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  • Romain Espino : « Génération identitaire est un aiguillon politique, nous avons vocation à défendre les nôtres »

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    Romain Espino, porte parole de Génération identitaire, a été convoqué par la commission d’enquête parlementaire de lutte contre les groupuscules de l’extrême droite.

    Boulevard Voltaire l’a rencontré à la sortie du palais Bourbon. Il rappelle les récentes actions du mouvement, « toujours pacifiques ».

  • Grand bla-bla : une contribution sur deux a été… oubliée

    Grand bla-bla : une contribution sur deux a été… oubliée

    Lu ici :

    la moitié des contributions des Français n’ont pas été analysées pour la restitution du grand débat. Parce qu’ils n’ont pas été numérisés à temps par la Bibliothèque nationale de France (BNF) et parce que n’ont été pris en compte qu’une partie des cahiers citoyens, des comptes rendus des réunions d’initiative locale et des lettres envoyées à la mission du grand débat. Mais, pour ne pas gâcher la fête, ni le gouvernement, ni les garants, ni les prestataires ne l’ont avoué ce lundi, lors de la séance de restitution. De la même façon qu’ils n’ont pas dit que la moitié des textes rédigés sur la plateforme en ligne sont des copier-coller des mêmes remarques, ce qu’a mis au jour Le Monde. Conjuguées, ces deux informations invalident totalement les résultats qui circulent depuis quarante-huit heures sur ce que désirent les Français qui ont participé à cette consultation.

    Cette révélation, nous l’avons obtenue par hasard, en discutant avec un membre de l’équipe choisie par le gouvernement pour mener l’analyse des contributions libres (le consortium composé des entreprises Roland Berger, Cognito et Bluenove). Nous lui demandions si son travail était fini. Il nous a alors lâché que non, qu’il y avait encore des contributions à analyser […]

    Seulement 5 058 contributions ont été étudiées sur les 16 874 que la Bibliothèque nationale de France a numérisées. 5 481 réunions d’initiatives locales ont été étudiées sur les 9 454 restituées, et 13 644 cahiers sur les 18 647 recensés. 24 183 documents ont été traités alors que 44 975 ont été numérisés, ce qui représente 53,8%. Un chiffre à nuancer puisque 680 comptes-rendus de réunions n’ont pas été transmis à la mission du Grand débat. La restitution du grand débat, avant les annonces d’Emmanuel Macron, n’a donc pas respecté la promesse de tenir compte de la parole de « tous les Français ».

    https://www.lesalonbeige.fr/grand-bla-bla-une-contribution-sur-deux-a-ete-oubliee/

  • Julian Assange : lanceur d’alerte en danger – Journal du vendredi 12 avril 2019

    Julian Assange : lanceur d’alerte en danger

    Réfugié depuis 2012 dans l’ambassade d’Equateur à Londres, le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a été arrêté jeudi après la révocation de son asile politique. Alors qu’il pourrait être extradé vers les Etats-Unis, son arrestation a provoqué une levée de boucliers pour défendre la liberté de la presse.

    Un acte 22 des Gilets Jaunes sous le signe de la répression

    Malgré l’entrée en vigueur de la loi anti-casseurs, les Gilets Jaunes vont une nouvelle fois battre le pavé samedi pour un acte 22. Si le mouvement a connu un coup de mou la semaine passée, de nombreux mécontents restent déterminés partout en France.

    Unplanned : le succès du cinéma alternatif étasunien

    Alors que la remise en cause de l’avortement est en passe d’être interdite en France, les États-Unis voient entrer un film pro-vie dans le top 5 au box-office. Retour sur la « success story » d’Unplanned, « Imprévu » en français.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/julian-assange-lanceur-dalerte-en-danger-journal-du-vendredi-12-avril-2019

  • L’institut national d’étude démographiques publie une nouvelle analyse autour d’une enquête ethnique de 2008

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Il y a près de dix ans paraissait l’étude « Trajectoires et Origines », une des très rares enquêtes française tournant autour de statistiques dites ethniques. Sans aborder les questions de religion ou de race, elle s’appuyait sur des données telles que l’origine géographique et la nationalité initiale, ce pour étudier des questions de discrimination et de ressenti d’appartenance des immigrés.

