Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 42

  • Municipales : le PS sort l’arme fatale pour sauver ses fesses !

    capture-decran-2019-11-06-a-09-09-21.png

    Un ami candidat aux municipales me confiait, lors de la préparation des alliances et des listes : « Il faut susciter du désir ou de la peur. Et les deux, c’est encore mieux ! » Stratégie de gagnant.

    Oui, mais voilà : que faire quand on ne suscite plus, vraiment plus, ni désir ni peur ? Autrement dit, quand on est un maire sortant LR ou PS. À Toulouse, le maire sortant LR a vite fait ses comptes : alliance avec LREM. Et qu’importe ce que disait Christian Jacob il y a un mois !

    Bien des maires sortants ou des candidats PS ont fait le même calcul. La situation est exactement identique que chez LR : le leader parisien, Olivier Faure, répète que le parti est dans l’opposition à Emmanuel Macron mais, à l’échelon municipal, on dialogue, on s’allie, on se soutient joyeusement entre ex ou nouveaux petits camarades PS et LREM. Christian Jacob et Olivier Faure sont bien partis pour accéder à la finale du meilleur bobard de bronze.

    Le Monde nous apprend en effet que, dans de nombreuses villes, PS et LREM partiront ensemble aux municipales : Clichy-sous-Bois, Romainville (Seine-Saint-Denis), Bergerac (Dordogne), Le Creusot (Saône-et-Loire), Bourg-lès-Valence (Drôme), Grenoble et quelques autres.

    Le PS pense ainsi sauver ce qui lui reste de forces visibles : des étiquettes au fronton des mairies. Mais la démarche va lui enlever le peu de crédibilité qui lui restait. Le PS est en train d’inventer le « socialisme municipal » : lui qui, pendant des décennies, a maintenu artificiellement en vie le Parti communiste sous la forme du communisme municipal alors que le parti ne pesait plus que 2 % est en train de subir le même sort. Il devrait y réfléchir…

    Surtout qu’il n’est pas assuré que LREM et Emmanuel Macron éveillent le désir et la peur dont me parlait cet ami. Il est même possible qu’avec la chute de la maison Bayrou, ces jours-ci, dans les bureaux d’un juge d’instruction, on assiste, dans un avenir plus ou moins proche, à celle de la maison Macron. Et alors, que deviendront-ils, nos amis LR et PS qui n’avaient rien trouvé de mieux que d’aller s’abriter dans cette maison de paille ?

    Mais j’anticipe.

    Pour le moment, cette course à la soupe LREM ne peut que ravir le parti d’Emmanuel Macron : c’est « la poutre qui bouge encore » d’Édouard Philippe, la poursuite de la recomposition. Au soir des municipales, avec les petits arrangements ici et là, chacun des trois compères PS, LR et LREM pourra exprimer sa satisfaction : il leur restera à chacun quelques dizaines de villes. Tout le monde aura gagné.

    Tout le monde, sauf la démocratie et la clarté

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/municipales-le-ps-sort-larme-fatale-pour-sauver-ses-fesses/

  • Italie : la Ligue premier parti,et le parti identitaire Fratelli d’Italia passe la barre de 10 %

    C’est la petite bête qui monte, qui monte, qui monte. Elle n’est pas noire mais verte, le vert de la plaine du Po où elle est née. La Ligue de Matteo Salvini, d’après les sondages, gagne des points et serait aujourd’hui à 34,2 %.

    Pendant ce temps-là, il y en a qui descendent : le gouvernement de coalition composé du perdant des dernières élections, le Parti Démocrate, et du Mouvement 5 Etoiles, l’ancien allié de la Ligue mais rentré dans le rang du système après avoir été anti-système, -les fauteuils ministériels sont confortables. Les deux formations sont respectivement à 19 % et 16,3 %.

