C’était attendu, pour qui vit dans le réel, mais pas chez eux : à l’Elysée et à Matignon, on pensait que le retour sur scène de Philippe Martinez allait pousser comme une tempête d’automne tous les Français derrière eux, mais la désillusion est cruelle. Le dernier baromètre Ipsos publié par Le Point montre que l’opinion fait payer à l’exécutif le désordre des grèves et des blocages né de l’opposition à la réforme des retraites. Edouard Philippe et Emmanuel Macron perdent tous les deux 4 points.
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Les Brigandes - Quand un enfant va venir
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Macronisme : Dernier avatar de l’ancien monde…
Faut-il porter son regard sur l’année écoulée, ou au contraire, n’envisager que l’avenir ? Les Britanniques peuvent se le permettre, qui viennent, en donnant une écrasante majorité à un parti Conservateur profondément renouvelé, de s’engager dans la dernière ligne droite les menant à une libération définitive du carcan européen. Ce qu’ils feront de leur liberté – une liberté dont ils avaient su, contrairement à nous, préserver des pans entiers même au sein de l’Union européenne -, ils en sont seuls juges. Nous ne ferions peut-être pas les mêmes choix et certains de ceux-ci affecteront à coup sûr notre économie, surtout s’ils renforcent encore leur partenariat avec les Etats-Unis. Mais un peuple ne doit toujours s’en prendre qu’à lui-même de ses déboires – ou à ses dirigeants si ceux-ci l’ont trahi, ce qui est effectivement le cas, sinon avec l’euro, que les Français ont accepté en validant Maastricht, du moins avec la forfaiture du traité de Lisbonne, pour la signature duquel le pays légal n’a jamais autant mérité son qualificatif de parti de l’étranger.
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Le tabou démographique
Présent – La libre page de Bruno Gollnisch.
(…) Au sujet du débat actuel sur les retraites, si l’on peut parler de débat, j’évoquais la semaine dernière deux questions majeures presque totalement occultées, qui sont pourtant à la racine du problème. L’une est celle du chômage que provoque la destruction méthodique de nos frontières, aussi bien économiques qu’humaines. Mais la plus importante, c’est la question démographique que, d’une certaine façon, – qui n’est certainement pas la nôtre ! – M. Delevoye nous a rappelée, peu de temps avant d’être contraint à la démission, en estimant qu’il était nécessaire, pour équilibrer les retraites, que 50 millions d’immigrés supplémentaires viennent peupler l’Europe.
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Pietraszewski : slalom ou tout schuss ? – Journal du mercredi 18 décembre 2019
Pietraszewski : slalom ou tout schuss ?
Un député du Nord, marcheur de la première heure pour remplacer Jean-Paul Delevoye. Deux jours après la démission forcée du Haut-commissaire à la réforme des retraites, le gouvernement a lancé la patate chaude à un certain Laurent Pietraszewski.
Retour sur la 3ème manifestation
Mardi, les syndicats sont parvenus à maintenir un semblant d’unité dans les cortèges malgré des tensions apparentes. La mobilisation était au rendez-vous aussi bien en région que dans la Capitale. De quoi laisser espérer aux centrales un poids plus important face au gouvernement.
L’huître de Cancale vers le patrimoine de l’Unesco
C’est l’effervescence dans la baie du Mont Saint Michel. A une semaine de Noël, les huîtres de Cancale s’arrachent. Un succès qui pourrait bien les conduire à entrer dans le patrimoine mondial de l’Unesco
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/pietraszewski-slalom-ou-tout-schuss-journal-du-mercredi-18-decembre-2019
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ReVolt2019 : Discours de clôture de Vincent Vauclin
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Marine Le Pen : « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français » (Vidéo)
Pour la présidente du Rassemblement National, le calendrier de l’annonce de la réforme des retraites à quelques semaines des fêtes de fin d’année n’est pas un hasard. Selon elle, « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français ».
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La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate
Tout le monde sait que la procédure n’a aucune chance d’aboutir et qu’il s’agit d’une pure gesticulation politicienne. Les démocrates tablaient sans doute sur le fait que cette procédure allait entacher la popularité de Donald Trump. Eh bien, sur ce plan-là aussi, c’est déjà raté.
Le 23 octobre, avant les auditions publiques dans le cadre de cette affaire, la popularité de Trump était de 38%. Le 10 décembre, alors qu’on annonçait le vote des députés, elle était de 41%. Hier, alors que le vote aura lieu demain, elle était de 43%. Et c’est la cote record de Donald Trump : c’est la première fois qu’il atteint ce score.
Les démocrates se disaient aussi qu’au moins ils sèmeraient le trouble dans le rang des républicains, et que nombreux seraient ceux qui finiraient par lâcher le président.
Or chez les républicains ils sont… 92% à lui faire confiance. Là aussi, c’est complètement raté.
