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  • Élections européennes : pourquoi ne pas dire la vérité ?

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    Les élections européennes (26 mai en France) ne s’annoncent pas franchement passionnantes, et ce, bien que ce soit enfin l’occasion, pour les Français, de sanctionner le Président Macron depuis son élection. Ce dernier, en prévision d’une faible participation, réfléchit à l’idée d’organiser un référendum dans la même période. En attendant, les têtes de liste sont annoncées les unes après les autres (Bellamy pour LR, Aubry pour LFI, Bardella pour le RN, etc.).

    Pourtant, l’actuel président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait affirmé – avec la sobriété qu’on lui connaît – qu’« il ne peut y avoir de choix démocratique face aux traités européens » (dans un entretien accordé au Figaro, en janvier 2015). De fait, élire un maximum de députés souverainistes dans un camembert déjà restreint au Parlement européen (79 sièges pour la France, contre 96 pour l’Allemagne) n’a aucun sens si ce n’est de permettre aux partis politiques d’avoir des élus avec des collaborateurs. Car la politique, c’est d’abord du business.

    La liste que certains gilets jaunes veulent porter jusqu’à Strasbourg suinte la combine électorale pour faire baisser le score des rivaux du chef de l’État. Leur tête de liste, Ingrid Levavasseur, ressemble beaucoup à Édouard Martin, un syndicaliste de la CFDT qui faisait le spectacle devant les caméras de télévision dans un bras de fer avec ArcelorMittal durant l’élection présidentielle de 2012. Une fois élu, François Hollande avait su récompenser l’opportuniste en le mettant sur la liste PS pour les européennes de 2014. Rien d’étonnant, alors, que l’aide-soignante ait troqué des convictions pour un plat de lentilles.

    Quant à la droite du PACS (Roselyne Bachelot), du « pain au chocolat » (Jean-François Copé) et de « la ration de frites supplémentaire » (Nicolas Sarkozy), celle-ci ne peut pas tenir un discours cohérent face à une politique économico-sociale qu’elle prône depuis la victoire du « oui » au référendum sur le traité de Maastricht (le 20 septembre 1992). Car les thèmes nationaux font gagner tant que les intérêts libéraux font siéger. Dans un territoire sans frontières, le politique compense son manque de souveraineté en se mêlant de ce qui se passe dans la chambre à coucher (loi sur le mariage homosexuel ou celle pénalisant les clients de prostituées) et en limitant les déplacements en voiture dans les zones périurbaines et rurales (80 km/h). Et la grande braderie se déploie sans détour : vente à la sauvette des industries, des routes, des terres, des patrimoines, des murs et des aéroports.

    Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis. Le mouvement de l’ancien socialiste Benoît Hamon, Génération.s, prônant l’inclusion tant au niveau culturel que sociétal ne propose rien de très différent par rapport au macronisme. Il n’est pas surprenant de voir ce parti surreprésenté sur les plateaux télé alors que ce dernier n’a jamais subi l’épreuve du suffrage universel. Les « machins » ne s’arrêteront pas là. Fort à parier que les députés « des Français de l’étranger » prendront plus de places au nom de la désertification des territoires. Dans tous les cas, nos élus continueront de penser international.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/elections-europeennes-pourquoi-ne-pas-dire-la-verite/