    Le mécontentement des Italiens par rapport à l’actuel exécutif, lui ne cesse de croître : plus de 54 % des Italiens jugent négativement l’action gouvernementale, seulement 22 % l’approuvent, 22 % préférant ne pas s’exprimer.

    Quant au parti identitaire Fratelli d’Italia, il rejoint « le seuil psychologique » des 10 % pour la première fois depuis qu’il existe.

    C’è chi scende e c’è chi sale” dit le proverbe italien (il y a ceux qui montent et il y a ceux qui descendent).

    La petite bête qui monte, la droite souverainiste italienne qui a le vent en poupe, va donner de l’urticaire à plus d’un bien-pensant.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/italie-la-ligue-premier-partiet-le-parti-identitaire-fratelli-ditalia-passe-la-barre-de-10/114025/

  • Les territoires perdus de la République

     Résultat de recherche d'images pour "sarcelles dealers"
     
    François Pupponi révèle l’alliance en banlieue entre les dealers et les islamistes          
    Ce témoignage est précieux.
    L’ancien maire de Sarcelles fait part de son expérience concrète des réalités de banlieue.
    Et là, les rigoristes de l’islam ne font pas la fine bouche lorsqu’il s’agit de leurs intérêts communs avec les caïds de la drogue.

    https://ok.ru/video/1648824289965
    À Marseille, les élus doivent demander l’autorisation aux dealers pour entrer dans certains quartiers

    François Pupponi continue de révéler, interview après interview, l’étendue du désastre auquel nous ont mené 40 ans de lâcheté.
  • La 4e Fête du Pays Réel, rendez-vous des artisans, artistes et éditeurs du camp national et catholique

    A votre agenda, la 4e Fête du Pays Réel

    En raison de son succès et du désir d’y faire venir de plus en plus d’exposants de nos provinces les plus lointaines, la 4ème Fête du Pays Réel se déroulera sur deux jours, les samedi 28 et dimanche 29 mars 2020, à l’Espace Jean Monet à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant deux journées, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    D’autre part, tout au long de ces deux journées, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.

    L’année dernière, la Fête du Pays Réel avait rassemblé plus d’une centaine d’exposants, des dizaines d’auteurs venus dédicacer leurs livres et un public nombreux venu de toute la France. Cette année, il faut faire mieux encore !

    Vous voulez être exposant lors de la 4ème Fête du Pays Réel ? Contactez dès à présent le secrétariat dédié à la Fête du Pays Réel (paysreel@civitas-parti-catholique.com – 06 65 40 20 35) pour connaître les conditions et tarifs pour votre secteur d’activité et réserver votre emplacement. Réservez sans tarder : le nombre de places est limité. N’hésitez pas à convier vos amis et à faire connaître nos propositions de stands à vos connaissances (associations, artisans et producteurs).

    https://www.medias-presse.info/la-4e-fete-du-pays-reel-rendez-vous-des-artisans-artistes-et-editeurs-du-camp-national-et-catholique/114009/

  • Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, Lyon, Toulouse...

    Annotation 2019-11-04 02.jpg

    Annotation 2019-11-04 02104.jpg

     

    Annotation 2019-11-04 021041.jpg

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/06/formation-et-militantisme-bordeaux-lyon-toulouse-6187722.html#more

  • Damien Abad, patron du groupe LR à l’Assemblée : la gauchisation se poursuit

    Damien Abad, patron du groupe LR à l’Assemblée : la gauchisation se poursuit

    Suite à l’élection de Christian Jacob à la tête du parti, le groupe LR à l’Assemblée (104 députés) s’est choisi un nouveau président en la personne du député de l’Ain Damien Abad, par 64 voix contre 37 pour Olivier Marleix. Il était arrivé en tête du premier tour, avec 34 voix contre 20 pour Olivier Marleix. Michèle Tabarot (17), Daniel Fasquelle (14), Véronique Louwagie (12) et Philippe Gosselin (7) complétaient la liste.