    À défaut de données plus récentes, celles de cette étude continuent d’être utilisées

    Deux sociologues les ont reprises récemment, afin de s’intéresser aux prénoms donnés par les immigrés à leurs enfants, dans un rapport publié ce mercredi. Il en ressort deux groupes d’immigration distincts à l’intégration différente. D’un côté les européens du sud et les populations asiatiques, qui abandonnent en majorité leur prénoms spécifiques dès la première génération pour passer à des prénoms français, et de l’autre les immigrés originaires du Maghreb, de Turquie ou d’Afrique sahélienne, qui gardent des prénoms associés à leur culture au moins jusqu’à la deuxième génération. Ce rapport contient également une statistique notable : même pour les nouveaux nés de Français non issus de l’immigration on passe de 100% de prénoms français en 1945 à à peine au dessus de 50% en 2005, et probablement moins encore à présent.
    Ces résultats ont inspiré les bien pensants auteurs de la publication

    Ils en tirent en effet une conclusion qui réjouirait tout partisan du mondialisme. Ils relèvent ainsi uniquement le fait que la population dite majoritaire comme les descendants d’immigrés convergent vers un modèle unique de prénoms dits « internationaux », auxquels tout le monde pourrait s’identifier. On peut retrouver dans cette conclusion comme dans tout le rapport un certain parti pris, venant probablement du fait qu’un des deux auteurs est par ailleurs ouvertement engagé pour l’antiracisme et le décolonialisme. Cela permet de s’apercevoir des limites de la sociologie dans son application actuelle, où à partir des mêmes données il est possible de tirer plusieurs conclusions radicalement opposées.

    https://fr.novopress.info/

  • Migrants en Méditerranée : Castaner reconnait à son tour la complicité de certaines ONG avec les passeurs (MàJ)

    08/04/19

    (…) Le ministre français reprend une critique apparue en 2017 dans le sillage d’un rapport de Frontex. «Depuis juin 2016, un nombre important de bateaux ont été interceptés ou secourus par des navires des ONG sans appel de détresse préalable et sans informations sur le lieu de sauvetage», s’étonnait l’agence européenne de contrôle des frontières. Dans ce même document, Frontex déclarait que les passeurs équipaient désormais les migrants de téléphones satellitaires pour alerter les secours une fois en mer, mais il n’était pas question de contacts téléphoniques entre passeurs et ONG. «Toutes les parties impliquées dans les opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée centrale aident involontairement les criminels à atteindre leurs objectifs à un coût minimum», reconnaissaient plus largement les auteurs du rapport.

    (…) Le Figaro

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  • En marche vers le meilleur des mondes

    caspar-david-friedrich.jpgNous rappelions le 5 avril dernier le sort  indigne réservé à Julian Assange et les risques pesant sur lui,  amplifiés depuis par  les ennuis judiciaires  et le départ de la présidence de  l’Equateur de Rafael Correa  (dans le viseur de Washington). Le fondateur de  Wikileaks a été arrêté hier à Londres où il avait trouvé asile depuis 2012 au sein de l’ambassade d’Equateur.  Il doit désormais tenter d’échapper à son extradition vers les Etats-Unis. L‘Europe libre, courageuse,  souveraine et respectueuse des droits de l’homme dans toute sa splendeur… De lâcheté, de soumission, il était encore question fin mars  avec les manœuvres contre la représentation d’une pièce d’Eschyle,  Les suppliantes,  à la Sorbonne. Pierre Jourde, écrivain, universitaire et homme de gauche (mais un homme qui aime Julien Gracq, Borges et Tolkien ne peut pas être foncièrement mauvais!) a bien résumé dans une tribune publiée sur son blogue et reprise par l‘Obs,  le malaise des progressistes devant la montée en puissance des communautarismes qu’ils soient  religieux ou comme ici ethniques et raciaux.

    «Un petit groupe de nervis écrivait M. Jourde,  fait irruption dans une université et, par la force, fait interdire la représentation d’une pièce de l’antiquité grecque. Berlin 1934 ? Pékin 1966 ? Pas du tout, Paris, 2019. On en est là (…). L’UNEF et le CRAN (Conseil représentatif des institutions noires de France de Louis Georges Tin, NDLR),  ont réussi à empêcher, par la force, la représentation d’une pièce d’Eschyle à la Sorbonne, au prétexte que les acteurs se mettaient du noir sur le visage. Et donc, c’est, forcément, du racisme et du blackface. On voit l’intelligence du raisonnement. Mais ne nous y trompons pas : nous entrons dans une ère où ces groupuscules de fanatiques et d’imbéciles incultes feront sans cesse pression sur l’art et la culture, au nom d’un antiracisme qui est devenu le slogan creux de toutes les pressions et de toutes les interdictions, et surtout le prétexte à des organisations ultra-minoritaires pour faire leur publicité et imposer leur petit pouvoir. Honte à une organisation d’étudiants comme l’UNEF, qui se déconsidère en s’opposant à la littérature et à la culture.»