  • Lettre ouverte aux gilets jaunes : les trois menaces qui planent sur vous

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    Croyez bien, chers gilets jaunes, que c’est parce que je vous soutiens que je me permets de vous dire franchement ce que beaucoup se gardent bien d’exprimer.
    Le mouvement des gilets jaunes qui couvait depuis des mois est né en novembre d’un ras-le-bol fiscal qu’une réponse gouvernementale rapide et de même nature eût pu immédiatement neutraliser.
    Début décembre, il était déjà trop tard. Le mépris de l’exécutif en révéla les racines aussi profondes qu’anciennes, et c’est pourquoi les promesses du Président Macron tombèrent à plat le 10 décembre, malgré les dix milliards d’euros.
    Chacun a bien compris, alors, que ces dix milliards non prévus au budget alourdiraient d’autant le poids de la dette que nos enfants auront un jour à rembourser. Or, nombre de gilets jaunes ne le veulent pas – à commencer par les retraités qui se battent, justement, pour l’avenir de leurs enfants.
    Dès lors, la crise a quitté le champ des revendications économiques immédiates pour se porter sur celui, plus politique, de l’examen du consentement à l’impôt et de celui, plus polémique, de l’emploi des fonds ainsi collectés. La demande d’instauration du référendum d’initiative populaire illustre parfaitement cette évolution dans laquelle on pouvait voir ressurgir l’opposition entre France des riches et France des pauvres, entre France urbaine et France périphérique, entre France des gens instruits et France des « demeurés » auxquels les élites imposent ce qu’elles pensent bon pour eux.
    Au fil des semaines est cependant apparue une autre réalité. Si c’est bien la France d’en haut qui s’arroge le droit de tondre la France d’en bas, ce n’est plus pour lui en restituer le fruit sous forme de services publics mais pour le déverser sur la « 3e France », celle des banlieues, qui sert de petite main aux citadins de la mondialisation heureuse et dont il n’a échappé à personne qu’elle ne s’est absolument pas sentie concernée par le mouvement des gilets jaunes ; il est vrai qu’elle ne paye pas d’impôts et bénéficie de la sollicitude du pouvoir – pour ne pas dire plus.
    C’est aussi pour cela que la bourgeoisie provinciale et les classes moyennes rejetées hors des villes soutiennent les gilets jaunes, indépendamment des clivages politiques habituels. Car non seulement ceux-là payent toujours plus d’impôts mais, comme les petites gens, ils voient leurs conditions de vie se dégrader continuellement.
    Trois menaces planent actuellement sur les gilets jaunes :
    1) La récupération par l’extrême gauche. Elle dispose des structures et des cadres pour cela, mais on la reconnaît à son marxisme latent qui oppose les riches aux pauvres et à son culte des immigrés, dont elle veut faire son nouveau prolétariat.
    2) Le désamour des classes moyennes que l’on obtient systématiquement en provoquant le désordre (et le gouvernement n’a cessé de l’encourager) ou en perturbant l’économie, ce qui menace leurs économies. Du jour où ils perdront ce soutien, les gilets jaunes auront tout perdu.
    3) Les manœuvres du pouvoir qui, du grand débat à un possible référendum, tente de reprendre la main en neutralisant le mouvement. Pour le grand débat, rappelons que le rapport final sur les lois de bioéthique disait le contraire de ce que demandaient les participants. Quant au référendum, le Président veut pouvoir afficher publiquement qu’il a consulté le peuple.
    Pour les gilets jaunes, la porte de sortie consiste à prendre le Président à son propre piège, là où il est le plus faible, là où nous sommes sûrs de gagner : sur l’immigration, en saturant le grand débat avec ce thème et en demandant prioritairement, si ce n’est exclusivement, un référendum sur son arrêt.
    Ce faisant, les trois menaces tombent en même temps : l’extrême gauche se désolidarisera des gilets jaunes ; les classes moyennes sont, sur ce sujet, à l’unisson avec eux et le Président sait que la majorité des Français pense de même.
    Mais en quoi l’arrêt de l’immigration va-t-il régler le problème des fins de mois difficiles ? Quand on saura ce qu’elle coûte en dizaines de milliards d’euros par an, il y aura de quoi redonner de l’espoir à beaucoup. Les mesures redistributives prendront, certes, du temps mais il faut garder en mémoire qu’un pays se remet toujours d’une crise économique mais jamais d’une invasion de peuplement qui en change la nature, les valeurs, l’âme (cf. l’Empire byzantin originellement peuplé de Grecs chrétiens transformé, à partir de 1453, en un État peuplé quasi exclusivement de Turcs musulmans).
    Or, les chiffres sont là : la population issue de l’immigration – très majoritairement musulmane – augmente rapidement, du fait des arrivées et d’une fécondité bien supérieure à la nôtre. Dès lors, quel sens peut avoir ce noble combat en faveur de nos enfants et de notre pays s’il profite, en réalité, aux enfants des autres et à un pays qui ne sera plus vraiment le nôtre ?
    C’est l’ultime menace qui vous guette : ne pas mettre ce sujet-là au centre du grand débat. Gilets jaunes, ne vous y trompez pas : vous êtes à la croisée des chemins, la France aussi.
    Croyez bien, chers gilets jaunes, que c’est parce que je vous soutiens que je me permets de vous dire franchement ce que beaucoup se gardent bien d’exprimer.
    Lucien Paillet pour bvoltaire.fr
  • Le Samedi Politique avec Charles Prats – Fraude aux allocs : l’injustice fiscale ?

    Impôt progressif sur le revenu, CSG, taxes directes et indirectes, le mouvement des Gilets Jaunes a relancé la grande question du consentement à l’impôt. Face à cela, les fraudes sociales et fiscales continuent de grimper.

