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  • CAROLINE-CHRISTA BERNARD, ARTISTE ET TÉMOIN DE L'ATTENTAT DU BATACLAN, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

    2019 13 JNI C BERNARD.jpg

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/29/caroline-christa-bernard-artiste-et-temoin-de-l-attentat-du-6179179.html

  • 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration

    Les changements au sein du parti socialiste bruxellois peuvent avoir de lourdes conséquences. Il est préférable que les partis flamands suivent cette métamorphose de près.

    (…) Et les chiffres ne mentent pas. Sur la base des noms de famille, 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration. Sur les 202 771 suffrages exprimés lors des dernières élections au PS, 140 423 ont été attribués à des candidats d’origine immigrée. Ce qui représente au moins 71,29% des voix, a calculé Hermanus. Et cela rend les anciens combattants du PS très mal à l’aise. Ils parlent, ouvertement ou non, d’une prise de pouvoir par les électeurs immigrants qui ont maintenu le PS de Bruxelles à flot avec leurs votes en bloc.

    tijd.be

    http://www.fdesouche.com/1269487-108-des-166-conseillers-municipaux-du-ps-a-bruxelles-sont-issus-de-limmigration

  • La vie et l’œuvre de Supermenteur

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    Par Jarente de Senac

    Bizarre cet engouement des Français pour Supermenteur, la très réaliste marionnette de Jacques Chirac des Guignols de l’info qui, loin de le ridiculiser, lui on fait une excellente publicité. Faut dire que dans le genre, Balladur fait office de chevalier à la triste figure. On n’a jamais souhaité la mort du pécheur mais depuis qu’il est à la retraite, Chirac ne servait plus à grand-chose étant entendu que toute sa vie il n’a servi à rien.

    Je ne peux m’empêcher de penser à ce mot de Coluche qui résume parfaitement Chirac : c’est l’histoire d’un mec ! C’est surtout l’histoire d’un mec qui, comme tout bon énarque, n’a rien dans le cigare hormis l’opportunisme. L’Ena émascule, on en a la preuve tous les jours.

    D’un mec donc, qui a fait ses armes sous Georges Pompidou, le seul vrai chef d’Etat français depuis 1945. Cet homme aurait pu être un modèle pour Chirac mais la distance entre l’énarque et le normalien était trop grande. Chirac, sera donc le revers de la médaille Pompidou. Pompidou le balance en Corrèze pour reprendre un département aux mains de la gauche. En fait, un mélange de socialisme bouzeux et de radsoc ripoliné franc-mac dans sa version AOC. Et là, toute cette fange socialo va déteindre sur le candidat Chirac qui s’accommode des loges et vaseline les socialos locaux. Il emporte le morceau. Sa meuf, Bernadette, du Chaudron de Courcel, fausse noblesse issue des burnes de Napoléon III, se rêve en châtelaine. Chirac lui achète un château plus bric que broc de Bity à Sarran. La voici donc châtelaine de Corrèze, la mère Chaudron. Chirac s’en tape, n’y foutra quasi jamais les pieds, il préfère les bistrots, la bonne bouffe paysanne et les hôtels où il tringle ses conquêtes du jour, car, Mémère, c’est pour toujours. Cocue, mais contente.

    De Chirac, ce qui saute d’emblée aux yeux, c’est qu’il a toujours vécu dans les palais de la République aux frais de la princesse (le contribuable) et rémunéré par elle (le même contribuable). Mis à part Bity, on ne connaît pas à Chirac de frénésie immobilière comme chez Mitterrand (Venise, Lubéron, Landes, Paris). Non, Chirac est un sapeur-sabreur, abonné au lit Picot de campagne électorale. Allez, hop, pas de temps à perdre, le temps politique c’est de l’action et pas de la réflexion. D’ailleurs, ça n’a jamais été au programme de l’Ena.

    Le voici Premier ministre d’un autre grand glandouilleur, Giscard dit d’Estaing du côté de ma cousine de Bretagne. Ca marche pas entre les deux hommes. Giscard se prend pour un roi de France. Chirac sera donc son Ravaillac. Et il l’assassine à l’élection présidentielle de 1981. Giscard ne s’en remettra pas et lui vouera une haine tenace. J’imagine Giscard face au catafalque de Chirac lui dire : « Pov’con, je t’enterre et je me marre ! ».