    Le CRAN  affirme Pierre Jourde, « ridiculise et déconsidère le combat antiraciste», «s’est plusieurs fois signalé par son opposition à la culture. En militant par exemple contre une épreuve de culture générale aux concours administratifs, au motif que cela défavoriserait les Noirs». «Le CRAN, c’est moins la lutte pour les Noirs que la lutte pour l’obscurantisme.» «J’attends de gens comme Michel Wievorka ou Pap Ndiaye, censés être des intellectuels, et qui siègent ou ont siégé dans les instances du CRAN, qu’ils se désolidarisent publiquement de ce groupe spécialisé dans le terrorisme intellectuel. Mais je crains de devoir attendre longtemps» ajoute-t-il,  avant  de régler leur compte au passage aux harceleurs et Tartufe  Tariq Ramadan  et Yacine Belattar, aux  Rokhaya Diallo et autres  Indigènes  de la république , aux cultureux de gauche qui soutiennent encore le  criminel de droit commun Battisti

    Ce CRAN, dont nous avons déjà pointé ici les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices , officine financée notamment par les philantropes yankees de la banque JP Morgan, n’en rate effectivement pas une. Leur bêtise prêterait même à rire si  celle-ci n’était pas en fait  si dangereuse.   Une nouvelle illustration en a été apportée par un communiqué  en date du 5 avril  dans lequel il est rapporté que  «dans le couloir qui mène à l’hémicycle (de  l’Assemblée nationale)  il y a bel et bien une fresque reprenant l’imagerie coloniale et le style de Tintin au Congo. » Une découverte stupéfiante  qui a été faite  par Mame-Fatou Diang,  «une lanceuse d’alerte» , à l’origine d’ une pétition pour que l’objet du délit   soit éradiqué. Cette représentation dépeint « l’Histoire de l’Assemblée Nationale  sur plus de 40 mètres, et une partie de l’œuvre représente l’abolition de l’esclavage sur près de 10 mètres. Deux visages noirs apparaissent, yeux écarquillés, lèvres énormes, dans la  grande  tradition de  Ya Bon Banania ».« L’œuvre a été peinte en 1991, par Hervé di Rosa», certes progressiste et antiraciste  mais  «  que répondre aux nombreux élèves confrontées à l’imaginaire colonial quand ils visitent ce lieu ? (…) du point de vue de la réception, l’effet est calamiteux. Des noirs esclaves libérés, présentés avec les codes ordinairement utilisés par l’imaginaire colonial ne sauraient trouver leur place à l’Assemblée Nationale.»

    Une question ethnique qui hante aussi , de manière différente, « le premier député issu de l’immigration comorienne », Saïd Ahamada, élus des quartiers Nord de Marseille,  militant anti FN, ancien  d’EELV, du Modem, qui a rejoint le parti macroniste (il est porte-parole de LREM à l’Assemblée)  pour se faire élire. Dans le cadre de la «synthèse du Grand débat national​ organisé dans les quartiers prioritaires»  rapportait 20 minutes, M. Ahmada  a expliqué que malgré les sommes astronomiques ponctionnées  aux Français ces dernières décennies, les quartiers pluriels  du vivre-ensemble manquaient  de tout.  Leurs habitants ont   la sensation d’être des « Français de seconde classe », il faudrait donc  encore intensifier les efforts financiers. .«Dans un territoire sans service public,  dit-il, il y a une forme d’entre soi, et c’est eux-mêmes (les résidents de ces quartiers, NDLR)  qui se créent leurs propres règles. Ces territoires ont besoin de l’Etat, de services publics, pour être insérés dans la société. C’est aussi pour cela que des mères de famille demandent des têtes blondes dans les écoles. »