    Comment rééquilibrer les caisses de l’Etat sans taxer toujours plus ceux qui n’en peuvent plus ? C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre avec Charles Prats, magistrat, spécialiste des questions de fraudes (fiscale et sociale) et membre de l’Institut Fiscal Vauban.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-avec-charles-prats-fraude-aux-allocs-linjustice-fiscale

  • Référendum : 73% des Français favorables, sauf les sympathisants de LREM

    Depuis le début de la crise des Gilets jaunes, de nombreux Français estiment que la solution ultime à ce problème pourrait être l’organisation d’un référendum. Ainsi, près des 3/4 des personnes interrogées se disent «favorables» à l’organisation de ce recours au peuple, 27% étant contre cette initiative, apprend-on des résultats d’un récent sondage de l’Ifop pour Le Journal du dimanche.

    Cependant, les partisans de LREM sont les plus nombreux à se déclarer en majorité «pas favorables» à cette mesure, le taux s’élevant à 53%. […]

    20 Minutes

    http://www.fdesouche.com/1156385-referendum-73-des-francais-favorables-sauf-les-sympathisants-de-lrem

  • Emmanuel Macron et Edouard Philippe : ils n’en ont plus pour bien longtemps

    Emmanuel Macron et Edouard Philippe : ils n’en ont plus pour bien longtemps

    Selon Bernard Antony :

    Les mots se bousculent chez les observateurs et analystes pour désigner le spectacle comportemental que donne désormais presque chaque jour Emmanuel Macron, tel un de ces monarques fiévreux des pièces de Shakespeare parlant durant des heures et des heures, le regard allumé, comme persuadé que, par la magie des chaînes en continu, l’univers l’écoute : frénésie, addiction, narcissisme…

    Ce n’est certes pas de la logorrhée, car le personnage monopolise assurément le pseudo-grand débat avec encore un grand étalage de cohérence et de logique.

    Mais il parle, il parle, il parle, Emmanuel, autant qu’un Jaurès, la culture classique et le génie oratoire en moins, autant qu’un Castro des premières années, engouffrant vite les questions pour d’interminables réponses dans une fascinante plénitude d’autosatisfaction.

    Bien sûr pour chasser son angoisse.

    Tant qu’il cause, en effet, il n’écoute pas les mauvaises nouvelles qui tombent de plus en plus comme jadis les balles à Gravelotte.

    Celle qu’on voit de moins en moins, c’est Brigitte et quand on l’aperçoit, dissimulant de plus en plus son visage sous une chevelure tombante de griffon ou de bouvier des Flandres, on comprend bien que pour elle aussi l’heure est à l’inquiétude. Mais quand donc s’arrêtera-t-il de causer ?

    C’est aussi ce que se demande tout l’entourage gouvernemental et de la République… en marche arrière.

    Et voilà qu’on vient d’en apprendre encore de belles sur Benalla. « Quelle scoumoune que ce Benalla », trépigne Macron et désormais avec lui le glabre barbu Edouard Philippe, car la commissaire de police préposée à la sécurité de Matignon a pour compagnon un zigotto totalement compromis dans les coups tordus affairistes de Benalla avec de richissimes Russes aux mœurs financières pas très claires.

    Avec ce genre de russes, fussent-ils plus ou moins poutino-compatibles, ça sent vite le roussi !

    De surcroît, ce transcendantal imbécile de Castaner a eu l’incroyable maladresse de faire perquisitionner chez Plenel comme naguère chez Mélenchon. Plenel, avec sa bonté de cobra et avec derrière lui toute la solidarité médiatique que l’on sait, ne pardonnera pas.

    Les révélations vont se succéder. Macron a toujours la ressource thérapeutique de passer désormais quatre ou cinq heures par jour dans les écoles maternelles de Blanquer.

  • Le quotidien historique « Nation Hongroise » de la droite renaît et apparaît de nouveau en kiosque

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le quotidien iconique Magyar Nemzet fondé en août 1938 pour combattre l’influence allemande et les dérives de l’influence du gouvernement sur les médias privés fut fermé aux lendemains des législatives du printemps 2018. Ce journal a connu un basculement majeur dans l’opposition le 6 février 2015 suite à la prise de position de son propriétaire de l’époque, Lajos Simicska (un sympathisant de Viktor Orban) qui déclarait une « guerre totale » au gouvernement après une taxe envisagée de 5% sur les médias privés.

    C’est ainsi à une date symbolique que le journal apparaît de nouveau en kiosque, réaffirmant « son attachement aux valeurs conservatrices, aux traditions centre-européennes et aux intérêts nationaux ».

