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Perles de Culture : Saint Marc, un grand soldat et bonne nouvelle pour la peinture
Perles de Culture : Saint Marc, un grand soldat et bonne nouvelle pour la peinture
Ce soir, retrouvez “Perles de Culture”. Roger Saboureau, secrétaire général de Secours de France, présente un film hommage intitulé “Hélie de Saint Marc – Témoin du siècle”. Louis-Marie Lécharny propose ensuite les bases d’un nouvel académisme en peinture pour en finir avec les fausses valeurs. -
Islamisme : très peu de mosquées salafistes ont été réellement fermées en France
Les Républicains dénoncent l’inaction des autorités face à l’islamisme. Laurent Wauquiez affirme que seules sept mosquées salafistes ont été fermées par le gouvernement, sur une centaine recensées (mais en réalité les chiffres sont bien plus importants…).
Des chiffres qui sont confirmés. Le ministère de l’intérieur recense en effet un peu plus de cent mosquées tenues par un imam salafiste. Et seules sept d’entre elles ont été fermées depuis octobre 2017, c’est à dire depuis l’adoption de la loi qui a mis fin à l’état d’urgence et qui autorise à fermer les lieux de culte en cas d’appel à la haine.
Mais qu’est-ce qui explique que ces dernières soient encore en activité ? Déjà parce que le salafisme n’est pas interdit. Il s’agit d’un courant religieux certes intégriste, mais pas illégal. Pour fermer une mosquée, il faut établir que l’imam a tenu des propos punis par la loi, des appels au jihad ou un discours haineux. C’est loin d’être toujours le cas. Sans ces éléments, une fermeture de mosquée est jugée abusive et peut être annulée en justice.
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Grand Débat, grand enfumage
Et si le Grand Débat, c’était la dernière astuce de l’élite pour se maintenir au pouvoir ? Débattre, c’est laisser les gens se défouler verbalement pur mieux les ignorer. Une technique « absolument moderne »…
Quand Macron s'est exprimé pour la première fois devant une grande salle, c'était trop sincère pour être vrai. L'homme enfermé depuis plusieurs mois dans le bunker élyséen comptait ainsi retrouver sa virginité de candidat à la présidentielle. Son habileté de Jupiter, c'est d'avoir pu renouer avec cette campagne électorale qui l'avait fait élire. Habilement, le Grand débat lui permet de changer de costume. De troquer celui de Président contesté contre celui du candidat moins corseté. Macron, comme beaucoup de politiciens, n'est pas terrible dans la routine politique. Comme Sarkozy ou Hollande, il perd son aura entre les conseils des ministres et les sommets internationaux. Mais s'il gouverne mal, il se défend bien. Le président de la République s'est transformé en candidat En Marche. Il entame ainsi la deuxième campagne présidentielle, non à la fin du mandat, mais à ses débuts (un drôle d'effet du quinquennat). Au fond, le Grand Débat national, c'est une réserve inépuisable de temps de parole pour un Président devenu clairement inaudible. Un atout pour exercer à nouveau sa séduction. La solution inespérée pour intervenir plus souvent et dans de meilleures conditions. Macron a au moins compris une chose dans cette crise à la différence des Gilets jaunes, il a un visage. Ce qui lui permet de se mettre seul en scène face à des interlocuteurs qui ne tiennent que parce qu'ils jouent « collectifs » et qui ne pourront que disparaître si des têtes émergent (ce que comporte précisément le risque d'une liste « Gilets jaunes » aux européennes). On ne s'en étonnera pas c'est en faisant du théâtre qu'il est tombé amoureux de Brigitte. Macron a compris qu'il excellait quand il jouait son propre rôle. On comprend mieux pourquoi l'amazone Schiappa est prête à discuter avec Hanouna. Les ministres se ruent à la suite du chef de l'État le théâtre vous dis-je ! Certes Edouard Philippe s'est fait huer. Mais au fond, ça fait partie du théâtre.
Requiem pour la démocratie
On place le Grand débat sous les fonts baptismaux de la démocratie, mais on oublie quand même quelque chose dans l'histoire contemporaine de notre pays, il n'y a jamais eu justement, de « Grand Débat ». On s'est écharpé sur la séparation des Églises et de l'État, sur tel contrat de travail (CIP ou CPE). On a discuté de la pertinence de telle constitution, de tel traité (Maastricht ou la Constitution européenne) ou de telle loi (de Devaquet à Taubira). On s'est toujours battu sur une question particulière, comme on sait bien le faire entre Français. En revanche, dans les annales de l'histoire politique du pays, on n'a jamais discuté de tout. Les discussions ont eu beau avoir de l'intensité elles n'ont jamais été un grand déballage. La seule fois où on le fit, ce fut sous la Révolution. Avec le résultat que l’on connaît. Les cahiers de doléances mirent en branle un mouvement qui sapa les fondements d'une société encore traditionnelle. Est-ce vraiment ce à quoi Macron aspire ? Peut-être.