    C’est surtout  parce que ces quartiers sont de moins en moins Français,  que   les têtes blondes, quand elles en ont les moyens et la possibilité, fuient vers des endroits  où les  familles françaises sont encore majoritaires.  Toutes choses que ce député LREM ne peut ignorerIl devrait savoir aussi que c’est la poursuite des flux migratoires à haut débit, le maintien des pompes aspirantes de l’immigration,  qui rendent  le problème insoluble. Entre 1989 et 2012, 90 milliards d’euros ont été engloutis pour le seul volet de la  politique immigrationniste,  dite de la ville,  avec des résultats désastreux: une hausse constante de l’insécurité, du chômage, des trafics ,de l’idéologie salafiste et/ou de son hybridation islamo-racailleuse anti-française. Xavier Raufer le notait déjà en 2010: «la politique de la ville telle qu’elle est conçue aujourd’hui (association de l’idéologie et de la bureaucratie), ne peut qu’échouer du fait même qu’elle constitue le désolant fantôme, l’affreux remake de l’agriculture soviétique (…) Nul, droite ou gauche, n’a jamais fait qu’ajouter couche sur couche à ce ruineux millefeuille bureaucratique, nuisible à l’objet même de ladite politique : paix sociale, tranquillité des habitants, retour des emplois. »

    Lâcheté, démission et soumission, encore et toujours, de nos dirigeants, illustrées  dans le dernier livre de Christian Chesnot et Georges MalbrunotQatar Papers. Une  nouvelle enquête  révélant des documents confidentiels  sur les menées prosélytes  du Qatar en France et en  Europe pour enraciner, via Qatar Charity, la plus puissante ONG de l’émirat (très introduite au sein des institutions  des Nations unies) ,  le mouvement des Frères musulmans, notamment dans les quartiers prioritaires décrits plus haut.

    Si l’organisation des  Frères musulmans  est classée depuis 2003 en Russie comme organisation terroriste, le livre de MM. Chesnot et Malbrunot,  dévoile implicitement l’angélisme, le clientélisme ou le choix délibéré  de la classe politicienne de fermer les yeux  devant cette offensive idéologique. Celle-ci prend entre autre   la forme du financement de 140 projets de constructions de madrasas (écoles coraniques), mosquées et autres centres culturels et  éducatifs, d’aides à des associations  mahométanes…

    Est-ce  en s’appuyant sur ses autres philantropes là que les partis du Système entendent maintenir la paix civileUne colonisation des esprits et des âmes, répétons-le, rendue possible par la colonisation démographique, laquelle permet aussi, hélas, dans un autre registre, les délires  communautaristes-racialistes contre l’autochtone gaulois sommé de se soumettre, de baisser la tête…et de faire de la place. Voilà le résultat de cinquante  ans de masochisme européen, d’effondrement spirituel, culturel.  Voilà le résultat de quarante ans d’immigration massive au nom du    progressisme droite-gauche,  du vivre-ensemble, de la tolérance,  de l’apologie des sociétés ouvertes. Comment Emmanuel Macron, Angela Merkel, Theresa May ou Jean-Claude Juncker expliqueront-ils demain cette situation à leurs enfants et petits-enfants? Ah oui, c’est vrai, ils n’en ont pas…

    https://gollnisch.com/2019/04/12/en-marche-vers-le-meilleur-des-mondes/

  • Vandalisme contre l’ISSEP de Marion Maréchal, où sont les médias ?

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    La France médiatique trouve souvent à redire quand il s’agit de régimes qu’elle n’apprécie pas, ou encore de démocraties dites illibérales au sujet de la liberté de la presse. Par contre quand on vandalise un Institut d’études supérieures à Lyon il n’y a plus grand-monde.
    Les faits

    Dans la nuit du 26 au 27 mars 2019, des agitateurs d’ultra gauche se revendiquant des black-blocs ont vandalisé un Institut d’Études supérieures reconnu par l’État, l’ISSEP, dans le quartier confluence de Lyon. Cet acte nocturne a été revendiqué sur les réseaux sociaux par un « groupe antifasciste » qui y tient librement page sans être inquiété, comme tous les groupes black-blocs de France et de Navarre, près de deux semaines après les faits, et sans qu’une quelconque Commission de lutte contre les violences d’ultra gauche ait vu le jour, contrairement à celles d’ultra droite, à l’Assemblée nationale. Ces individus se sont d’ailleurs filmés en train de perpétrer leur attentat.

    L’ISSEP, ou Institut de Sciences Sociales Économiques et Politiques est réputé pour être « l’école de Marion Maréchal » dans les médias. Ceci explique-t-il la façon dont ils ont traité cet acte de violence mené par un groupuscule d’ultra gauche à l’encontre d’un lieu d’enseignement et de savoir, sur le territoire de la République ? Cela ne paraît guère douteux. Que l’on en juge : les rares médias qui ont évoqué les faits se sont contentés de reprendre les termes d’une information d’abord publiée sur le site du Figaro, et ont veillé à demeurer dans le pur factuel, sans condamner l’acte,ce qui est une façon déguisée de ne rien dire. Une réaction très éloignée de ce qui aurait eu lieu si un institut d’enseignement, reconnu officiellement par l’État, insistons sur ce point, avait été ainsi attaqué par un groupuscule appartenant à d’autres courants extrémistes de la vie politique française. Difficile de ne pas voir un deux poids deux mesures dans le silence assourdissant de l’immense majorité des chaînes de télévision et stations de radios d’État.

