
La justice de la Cour provinciale d’Oviedo a reconnu que l’association professionnelle représentant 28 centres d’avortement en Espagne, l’ACAI (Asociacion de clinicas acreditadas para la interrupcion del embarazo), a utilisé une publicité trompeuse pour promouvoir l’avortement.
Ce combat a commencé il y a plusieurs années lorsque les militants pro-vie de l’association des Avocats chrétiens Abogados Cristianos ont poursuivi l’ACAI et de nombreux centres d’avortement pour mensonges :
- “L’avortement n’a pas de conséquences”,
- “Il n’y a aucun risque d’infertilité pour avoir un ou plusieurs avortements”.
- “L’avortement représente une expérience de maturation pour certaines femmes”
- “Celles qui ont un avortement ont généralement un respect de soi supérieur à celles qui refusent de mettre fin à une grossesse non désirée”
La justice reconnaît que les centres d’avortement mentent en omettant les conséquences de l’avortement. Ils mettent la santé des femmes enceintes en danger pour gagner de l’argent.
Selon la sentence du juge:
“Étant donné que les informations de l’ACAI omettent des informations essentielles concernant les risques du service qu’elles fournissent (essentiellement des conséquences mentales produites par l’avortement), nous constatons que cela oblige le consommateur moyen à prendre une décision qu’il n’aurait pas prise autrement. Cela justifie la mot d’un “effet de traction” dans cette publicité “.
La décision est accessible ici, en espagnol.
Le lendemain, mardi, la Cour de justice des Asturies a rendu un jugement inverse, estimant que l’Association des Avocats Chrétiens manque de légitimité dans son recours contre la publicité de l’ACAI.
https://www.lesalonbeige.fr/espagne-victoire-judiciaire-contre-la-mafia-de-lavortement/





A force de se rendre à Berlin comme il irait à Canossa et de signer, comme il l’a fait en janvier 2019 à Aix-la-Chapelle, des traités rognant sur notre souveraineté, Macron a ouvert la porte aux pires revendications et provocations allemandes. Ainsi, après l’incroyable toupet affiché par la présidente de la CDU, Annegret Kramp-Karrenbauer, demandant en juillet dernier à ce que notre pays cède à l’UE son siège au Conseil de sécurité de l’ONU, c’est un autre proche de la chancelière Merkel, Johann Wadephul, vice-président du groupe parlementaire de la CDU, qui a osé proposer que la France place sa force de dissuasion nucléaire « sous un commandement commun de l’Union européenne ou de l’OTAN » !
Réplique à Houria Bouteldja par Bernard Antony