    Décriée par tous les titres d’oppositions, Magyar Nemzet est assimilé à une « prise de guerre » avec laquelle Viktor Orban s’affiche d’ailleurs sur Facebook.

    https://fr.novopress.info/

  • Loi anti-casseur, une nouvelle loi qui fait pschitt

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    Jean-François Touzé,

    Délégué national du Parti de la France

    Dans sa stratégie nouvelle visant à incarner aux yeux des Français « paisibles » le parti de l’ordre, stratégie qui, par bien des aspects relève pour lui du rôle de composition, Emmanuel Macron avait annoncé à la fin du mois de décembre dernier son intention de renforcer l'arsenal juridique contre les casseurs en faisant voter au plus vite une loi nouvelle. Triangulation oblige, par un tour de passe-passe parlementaire, c'est, en fait, une proposition de loi initiée par le sénateur LR Bruno Retailleau et votée il y a quelques mois par la Haute Assemblée contre l'avis du gouvernement qui a, toute honte bue, été retenue pour accélérer la navette entre les deux chambres. Le nouveau projet de loi a donc été présenté à l'Assemblée nationale en séance plénière et discuté mardi et mercredi.

    L'homme du désordre institutionnel et social qu'est Emmanuel Macron croyait ainsi, relayé par les rodomontades de son ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, se parer à bon compte des vertus de l'autorité régalienne en procédant à sa énième triangulation à l’égard de la droite en espérant ainsi incarner le parti de l'ordre.

    C'est pourtant un texte profondément remanié et largement édulcoré qui est sorti du débat. Une fois de plus, la montagne sécuritaire a accouché d'une souris naine.

    La loi adoptée par le Sénat prévoyait trois points forts :

    • La possibilité pour le préfet (ou le maire) d'interdire à certaines personnes de manifester, une mesure qui implique la création d'un fichier spécifique aux casseurs ;
    • La création de périmètres de protection au sein duquel les forces de l'ordre auraient des prérogatives étendues (fouilles des effets personnels, possibilité d'interpeller au nom d'un principe de précaution, automatisation des contrôles d'identité, etc.) ;
    • L'interdiction de dissimuler son visage dans l'espace public (interdiction déjà existante mais qui serait renforcée par des peines aggravées dans le cadre d'une manifestation).

    Las… En commission, les députés LREM et MODEM supprimaient dès le mercredi 23 janvier l'article 1er de la proposition de loi consacré aux périmètres de sécurité, en vue d'une nouvelle formulation par le gouvernement en séance qui se solde par la simple recherche d'armes par destination au petit bonheur la chance et prévoyaient de réécrire l'article 2 sur les interdictions de manifester qui pourront désormais être prises par les préfets 48h avant les rassemblements, disposition éminemment politique dont on imagine l'usage qui pourrait en être fait, sans rapport certain avec les nécessités du maintien de l'ordre.

    De même, la création d'un fichier des personnes interdites de manifestations ne serait plus à l’ordre du jour, remplacée par une simple inscription au fichier des personnes recherchées ou à celui de la PASP (Prévention des atteintes à la sécurité publique). En outre, les députés de la majorité ont introduit un mécanisme de contrôle et d'évaluation parlementaires des mesures visant à interdire le fait de se masquer le visage mais ont fort heureusement fini par abandonner l'obligation totalement inapplicable pour la Justice de faire la démonstration de la volonté du contrevenant d'en découdre.

    Au final, à l'issue de la navette et de l’ultime examen en séance publique par les députés, il risque de ne plus rester grand-chose d'une loi que le Premier ministre Édouard Philippe annonçait essentielle et s'inscrivant dans la droite ligne de la loi anti casseurs de 1970 (supprimée, comme la Cour de sûreté d’État, par Mitterrand dès son accession au pouvoir). Cette loi utile et efficace destinée à juguler les manifestations gauchistes permettait d’engager la responsabilité pénale et financière de tout organisateur, voire de tout participant, d'une manifestation violente, mesure reprise aujourd’hui du bout des lèvres et de manière particulièrement floue.

    Vous avez dit loi anti-casseurs ? Nullement. Mais loi anti-manifestation populaire, sans aucun doute. C'est une loi de circonstance et une loi politique voulue comme arme anti-Gilets jaunes, et elle ne sera – détricotée ou pas – d'aucune efficacité contre les vrais casseurs et les vrais émeutiers, qu'ils agissent en marge des manifestations GJ, de celles de la CGT ou à la faveur de tel ou tel rassemblement festif.

    Les habituels « indignés » devant les lois sécuritaires, d'Amnistie Internationale à la Ligue des droits de l'homme, ont beau hurler à la dictature, ils savent que rien dans le texte définitif prudemment rebaptisé « loi visant à maintenir et garantir l'ordre public lors de manifestations », ne portera atteinte à leurs chères libertés républicaines accordées de plein droit aux émeutiers gauchistes ou aux vandales, mais qu'il limitera l'expression publique et paisible de la colère nationale, ce qui, en revanche, constitue le cadet de leurs soucis.