Dans Présent, Christian Daisug écrit :
[…] Deux articles : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Deux pauvres articles qui devraient être, en bonne logique, chargés de dynamite alors qu’ils paraissent maladifs, fiévreux, pâles tant ils sont écrasés par la fraude, le mensonge et l’imposture. C’est la première remarque « à chaud ». La seconde la suit de près, étant de même nature : les démocrates ont abandonné d’autres chefs d’accusation qu’ils avaient pourtant longtemps caressés avec délectation. La corruption, la trahison, l’obstruction à la justice et les abus dans le financement de campagnes électorales ne figurent pas, en effet, dans l’arsenal des agresseurs. Bizarre ? Non. L’aveuglement a des limites.
L’abus de pouvoir est donc censé constituer l’un des deux « gros » morceaux des tirs de barrage démocrates. On accuse Trump d’avoir sollicité l’intervention des autorités de l’Ukraine afin d’interférer dans les élections présidentielles de 2020. On désigne Trump comme celui qui a exercé des pressions sur son homologue Volodymyr Zelensky pour inculper Joseph Biden, ex-vice-président – impliqué dans une sale histoire de corruption locale – et ainsi écarter un rival politique dans l’intense compétition actuelle. Rien de vrai dans ces allégations. Tous les témoins ont confirmé l’absence de preuves établissant le troc d’une aide militaire américaine de 400 millions de dollars contre l’ouverture d’un dossier judiciaire Biden par un juge d’instruction ukrainien. Le président Zelensky lui-même l’a confirmé. Et le principal témoin des démocrates, l’ambassadeur Gordon Sondland, a fini par admettre que l’existence de ce troc n’a pas dépassé la consistance d’une rumeur. Comble de malheur pour Adam Schiff, le grand inquisiteur de cette affaire, l’abus de pouvoir n’apparaît pas dans la constitution parmi les raisons possibles d’une destitution. Le faux détail s’est vu confirmé par les plus grands juristes du pays.
L’obstruction au Congrès complète – mal – la panoplie des griefs contre Trump. On lui reproche d’avoir interdit d’une façon « inhabituelle, systématique et discriminatoire » l’accès à la barre à certains témoins supposés « gênants ou dangereux » pour l’accusé. Là encore, rien de vrai. […]
C’est maintenant l’heure des débats. Schiff va tenter de faire avaler à ses 435 collègues l’étrange, l’insipide mixture qu’il leur a mitonnée. Alors que tous – moins deux – furent d’accord le mois dernier pour entamer une procédure de destitution contre Trump, tous ne le sont pas aujourd’hui pour franchir l’ultime étape assignée à la Chambre : le vote. Les débats, les discours et même les envolées oratoires ne comportent que peu de risques. Mais un vote s’avère indélébile. Pour cette raison, des lézardes, des défections apparaissent dans le bloc, en apparence compact, des assaillants. Il y a les élus qui remettent en jeu leur mandat dans des circonscriptions remportées par Trump en 2016. Ceux-là ont carrément peur. Il y a les écœurés par tout ce déballage, ce chaos, cette partialité, ces mensonges, et qui voudraient en finir. Ceux-là ont des états d’âme. Ces calculs et ces émotions peuvent être gérés par l’arithmétique et traduits en chiffres. Pour l’instant, ils sont au moins une douzaine à se demander si le camp auquel ils appartiennent est le bon. Certains les voient déjà en transfuges. Eux hésitent encore. Sauter le pas dans un moment historique ? Pourquoi pas ? D’autant que la direction du parti a renoncé à toute pression sur ses ouailles. Champ libre. Un risque pour les démocrates. Mais un risque inévitable. Chaque défection sera une flèche contre Schiff et ses complices. Chaque voix contre la destitution résonnera jusqu’à l’élection de novembre prochain. La Chambre devrait voter la semaine prochaine.
https://www.lesalonbeige.fr/la-procedure-de-destitution-de-donald-trump-une-comedie-democrate/
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Municipale à Lyon : le PCD rejoint le RN
Etienne Blanc, tête de liste LR à Lyon, perd l’allié historique qu’était le PCD. De l’autre côté, l’UDI quitte également LR et rejoint LREM. LR apparaît ainsi très isolé.
Agnès Marion, candidate RN à Lyon, annonce une alliance avec Olivier Pirra, élu sortant d’une liste LR (5e arrondissement de Lyon) et délégué départemental du PCD. Par cette alliance, Olivier Pirra, très actif militant pro-famille à Lyon, souhaite lancer une dynamique d’alliance locale avec toutes les personnes de bonne volonté pour battre le système macroniste en place.
https://www.lesalonbeige.fr/municipale-a-lyon-le-pcd-rejoint-le-rn/
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Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !
Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».
La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.
Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.
« Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».