Le Grand débat continue à participer à l'incertitude de la crise. On discute de tout, et en même temps, on ne décide de rien c'est le contraire du RIC des Gilets jaunes.
Le problème de ce Grand Débat National, c'est qu'il nie la décision politique, qui est pourtant le propre de la démocratie. Il faut être un peu benêt pour croire que ce sont ces discussions animées et des réflexions couchées sur papier qui vont changer les choses.
Il s'agit en fait de conserver l'ordre établi, en donnant au citoyen l'illusion de la participation, parce que l'on s'est contenté de lui demander son avis. De plus, et voilà un signe qui ne trompe pas : en plein débat, les projets de loi gouvernementaux sont discutés sans vraie concertation en amont : Les ministres n'ont pas changé quand ils lancent tel texte dans les assemblées. La machine législative ne s'est pas corrigée d'un iota. Quant au traité d'Aix-la-Chapelle, il est signé sans même que l'on ait songé à en avertir le bon peuple.
Le Grand Débat national permet de masquer les dérives autoritaires du macronisme, en imposant les sujets autorisés et en écartant les sujets interdits. On parlera de la transition écologique et des impôts. Pas de la baisse des dépenses publiques ou du coût de l'immigration. Depuis le Grand Débat, je me mets à méditer la fameuse phrase du Guépard « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Dormez tranquilles le Deep state garde la main.
François Hoffman monde&vie 8 février 2019
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"C'est ignoble !": La grosse colère de Finkielkraut contre Schiappa qui a comparé la Manif Pour Tous aux terroristes islamistes
Colère de Finkielkraut contre Schiappa qui a comparé la Manif Pour Tous aux terroristes islamistes.«C'est ignoble ! Ils auraient voulu que mes agresseurs soient La Manif Pour Tous (...) La gauche bien-pensante rêve de mettre [La Manif Pour Tous] dans un même bloc que ceux qui sont contre les juifs»Source: - Europe 1, 20 février 2019 (YouTube) -
Devant l'imbroglio du Brexit
Jour après jour la perspective du Brexit, du Brexit sans accord, précise son caractère d'improvisation irresponsable. Cette évidence inattendue se révèle accablante pour les dirigeants de la démocratie parlementaire réputée la plus solide et la mieux enracinée du monde.
Les conséquences et les questions pratiques, de toutes sortes, ont commencé à se poser sans que les gouvernements, et en premier lieu celui du 10 Downing street, ne se montrent en mesure de donner des réponses claires.
Ce 18 février, par exemple, chef du gouvernement écossais, Mme Nicola Sturgeon vient à Paris, clairement hostile à la rupture, afin de jeter les bases d'une coopération bilatérale. Or, ceci annonce une nouvelle perspective d'indépendance pour l'Écosse, revenant sur l'échec du référendum de 2014.
À Calais on se prépare tant bien que mal à construire une nouvelle forme de lutte contre l'immigration clandestine, sur la base d'une coopération franco-britannique, la région rebaptisée Hauts de France réclamant la création d'une brigade policière spéciale.
Une autre faille dans le système institutionnel britannique est intervenue ce 18 février. Toute petite en apparence elle se limite au départ de 7 députés du parti travailliste, mais elle remet en cause le rôle du deuxième parti dans un équilibre parlementaire devenu singulièrement instable depuis quelque 10 ans.
Ne perdons pas de vue à cet égard que la ligne directrice de Mme May dépend de son alliance avec le petit parti unioniste protestant de l'Ulster. Aujourd'hui gestionnaire de la rupture, elle avait fait au printemps 2016 la campagne du maintien de son pays dans l'Union européenne. Mais, depuis lors, chef du gouvernement elle a privilégié l'unité factice du parti tory, – archidivisé quant aux relations eurobritanniques en fait, – plutôt que la recherche de partenaires de circonstances, dans l'intérêt national.
Il est vrai que la personnalité du très suspect Jeremy Corbyn n'aide pas l'hypothèse du dialogue, autre marque de décadence du civisme chez nos voisins et amis, finalement guère mieux lotis que nos compatriotes. On permettra à l'auteur de ces lignes de ne pas juger consolante cette commune médiocrité.
Beaucoup de Français se sont félicités en 2016 lors du référendum où certes la majorité des Anglais, mais non celle des Écossais, ni celle des Irlandais du nord, ni même celle des Londoniens, ont voté en faveur du retrait hors de l’Union européenne de ce que s'appelle encore le Royaume-Uni.
La stratégie de Mme May a été profondément biaisée dès le début du processus de négociation. Le gouvernement et le Parlement de Westminster ont pris la décision d’activer l’article 50 sur la sortie avant même d’avoir décidé ce qu’ils voulaient pour l'avenir des relations avec l’Union européenne.
Le gouvernement de Londres a limité lui-même sa propre marge de manœuvre, fixant des lignes rouges, au sujet de la fin de la liberté de circulation ou de l’indépendance de la politique commerciale, qui rendent très difficile la perspective d'un accord raisonnable.
