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Solidarité sociale et immigration : Zemmour vs Olivennes
A partir de 13’57
« L’hétérogénéité ethnique et culturelle pousse à l’absence de solidarité et de confiance. L’homogénéité pousse à la solidarité. Plus on poussera à l’immigration, plus on poussera à la destruction de notre modèle social. »
« On apprend à détester la France aujourd’hui dans les écoles françaises. »
Eric Zemmour
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Brexit : enfin la fin ? – Journal du jeudi 17 octobre 2019
Brexit : enfin la fin ?
L’Union Européenne et le Royaume-Uni ont trouvé un nouvel accord pour le Brexit… un accord qui pourrait cependant être remis en cause par le vote de la Chambre des communes…
Les radars en perte de vitesse
Les recettes des radars automatiques en chute libre. Après avoir considérablement augmenté depuis 2011, les radars n’ont rapporté que 864 millions d’euros en 2018. Un manque à gagner pour l’Etat qui cible, une nouvelles fois, les gilets jaunes.
Pollution lumineuse : un drame écologique peu connu
Alors que la question écologique occupe largement l’espace médiatique, un phénomène demeure méconnu : la pollution lumineuse. L’omniprésence de la lumière artificielle en milieu urbain a fait disparaître l’obscurité de la nuit pour bon nombre d’êtres humains… les conséquences pour l’Homme, la faune et la flore sont dramatiques.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/brexit-enfin-la-fin-journal-du-jeudi-17-octobre-2019
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La Cocarde violemment attaquée à Nanterre! (Communiqué)
La Cocarde Etudiante – Ce jeudi 17 octobre des militants de la Cocarde étudiante ont distribué des tracts sur la place de l’université de Nanterre dans le cadre de l’élection de la COMUE.
Il est tout a fait normal de venir défendre ses idées, de surcroît le jour d’une élection universitaire.
Très rapidement un groupe nombreux et armé, composé de membres de l’UNEF et du NPA de Nanterre (autocollants visibles) ainsi que de milices « antifas » (voir videos) est venu s’en prendre physiquement à nos militants. Alors que nous n’avions que nos mains pour nous défendre ils sont venus armés: Cagoules, casques, matraques télescopiques, bombes lacrymogènes et gants coqués.
Les forces unies d’extrême-gauche n’ont cependant pas réussi à faire abandonner le terrain aux militants de La Cocarde, et après plusieurs autres tentatives d’assaut de leur part, il a fallu attendre l’arrivée des CRS pour mettre fin à leurs violences délibérées.
Nous avons évidemment déposé plainte à l’encontre de certains membres identifiés de cette milice.
Néanmoins il est hors de question d’en rester là : la présidence de l’université ne peut pas rester passive vis à vis de ces débordements. Nous exigeons de lourdes sanctions individuelles pour les agresseurs étudiants à Nanterre, et nous demandons à ce que la liste de l’UNEF Nanterre soit invalidée pour avoir prémédité ces violences.
La meilleure sanction viendra des urnes ! Nous appelons tous les étudiants qu ne supportent plus la présence de ces milices d’extrême gauche à voter pour la Cocarde étudiante, jusqu’à 18h30 dans la salle E01 du bâtiment Clémence Ramnoux.
Contre l’extrême gauche à Nanterre, je vote Cocarde Etudiante !
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Les fruits du chiraquisme auront décidément été amers
Les lecteurs du Salon beige savent déjà que les fruits du chiraquisme sont amers. Ils savent aussi que l’usage de la traîtrise a joué un rôle important dans la carrière politique de l’amateur de sumo.
Usage une fois de plus démontré, dans le courrier des lecteurs de La Croix du 16 octobre 2019, par une précision historique éclairante sur son rôle décisif dans le refus de faire référence à l’héritage judéo-chrétien dans le préambule de la Constitution européenne.
