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  • Une crise pour rien ?

    Depuis quelques jours, il est de bon ton d’affirmer ou d’espérer que, après cette crise, rien ne sera plus comme avant, et nombre d’articles évoquent cette possibilité, cette « bonne nouvelle » que je suis le premier à souhaiter. Le discours du président lui-même n’appelait-il pas à changer les choses, à en finir avec l’illimitation de la mondialisation ? En tout cas, il est bien certain que cette période étrange fournit nombre d’arguments crédibles et solides aux partisans d’un retour au local et d’une certaine distanciation du mondial lointain : retrouvons le sens du proche et des prochains, cela paraît désormais plus prudent et, surtout, nécessaire.

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  • La Petite Histoire – La grande pandémie : 50 millions de morts

    De mars 1918 à mai 1919, une pandémie sans précédent déferle sur l’Amérique du Nord, l’Europe, puis le monde. Familièrement appelé « grippe espagnole », le virus touche alors près d’un milliard de personne et en tue, au minimum, 50 millions. En pleine Grande Guerre, l’Europe fragilisée est rapidement plongée dans l’effroi, et des mesures radicales sont mises en place… bien trop tard. Peut-on comparer cette situation avec l’épidémie actuelle de coronavirus (Covid-19) ? Beaucoup de similitudes existent entre ces deux fléaux qu’un siècle sépare pourtant. Retour sur la plus grande pandémie du XXe siècle, et sur les leçons qu’elle nous lègue.


    Le Figaro : Peut-on comparer le coronavirus et la grippe espagnole?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-grande-pandemie-50-millions-de-morts

  • Non, le gouvernement n’enverra pas les profs ramasser les fraises !

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    Enfin une bonne nouvelle ! Pas pour tout le monde, certes, mais c’est déjà ça. Une nouvelle qui devrait ravir les profs qui n’arrêtent pas de se plaindre : c’est simple, depuis que j’ai l’âge de raison, je les ai toujours entendus se plaindre. Allez savoir pourquoi ! Et c’est  qui s’est chargée d’annoncer la bonne nouvelle en ce 25 mars. On a les annonciations qu’on mérite. Je la cite : « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser la France pour aller récolter les fraises. »

    Déjà (ouvrons la parenthèse), le « nous n’entendons pas ». Un petit côté « l’État, c’est nous » qui vous dit tout de suite que là, on n’est pas n’importe où, qu’on n’assiste pas au rapport moral de l’association des boulistes de Caboulasse-de-Mildiou. Fermons la parenthèse. Eh puis, tiens, ouvrons une deuxième parenthèse : paraît que les profs télétravaillent ? On ne lui a pas dit, à Sibeth ? Jean-Michel, fais quelque chose ! Fermeture de la deuxième parenthèse.

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  • Ça n'arrive qu'aux autres

    6a00d8341c715453ef025d9b404357200c-320wiDifficile, entendant le discours de Mulhouse de ce 25 mars, de demeurer stoïque, figé au garde à vous, le petit doigt sur la couture du pantalon, un moment interminable. On restera sans doute civique, le temps de la crise. On accepte la discipline car, dans une pareille période, on doit suivre les consignes des autorités. Cela fonctionnera pour peut-être 90 % d'entre nous, car au moins 10 % des habitants de l'Hexagone s'y refusent déjà. Les princes qui nous gouvernent craignent, ou plutôt savent, que notre obéissance ne durera pas bien longtemps.

    Si l'on en croit le quotidien Le Monde "le sommet de l’État redoute de devoir rendre des comptes".[1]

    À Beyrouth, ce 19 mars dans un pays déchiré à la fois par un affrontement culturel séculaire et par une crise financière majeure, le pouvoir était "accusé de tirer profit du coronavirus pour intimider les protestataires".[2]

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  • Islamisation : après l’Allemagne, l’appel à la prière résonne à Lyon et Montpellier (Vidéo)

    BI – L’appel à la prière résonné désormais en France ! Mercredi, nous apprenions via Breizh Info que les villes allemandes de Duisbourg et Hanovre voyaient désormais chaque jour un muezzin lancer l’appel à la prière islamique. Le soir même, à Lyon et Montpellier, un phénomène équivalent se produisait.

    La grande mosquée de Lyon rompt sa promesse 

    C’est par un tweet que le compte Dôme et minarets, qui se revendique comme étant « le journal des mosquées en France », a annoncé fièrement la nouvelle : l’adhan, l’appel à la prière, a retenti depuis le minaret de la grande mosquée de Lyon.

    Sans doute conscient de la polémique à venir et conscient également que la République n’est pas plus catholique que musulmane, l’organisme précise dans son message que « les églises étaient appelées à faire sonner leurs cloches à 19 heures en aide aux soignants », oubliant cependant que nombre d’églises françaises faisaient non pas sonner leurs cloches en raison du coronavirus et de ses conséquences mais pour la fête de l’Annonciation.

    Diverses vidéos de ce haut fait d’armes ont été relayées depuis.