    Qui en a parlé et comment ?

    Le Figaro, Franceinfo, avec un article qui est exemplaire de la façon dont un média officiel peut ne pas parler du sujet dont… il parle.

    L’AFP en fin de journée de 27 mars, une agence informée par… Le Figaro (le monde de la presse à l’envers), Le Parisien, Libération, L’express Cnews, quelques médias locaux.

    En apparence, cela peut ressembler à une bonne couverture médiatique. Ce n’est en réalité par le cas. La question n’étant pas seulement qui en a parlé, quoique (où sont Le Monde, France Inter…), mais plutôt comment : reprendre de façon aussi discrète une telle information, la plupart du temps en dans une rubrique faits divers, sans interpeller plus avant sur la gravité des faits peut laisser pantois tout observateur soucieux de la pluralité d’opinions comme d’information . Les médias qui se fendent d’une brève recopient l’AFP qui… recopie Le Figaro.

    Notons que Valeurs Actuelles, TV Libertés et le quotidien Présent ont réagi à la violence perpétrée contre l’ISSEP en la condamnant.

    Délit d’opinion et délit de voies de fait sont traités différemment

    Pour qui douterait que les conceptions politiques ne sont pas traitées de la même façon en France, il est intéressant de remarquer la réaction médiatique massive, et gouvernementale rapide quant à l’action menée par Génération identitaire sur le toit de la CAF de Seine Saint-Denis, département où la population est majoritairement issue de l’immigration et où 14 % des femmes qui accouchent sont excisées. Dans ce cas, le premier ministre a indiqué qu’il étudiait les possibilités de dissoudre Génération identitaire. Notons que cette organisation n’a mené aucun acte de violence, ni aucune dégradation, ce qui est du reste la marque de fabrique de ses actions politiques. Il s’agit donc de la mise en œuvre d’un délit d’opinion au sein de la République, le seul fait qui peut leur être reproché, sauf mauvaise foi, est d’avoir demandé de l’argent pour les Français et non pour les étrangers, ainsi que l’indiquait leur banderole. La majorité des personnes touchant de l’argent de la CAF dans ce département où la majorité de la population est issue de l’immigration, cette revendication tient de l’opinion, une opinion dont l’illégalité demeure à démontrer. Reste que 19 militants de Génération identitaire, délogés par la police, seront jugés pour entrave à la liberté du travail, encourant des peines de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende.

    En France, en 2019, la liberté d’expression a donc un coût. Ce qui n’est pas le cas de la violence politique. Tout dépend du bord politique auquel les uns et les autres sont censés appartenir.

    Médias et politiques du politiquement corrects se plaignent souvent d’être mis dans la même case, voire d’être accusés de collusion. Que dire dans ce cas ? Non seulement la majorité des médias taisent un acte d’une extrême gravité, contre l’ISSEP, aucun n’appelant par exemple à la dissolution de ce genre d’organisation gauchiste paramilitaire et violente, mais le silence règne de même dans la classe politique. Dans le même temps, tout le monde se précipite contre Génération identitaire. Qu’un institut d’enseignement supérieur soit attaqué et, dans toute démocratie digne de ce nom, un membre du gouvernement ou le premier ministre serait monté au créneau pour défendre la liberté d’enseigner et d’apprendre. Ou alors les médias se seraient indignés d’un tel silence.

    Article paru le site de l’OJIM daté du 9 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°245 – ONG/Passeurs : les médias en eaux troubles

     

    ONG/Passeurs : les médias en eaux troubles

    Christophe Castaner a créé des remous en affirmant que les ONG étaient complices des passeurs dans la crise migratoire méditerranéenne. Les médias sont obligés de ramer pour défendre leur vision du monde.

    Zapping

    Grand moment de déni du réel sur le plateau de Les Terriens du Dimanche animé par Thierry Ardisson. Lors d’un débat sur le Grand Remplacement, Juliette Méadel n’a pas hésité à verser dans le reductio ad hitlerum face à Natacha Polony et Gilles-William Goldnadel.