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Stop à la haine contre la France !, par Ivan Rioufol
A quand une pétition pour dire : Stop à la haine contre la France ? Le Monde de ce mercredi publie une adresse à Emmanuel Macron : “Monsieur le président, dites stop à la haine contre les musulmans de France“. Ce texte fait suite à l‘incident politique causé par un élu RN à la vue d’une femme portant un hidjab noir dans le public de l’assemblée régionale de Bourgogne-Franche-Comté. Il a été signé par 90 noms du show-biz, des médias ou du monde universitaire. Le plus connu est l’acteur Omar Sy. Les signataires rappellent le “traumatisme” subi par l’enfant de 10 ans venu se blottir dans les bras de sa mère mise en cause. Ils assurent : “Ne nous y trompons pas, l’extrême droite a fait de la haine contre les musulmans un outil majeur de sa propagande, mais elle n’en a pas le monopole”. Le ton est, à plusieurs reprises, menaçant. “Jusqu’où allons-nous accepter que des citoyens, des citoyennes, soient insultés, agressés, attaqués, stigmatisés en raison de leur religion ? (…) Jusqu’où pouvons-nous tolérer encore ces discours et actes de haine contre une partie de nos concitoyens ?“.
A aucun moment, ces protestataires n’ont fait connaître leur effarement après les assassinats de quatre policiers par un islamiste infiltré au coeur de la préfecture de Paris. Aucun d’entre eux n’étaient présents non plus, jeudi place Saint Michel à Paris, pour dénoncer la dérive islamiste. A dire vrai, la manifestation, organisée par l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, n’a rassemblé qu’une dizaine d’imams et un public très clairsemé, dont votre serviteur.
Il est saugrenu de voir Omar Sy, personnalité préférée des Français dans le dernier classement du JDD, se prêter à la victimisation des musulmans mal aimés. Plus grave est la dialectique des pétitionnaires, qui criminalisent l’approche critique de l’islamisme. Le redire, à tous les idiots utiles de cette idéologie sexiste et judéophobe : mettre en cause l’islam politique, identifiable aux uniformes qu’il arbore, n’a rien à voir avec une stigmatisation des musulmans dans leur ensemble. Ce sont les signataires qui se prêtent à l’amalgame en prétendant parler au nom de tous les musulmans. En réalité, ils sont les porte-paroles d’un islam séparatiste qui combat les règles communes de la discrétion, socle de la laïcité. Porter un hidjab au cœur d’une assemblée politique est une provocation politique.
Fatima, la femme voilée, a été soutenue durant l’épisode par une élue régionale, Nisrine Zaïbi, qui a été naguère en rapport avec l’UOIF et le CCIF (L’Opinion, ce mercredi). Fatima s’est d’ailleurs confiée au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans. Elle déclare : “Aujourd’hui, j’ai une opinion négative de ce qu’on appelle la République. Et je trouve que le ministre de l’Education a dit quelque chose de honteux lorsqu’il a parlé du voile”. Jean-Michel Blanquer ne juge “pas souhaitable” le port du voile pour les mères accompagnatrices lors de sorties scolaires. Ces militants islamistes peuvent parfaitement vivre selon leurs règles. Mais alors, qu’ils rejoignent un pays islamique. Et qu’ils laissent la France en paix !
Ivan Rioufol
Texte daté du 16 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/215842/stop-a-la-haine-contre-la-france-par-ivan-rioufol/
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La Syrie toujours victime de stratégies étrangères, par Christian Vanneste
L’abandon des Kurdes par les Américains, et donc les Occidentaux, puisque aucun allié n’est capable de se maintenir sur place sans leur soutien paraît scandaleuse : elle est d’une ingratitude absolue envers les combattants qui ont d’abord résisté aux islamistes d’Al Qaïda puis à ceux de l’EI et ont fourni les troupes victorieuses de celui-ci. On se souvient de la résistance de Kobané en 2014-2015, puis de la libération de Sinjar, cette ville-martyr des Yézidis, enfin de la prise de Raqqa. Les milliers de morts kurdes ont compensé un engagement occidental, essentiellement matériel et logistique, après une longue période d’indécision. De plus, l’intention d’Erdogan est clairement de procéder à un nettoyage ethnique, en installant des Arabes dans des villages construits dans l’actuelle zone kurde. Soumis au feu de la critique de son propre parti républicain, Donald Trump menace maintenant la Turquie de représailles économiques et financières, mais paraît faire un peu n’importe quoi alors qu’à nouveau une procédure de destitution est engagée à son encontre, à la suite d’un échange avec le nouveau président ukrainien au cours duquel il aurait invité ce dernier à lui fournir des munitions contre l’un de ses concurrents démocrates.