    Les casseurs gauchistes et les pilleurs des cités, eux, n'ont que faire de ces lois inutiles dont ils savent pertinemment qu'elles ne seront pas appliquées. Ce dont à besoin l'État, ce n'est au demeurant pas de lois nouvelles aux destinations fumeuses. C'est d'une volonté de fer et d'une détermination d'airain. Métaux inconnus des gouvernements successifs du régime mais dont la France aura besoin lorsque le jour sera venu des grandes confrontations avec les révolutionnaires d'ultra-gauche, les masses racailleuses des cités et les activistes de la charia.

    Seule la droite nationale saura alors faire face.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/07/loi-anti-casseur-une-nouvelle-loi-qui-fait-pschitt-6127126.html

  • Respect aux gilets jaunes !

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    Incroyable. Ce qui se passe depuis le mois de novembre est juste incroyable. Incroyable qu’une partie du peuple réussisse à défier d’une manière aussi efficace l’État. Un État qui se retrouve assiégé, un État qui se retrouve fragilisé, un État qui se retrouve déshabillé. Un État obligé de se justifier, un État obligé de faire croire qu’il change, un État obligé de durcir le ton et de sortir 80.000 policiers pour tenir le pays !

    Pour rester en vie, le clan Macron a dû lâcher.
    Taxe sur le carburant ? Lâchée.
    Augmentation de l’électricité ? Lâchée.
    Augmentation du gaz ? Lâchée.
    Hausse du SMIC ? Lâchée.
    Hausse de la CSG pour les petites retraites? Lâchée.
    Défiscalisation des heures supplémentaires ? Lâchée.
    Primes défiscalisées dans les entreprises ? Lâchées.
    RIC ? Évoqué.
    Retour aux 90 km/h ? Évoqué.
    Retour sur l’ISF ? Évoqué.
    Référendum ? En projet.

    Incroyable.

    On est passé d’un État qui paraissait fort à un État qui est obligé de reformuler toutes les propositions des gilets jaunes pour se les approprier et y répondre. Cet État désincarné, obèse, vassalisé par l’Union européenne, si loin des préoccupations du peuple, a été pris en flagrant délit d’abus de faiblesse.

    L’État se retrouve dos au mur.

    80.000 « sans-dents » sont venus provoquer la rupture, changer la donne, lancer un débat d’idées et sortir la France d’une torpeur inquiétante.

    Mais comment est-ce possible ? C’est possible parce que l’État sait. L’État connaît les vrais chiffres des manifestations. L’État sait mesurer le degré de colère du pays. L’État constate la solidité du mouvement. L’État a eu très peur en décembre. Et l’État connaît les enjeux des prochaines élections européennes. Le mandat de Macron, c’est de réussir à assimiler les Français à une nation Europe fictive et hors-sol.

    Mais la campagne d’insultes, de radicalisation et d’intimidation contre les gilets jaunes n’a pas marché. L’État n’a pas réussi à retourner l’opinion. À bientôt trois mois d’existence, deux Français sur trois soutiennent le mouvement, d’après le dernier sondage YouGov pour Le HuffPost et CNews. Macron feint de garder la main. Seulement 26 % des Français adhèrent à son pseudo-débat. Et ses performances personnelles retransmises en direct connaissent une chute d’audience. Les Français savent qu’il est là par la volonté d’une caste. Cette caste est définitivement démasquée. Emmanuel Hollande est bien là. Aucun changement, aucune exemplarité. Toujours de l’arrogance, toujours au service des mêmes personnes. Jamais ambitieux. Jamais pragmatique.

    Alors, respect aux gilets jaunes. Vous avez su réveiller la France. Vous avez obtenu, en quelques semaines, plus qu’aucun syndicat n’aurait pu espérer. Mais, surtout, vous nous avez fait ouvrir les yeux sur la réalité de la situation. Sur le régime grec imposé en douceur par la Commission. Sur la pression idéologique et morale tenue fermement par la même Commission. Sur les conséquences violentes des décisions de cette institution sur notre souveraineté, notre culture, notre économie et nos vies.

    La France a besoin de respirer.

    Alors, merci, les gilets jaunes, pour cette bouffée d’oxygène. Merci pour votre combativité, pour votre sens du bien commun, pour votre humanité. Merci pour les nuits passées dehors. Merci pour les risques que vous prenez. Merci pour vos blessures. Merci pour votre persévérance. Merci pour vos gardes à vue. Vous êtes sans cesse critiqués, bousculés, caricaturés, insultés. Mais vous ne faiblissez pas.

    Il y a, dans votre combat, beaucoup de naïveté, d’amateurisme, d’erreurs. Il vous manque des généraux. Vos revendications sont souvent irréalistes. Mais, malgré ça, vous tenez. Vous ne vous battez pas pour vous mais pour le bien commun.

