
Les violences policières en France sont de nouveau la cible de vives critiques. Cette fois, ce sont des eurodéputés polonais qui demandent à Emmanuel Macron de mettre fin à «la violence des autorités» contre les Français, rapporte Mediapart. Les eurodéputés n’ont pas laissé sans réponse les propos d’Emmanuel Macron prononcés lors de son déplacement à Varsovie le 4 février et qui ont visé la ligne politique du parti de Jaroslaw Kaczynski, Droit et Justice (PiS), au pouvoir depuis 2015. Le président français avait alors mis les autorités polonaises en garde contre «une résurgence nationaliste en négation des principes politiques européens».






On sait que Julien Freund ne croit pas à la fin possible des conflits dans le monde humain. C’est bien d’ailleurs ce postulat, fondamental dans sa philosophie, qui l’avait opposé à son premier directeur de thèse, Jean Hyppolite, l’avait conduit à chercher un autre directeur de thèse qu’il avait trouvé en la personne de Raymond Aron, et avait occasionné un débat pathétique et drolatique avec Hyppolite lors de la soutenance de thèse.
Au lendemain des élections municipales, le parti ministériel nous en a très aimablement avertis : au ministère de l'Intérieur, l'incertain Castaner, s'apprêtait à en trafiquer les statistiques de résultat. Ce sont en effet 54 % des électeurs français dont il se proposait de camoufler le désaveu probable. La manœuvre annoncée aura semblé tellement énorme que les gardiens du temple constitutionnel ont finalement protesté.