Quelle est la logique de l’occupant de la Maison Blanche ? Elle existe et elle est simple : la politique intérieure est plus importante que l’extérieure. Ne pas exposer des soldats américains loin de leur pays dans un conflit tribal qui ne les concerne en rien dans un pays où les intérêts nationaux ne sont pas engagés constitue le fond d’une doctrine qui table sur l’adhésion de l’Amérique profonde contre l’Etat profond de Washington. Que les Etats-Unis perdent leur crédit en abandonnant un allié ne lui semble pas si important : ce n’est pas la première fois, si l’on se souvient du Sud-Vietnam, ou du Shah d’Iran. Un tri logique s’effectuera en fonction des enjeux internes : Trump n’est pas prêt d’abandonner Israël.
De même, l’intervention turque est motivée par des considérations de politique intérieure. Reccep Tayyip Erdogan est très proche des Frères Musulmans. Au début de son règne, il y avait en lui du Calife ottoman, puisque jusqu’après la première guerre mondiale, le sultan ottoman était aussi commandeur des croyants. Les Frères Musulmans n’ont pas été étrangers aux « révolutions » ou guerres civiles que la naïveté occidentale a appelées « Printemps arabe » en croyant qu’elles allaient vers la démocratie alors qu’elles tendaient vers l’islamisme. La Turquie y a été impliquée, et notamment en soutenant les rebelles islamistes de Syrie à travers la frontière, tous les rebelles, y compris l’Etat islamique avec lequel un trafic a été organisé. En février 2016, lorsque les Kurdes avancent vers Tall Rifaat aux mains des djihadistes, l’artillerie turque pilonne les combattants de l’YPG ! Aujourd’hui l’armée d’Ankara réoccupe ces territoires libérés, et elle est accompagnée d’une milice « syrienne » qui, comme par hasard, se livre aux mêmes atrocités que les islamistes de l’EI, naguère. Mais, cette fois, Erdogan est moins islamiste que nationaliste : il est affaibli politiquement par des élections municipales qui ont donné les deux plus grandes villes aux kémalistes, et c’est sur le terrain du nationalisme qu’il entend reprendre l’avantage : les Kurdes lui en fournissent l’occasion.
Enfin, il y a la Russie, le seul pays dont la stratégie a été cohérente dans ce dossier. La Syrie est un allié. La Russie ne lâche pas ses alliés, et encore moins ceux dont le territoire fournit des bases indispensables au maintien du statut de puissance mondiale, même de second rang. Vladimir Poutine a engagé l’armée russe dans le conflit de façon déterminante et avec assez de prudence pour limiter le coût et les pertes. L’intervention turque lui offre une double opportunité : d’abord de jouer les médiateurs puisqu’il est le seul à parler à toutes les parties, et comme Raminagrobis, le mieux placé pour être le troisième qui tire parti du conflit entre les deux autres. Les YPG, vaguement marxistes, sont des vieilles connaissances des Russes et la Russie entretient désormais des relations cordiales avec la Turquie à travers le processus d’Astana : l’intervention turque et le lâchage américain permet à l’armée syrienne de venir au secours des Kurdes et de s’interposer le long de la frontière, en rétablissant de fait la souveraineté de Damas sur une nouvelle partie de son territoire. En visant cet objectif, Poutine est le seul à concilier l’intérêt de son pays, son image, et le droit international. Voilà qui est mieux que l’impuissance verbeuse des Européens, ensemble au Conseil de sécurité pour proposer une condamnation qu’ils n’obtiennent pas, mais divisés aussitôt après sur l’embargo sur les armements à destination de la Turquie !
