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  • Comment l'agriculture intensive tue les sols

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    « Nous jouons actuellement l'avenir de notre civilisation »

    L’agriculture intensive est dans une impasse. Elle a fondé ses rendements sur l'épuisement progressif des sols. Elle est humainement et écologiquement insoutenable. Avec elle, les sols sont à l'agonie. Depuis plus de trente ans, Claude et Lydia Bourguignon alertent le monde agricole sur cet état de fait d'abord au sein de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) puis en dehors des sentiers battus et rebattus par les agronomes officiels, là où la terre revit. Leur certitude : « Il faut repenser l'agriculture de fond en comble. »

    Le Choc du mois : Pouvez-nous dire en quelques mots en quoi consiste un sol? Comment fonctionne-t-il ?

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  • Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Le Professeur Didier Raoult a répondu au Parisien hier. Cela donne un certain nombre de saillies assez drolatiques – et un solide mépris pour la caste jacassante, qu’on ne saurait lui reprocher!

    Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.

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  • «Un mensonge d’Etat» : pourquoi des médecins portent plainte contre Philippe et Buzyn

     L’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et le Premier ministre Edouard Philippe à MAtignon le 10 janvier dernier.

    L’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et le Premier ministre Edouard Philippe à MAtignon le 10 janvier dernier. LP/Olivier Corsan

    Le 20 mars 2020
    Fabrice Di Vizio, avocat d’un collectif de plus de 600 médecins ayant porté plainte contre Agnès Buzyn et Édouard Philippe pour leur gestion de la crise du coronavirus, explique cette démarche.
    Ils accusent Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, et le Premier ministre Édouard Philippe de n'avoir pas pris les mesures nécessaires à endiguer le fléau du Covid-19, alors même qu'ils connaissaient les dangers de cette épidémie.
    Trois médecins fondateurs d'un collectif nommé C 19, réunissant à ce jour 600 praticiens, ont porté plainte jeudi et ont saisi la Cour de Justice de la République (CJR), seule habilitée à juger les actes commis par des membres du gouvernement dans l'exercice de leurs fonctions.
  • Élisabeth Lévy dénonce les mensonges des médecins et du pouvoir sur le Covid-19

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    Dans “Le regard d’Élisabeth Lévy” (Sud Radio) du 23 mars 2020, la journaliste déclare notamment :

    La Chloroquine, qui était en vente quasi-libre jusque-là et qui a été requalifiée en substance vénéneuse depuis que le possibilité de son efficacité contre le coronavirus a été évoquée. Comprenne qui pourra

    https://fr.novopress.info/217208/elisabeth-levy-denonce-les-mensonges-des-medecins-et-du-pouvoir-sur-le-covid-19/

  • Coronavirus et technocratie bruxelloise

    Coronavirus et technocratie bruxelloise

    On ne peut pas dire qu’AGEFI soit une officine “populiste” (filiale de “L’Opinion”, cette lettre est spécialisée dans les informations financières). L’article du Dr Youri Popowski, médecin et entrepreneur, qui a été publié hier, n’en est que plus intéressant. Intitulé “Coronavirus et réglementation européenne”, il apporte un éclairage original sur la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique dont nous souffrons actuellement :

    On ne trouve plus de masques, plus de solution hydro-alcoolique dans les pharmacies; on manque cruellement d’appareils d’assistance respiratoire dans certains hôpitaux.
    Pour quelle raison? L’une des raisons est le CE marquage des produits médicaux. La communauté européenne a concocté des lois qui freinent considérablement la mise à disposition de tous les produits médicaux, en règle générale.
    Bloquer ? Non, protéger la population, vous répondra-t-on dans les instances européennes.

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  • De la prostate de François Mitterrand au coronavirus sous Emmanuel Macron : vingt-huit ans d’enfermement idéologique

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    Georges Feltin-Tracol

    En septembre 1992, à quelques jours du référendum sur le traité de Maastricht, s’inquiétant de la dynamique favorable au « Non » et craignant que les Français rejettent l’œuvre de sa vie, François Mitterrand rendit public son cancer de la prostate. En 1996, son médecin personnel, le Dr. Claude Gubler, révéla dans son livre co-écrit avec le journaliste Michel Gonod, Le Grand Secret (très vite interdit par une justice aux ordres !) que le premier président socialiste de la Ve République souffrait de cette maladie depuis… 1980.

