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  • Macron : mille jours et le chaos

    Alors qu’Emmanuel Macron fête ses mille jours à la tête de l’Elysée, les Français dressent un constat accablant du mi-mandat présidentiel. Crise des Gilets Jaunes, réforme des retraites ou encore affaire Benalla, le quinquennat Macron est pour le moment bien amer.

    Emmanuel Macron fête ses mille jours à l’Elysée

    Et le bilan est amer. Un cap symbolique pour le président de la République dont le mandat ressemble davantage à long calvaire qu’à une promenade de santé. 

    Selon un sondage Odoxa près de deux français sur trois estiment que Jupiter est un mauvais président et un tiers des personnes interrogées le considèrent même comme « un très mauvais président ». Parmi les personnes ayant une mauvaise opinion, 62% le considèrent mauvais en raison « de ses actions et de la politique qu’il a menée ». Il faut dire que depuis son élection en mai 2017 et la promesse d’un «nouveau monde politique»,  certains électeurs ont quelque peu « déchanté ». En deux ans et demi de présidence, Emmanuel Macron a perdu 32 points de popularité ; ses prédécesseurs, François Hollande et Nicolas Sarkozy, en avaient perdu respectivement 35 et 31.

    Si le locataire de l’Elysée limite la casse de ce côté, il a en revanche tiré son épingle du jeu en se montrant parfois extrêmement méprisant avec les gens qui ne sont rien. En effet, pendant la campagne électorale ou peu après son élection, Emmanuel Macron a multiplié les petites phrases chocs qui ne sont pas passées auprès de l’opinion.

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  • Dans l'Incorrect, une liste utile des médias royalistes...

    La Rédaction a apprécié le "site royaliste quotidien", "consacré à l'actualité", "très productif" : le rajeunissement de notre équipe et la conséquente chute spectaculaire de sa moyenne d'âge (plus que divisée par deux : moins de quarante ans) explique évidemment cette réactivité, ce dynamisme qui sont remarqués par tous...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le Parti de la France salue son Président d'Honneur

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    Thomas Joly, Président du PdF, et Jean-François Touzé, son Délégué général, lors des obsèques de Roger Holeindre

    Le blog de Thomas Joly cliquez ici

    Roger Holeindre fut un homme exceptionnel de courage, de fidélité et de rectitude. Ses obsèques se devaient de s'élever à la hauteur de celui qui fut notre ami et, au delà de la mort, reste notre camarade.
    Toute la grande famille nationale était au rendez vous pour ce dernier hommage à un immense patriote et un grand militant. Tous étaient venus et se serraient autour du cercueil de bois blanc marqué d'un crucifix et recouvert des trois couleurs ainsi que du béret rouge et des décorations de Roger.
    Pavoisée en Bleu blanc rouge par les drapeaux du CNC, l'église Saint Roch était archipleine.

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  • Politique française : de Charybde en Scylla, par Maxime Tandonnet

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    La politique française donne le sentiment étrange d’empirer d’année en année sans que le fond de l’abîme ne soit jamais atteint.

    D’après l’enquête de CEVIPOF sur la confiance, 79% des Français ont une image négative de la politique. 39% éprouvent de la méfiance envers elle, 28% du dégoût et 10% de l’ennui. S’ajoutant à l’explosion de l’abstentionnisme (plus de 50% aux législatives de 2017) et au vertigineux progrès du vote « anti-système » de gauche ou de droite, ces résultats soulignent le climat d’écœurement qui ronge le pays et la profondeur du fossé qui sépare la classe dirigeante du peuple et ne cesse de se creuser. Faut-il s’en étonner ?

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  • La voracité géopolitique des USA

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    L'opinion publique croit volontiers que les États-Unis d'Amérique sont entrés dans une période d'hégémonie planétaire au cours du XXe siècle en suivant les orientations de l'école anglo-saxonne de géopolitique. Or la rapacité de ce pays à s'emparer de territoires n'est pas un accident ou une mauvaise manie prise après deux conflits gigantesques. Cette inclination à la prédation mondiale, stimulée par la « Destinée Manifeste » (1845), le mythe puritain néo-biblique d'établir une Jérusalem terrestre et la haine profonde du vieux monde européen, date des origines mêmes de l'entité yankee.

    Les causes de la Guerre d'Indépendance américaine (1775-1783) sont variées. Outre le souhait des treize colonies d'Amérique du Nord d'être représentées au Parlement à Londres et le mécontentement des colons de payer de nouvelles taxes sur les journaux, les documents officiels, les almanachs, le thé, le verre, l'huile, le plomb, le papier, etc., la révolte des Insurgents s'explique aussi par le refus obstiné du roi anglais George III de les autoriser à s'emparer des immenses terres fertiles amérindiennes situées entre les monts Appalaches et le Mississippi. L'indépendance de 1783 assure de facto l'annexion des « territoires indiens » renforcée en 1803 par l'achat de la Louisiane française.