    Vous êtes en train de créer une occasion historique de changer le cours des choses. Vous. Avec vos gilets jaunes et vos lunettes de piscine. Face au mépris de ceux censés porter les valeurs de la France, mais qui ont renoncé. Face aux bobos égoïstes et indifférents. Face à Macron et à son clan. Face à un rouleau compresseur inhumain et « progressiste» qui, jusqu’à présent, écrase tout sur son passage.

    « Vous tiendrez jusqu’à ce qu’on vous relève. »

    Respect aux gilets jaunes.

    http://www.bvoltaire.fr/respect-aux-gilets-jaunes/

  • I-Média n° 236 – Macron et les médias : la dictature en marche

     

    01:50 Vers une Macronationalisation de la presse ?

    Lors d’une rencontre « en off » avec quelques journalistes, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d’un contrôle étatique de la presse. Orwellien.

    07:00 Zapping

    Alors que Macron raille ceux qui construisent des murs, Sonia Krimi défend la possibilité que les Frères Musulmans puissent accéder à des responsabilités politiques en Egypte. En attendant la France ?

    15:38 Médiapart : Une perquisition et des questions

    Après que Médiapart ait révélé des nouveaux enregistrements mettant en cause Benalla, Crase et Macron, le média dirigé par Edwy Plenel a été visé par une tentative de perquisition pour le moins étonnante.

    22:35 Tweets

    Les médias parisiens n’en finissent pas de pousser le mouvement politique de Glucksmann. Dernier élément à charge en date : les Inrocks ont effacé de leur Une le logo de la parka de luxe de l’homme politique de gauche.

    31:45 Bilal Hassani : idole médiatique malgré tout

    Le représentant de la France à l’Eurovision en 2019 a été accusé d’avoir rédigé des tweets contre Israël et en soutien à Dieudonné. Malgré tout, le youtubeur homosexuel d’origine marocaine continue à recevoir le soutien des médias.

  • Combattre la gabegie pour sauver les finances publiques [2e partie]

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Réduire les dépenses publiques ? Une volonté affichée de tous les prétendants au pouvoir en France. Mais force est de constater que les belles paroles cèdent toujours la place à des actes bien différents. Pour Polémia, André Posokhow analyse les postes possibles d’économies substantielles. Un travail à diffuser largement, notamment auprès des décideurs politiques !

    Pour retrouver la première partie du travail d’André Posokhow, cliquez ici : Combattre la gabegie pour sauver les finances publiques [1re partie]

    5° Chômage et dépenses en faveur de l’emploi et du travail

    Les allocations-chômage

    Il ne s’agit pas de remettre en cause le principe de l’indemnisation du chômage, ni d’affamer des gens qui souffrent. En revanche, les causes principales des difficultés de l’UNEDIC se trouvent dans la situation économique mais surtout dans un régime français d’indemnisation particulièrement favorable.

    Concrétiser les recommandations du rapport de la Cour des Comptes de 2016 pourrait permettre des économies et des recettes supplémentaires d’environ 4,5Md€.

    Des solutions existent et sont à la mesure des enjeux en évitant la hausse des cotisations que réclament les syndicats.

    Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail

    Selon l’étude de la DARES de décembre 2016, les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail se sont élevées en 2012 à 105Md€, soit près de 5 % du PIB, dont :

    • Les dépenses ciblées en faveur du marché de l’emploi : 53 Md€ ;
    • Les dépenses générales en faveur de l’emploi : 51 Md€.

    Il faudrait ajouter les dépenses sociales à la lisière des politiques de l’emploi à hauteur de 16,2Md€ :

    • RSA hors RSA activité ;
    • Allocations aux adultes handicapés (AAH).

    Et pour quel résultat ? Il y a 6 millions d’inscrits à Pôle Emploi en France dans les catégories A, B, C, D, E soit un taux  de 21,2 %de la population active et non pas de seulement 10% comme c’est communément dit.

    6° L’assistanat

    Le RSA

    Le RSA socle coûtait 8,4M€ en 2013 et suscite critiques et demandes de suppression.

    Il est tout à fait indispensable que la société garantisse un revenu minimum pour vivre à ceux qui n’ont aucun revenu et qui ne sont pas responsables de leur malheureuse situation.

    Cependant, par nature, le système est malsain car, au lieu d’encourager la recherche d’emploi, il encourage l’assistanat, démoralise les bénéficiaires et s’inscrit dans la durée. Il existe des abus : en particulier aucun étranger ne devrait le percevoir.

    Les emplois aidés

    Les emplois aidés sont au cœur de la gabegie. Leur coût était estimé à 3,7Md€ par an à fin 2015 pour 550 000 emplois aidés.

