de la Quadrature :

    « Là où le règlement européen « innove » radicalement, c’est qu’il impose qu’un tel retrait par les hébergeurs intervienne en un délai record de une heure, sous peine de sanctions financières.

    Il prévoit aussi de passer par une voie encore plus discrète pour censurer ces contenus : les « mesures proactives », ces outils de censure automatique déjà développés par les grandes plateformes comme Facebook ou YouTube et qui pourront être paramétrés en concertation avec les autorités (article 6 du règlement)….

    Le futur règlement européen prévoit de généraliser ces outils à l’ensemble des acteurs du Web (non seulement Facebook et YouTube mais aussi OVH, Gandi, NextCloud, Mastodon, etc.), voire même aux outils de messagerie (WhatsApp, Signal, Télégram, Protonmail, etc.) .

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  • Nicolas Sarkozy suggère à Emmanuel Macron d’enfumer à nouveau les Français

    Nicolas Sarkozy suggère à Emmanuel Macron d’enfumer à nouveau les Français

    index-3.jpgEt Nicolas Sarkozy est expert en la matière. Il sait parfaitement comment trahir le peuple français, lui qui a fait adopter par des élus non représentatifs du peuple le traité de Lisbonne en 2008, pourtant rejeté largement par référendum en 2005. Et que suggère Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron : un nouveau traité européen, sans doute encore plus de fédéralisme et moins de souveraineté nationale :

    Présent avec Tony Blair, Nicolas Sarkozy a également tenu à s’exprimer sur le Brexit, dénonçant « une folie qui n’a aucun sens ». Lui qui semble être devenu proche d’Emmanuel Macron, a affirmé avoir « proposé au président Macron, et j’espère le convaincre, de mettre sur la table un nouveau traité européen ».

    Le retour par la fenêtre de ce personnage, pourtant battu en 2012 et rejeté par les siens lors de la primaire en 2016, est assez surprenant et explique peut-être aujourd’hui la discrétion de LR vis-à-vis des gilets jaunes :

    L’ancien locataire de l’Elysée avait également son mot à dire sur la politique française, estimant qu’Emmanuel Macron « fait ce qu’il peut» : « Je veux aider mon pays, je ne le critiquerai nullement », a-t-il ajouté. Sans les citer, Nicolas Sarkozy s’est également exprimé sur les « gilets jaunes » : « Nous sommes à l’arrêt. Le monde accélère à une vitesse stupéfiante et nous, non seulement nous sommes à l’arrêt, mais nous reculons. Là, on va discuter, on va demander l’avis aux gens dans la rue pour faire quelque chose. Avec ça, vous ne ferez plus rien ! Si pour faire quelque chose tout le monde doit être d’accord, restez couchés, parce que personne n’est jamais d’accord ».

    https://www.lesalonbeige.fr/nicolas-sarkozy-suggere-a-emmanuel-macron-denfumer-a-nouveau-les-francais/

  • Pacte de Marrakech. Vers l’effacement de la liberté d’opinion

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Pour Polémia, 2018 aura été l’année de la propagande et de la censure d’Etat. Elle aura été marquée entre autres par la Loi scélérate « fake news », la censure numérique et mondiale exercée par les GAFA ou encore la fermeture massive de comptes sur les réseaux sociaux et YouTube.
    Nous ne nous trouvons pourtant qu’au début du processus de l’effacement des libertés fondamentales que sont les libertés d’opinion, d’expression et de la presse. Les années 2019 et suivantes s’annoncent comme pires si les révoltes populaires ne renversent pas la table.
    C’est ce que révèle la lecture de l’objectif 17 du Pacte pour les migrations. Parmi ses 23 objectifs, l’objectif 17 (O17) est certainement celui qui constitue la menace la plus aiguë pour les libertés d’expression et d’opinion. Le danger qu’il représente et l ’idéologie totalitaire qu’il reflète doivent être particulièrement mis en exergue et dénoncés.

    Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique : 

    L’objectif 17 du Pacte : le pivot de la lutte contre la liberté de l’esprit

    Un engagement d’élimination des « discriminations »

    L’en tête de l’O17 utilise des mots de violence et se montre à la fois global, partial et hypocrite.