    Ce dernier n’est pas vraiment une personnalité de droite :

  • “Contre l’islamophobie” : une marche qui divise à gauche – Journal du jeudi 7 novembre 2019

     

    “Contre l’islamophobie” : une marche qui divise à gauche

    Lancé le 1er novembre, l’appel à manifester contre l’islamophobie en France n’en finit plus de faire débat. Après avoir signé la pétition, de nombreuses personnalités politiques de gauche font marche arrière et provoquent des divisions.

    FDJ, une privatisation et beaucoup d’interrogations

    La privatisation de la Française des jeux est lancée. L’état se désengage d’un secteur sensible mais l’entreprise préserve l’essentiel de son monopole en attendant peut-être une dérégulation totale du secteur.

    Suède : du paradis à l’enfer

    Présenté un comme un paradis économique et social, la Suède devient le théâtre d’une véritable guerre des gangs. Les fusillades et les meurtres se multiplient et l’immigration semble être à l’origine de ce désordre.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/contre-lislamophobie-une-marche-qui-divise-journal-du-jeudi-7-novembre-2019

  • Immigration : l’aveu d’impuissance du pouvoir, par Ivan Rioufol

    emmanuel-macron-conference-de-presse.jpg

    Face à l’immigration, le gouvernement ne lèvera pas le pied. Le durcissement de la politique macronienne, annoncé ce mercredi, se traduira en fait par une consolidation de l’immigration économique (13%) et de l’immigration étudiante (32%). Les règles d’accès à la santé gratuite pour les demandeurs d’asile seront certes un peu plus strictes. Mais l’Allocation pour demandeur d’asile (ADA), qui aimante en France les réfugiés déboutés de pays voisins, ne fait pas partie des suppressions envisagées. Une fois encore, le pouvoir se paye de mots en laissant croire en sa détermination à aborder un sujet qui, dans le laxisme qu’il laisse voir, obsède une partie de l’opinion. Une fois encore, la macronie met en scène la grande mascarade qui, depuis deux ans et demi, caractérise ce quinquennat de l’esbroufe. Emmanuel Macron participe volontiers à la promotion de la panique mondialiste sur le Grand réchauffement, qui justifie l’arrivée en Europe de “réfugiés climatiques”. En revanche, il avalise la critique du Grand remplacement, cette expression interdite.

    Ce phénomène de substitution de population, en action dans certains points du territoire français, est la cible de tous les dénégationnistes. Ceux-ci font tout pour sous-estimer l’immigration de masse et ses refus de s’intégrer. Pourtant, même le démographe bien-pensant Hervé Le Bras le reconnaît aujourd’hui (1) : “Je pense que d’ici à une génération, un Français sur deux aura au moins un parent ou un grand parent d’origine étrangère“.

    L’aveuglement collectif sur la réalité de l’immigration et ses conséquences sert de prétexte à la poursuite de mesures impensées. Entendre Edouard Philippe déclarer ce matin : “Nous voulons reprendre le contrôle de notre politique migratoire” fait penser à une blague. L’impuissance publique est intimement liée à l’occultation des réalités. Dans Le Figaro de mardi, le député (LR), François Cornut-Gentille, rappelle l’absence de mesures démographiques fiables pour dresser des diagnostics sérieux sur la Seine-Saint-Denis. Il écrit : “Selon nos interlocuteurs, les étrangers en situation irrégulière seraient 150.000, 250.000 voire 400.000”. Semblablement, le nombre de musulmans en France oscille de 5 millions à plus de 10 millions. Certains avancent le chiffre extravagant de 20 millions. Comment concevoir une politique dans un tel brouillard ?