    Clément Martin, porte-parole de Génération Identitaire, a aussitôt évoqué « une déclaration de guerre ». Il cite par ailleurs un article paru dans L’Express le 22 septembre 1994, soit quelques jours avant l’inauguration de la grande mosquée de Lyon, dans lequel il était dit que le minaret ne diffuserait pas d’appel à la prière. Promesse non tenue…

    La Paillade, quartier perdu de Montpellier, succombe lui aussi à l’islam

    Un peu plus tard dans la soirée, Dôme et minarets est revenu à la charge avec une autre vidéo filmée cette fois ci dans le quartier de la Paillade à Montpellier. La prière islamique chantée par le muezzin résonne là aussi dans la cité.

    Les quartiers, noyés sous l’immigration et l’islamisme, bénéficiant qui plus est de de passe-droits quant au confinement, sont plus que jamais en train de faire sécession.

    Breizh Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/islamisation-apres-lallemagne-lappel-a-la-priere-resonne-a-lyon-et-montpellier-video

  • Comment en sortir ? Par Natacha Polony

    301169376.jpgÀ qui appartient la décision en temps de crise ? Les citoyens savent combien la parole des scientifiques doit être écoutée dans une situation où ils sont censés avoir les armes que nous n’avons pas. Pour autant, est-ce si simple ? Nous voyons que les médecins eux-mêmes sont divisés. Pis, nous découvrons que certains peuvent être guidés par leur ego ou par quelque vieille querelle. Le débat mondial autour de l’usage de la chloroquine prend des allures de guerre de tranchées idéologique. S’il est vrai que nous sommes en guerre, faut-il respecter les procédures habituelles ou parer au plus pressé, tenter des choses, accepter les risques ? C’est là que le politique reprend le pas sur le discours d’experts, pour assumer au nom des citoyens les choix difficiles mais allant dans le sens du bien commun.

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  • « Le Crépuscule de l’universel », selon Chantal Delsol

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ On ne présente pas Chantal Delsol, professeur émérite des universités en philosophie, membre de l’Institut et auteur de chroniques souvent bien senties au Figaro. Mais son dernier essai, Le Crépuscule de l’universel [1], mérite que l’on s’y arrête.

    De quel universel s’agit-il en effet ? Tout simplement, de la modernité occidentale, qui a rompu avec l’humanisme classique, pour se muer en humanitarisme et en individualisme fanatiques. Et pourquoi un crépuscule ? Parce plusieurs cultures mondiales s’opposent désormais clairement et fermement à cet humanitarisme idéologique. Et parce qu’il se trouve aussi contesté en Europe même par ce qu’on nomme le « populisme » et les « démocraties illibérales ». Pour cette raison, nous vivons une nouvelle « guerre des dieux », entre des paradigmes de plus en plus irréductibles.

    La modernité occidentale en question

    Est-ce une catastrophe ?

    Oui, répondent les tenants du Système, qui voient les racines intellectuelles et morales de leur pouvoir remises en cause, et qui, pour cette raison, se réfugient de plus en plus dans le raidissement idéologique, la diabolisation et la répression de toute pensée ou parole dissidente en Occident.

    Une situation paradoxale car ceux qui vantent la diversité récusent en réalité l’altérité « puisque [pour eux] l’autre est voué à devenir comme nous donc à disparaître en tant qu’autre [2] ». Donc le courant humanitariste « récuse les séparations mais réintroduit le clivage entre lui et ses adversaires, les antimodernes. Il est pacifiste mais fait la guerre sous toutes ses formes pour lutter contre ceux qui ne le sont pas [3] ».

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  • Marine Le Pen (RN) sur le confinement des quartiers sensibles: « Il est acquis que, dans certains nombre de quartiers, la loi française n’existe pas » (Vidéo)

    Marine Le Pen s’attaque de front au gouvernement qui a menti sur les masques et les tests. Extrait tiré de la chaîne Youtube de Sud Radio.

    https://www.tvlibertes.com/actus/marine-le-pen-rn-sur-le-confinement-des-banlieues-il-est-acquis-que-dans-certains-quartiers-la-loi-francaise-nexiste-pas-video

  • Armées françaises comme hôpital public : mensonges et faillite d’Etat ?

    Armées françaises comme hôpital public : mensonges et faillite d’Etat ?

    Les connaisseurs du milieu militaire ne peuvent que sourire (avec tristesse) devant la communication outrancière et surtout exagérée sur le rôle des armées françaises dans la crise COVID 19 que traverse la France aujourd’hui. Cette communication est exagérée dans un seul et unique but : redorer l’image du pitoyable président Macron qui, non content d’avoir été imprévoyant,  cherche à être comparé à Clémenceau dans les tranchées.

    Tout comme l’hôpital public, l’armée française n’a plus les moyens depuis longtemps pour faire face de manière massive à une telle crise. Bien sûr, la responsabilité doit être recherchée, au minimum chez les trois derniers présidents qui ont diminué de manière drastique les moyens régaliens pour les rendre “rentables” : Sarkozy, Hollande et Macron.

    Les hôpitaux militaires ne pèsent que 1% de l’hôpital public (lui-même déjà débordé et sans moyen). Il aura fallu 6 jours pour que cet hôpital militaire de campagne prenne en charge son premier patient et il ne possède que 30 lits en capacité de réanimation. Savez-vous que l’hôpital historique du Val de Grâce, qui a été fermé contre l’avis des spécialistes, est aujourd’hui à l’abandon et abrite une section sentinelle de 30 soldats ?

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