    Italie : un père, une mère, émoi, émoi, émoi…

    Matteo Salvini continue à faire hurler les médias français ! Pour Le Figaro et L’Express, le retour des mentions « père » et « mère » dans les formulaires administratifs en lieu et place de parent 1 et parent 2 aurait créé l’émoi !

    Tweets

    Le phénomène Greta Thunberg – largement traité par I-Média – est de plus en plus critiqué par les médias qui enquêtent sur la question.

    Marion Maréchal à l’Iliade : les gros sabots de Lucie Soullier

    Lucie Soullier est journaliste au Monde. Nous verrons ensemble que son article sur la présence de Marion Maréchal au dernier colloque de l’Institut Iliade est un modèle de propagande et de diabolisation.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n245-ong-passeurs-les-medias-en-eaux-troubles

  • La persécution politique de Génération Identitaire continue !

  • Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Quatre parents ou proches de Mélenchon et Aubry figurent bien sur la liste de LFI, et le site du parti n’indique pas ces liens :

    Le gendre de Jean-Luc Mélenchon, Gabriel Amard, est bien présent sur la liste, en huitième position. Benoît Schneckenburger, qui a été garde du corps de Jean-Luc Mélenchon, se trouve en douzième position. Pascale Le Néouannic, l’ex-compagne du député LFI, est en treizième position. A la 59e position, une position non éligible, se trouve Catherine Poggi Aubry, la mère de Manon Aubry. Mais les portraits des quatre militants sur le site du parti ne mentionnent pas ces liens.

    Déjà en 2017 dans Capital, il lui avait été reproché d’avoir fait embaucher sa fille au Conseil général de l’Essone en 2009 :

    Pour son vieil ennemi Christian Schoettl, élu de l’Essonne, le candidat de «La France insoumise» est pourtant loin d’être irréprochable en la matière (…)

    Capital : Vous ne partagez donc pas la conviction de Jean-Luc Mélenchon, selon qui la droite mériterait d’avoir un candidat «plus présentable» que François Fillon ?

    Quand je l’ai entendu, le 1er mars, déclarer depuis Concarneau, dans le Finistère, que les électeurs de droite «auraient le droit d’avoir un candidat qui puisse être présentable», j’ai pensé qu’il avait perdu la mémoire ou qu’il avait un sacré culot. Alors, on va lui faire une piqûre de rappel, et lui parler de sa propre désinvolture. Parce qu’en décembre 2009, c’est sa fille Maryline qu’il a fait embaucher par le conseil général de l’Essonne (…)

    Capital : Et pourquoi n’aurait-il eu pas le droit de le faire ?

    Mais parce qu’elle n’a pas été embauchée comme collaboratrice du groupe socialiste au conseil général. Là, le recrutement aurait été à la discrétion du politique, comme pour les attachés parlementaires d’un député. Mais en 2009, c’est en tant qu’agent administratif que Maryline Mélenchon a été engagée. Pour réaliser ce recrutement, la collectivité territoriale devait respecter les règles, notamment d’impartialité, qui s’appliquent à toute la fonction publique. Quand une administration a un poste vacant, elle doit publier une offre d’emploi, recevoir les candidats et recruter le plus compétent, sans bien sûr se préoccuper de savoir quelle est son appartenance politique. Or, à l’issue de cette procédure de recrutement, qui voit-on arriver à un poste de «chargée de coopération» ? La fille d’un ancien vice-président du conseil général, par ailleurs toujours sénateur de l’Essonne. La fille de l’ami des présidents socialistes successifs du conseil général – à l’époque, c’est Michel Berson qui est à sa tête. Vous avouerez que c’est quand même une étrange coïncidence. D’autant plus étrange, que ce n’est pas la première.

    Capital : Vous voulez dire que ce n’est pas la première fois que Maryline est embauchée grâce à son père ?

    Son premier job, elle le décroche comme agent administratif à la mairie de Viry-Châtillon, toujours dans l’Essonne. On est en 1998 et elle a 24 ans. Son père est déjà vice-président du Conseil général. C’est, avec Julien Dray, l’un des leaders de la Gauche socialiste, un courant du PS qui entraine dans son sillage pas mal d’élus de l’Essonne. Justement, le lieutenant de Jean-Luc Mélenchon s’appelle Gabriel Amard, et c’est le maire de Viry-Châtillon. Mieux : on le surnomme «monsieur gendre», parce qu’il est le compagnon de Maryline. Si ce n’est pas du favoritisme, je voudrais qu’on me dise ce que c’est.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-luc-melenchon-va-desormais-avoir-du-mal-a-critiquer-la-famille-le-pen/