    En redoutable tacticien politique, Mitterrand instrumentalisa son mal afin de culpabiliser les indécis. Le coup réussit puisque le traité de Maastricht fut adopté avec une courte avance de 539 410 voix. Des Français, bien incapables de comprendre un traité illisible, prirent pitié pour le locataire de l’Élysée et votèrent « Oui ». Avec l’épidémie de coronavirus, leurs descendants ne les remercient pas.

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  • JT de la Dissidence n°3 : Lapierre et la trahison de Macron/ Radio Franche/Dissidence et Coronavirus

  • « À ces soldats sans armes… », par Christian Vanneste.

    « Nous sommes en guerre… » L’anaphore martiale de M. Macron lors de sa seconde allocution avait pour but de revêtir la tenue dans laquelle le Chef de l’Etat prend toute sa dimension, l’armure du Chef de guerre. L’ennemi est là, il faut se mobiliser, se regrouper au nom de l’union sacrée, faire preuve de discipline, et le généralissime de doter ses troupes des moyens de gagner la bataille ! La communication a produit son effet : un sondage montre une progression de 13 points d’opinions favorables permettant au président de franchir la barre des 50%

    Malheureusement, l’histoire de France a tendance à bégayer : du « il ne manque pas un bouton de guêtre » du Maréchal Le Boeuf en 1870 à « Nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts » de Paul Reynaud en 1940, ces discours ont conduit au désastre parce qu’ils cachaient une grande impréparation. C’est le cas, une fois de plus. Le réveil au clairon, tardif, dissimule trois fautes majeures de nos gouvernants : défaut d’anticipation, pénurie de moyens, stratégie inopérante.

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  • Toujours la quête (L'Ethique de la Reconquête), par Frédéric Winkler.

    « Roland frappa en un rocher gris. Il en détache plus que je ne saurai vous dire. L’épée grince, mais elle n’éclate ni ne se brise. Vers le ciel en haut, elle a rebondi… Eh Durendal, que tu es belle et très sainte... » (Chanson de Roland).
    Nous parlons d’un temps qui laissait aux peuples se gérer, s’administrer, organiser ses métiers, comme se réunir le dimanche pour voter les affaires courantes. Certes il y avait les imperfections du temps, les excès, la rudesse, l’argent existait mais il ne commandait point les âmes

    Lorsque Du Guesclin pour sa libération disait : « Il n’est pas une femme de France qui ne filerait pour ma rançon », il exprimait la nécessité matérielle nécessaire pour continuer son œuvre de bien et non la recherche d’une accumulation pour un profit personnelle. Il en appel à la Providence et celle-ci lui sourit. Les cœurs purs en sommeil attendent la revanche sur la société mercantile, règne des ténèbres, comme destructrice du genre humain, écoutons Tolkien : « Le monde a changé. Je le vois dans l’eau, je le ressens dans la terre, je le sens dans l’air. Beaucoup de ce qui existait jadis est perdu, car aucun de ceux qui vivent aujourd’hui ne s’en souvient »

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  • Entretien avec Hubert Védrine

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    Ancien secrétaire général de l’Élysée de François Mitterrand, Hubert Védrine ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2002 incarne, par son pragmatisme et son réalisme, sa finesse d’analyse et sa connaissance des dossiers internationaux, une voix qui compte dans la diplomatie, et est apprécié tant à droite qu’à gauche. Lui qui déplore depuis des années l’absence de véritable « communauté internationale » et l’effacement exagéré des États nations analyse ce que la crise du coronavirus révèle d’une mondialisation qui a été essentiellement, jusqu’ici « une déréglementation financière et une localisation des productions industrielles là où les coûts salariaux étaient les plus faibles ». Pointant du doigt un mode de vie qui se traduit par « une mobilité permanente, sans limite ni entraves » et un tourisme de masse, Hubert Védrine évoque les leçons à tirer et les changements à opérer après cette crise sanitaire inédite.

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    Source : Le Figaro 23/03/2020

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/03/23/entretien-avec-hubert-vedrine-6222861.html