    Il s’agit clairement d’un engagement, pour l’instant moral, des pays signataires, donc de la France.

    La violence des mots et des actes

    L’O17 veut que les signataires condamnent, combattent et éliminent toute forme de discrimination. Ces verbes sont l’expression d’une logique d’affrontement et à terme de guerres civiles.

    Seules les discriminations et les violences à l’égard des migrants sont prises en considération

    Les violences, les viols, les agressions, la guérilla même auxquels se livrent nombre d’envahisseurs sont ignorés et occultés. Ce n’est pas le sujet. Les seules victimes possibles sont les allogènes.

    Les discriminations qu’il faut éliminer sont globales et vagues

    Le texte s’abstient évidemment de préciser ce que sont ces discriminations contre les migrants. Ce sont des mots fourre-tout : expressions et manifestations de racisme, discrimination raciale, xénophobie, qui peuvent recouvrir n’importe quel mot et n’importe quel acte.

    Ce sera à la jurisprudence des tribunaux qu’il reviendra de leur donner une signification plus précise pour condamner les opposants, « conformément au droit international des droits de l’homme », on devine dans quel sens.

    L’hypocrisie de ces engagements

    Les signataires s’engagent à protéger la liberté d’expression. Bravo et quel soulagement ! Mais, dit le texte, il faut que ce soit dans le respect du droit international afin de contribuer à une compréhension globale des migrations sous tous leurs aspects. Quel peut être en l’occurrence ce droit international ? Rappelons que l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations) a formulé l’ambition de développer un droit international des migrations.

    La stratégie défensive : la répression

    Donner un droit de dénonciation aux migrants

    Les migrants et les communautés, nous supposons qu’il s’agit des diasporas, pourront dénoncer tout acte « d’incitation à la violence contre les migrants ». Il en découlera une sujétion des Occidentaux de souche et un renforcement de l’éclatement des pays occidentaux en populations  communautarisées dressées les unes contre les autres.

    Faire juger et condamner les opposants à l’invasion

    Les migrants et les communautés, naturalisés ou non, pourront amener quiconque participerait à « la commission d’une infraction inspirée par la haine des migrants »à répondre de ses actes. C’est quoi la haine des migrants ? Si un citoyen français comme une majorité de ses concitoyens dit qu’il y a trop d’immigrés en France, est-ce de la haine ?

    Il est ajouté que cette démarche se fera dans le respect du droit interne et du droit international des droits de l’homme. Même observation que ci-dessus, mais surtout quel droit prédominera ? A terme les différentes communautés pourraient exiger l’application de leur propre droit interne comme c’est le cas de la charia dans des villes anglaises

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  • Contre la censure, la droite anglophone s’organise et crée ses propres réseaux sociaux

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Facebook, Twitter et YouTube permettent une large diffusion des idées qui a profité à de nombreux influenceurs de droite, principalement américains, canadiens et britanniques. Le système de financement Patreon leur permettait même d’en vivre.

    Cependant, ces réseaux notoirement orientés à gauche ont de plus en plus tendance à bannir leurs utilisateurs de droite ou à enterrer leurs publications en jouant sur les algorithmes.

    Plusieurs réseaux concurrents de Twitter sont donc nés pour rétablir l’équilibre. Le plus connu est Gab, que l’on trouvera sur tous les moteurs de recherche sauf Google. Après une fermeture temporaire, le réseau peut désormais compter sur un hébergeur militant et connaît une croissance spectaculaire.

    Toujours parmi les concurrents de Twitter, le dernier-né s’appelle Parler News et vient d’être lancé par plusieurs influenceurs américains.

    Enfin, pour soutenir financièrement une libre expression politique, le célèbre psychologue canadien Jordan Peterson et l’influenceur américain Dave Rubin s’apprêtent à lancer leur propre plateforme concurrente de Patreon. Sa création est en cours depuis six mois et le démarrage attendu bientôt.

    https://fr.novopress.info/

  • Crise des « gilets jaunes » : faillite d’une idéologie et confirmation des contradictions

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    La crise des « gilets jaunes », qui couvait depuis longtemps, est partie pour durer ou pour se répéter. C’est qu’elle est d’origine structurelle, bien plus qu’elle n’est due à des décisions politiques de circonstance, même si ces dernières ont « allumé le feu ». Elle va durer parce que sa résolution suppose une prise de conscience générale de la réalité française.