    Leur inefficacité est reconnue. Selon une étude publiée en 2015 par l’Insee et basée sur les bénéficiaires en 2008 de contrats subventionnés par l’Etat, «  l’effet moyen d’un passage par un contrat du secteur non marchand est significativement négatif sur le taux d’accès à l’emploi non aidé à moyen terme ».

    7° Social

    Le surcoût de la gestion de la Sécurité sociale

    L’Ifrap a estimé, fin 2012, les coûts de gestion des organismes sociaux à environ 33Md€, ce qui serait bien supérieur à ce qui se pratique chez nos voisins.

    Cet Institut a estimé à 6Md€ le montant de l’économie que l’on pourrait réaliser en éliminant les surcoûts notamment :

    • La simplification du système en s’attaquant à la galaxie sociale composée de centaines de caisses et de milliers d’administrateurs ;
    • L’allégement de la réglementation sociale. En 2012 la présidente de la CNAF a expliqué qu’elle avait 18 000 règles de droit à appliquer ;

    La santé

    Les économies possibles sur la santé peuvent être évaluées sur la base des études et rapports de la Cour des Comptes et de l’Ifrap à environ 20Md€.

    Prestations sociales

    L’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) s’est transformée parfois en assistance matérielle en tous genres : chèque jardinage, heures de coiffure payées, financement de pédicure.

    L’IGAS a dénoncé dans un rapport avec de sévères conclusions le fonctionnement de la Prestation de compensation du handicap (PCH) pour des raisons de manque de contrôle des conditions de ressources et du coût de gestion qui est exorbitant.

    6° Politique de la Ville

    Rappelons que des études ont estimé à 90 Mds€ le coût de la Politique de la Ville depuis 1989 et à plus de 40 Mds€ le coût du Plan National de Rénovation Urbaine sur la période 2003-3013. Le tout en faveur des centaines de Zones Urbaines Sensibles c’est-à-dire largement des immigrés ; et ce en pure perte, la Politique de la Ville pouvant être considérée comme un échec complet.

    Selon Xavier Raufer et la Tribune du 17/6/2014, l’intention des pouvoirs publics était d’investir 20Md€ de 2014 à 2024 au titre de cette Politique.

    Dans un accès inattendu de lucidité, Macron a rejeté les propositions délirantes de Borloo  qui a donné l’impression d’ignorer la situation des finances publiques de notre pays. Pourvu que ça dure !

    8° Etat

    Comparaisons

    Il a été calculé que, si la France se situait dans la moyenne de l’OCDE pour le secteur public (15,5% de la population active), 1 600 000 personnes ne devraient plus travailler dans la fonction publique. Ce qui correspondrait dans l’absolu une économie sur les seules rémunérations de 48 Md€.

    Certes un tel calcul comparatif apparaît délicat et contestable, les structures de la fonction publique étant très différentes d’un pays à l’autre. Il permet cependant de percevoir le fossé qui nous sépare d’autres pays qui ont procédé à des réformes indispensables dans ce domaine, comme la Grande-Bretagne qui a diminué ses effectifs de fonctionnaires de 500 000 personnes. Le Canada ou la Nouvelle-Zélande ont fait de même.

    Ce qui est dramatique c’est que, même dans cette situation, la France manque de juges, de forces de sécurité, de soldats, bref de ce qui est indispensable à l’exercice du régalien.

    Les coûts illégitimes

    Détailler les coûts illégitimes du secteur public serait très lourd mais nous avons une liste à la disposition de qui la souhaite. Donnons un seul exemple.
    Un rapport du Sénat de janvier 2016 sur le temps de travail a mis en évidence le coût des 35h dans le secteur public.

    « L’essentiel du coût de la réduction du temps de travail pour les finances publiques avait résulté de sa mise en œuvre dans la fonction publique, dès lors qu’elle avait impliqué plus de 50 000 créations d’emplois entre 2002 et 2005 dans les fonctions publiques d’État et hospitalière. À cet égard, il a estimé que, pour ces deux fonctions publiques, le coût en année pleine des créations d’emplois approchait 2,1 milliards d’euros en 2015soit un coût cumulé d’environ 21 milliards d’euros au cours de la période 2005-2015.
    Partant de ces données, qui mettent en évidence l’importance de la question du temps de travail dans le pilotage des finances publiques, Albéric de Montgolfier a envisagé les effets d’une hausse de la durée du travail dans la fonction publique, après avoir rappelé que celle-ci était, en moyenne, plus faible que dans le secteur privé et les administrations des autres pays de l’OCDE. Ainsi, il a fait apparaître qu’ un alignement du temps de travail effectif – soit aujourd’hui 1 594 heures par an en moyenne, selon une enquête récemment réalisée par la Cour des comptes à la demande de la commission des finances – sur la durée légale, de 1 607 heures, correspondrait à une économie de 570 millions d’euros par an pour l’ensemble des fonctions publiques .
    De même, une hausse de la durée de travail des fonctionnaires d’une heure permettrait une économie de 2 milliards d’euros pour l’ensemble des administrations.
    Enfin, si la durée légale de travail était portée à 37,5 heures par semaine, ce qui correspond à la durée habituelle hebdomadaire de travail déclarée par les salariés du secteur privé, l’économie réalisée s’élèverait à 5 milliards d’euros pour les trois fonctions publiques ».

