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Les changements au sein du parti socialiste bruxellois peuvent avoir de lourdes conséquences. Il est préférable que les partis flamands suivent cette métamorphose de près.
(…) Et les chiffres ne mentent pas. Sur la base des noms de famille, 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration. Sur les 202 771 suffrages exprimés lors des dernières élections au PS, 140 423 ont été attribués à des candidats d’origine immigrée. Ce qui représente au moins 71,29% des voix, a calculé Hermanus. Et cela rend les anciens combattants du PS très mal à l’aise. Ils parlent, ouvertement ou non, d’une prise de pouvoir par les électeurs immigrants qui ont maintenu le PS de Bruxelles à flot avec leurs votes en bloc.
Par Jarente de Senac
Bizarre cet engouement des Français pour Supermenteur, la très réaliste marionnette de Jacques Chirac des Guignols de l’info qui, loin de le ridiculiser, lui on fait une excellente publicité. Faut dire que dans le genre, Balladur fait office de chevalier à la triste figure. On n’a jamais souhaité la mort du pécheur mais depuis qu’il est à la retraite, Chirac ne servait plus à grand-chose étant entendu que toute sa vie il n’a servi à rien.
Je ne peux m’empêcher de penser à ce mot de Coluche qui résume parfaitement Chirac : c’est l’histoire d’un mec ! C’est surtout l’histoire d’un mec qui, comme tout bon énarque, n’a rien dans le cigare hormis l’opportunisme. L’Ena émascule, on en a la preuve tous les jours.
D’un mec donc, qui a fait ses armes sous Georges Pompidou, le seul vrai chef d’Etat français depuis 1945. Cet homme aurait pu être un modèle pour Chirac mais la distance entre l’énarque et le normalien était trop grande. Chirac, sera donc le revers de la médaille Pompidou. Pompidou le balance en Corrèze pour reprendre un département aux mains de la gauche. En fait, un mélange de socialisme bouzeux et de radsoc ripoliné franc-mac dans sa version AOC. Et là, toute cette fange socialo va déteindre sur le candidat Chirac qui s’accommode des loges et vaseline les socialos locaux. Il emporte le morceau. Sa meuf, Bernadette, du Chaudron de Courcel, fausse noblesse issue des burnes de Napoléon III, se rêve en châtelaine. Chirac lui achète un château plus bric que broc de Bity à Sarran. La voici donc châtelaine de Corrèze, la mère Chaudron. Chirac s’en tape, n’y foutra quasi jamais les pieds, il préfère les bistrots, la bonne bouffe paysanne et les hôtels où il tringle ses conquêtes du jour, car, Mémère, c’est pour toujours. Cocue, mais contente.
De Chirac, ce qui saute d’emblée aux yeux, c’est qu’il a toujours vécu dans les palais de la République aux frais de la princesse (le contribuable) et rémunéré par elle (le même contribuable). Mis à part Bity, on ne connaît pas à Chirac de frénésie immobilière comme chez Mitterrand (Venise, Lubéron, Landes, Paris). Non, Chirac est un sapeur-sabreur, abonné au lit Picot de campagne électorale. Allez, hop, pas de temps à perdre, le temps politique c’est de l’action et pas de la réflexion. D’ailleurs, ça n’a jamais été au programme de l’Ena.
Le voici Premier ministre d’un autre grand glandouilleur, Giscard dit d’Estaing du côté de ma cousine de Bretagne. Ca marche pas entre les deux hommes. Giscard se prend pour un roi de France. Chirac sera donc son Ravaillac. Et il l’assassine à l’élection présidentielle de 1981. Giscard ne s’en remettra pas et lui vouera une haine tenace. J’imagine Giscard face au catafalque de Chirac lui dire : « Pov’con, je t’enterre et je me marre ! ».
Suivront quatorze années d’agitation et deux années de cohabitation, flingué par un Mitterrand nettement plus intelligent que l’agité du bocal. Chirac n’aime et ne sait rien faire d’autre qu’une campagne électorale. Là, heureux comme un sumo sur un tatami, il peut bouffer, bistroter, tâter le cul des vaches (… et pas que), dormir à l’hôtel loin de Mémère qui ne se morfond pas du tout dans les 1100 m2 de son palais parisien. Une fois l’élection gagnée – ou perdue – la marionnette se dégonfle et connaît un coup de blues. Limite burn out !
En 1995, rebelote aux présidentielles où Balladur qu’il croyait Ballamou décide de se présenter. C’est Bikini dans le Landerneau gaulliste. Mais, une fois de plus il faut en tirer les enseignements : une élection en démocratie ne se gagne pas sur un programme mais sur la tronche du mec et ce qu’il est sensé représenter. On croyait Mitterrand socialiste, il était pétainiste et de droite, on croyait Chirac à droite, il était de gauche et impuissant. Mais voilà, y a l’image : Chirac aime les paysans (il s’en fout, il n’a rien fait pour eux), il aime la tête de veau (pas plus que ça), les gonzesses (on le surnomme 3’14 douche comprise !) la musique militaire et les histoires grivoises. Ca peut suffire. La preuve… On passera sur le lourd dossier de ses casseroles, nombreuses, même s’il n’est pas Cahuzac mais plutôt Méry. Il sera néanmoins condamné… avec sursis. Il en rigole encore. De ses douze années comme chef d’Etat, il n’y a rien à retenir. Tout s’est joué à l’esbroufe. Il a laissé la France dans un état lamentable que ne redresserons pas ses successeurs.