    Suivront quatorze années d’agitation et deux années de cohabitation, flingué par un Mitterrand nettement plus intelligent que l’agité du bocal. Chirac n’aime et ne sait rien faire d’autre qu’une campagne électorale. Là, heureux comme un sumo sur un tatami, il peut bouffer, bistroter, tâter le cul des vaches (… et pas que), dormir à l’hôtel loin de Mémère qui ne se morfond pas du tout dans les 1100 m2 de son palais parisien. Une fois l’élection gagnée – ou perdue – la marionnette se dégonfle et connaît un coup de blues. Limite burn out !

    En 1995, rebelote aux présidentielles où Balladur qu’il croyait Ballamou décide de se présenter. C’est Bikini dans le Landerneau gaulliste. Mais, une fois de plus il faut en tirer les enseignements : une élection en démocratie ne se gagne pas sur un programme mais sur la tronche du mec et ce qu’il est sensé représenter. On croyait Mitterrand socialiste, il était pétainiste et de droite, on croyait Chirac à droite, il était de gauche et impuissant. Mais voilà, y a l’image : Chirac aime les paysans (il s’en fout, il n’a rien fait pour eux), il aime la tête de veau (pas plus que ça), les gonzesses (on le surnomme 3’14 douche comprise !) la musique militaire et les histoires grivoises. Ca peut suffire. La preuve… On passera sur le lourd dossier de ses casseroles, nombreuses, même s’il n’est pas Cahuzac mais plutôt Méry. Il sera néanmoins condamné… avec sursis. Il en rigole encore. De ses douze années comme chef d’Etat, il n’y a rien à retenir. Tout s’est joué à l’esbroufe. Il a laissé la France dans un état lamentable que ne redresserons pas ses successeurs.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/30/la-vie-et-l-oeuvre-de-supermenteur-6179429.html

  • Un camarade nous a quitté... Xavier Guillemot

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    Xavier Guillemot, militant identitaire breton, ancien conseiller régional du FN, avait participé aux premières journées de Synthèse nationale il y a une dizaine d'années. Depuis, nous gardions des relations épistolaires avec lui. Proche de Terre & peuple, il continuait le combat. Nous venons d'apprendre avec peine sa disparition. Il a rejoint les Oies sauvages.

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    Xavier Guillemot, deuxième en partant de la droite, lors de la première journée de Synthèse nationale à Paris en octobre 2007.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/29/un-camarade-nous-a-quitte-xavier-guillemot-6179171.html

  • Épargne retraite, factures, gaz, ascenseurs obligatoires: Tout ce qui change au 1er octobre

    tas-de-différents-euro-billets-de-banque-48672794.jpgAu 1er octobre, les tarifs réglementés du gaz baissent de 2,4%. Quatre millions de foyers sont concernés. Trois nouveaux produits d'épargne retraite sont lancés. Les ascenseurs seront obligatoires dans les immeubles neufs de plus de trois étages.

    Voici quelques changements qui vont intervenir dans la vie des Français à partir du 1er octobre.

    https://www.peupledefrance.com/2019/09/tout-ce-qui-change-1er-octobre.html#more

  • Économie : pour le Système, tout va très bien, mais ça va très mal finir !

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    Une crise des liquidités tout à fait semblable à celle de 2008 sur un marché monétaire interbancaire bloqué, suite à la crise des crédits hypothécaires subprime, est apparue pour la première fois, le mardi 17 septembre 2019, à Wall Street. La Fed, qui se veut rassurante et invoque des raisons techniques, a dû injecter, en quatre jours, 278 milliards de dollars pour rassurer les marchés et faire retomber le taux d’intérêt, qui était monté jusqu’à 10 %. Selon certaines rumeurs, la Fed pourrait être amenée à augmenter de nouveau la taille de son bilan de 400 milliards de dollars.

    Mais le plus préoccupant, c’est que, selon la BRI, des crédits très risqués (leveraged loans), pourris (junk), à des entreprises zombies atteignent aujourd’hui 1.200 milliards de dollars aux États-Unis et 200 milliards de dollars en Europe. Tout comme les crédits hypothécaires subprime aux particuliers avant 2007 avaient été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers « CDO » (collateralized debt obligations), les crédits très risqués aux entreprises ont été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers appelés « CLO » (collateralized loan obligations). Bref, rebelote, les crédits très risqués aux entreprises, en 2019, ont remplacé les crédits hypothécaires subprime très risqués aux particuliers, tandis que les titres financiers « CLO » de 2019 ont remplacé les titres financiers « CDO » de 2008.