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Brexit : accord à l’arraché entre Londres et Bruxelles
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a annoncé sur Twitter qu’un accord avait finalement été trouvé.
Londres et Bruxelles sont finalement parvenus à un accord sur le Brexit jeudi. Et ce, à deux semaines de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, programmée pour le 31 octobre. C’est ce qu’a annoncé en fin de matinée le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. «Là où il y a une volonté, il y a un #deal – on en a un ! C’est un accord juste et équilibré pour l’UE et le Royaume-Uni et il témoigne de notre engagement à trouver des solutions. Je recommande que #EUCO approuve cet accord», a tweeté le chef de l’exécutif européen.
https://www.tvlibertes.com/actus/brexit-accord-a-larrache-entre-londres-et-bruxelles
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Projet de loi bioéthique – Quand l’Assemblée se déshonore, par Franck Deletraz
Comme l’on pouvait hélas s’y attendre, les députés, faisant fi de la colère de la rue et de la manifestation « Marchons enfants » qui a rassemblé près de 75 000 opposants à la PMA sans père le 6 octobre, ont donc adopté mardi à une large majorité (359 voix contre 114 et 72 abstentions) le projet de loi bioéthique prévoyant notamment l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes. Cependant, le texte devant encore passer devant le Sénat en janvier, le combat est loin d’être perdu pour les défenseurs de l’enfance et de la famille, qui appellent à une mobilisation massive les 30 novembre et 1er décembre prochains.
Et déjà, le lobby LGBT réclame davantage !
Au terme de quelque 80 heures de débats, ce projet de loi de 32 articles qui, outre l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes, prévoit une réforme de la filiation et de l’accès aux origines, l’autoconservation des ovocytes ou encore la recherche sur les cellules-souches embryonnaires, est donc passé comme une lettre à la poste. « Grâce », bien entendu, aux élus LREM et MoDem, qui ont voté à l’unisson pour cette promesse de campagne de Macron visant à satisfaire le lobby gay. A la plupart des députés de gauche (PS, PCF et LFI). Mais aussi – honte à eux ! – à un certain nombre d’élus de cette droite LR qui, dès le début, a refusé de se battre bec et ongles contre ce texte qui ouvre la porte à la GPA et autres abominations. Pour preuve : dès mardi, les associations LGBT commençaient déjà à réclamer davantage. Comme Nicolas Faget, porte-parole de l’« Association des Parents et Futurs parents gays et lesbiens », qui, tout en saluant « un pas en avant », s’empressait d’ajouter que « nos familles ne sont toujours pas égales face au droit commun ». Ou encore l’inter-LGBT, qui dénonçant carrément le « non accès des hommes transgenres à la PMA » !
Le combat continue
Bref, on le voit, en adoptant ce texte, l’Assemblée a ouvert la porte au n’importe quoi et aux demandes les plus délirantes de la minorité LGBT. Cependant, si le gouvernement s’est montré mardi satisfait et a dit espérer voir la loi définitivement adoptée « avant l’été », l’affaire est encore loin d’être terminée. Le succès impressionnant rencontré par la mobilisation du 6 octobre dernier a en effet grandement renforcé la volonté des associations de défense de la famille de faire échec aux projets du gouvernement. Car, comme l’a déclaré Ludovine de La Rochère, cette adoption en première lecture du projet de loi bioéthique « ne signifie en aucune manière que c’est fait. Nous sommes au tout début d’un long processus qui va durer des mois ». Et déjà les associations appellent tous les Français à se mobiliser lors de leurs nouvelles grandes mobilisations, comme ce week-end d’« actions délocalisées partout en France », les 30 novembre et 1er décembre, ou encore cette deuxième manifestation nationale à Paris le 19 janvier à laquelle nous devrons tous participer.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 16 octobre 2019
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