Xavier Guillemot, militant identitaire breton, ancien conseiller régional du FN, avait participé aux premières journées de Synthèse nationale il y a une dizaine d'années. Depuis, nous gardions des relations épistolaires avec lui. Proche de Terre & peuple, il continuait le combat. Nous venons d'apprendre avec peine sa disparition. Il a rejoint les Oies sauvages.
Xavier Guillemot, deuxième en partant de la droite, lors de la première journée de Synthèse nationale à Paris en octobre 2007.
Au 1er octobre, les tarifs réglementés du gaz baissent de 2,4%. Quatre millions de foyers sont concernés. Trois nouveaux produits d'épargne retraite sont lancés. Les ascenseurs seront obligatoires dans les immeubles neufs de plus de trois étages.
Voici quelques changements qui vont intervenir dans la vie des Français à partir du 1er octobre.https://www.peupledefrance.com/2019/09/tout-ce-qui-change-1er-octobre.html#more
Une crise des liquidités tout à fait semblable à celle de 2008 sur un marché monétaire interbancaire bloqué, suite à la crise des crédits hypothécaires subprime, est apparue pour la première fois, le mardi 17 septembre 2019, à Wall Street. La Fed, qui se veut rassurante et invoque des raisons techniques, a dû injecter, en quatre jours, 278 milliards de dollars pour rassurer les marchés et faire retomber le taux d’intérêt, qui était monté jusqu’à 10 %. Selon certaines rumeurs, la Fed pourrait être amenée à augmenter de nouveau la taille de son bilan de 400 milliards de dollars.
Mais le plus préoccupant, c’est que, selon la BRI, des crédits très risqués (leveraged loans), pourris (junk), à des entreprises zombies atteignent aujourd’hui 1.200 milliards de dollars aux États-Unis et 200 milliards de dollars en Europe. Tout comme les crédits hypothécaires subprime aux particuliers avant 2007 avaient été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers « CDO » (collateralized debt obligations), les crédits très risqués aux entreprises ont été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers appelés « CLO » (collateralized loan obligations). Bref, rebelote, les crédits très risqués aux entreprises, en 2019, ont remplacé les crédits hypothécaires subprime très risqués aux particuliers, tandis que les titres financiers « CLO » de 2019 ont remplacé les titres financiers « CDO » de 2008.
Un grand nombre de fonds (Stifel Financial) et quelques banques (Bank of California) possèdent, aujourd’hui, ces actifs illiquides et risqués pour des montants élevés dans leurs portefeuilles et se trouveront en difficulté si les investisseurs veulent retirer leur argent. Fitch Ratings, la BCE et la BRI ont reconnu le problème de ces crédits très risqués, tandis que la Fed se fait au contraire très discrète et noie le poisson, afin d’éviter la panique.
La situation économique réelle des États-Unis ne correspond en rien à l’image médiatique répandue dans le monde. Le chômage est à un niveau minimum de 8-10 %, selon Béatrice Mathieu, la rédactrice en chef de L’Express, très loin du plein-emploi tant vanté. La dette globale de 72.000 milliards de dollars des États-Unis ne sera jamais remboursée car elle a été gaspillée dans des achats de biens de consommation et des rachats d’actions au lieu d’investissements réels dans les entreprises. La dette des particuliers américains (crédits hypothécaires, cartes de crédit, dépenses médicales, achat de voiture, crédits étudiants) s’élève à 13.500 milliards de dollars, soit 1.000 milliards de plus qu’en 2008. 54 % des États américains sont en quasi-faillite avec une classification D ou F, les dépenses pour les futures retraites n’étant pas provisionnées. Les fonds d’investissement, les assurances et les banques sont assis, aux États-Unis, sur une bombe à retardement.
La BCE vit un psychodrame, les Allemands étant fous furieux des taux bas et de la relance à venir du « QE » par Draghi ! Sabine Lautenschläger, membre éminent du directoire de la BCE, a donné sa démission, le jeudi 26 septembre, deux ans avant l’expiration de son mandat. Les Allemands ont déjà connu les effets de la planche à billets en 1923, ne veulent pas entendre parler de la stupide théorie monétaire moderne et prétendent que la situation actuelle n’est pas supportable à long terme. Il n’y a, en fait, que trois pays sérieux, en zone euro : l’Autriche, les Pays-Bas et l’Allemagne.
La France de Macron devient celle de Hollande. Elle ne taille pas dans les dépenses publiques, ne baisse pas les effectifs de la fonction publique, ne s’attaque pas au déficit structurel et s’endette car l’argent ne coûte plus rien, avec un taux de dette publique (2.400 milliards d’euros) de 99,5 % du PIB. Si les taux remontent, c’est la banqueroute immédiate.
La volatilité augmente sur les Bourses avec des cours artificiellement gonflés par les taux d’intérêt au plus bas et les flux de liquidités des banques centrales, tandis qu’une lente et progressive euthanasie des épargnants avec des fonds en euros rémunérés d’une façon ridicule a déjà commencé dans l’assurance-vie (1.700 milliards d’euros, soit un peu moins que la dette française).
Depuis 2011, les banques centrales ne vendent plus mais achètent de l’or (Chine et Russie, plus particulièrement) ; elles ont rétabli le métal jaune, le 29 mars 2019, comme un actif de classe 1 sans risque (« tier 1 »), sachant qu’il sera, à terme, le seul survivant.
https://www.bvoltaire.fr/economie-pour-le-systeme-tout-va-tres-bien-mais-ca-va-tres-mal-finir/
Présent ce 28 septembre lors de l'acte 46 des Gilets jaunes à Toulouse, notre reporter a été victime de coups de matraque infligés par des membres de forces de l’ordre au cours d'une opération de dispersion.