    Les finances des collectivités locales

    Les dérives des finances communales sont inquiétantes et parfois scandaleuses. Là aussi leur liste, très longue, est consternante. René Dozière, ancien député PS, qui traquait la mauvaise dépense publique, a estimé les économies potentielles au titre du mille-feuille à environ 15Mds€.

    9° L’économie et les entreprises

    Les aides aux entreprises

    L’Etat reverserait un montant total d’aides (au travers d’un nombre de dispositifs estimé à 6 000) évalué à environ 110 Mds€ afin de compenser le coût du travail. C’est un système aberrant qui consiste à taxer les entreprises et à les rendre addictives aux subventions et aux aides. Selon un rapport remis au ministre du redressement productif du temps de Hollande, ces aides forment un maquis illisible pour les chefs d’entreprise. Pas moins de 15 000 agents des collectivités locales travaillent à distribuer ces aides.

    Le CICE  constitue un excellent exemple. Sous Hollande, on a érigé une usine à gaz qui profite largement aux grandes entreprises au lieu de baisser simplement les charges sociales comme le demandaient les patrons.

    Normes et complexité administrative

    En France le stock de normes est évalué à 400 000, parmi lesquelles 10 500 lois et 127 000 décrets répartis dans 62 codes différents. Le coût moyen de la charge administrative pour les entreprises (qui ne relève plus des finances publiques qu’indirectement) a été évalué par l’OCDE en Europe à 3% ou 4% du PIB soit 60Md€ pour notre pays.

    Un effort de simplification a été lancé du temps de Hollande et semble pouvoir être poursuivi sous Macron du moins dans les intentions.

    Mais, incohérence socialiste, le gouvernement a lancé l’invraisemblable usine à gaz du compte pénibilité. Le Figaro économie du 29/1/2016 indique que le « compte personnel de prévention de la pénibilité » introduit dans la réforme Touraine des retraites de 2014 pourrait coûter aux entreprises entre 6,3 et 12,5 Md€ à horizon 2060 lorsqu’il tournera à plein selon l’institut patronal Coe-Rexecode dans une étude récente. Il n’y a pas que la gabegie actuelle, il y a celle de l’avenir.

    Absentéisme

    Selon une étude de l’institut Sapiens en 2018, l’absentéisme coûterait 108Md€ chaque année à la France et surtout aux entreprises françaises ; d’où des manques de recettes pour les impôts et la Sécurité sociale.

    10° L’Union européenne

    La contribution nette de la France à l’Union européenne s’élève à un montant compris entre 4 et 9 Mds € selon les modes de calcul et les années.

    Ce qui parait déjà très désagréable est appelé à augmenter nettement à court terme pour deux raisons :

    • Le souhait de la Commission européenne d’augmenter son budget ;
    • Un Brexit probable.

    Conclusion

    Les données chiffrées présentées ci-dessus sont, à l’évidence, approximatives et discutables à perte de vue.

    Les gisements d’économies envisagés sont potentiels et dépendent évidemment des décisions politiques qui seraient prises par un président et un gouvernement dignes de ce nom. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’invasion migratoire et de l’énergie.

    Cependant, la somme des gisements d’économies potentiels, et non pas des économies elles-mêmes répétons-le, pourrait représenter un montant total abyssal de plus de 200 Md€.

    Il convient de souligner que certains postes de coûts n’ont été qu’effleurés ou non pris en compte : l’école, l’Etat, les élus, l’insécurité, le logement, le ferroviaire.

    Ne sont pas incluses dans ce total les économies à réaliser sur les normes et la complexité administrative car elles allégeront les finances des entreprises et non celles des pouvoirs public. Il fallait néanmoins les citer.

    Nonobstant ces observations, le montant total présenté ci-dessus permet d’appréhender la démesure de la gabegie des finances publiques françaises qui pourrait représenter 10 % du PIB au sein de laquelle un pouvoir, libéral ou non, mais souverain et déterminé à faire prévaloir l’intérêt national et la prééminence du régalien, pourrait trouver les ressources nécessaires pour retrouver les marges de manœuvre qui manquent tant à la France aujourd’hui.

    André Posokhow 02/02/2019

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/combattre-la-gabegie-pour-sauver-les-finances-publiques-2e-partie/