    La crise est, d’abord, une crise du déclin français qui s’inscrit dans le déclin de l’Occident. Ce sont les mêmes motivations qui ont conduit les Américains des régions sinistrées des États-Unis à voter pour Trump que celles qui mettent tant de gilets jaunes dans la rue en France. Partout, il s’agit, en majorité, de victimes de la mondialisation du marché du travail. La pratique du libre-échange avec les pays à bas salaires depuis la mise en place du multilatéralisme commercial (OMC), en 1995, a réduit de plus d’un tiers les emplois industriels dans les pays occidentaux. Dont nombre d’emplois peu ou pas qualifiés, mais de ceux que toutes les populations nécessitent ; car elles ne sauraient se composer que d’élites scientifiques. Pour sortir de cette impasse, la seule solution serait d’en finir avec le dumping social mondial afin de faire revenir des industries. Ce qui ne peut se concevoir qu’à l’échelon européen. Mais d’autres États (telle l’Italie, qui voit émigrer chaque année, faute d’emplois, plus de 250.000 de ses jeunes) pourraient être favorables à l’instauration d’une protection sociale européenne.

    La France, pour sa part, paie très cher d’avoir cédé au mythe de la société postindustrielle. La conséquence est que son solde du commerce extérieur accuse un déficit abyssal. Or, l’on ne parvient pas à être concurrentiel, en dépit d’une productivité par tête parmi les plus élevées au monde. C’est qu’il existe des failles profondes au cœur du système économique et social français. La plus sérieuse est la faiblesse de la part de sa population active qui crée de la valeur ajoutée (environ 10 millions de personnes sur 22 millions d’actifs au sein de 66 millions d’habitants). Parallèlement, le chômage résiste aussi à cause de certaines chances sociales trop facilement offertes. S’ajoutent le vieillissement de la population et l’alourdissement des dépenses sociales. Il y a l’accueil incessant de centaines de milliers d’immigrés sans la moindre qualification, mais à des conditions de séjour sans pareilles en Europe par leur générosité. Quant à l’agriculture française, elle subit à son tour, à l’exception des céréaliers et de la viticulture de haut de gamme, les effets délétères du libre-échange tous azimuts. Les subventions et les aides distribuées en compensation font augmenter les charges de ceux qui payent les impôts ; celui sur les revenus est parvenu à la limite du supportable.

    Le dualisme horizontal de la société, souligné toutes ces dernières années, n’a été que trop timidement mis en cause. Or, la présidence actuelle a donné l’impression de revenir sur le peu de réformes qui allaient dans le sens d’une valorisation des territoires. Des événements comme ceux que connaît la France sont inconcevables dans les autres grands États européens où existent des instances délibératives locales ou régionales. Du point de vue de l’organisation des territoires et de leurs initiatives potentielles, tout reste à repenser et, donc, à faire.

    Enfin, par tradition, la culture politique française est assez dogmatique et parfois violente. Les prénotions et les attitudes idéologiques ont toujours pris le pas sur les analyses et les argumentations. Il est temps d’introduire du pragmatisme dans la démocratie française, car les blocages psychopolitiques et les failles du système sont tels que l’on peut redouter le chaos.

    Gérard Dussouy

    http://www.bvoltaire.fr/crise-des-gilets-jaunes-faillite-dune-ideologie-et-confirmation-des-contradictions/

  • Je dépense donc je suis

    6a00d8341c715453ef022ad382662a200c-320wi.jpgLes gauchistes de mai 1968 se croyaient supérieurement intelligents. Personne, proclamaient-ils, ne tombe amoureux d'un taux de croissance. Et on doit reconnaître que les accords de Grenelle dépassèrent leurs espérances et répondirent à leur souhait : ils brisèrent durablement l'essor industriel du pays.

    Après la hausse du SMIC, vinrent celle des prix, l'effondrement de la monnaie et la stagnation.