    Un grand nombre de fonds (Stifel Financial) et quelques banques (Bank of California) possèdent, aujourd’hui, ces actifs illiquides et risqués pour des montants élevés dans leurs portefeuilles et se trouveront en difficulté si les investisseurs veulent retirer leur argent. Fitch Ratings, la BCE et la BRI ont reconnu le problème de ces crédits très risqués, tandis que la Fed se fait au contraire très discrète et noie le poisson, afin d’éviter la panique.

    La situation économique réelle des États-Unis ne correspond en rien à l’image médiatique répandue dans le monde. Le chômage est à un niveau minimum de 8-10 %, selon Béatrice Mathieu, la rédactrice en chef de L’Express, très loin du plein-emploi tant vanté. La dette globale de 72.000 milliards de dollars des États-Unis ne sera jamais remboursée car elle a été gaspillée dans des achats de biens de consommation et des rachats d’actions au lieu d’investissements réels dans les entreprises. La dette des particuliers américains (crédits hypothécaires, cartes de crédit, dépenses médicales, achat de voiture, crédits étudiants) s’élève à 13.500 milliards de dollars, soit 1.000 milliards de plus qu’en 2008. 54 % des États américains sont en quasi-faillite avec une classification D ou F, les dépenses pour les futures retraites n’étant pas provisionnées. Les fonds d’investissement, les assurances et les banques sont assis, aux États-Unis, sur une bombe à retardement.

    La BCE vit un psychodrame, les Allemands étant fous furieux des taux bas et de la relance à venir du « QE » par Draghi ! Sabine Lautenschläger, membre éminent du directoire de la BCE, a donné sa démission, le jeudi 26 septembre, deux ans avant l’expiration de son mandat. Les Allemands ont déjà connu les effets de la planche à billets en 1923, ne veulent pas entendre parler de la stupide théorie monétaire moderne et prétendent que la situation actuelle n’est pas supportable à long terme. Il n’y a, en fait, que trois pays sérieux, en zone euro : l’Autriche, les Pays-Bas et l’Allemagne.

    La France de Macron devient celle de Hollande. Elle ne taille pas dans les dépenses publiques, ne baisse pas les effectifs de la fonction publique, ne s’attaque pas au déficit structurel et s’endette car l’argent ne coûte plus rien, avec un taux de dette publique (2.400 milliards d’euros) de 99,5 % du PIB. Si les taux remontent, c’est la banqueroute immédiate.

    La volatilité augmente sur les Bourses avec des cours artificiellement gonflés par les taux d’intérêt au plus bas et les flux de liquidités des banques centrales, tandis qu’une lente et progressive euthanasie des épargnants avec des fonds en euros rémunérés d’une façon ridicule a déjà commencé dans l’assurance-vie (1.700 milliards d’euros, soit un peu moins que la dette française).

    Depuis 2011, les banques centrales ne vendent plus mais achètent de l’or (Chine et Russie, plus particulièrement) ; elles ont rétabli le métal jaune, le 29 mars 2019, comme un actif de classe 1 sans risque (« tier 1 »), sachant qu’il sera, à terme, le seul survivant.

    Marc Rousset

    https://www.bvoltaire.fr/economie-pour-le-systeme-tout-va-tres-bien-mais-ca-va-tres-mal-finir/