    Reste qu’en choisissant de n’imposer des quotas qu’à l’immigration de travail, le gouvernement ne touche ni au regroupement familial ni aux filières universitaires parfois détournées de leur objet. Il veut même atteindre l’objectif de 500.000 étudiants étrangers en 2027 ! Rappelons qu’en 2018 la France a accueilli 122.000 demandeurs d’asile, délivré 255.000 cartes de séjour et pris en charge 40.000 mineurs non accompagnés, sans compter les clandestins. Il faudrait un coup de frein. Mais c’est sur l’accélérateur que le gouvernement appuie, avec l’immigration économique et universitaire. Gare à la casse en 2022 !

    (1) L’Express, 25 septembre 2019

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 4 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215954/immigration-laveu-dimpuissance-du-pouvoir-par-ivan-rioufol/

  • Immigration : l’aveu d’impuissance du pouvoir, par Ivan Rioufol

    emmanuel-macron-conference-de-presse.jpg

    Face à l’immigration, le gouvernement ne lèvera pas le pied. Le durcissement de la politique macronienne, annoncé ce mercredi, se traduira en fait par une consolidation de l’immigration économique (13%) et de l’immigration étudiante (32%). Les règles d’accès à la santé gratuite pour les demandeurs d’asile seront certes un peu plus strictes. Mais l’Allocation pour demandeur d’asile (ADA), qui aimante en France les réfugiés déboutés de pays voisins, ne fait pas partie des suppressions envisagées. Une fois encore, le pouvoir se paye de mots en laissant croire en sa détermination à aborder un sujet qui, dans le laxisme qu’il laisse voir, obsède une partie de l’opinion. Une fois encore, la macronie met en scène la grande mascarade qui, depuis deux ans et demi, caractérise ce quinquennat de l’esbroufe. Emmanuel Macron participe volontiers à la promotion de la panique mondialiste sur le Grand réchauffement, qui justifie l’arrivée en Europe de “réfugiés climatiques”. En revanche, il avalise la critique du Grand remplacement, cette expression interdite.

    Ce phénomène de substitution de population, en action dans certains points du territoire français, est la cible de tous les dénégationnistes. Ceux-ci font tout pour sous-estimer l’immigration de masse et ses refus de s’intégrer. Pourtant, même le démographe bien-pensant Hervé Le Bras le reconnaît aujourd’hui (1) : “Je pense que d’ici à une génération, un Français sur deux aura au moins un parent ou un grand parent d’origine étrangère“.

    L’aveuglement collectif sur la réalité de l’immigration et ses conséquences sert de prétexte à la poursuite de mesures impensées. Entendre Edouard Philippe déclarer ce matin : “Nous voulons reprendre le contrôle de notre politique migratoire” fait penser à une blague. L’impuissance publique est intimement liée à l’occultation des réalités. Dans Le Figaro de mardi, le député (LR), François Cornut-Gentille, rappelle l’absence de mesures démographiques fiables pour dresser des diagnostics sérieux sur la Seine-Saint-Denis. Il écrit : “Selon nos interlocuteurs, les étrangers en situation irrégulière seraient 150.000, 250.000 voire 400.000”. Semblablement, le nombre de musulmans en France oscille de 5 millions à plus de 10 millions. Certains avancent le chiffre extravagant de 20 millions. Comment concevoir une politique dans un tel brouillard ?

    Reste qu’en choisissant de n’imposer des quotas qu’à l’immigration de travail, le gouvernement ne touche ni au regroupement familial ni aux filières universitaires parfois détournées de leur objet. Il veut même atteindre l’objectif de 500.000 étudiants étrangers en 2027 ! Rappelons qu’en 2018 la France a accueilli 122.000 demandeurs d’asile, délivré 255.000 cartes de séjour et pris en charge 40.000 mineurs non accompagnés, sans compter les clandestins. Il faudrait un coup de frein. Mais c’est sur l’accélérateur que le gouvernement appuie, avec l’immigration économique et universitaire. Gare à la casse en 2022 !

    (1) L’Express, 25 septembre 2019

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 4 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215954/immigration-laveu-dimpuissance-du-pouvoir-par-ivan-rioufol/