    Le droit à la paresse faisait même explicitement partie de leur idéal de vie. Sous les pavés la plage. Et, de la sorte, ni eux, ni leurs successeurs sous Mitterrand, sous Aubry et ses 35 heures, Hollande etc., n'ont failli à leur vocation destructrice.

    Depuis quelques jours, après nous avoir bien caché son jeu de social-démocrate boboïsant l'ex-Jupiter semble décidé à reprendre ce triste flambeau.

    Tout dans sa carrière le désignait pour succéder aux amitiés strauss-khaniennes. Avec lui, pas d'affaire de New York ou de Lille. Encore que.

    Mais comme le remarquait clairement, il y a plus de 2000 ans, Héraclite l'Obscur, la seule chose qui ne change pas c'est le changement.

    Ainsi, 50 ans plus tard, les descendants de cette funeste lignée soixante-huitarde voudraient désormais nous faire croire qu'on doit absolument s'amouracher d'un taux de déficit. 2,4 c'est trop pour l'Italie mais la France elle ne saurait se contenter de 2,8 : elle entend évoluer vers 3,5 grâce à l'incorporation des justes concessions jupitériennes annoncées le 10 décembre et que l'on s'apprête par conséquent à financer par l'emprunt.

    La chose convient aux politiciens pour qui la réalisation de toute promesse se traduit, sans douleur électorale présomptible, par une ligne budgétaire sans compensation.

    L'impôt a cessé de pouvoir financer directement les novations législatives. L'article 40 de la constitution de 1958 disposait et dispose, certes, encore que "les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l'aggravation d'une charge publique" mais cela ne s'appliquait qu'aux députés et aux sénateurs. Les technocrates de Bercy, véritables rédacteurs des lois, n'en ont cure. Donc, plus la peine de concevoir une fiscalité destinée à équilibrer débits et crédits. D'autant que la pression des prélèvements bat tous les records en France, plus de 47 % officiellement, de la richesse nationale.

    La fiscalité n'intervient plus qu'à titre punitif pour sanctionner, rééduquer, terroriser les contribuables, en tant qu'automobilistes, pollueurs, etc. Et puis son caractère ludique reste indéniable. On espère secrètement, au sein de la forteresse Bercy, pouvoir cesser de dire un jour que ce pays se caractérise par sa production de plus de 350 sortes de fromages. Créer un impôt nouveau par mois en rythme de croisière cela fait 60 taxations supplémentaires par quinquennat présidentiel et législatif. Peu importe désormais leur fonction théorique, leur montant, ou leur effet dévastateur.

    Mais le jeu continue, passionnant, dans un espace plus restreint, sur une échelle plus petite, prélevée sur une économie rabougrie, sur un patrimoine national jeté aux quatre vents.

    Reste donc, seule susceptible de combler les trous, la finance internationale. On lui assigne donc pour mission de prêter de l'argent à nos gouvernants de droit divin. Ceux-ci pour rembourser leurs échéances émettront, au besoin, de nouveaux produits du Trésor. Personne, ou presque, ne s'en aperçoit dans les rangs du bon peuple des redistribués

    Nos politiciens peuvent donc, au rebours des vilains accords monétaires européens, se glorifier de leur taux de déficit.

    Je dépense donc je suis et j'emprunte car j'en ai le droit, voilà leur devise.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • La petite histoire : Comment la guerre de Cent Ans a-t-elle commencé ?

    La guerre de Cent Ans est un sujet dont tout le monde a déjà entendu parler, mais pour autant, peu de gens connaissent vraiment ses grandes lignes et surtout, ses origines. À mille lieues d’un conflit armé entre un conquérant et un défenseur, la guerre de Cent Ans est avant tout une querelle dynastique qui va déchirer le pays pendant 116 ans. Retour ce qui a provoqué cette guerre méconnue.

    https://www.tvlibertes.com/comment-la-guerre-de-cent-ans-a-t-elle-commence

     
     
  • Jeudi prochain, 20 décembre, Philippe Bornet invité de Synthèse sur Radio Libertés

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    Ecoutez Radio Libertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/18/jeudi-prochain-20-decembre-philippe-bornet-invite-de-synthes-6114010.html