  • Même le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

    Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique !
     Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.
    Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.
    De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations.
    Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !
    Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur.
    C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !
    Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques.
    Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.
    Ainsi, les activistes du mouvement écolo-gauchiste révolutionnaire suscitent la peur dans le public et répandent des fausses nouvelles que rediffusent les médias.
    Tout ce petit monde vit grassement de la rente dorée que représentent les subventions massives au profit des politiciens verts et des scientifiques avec de l’argent du gouvernement pour créer la peur chez les gens.
    Moore rapporte que des scientifiques participent de leur plein gré au dogme réchauffiste, car ils vivent essentiellement des subventions gouvernementales.
    Le mensonge du consensus de 99 % [parmi les scientifiques] qui partagent des convictions au sujet du changement climatique, c’est la meilleure explication de l’absence de toute preuve indiscutable. La science ne repose pas sur des opinions qui voudraient justifier des erreurs unanimement partagées.
    Moore cite après bien d’autres (Claude Allègre et Serge Galam en France) la croyance générale que la Terre était au centre de l’univers.
    Quand Galileo a découvert que le soleil était au centre du système solaire et que la Terre tournait autour de lui, il a été condamné par la science des réchauffistes de l’époque.
    Moore a conclu : Quand la superstition et une combinaison toxique de religion et d’idéologie politique prennent le dessus sur la science, il n’y a pas de vérité scientifique.
    C’est un canular absolu et une arnaque.
    Régis Crépet : Non, le réchauffement climatique n’est pas évident pour une partie des scientifiques.
    Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années.
    Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire.
    Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre.
    C’est un raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres.
    Dans ses différents rapports rendus publics, le Giec se base sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère depuis le début du XXe siècle et la hausse des températures planétaires mais sans jamais apporter la preuve du lien de cause à effet.
    Si la communauté scientifique admet que le réchauffement climatique « a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique », elle reconnaît que ce réchauffement a pu avoir une origine cyclique naturelle.
    Pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans.
    « N’oublions pas la variabilité naturelle du climat par cycles depuis bien avant notre ère contemporaine », rappelle Régis Crépet.
    Malgré la version officielle émise dans les conclusions du Giec, il subsiste de grandes inconnues.
    Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet ?
    Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu bien avant notre époque industrielle ?
    Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.
    Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange » et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an !
    Les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle.
    L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (Giec) à l’horizon 2100. Selon la NOAA-GISS, la hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.
    L’alarmisme climatique est la plus grande fraude scientifique.
    Walter Cunningham, astronaute d’Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques.
    L’alarmisme climatique est la plus grande fraude dans le domaine de la science et la revendication d’un consensus à 97 % est absurde !
    Je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Si on s’en tient à l’hypothèse réchauffiste, pas une théorie, mais une hypothèse, ils dénoncent des niveaux de CO2 anormalement élevés pour faire peur aux gens par de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus à se faire de l’argent sur le dos des contribuables.
    Il faut savoir qu’en ce moment, le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas des derniers 600 à 800 millions d’années.
    C’est pourquoi, il dénonce l’alarmisme climatique comme la plus grande fraude du domaine scientifique !
    Marc Mennessier : Le Giec n’est pas le garant de la vérité scientifique.
    Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues (grassement subventionnés).
    400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des accusations mensongères portées contre eux par les climato-sceptiques !
    Le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre à ces accusations.
    Je suis attaqué de manière profondément fausse et choquante.
    Je partage cet honneur avec Claude Allègre qui n’a pas besoin de moi pour défendre son point de vue.
    Si une partie de nos conclusions sur la question de l’origine du réchauffement climatique sont proches, il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens.
    Je me bornerai à répondre aux accusations explicitement portées contre moi comme celle de porter des accusations mensongères à l’encontre de la communauté des climatologues !
    Il faudrait d’abord définir qui sont ces climatologues !
    Jean Jouzel et Hervé Le Treut sont des spécialistes de géochimie et de modélisation numérique.
    Ils confondent (volontairement ?) leur communauté avec le Giec.
    C’est lui dont je critique le mécanisme.
    Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la vérité scientifique.
    Celle-ci ne peut pas être le résultat d’un vote démocratique !
    Un seul avis contraire peut être exact.
    Le Giec ne peut décréter la vérité officielle soi-disant scientifique qu’avec un consensus illusoire d’opinions sans preuve scientifique.
    Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de censure idéologique en sciences !
    La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n’est pas d’envoyer une pétition (aux généreux dispensateurs de riches subventions) mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication.
    Comme l’écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, le fait que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer (justifier) leurs positions revient à reconnaître le manque d’indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, ce qui obère la fiabilité des travaux du Giec !
    Moralité, avec l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans est de retour !
    Thierry Michaud-Nérard

  • (Video) Un journaliste RT France matraqué par des membres des forces de l’ordre à Toulouse

    crs.JPGPrésent ce 28 septembre lors de l'acte 46 des Gilets jaunes à Toulouse, notre reporter a été victime de coups de matraque infligés par des membres de forces de l’ordre au cours d'une opération de dispersion.

    Frédéric Aigouy, journaliste du site web de RT France, a été pris pour cible le 28 septembre par deux
    policiers alors qu’il filmait une opération de dispersion lors de l’acte 46 des Gilets jaunes durant laquelle des observateurs de la Ligue des droits de l'homme (LDH) ont été violemment bousculés dans une rue du centre-ville de Toulouse vide de manifestants. 
    Dans une vidéo publiée sur Twitter par notre reporter, on peut voir un premier policier le percuter avec son bouclier avant de lui asséner un coup de matraque alors même qu'il portait son brassard presse et qu'il a indiqué, à plusieurs reprises, travailler pour la presse. S'en suit très vite un autre épisode tout aussi violent ou il reçoit un second coup de matraque porté par un autre policier. Comme le montrent les images, notre journaliste se tenait pourtant à distance des forces de l'ordre et ne gênait pas leur intervention.  
    [...]
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