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  • « Un père n’est pas forcément un mâle » : Orwell l’avait imaginé, Macron l’a fait

    Annie Genevard, députée LR du Doubs, revient pour Le Figaro sur la négation délirante du président de la république concernant le statut du père. L’idéologie américaine du gender qui était considérée par beaucoup il y a quelques années encore, comme une lubie excentrique des militants de la secte des invertis, est désormais approuvée au plus haut sommet de l’Etat.

    Trouvé sur Le Figaro : « Dans son célèbre roman 1984, Orwell mettait en garde contre un système autoritaire ayant fait de l’emploi de la novlangue et du contre-mot l’un des moyens de sa politique: «la guerre c’est la paix», «la liberté c’est l’esclavage», «l’ignorance c’est la force», etc… Il expliquait ainsi la logique sous-jacente à ce moyen: «Commencez par dénaturer le mot, supprimez-le et la chose disparaîtra». Et si Emmanuel Macron, qui a très certainement lu lors d’un repas auquel était conviée, parmi d’autres, Pascale Morinière, présidente des Associations Familiales Catholiques.

    Si la mère n’est pas celle qui accouche, rien de très étonnant à ce que le père puisse être une femme.

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  • I-Média n°284 – Face au courage de Mila, la soumission des médias

     

    01:51 Image de la semaine

    Kévin, Mathéo et Laura. Trois jeunes victimes de l’ensauvagement de la France. Trois jeunes victimes de l’occultation médiatique.

    04:19 Face au courage de Mila, la soumission des médias

    Lundi 3 février, Mila, qui est menacée de mort pour avoir critiqué l’islam, était invitée dans l’émission Quotidien de Yann Barthès. Courageuse, elle n’a rien lâché. Cyril Hanouna et sa bande ont, eux, préféré nous donner un exemple parfait de soumission.

    18:45 Revue de presse

    Des médias menteurs face aux différents attentats islamistes de la semaine…
    Viktor Orban qui dévoile la recette de son succès…
    Nous reviendrons ensemble sur le meilleur et le pire de la semaine médiatique.

    27:47 Municipales parisiennes : propositions délirantes et occultation médiatique

    La campagne électorale pour la mairie de Paris sombre totalement. Les candidats politiquement corrects multiplient les propositions délirantes, complaisamment couverts par les médias.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n284-face-au-courage-de-mila-la-soumission-des-medias

  • La bataille de Stonne, Ardennes, 1940

    Renaud Camus Même le carnage du Bataclan n'a pas réussi à réveiller le dormeur France. 1.jpegEnfin un livre qui fait un sort aux clichés sur 1940 ! Dominique Lormier fait connaître, par son travail, un épisode de cette tragique année pratiquement inconnu du grand public. Peu de Français connaissent, en effet, le nom de ce petit village des Ardennes, Stonne, qui vit en mai 1940 l'une des batailles parmi les plus acharnées de la campagne de France. Le 10 mai 1940, l'armée allemande lançait son offensive sur le front occidental, des Pays-Bas au Luxembourg. Les troupes franco-britanniques se portèrent au secours de la Belgique, tombant dans le piège tendu par les Allemands qui, profitant de l'absence du gros des troupes franco-anglaises, percèrent le front à Sedan, là où le dispositif français était faible. Les Allemands bénéficièrent d'une supériorité écrasante en infanterie, chars et avions dans ce secteur. Ils furent aidés en cela par l'aveuglement et la rigidité intellectuelle de l'état-major français qui considérait les forêts des Ardennes comme infranchissables par des divisions blindées et a persisté à considérer, contre toute évidence, que l'offensive allemande dans ce secteur n'était qu'une manœuvre de diversion.

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  • Macron veut brader notre dissuasion nucléaire.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    En proposant aux pays de l'UE un "dialogue stratégique" sur l'emploi de la force nucléaire française, et en envisageant d'étendre notre notion d'intérêts vitaux à nos voisins, Emmanuel Macron se comporte en petit fourrier de Washington.
    Si l'idée de la constitution un jour d'une défense européenne crédible, construite à partir des armées nationales de chaque Etat, dans une vision de puissance civilisationnelle de notre continent, ne peut qu'être encouragée, elle ne peut se concevoir que dans la liberté, la volonté et l'indépendance européennes.
    Tant que l'Union européenne ne sera pas autre chose que l'appendice politique, économique et militaire des États-Unis, toute extension de notre doctrine de frappe atomique serait un pas franchi vers l'acceptation du vieux rêve américain des années 50 et 60 de "force multilatérale" à peine mis au goût du jour par les nouvelles données géopolitiques.
    Le "tout nucléaire" français voulu par Charles De Gaulle par son coût faramineux, son développement quasi monopolistique et l'affaiblissement dramatique de nos forces conventionnelles qu'il entraîna, fut une erreur de plus du fondateur de la Cinquième République.
    Mais brader aujourd'hui au seul profit de l'Europe américaine et de l'OTAN washingtonienne le peu de positions internationales que conserve encore la France — notre arme atomique et notre siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU — serait un crime contre la Nation et l'ambition identitaire européenne.