Trois ans plus tard, l'échéance du 29 mars 2019 se rapprochant, l'éventualité d'un Brexit sans accord, devient une hypothèse de plus en plus plausible.
Tout ceci sans doute fait réfléchir les admirateurs parisiens des Nigel Faradje ou des Boris Johnson.
Beaucoup d'hommes politiques d'outre-Manche et surtout la majeure partie des journaux avaient joué à fond la carte du retrait. Or, d'une part ces apprentis sorciers se sont rendus compte eux-mêmes qu'ils ne retiraient aucun bénéfice de leur victoire référendaire. Ainsi, le parti UKIP, fer de lance de la campagne se retrouve aujourd'hui réduit à l'état de groupuscule. D'autre part, les vainqueurs d'un jour ne se sont montrés capables de rien proposer.
De la sorte, en France, en dehors de la secte rassemblée autour d'un Asselineau, personne n'ose plus se réclamer ouvertement du Frexit. Même un Dupont-Aignan dont tout le parcours conduisait, et conduit encore, à une rupture de type britannique, se voit désormais contraint à des discours d'évitement et de faux-fuyants.
La propagande officielle, y compris celle du gouvernement actuel, alimente du reste la confusion : on continue de faire semblant de confondre l'Europe et ses institutions. Or, les sondages les plus eurosceptiques démentent cette identification abusive : les Français se hérissent souvent devant la technocratie de la Commission, imposée en réalité par l'Europe des États, mais ils restent en grande majorité favorables à l'idée européenne.
Procédure aberrante, le référendum de 2016 a largement illustré, par l'imbroglio inextricable qui en résulte, la fatigue des gouvernements d'opinion et le discrédit des institutions démocratiques les plus respectées jusqu'ici.
JG Malliarakis
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Castaner embrigade les enfants des écoles contre les Gilets jaunes
A la mode Corée du Nord, le ministre de l’Intérieur Castaner a pratiqué l’embrigadement d’État de petits écoliers français contre les Gilets jaunes :
« Dans ce mouvement des #GiletsJaunes, il n’y a que des perdants. Parce qu’au fond, on est dans une société de haine. »
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Rendre le pouvoir aux français en matière de manipulation de l'humain.
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La civilisation mégalithique est bien d’origine occidentale
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Plus de 35.000 dolmens, menhirs et autres alignements de pierres parsèment le continent européen. Aussi gigantesques qu’intrigants, ces monuments trouveraient leur origine en Bretagne au cinquième millénaire avant Jésus-Christ. Les travaux de recherche ont été publiés par la préhistorienne suédoise Bettina Schulz Paulsson, dans la revue scientifique PNAS.Selon ce chercheur à l’université de Göteborg, les sites mégalithiques n’ont pas été réalisés indépendamment les uns des autres.
Ses travaux ont consisté en l’analyse des datations de restes humains enfouis dans les sites, croisée avec nos connaissances sur l’architecture des constructions, les outils utilisés et les coutumes funéraires. Le chercheur a découvert que les premiers mégalithes sont apparus dans les régions côtières du nord-ouest de la France il y a environ 6700 ans.
Ces conclusions ont été favorablement accueillies par Michael Parker Pearson, archéologue spécialiste du site de Stonehenge.
C’est donc en Bretagne, pays des dolmens, qu’est né le mégalithisme.
Et non pas en Orient comme l’ont longtemps proclamé sans preuve archéologique les tenants de l’origine orientale des grandes civilisations.
La civilisation à l’origine de ces constructions est à chercher parmi les premières sociétés agricoles du néolithique. Les mégalithes se sont rapidement répandus dans la région bretonne, en l’espace de 200 à 300 ans.
Puis, dans une première phase d’expansion, dans les îles anglo-normandes, la péninsule ibérique et les pourtours européens de la Méditerranée.
Par la suite, les constructeurs de Bretagne sont partis conquérir l’Europe, preuve qu’ils étaient de bons navigateurs.
Dans la première moitié du quatrième millénaire, ces productions de pierres se sont propagées sur le littoral atlantique et jusqu’en Angleterre, en Irlande et en Ecosse. Finalement, c’est durant la seconde moitié du même millénaire que l’Allemagne, les Pays-Bas et la Scandinavie voient les mégalithes apparaître sur leur sol.
Alors que le site de Carnac attend, depuis 1996, de figurer sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, ces travaux universitaires donnent du poids à cette demande.
Les chercheurs souhaitent maintenant que des analyses ADN permettent à l’avenir de mieux comprendre l’origine du peuple mégalithique et le mode de diffusion de sa culture.
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Une seule issue pour les Gilets jaunes : casser le Système à bout de souffle
Communiqué de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française :
« L’issue du mouvement des Gilets Jaunes sera donc nécessairement celle d’une reconquête nationale, sociale et identitaire qui devra trouver sa représentation politique aux marges de ce Système à bout de souffle, là où échappent à la doxa de la pensée unique et au politiquement correct les dissidents du nouveau siècle que sont les nationalistes français. »