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  • Il était impossible de faire pire que Macron : il doit partir !

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    Riposte Laïque : Avant d’évoquer avec vous la situation inédite que traverse la France, permettez-nous cette question personnelle : comment vivez-vous ce confinement, qui dure depuis 40 jours et doit prendre fin le 11 mai, si on en croit ce pouvoir ? Et comment avez-vous adapté vos nombreuses activités militantes à cette situation nouvelle ?

    Jean-Yves Le Gallou : Honnêtement, plutôt bien. Avec mon épouse Anne-Laure, dans notre appartement du Plessis-Robinson entouré d’un parc. Avec une heure de promenade par jour pour ne pas trop s’encroûter, écouter les oiseaux, regarder la nature reverdir, les camélias, les lilas et les glycines fleurir.
    Pour le reste « business (presque) as usual »… : enregistrement d’I-Média tous les jeudis matins avec Nicolas Faure par Skype ; Skype aussi pour les réunions de direction de l’Institut ILIADE ou de Polémia ; et une fois par mois, par téléphone, le libre journal de Dominique Paoli sur Radio courtoisie.

    Pour le reste, beaucoup d’ordinateur pour la veille internet, l’animation du site Polémia, la rédaction d’articles  et pour achever deux ouvrages à paraître en septembre :
    Un dossier de Polémia chez Via Romana sur l’invasion de l’Europe, les chiffres du Grand Remplacement : un ensemble de monographies sur 13 pays d’Europe.

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  • La Petite Histoire : Detaille, le plus grand peintre militaire

    Ses œuvres sont mondialement connues et ont profondément marqué le monde de la peinture militaire. Par son souci extrême du détail et de la réalité historique, Édouard Detaille (1848-1912) s’est imposé comme le plus grand peintre militaire français. Il a fait ses débuts dans l’atelier du peintre Messonnier avant de participer à la guerre franco-prussienne de 1870. Cette expérience exaltera son patriotisme et le poussera à représenter la guerre sous sa forme la plus réaliste, parfois la plus crue. Après s’être attaqué à la guerre de 1870 et aux uniformes, le Premier empire deviendra son thème de prédilection, regroupant certaines de ses plus grandes peintures. Retour sur la vie et l’oeuvre d’un immense artiste français.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-detaille-le-plus-grand-peintre-militaire

  • Emmanuel Macron, un Président par procuration !

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    Quand on n’a pas l’étoffe d’un grand homme, on ne peut avoir l’ambition que de devenir doublure, à défaut de briller par son action politique.  a pris l’habitude de s’approprier l’éclat de nos grands hommes pour tenter de briller à travers leur souvenir.

    Le Président n’écrira pas l’Histoire. Il a pris l’option de la vivre par procuration, c’est peut-être déjà le début de l’humilité, c’est sûrement la plus grande arnaque de ce mandat. Et la crise du coronavirus donne au Président Macron le décor nécessaire. La France manque alors de tout : de lits en réanimation, de masques pour protéger ses , qu’importe, Macron, lors d’une sortie publique, brave la maladie et montre qu’il ne sort pas couvert, pas de masque : quelle bravoure ! L’Élysée a appelé les médias à s’habituer à voir le Président au contact sur le terrain : « C’est Clemenceau dans les tranchées. » Pas moins.

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  • Un réseau de passeurs de migrants démantelé par la Garde Civile espagnole (Vidéo)

    La Garde civile espagnole a annoncé, jeudi, avoir arrêté 11 passeurs de migrants présumés qui opéraient entre Oran, en Algérie, et Almeria, dans le sud de l’Espagne. L’organisation était parvenue à faire entrer, en 48 heures, 126 migrants sur le sol européen, dont des mineurs et une personne handicapée.

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  • Bernard Lugan « Ce ne fut pas une révolution mais un pastiche de révolution. »

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    Bernard Lugan ce ne fut pas une révolution mais un pastiche de révolution 1.jpegOn connaît bien Bernard Lugan, l'emblématique africaniste à la moustache rebelle, mais pas l'acteur de l'histoire. Dans Mai 68 vu d'en face (Balland), il nous livre sa vision des événements. Étudiant, il était alors le responsable du service d'ordre de l'Action française en région parisienne.

    propos recueillis par Thierry Durolle

    Quelle fut la genèse de Mai 68 ?

    Si nous voulons comprendre ce qui s'est passé, nous devons revenir à la chronologie. Mai 1968 est un épisode imprévu de l'Histoire qui a pour origine une cristallisation de plus en plus violente entre les divers groupes gauchistes existant ou en gestation, et les militants des mouvements nationalistes, essentiellement Occident et l'Action française. Cette cristallisation s'est faite à partir de 1966, avec une accélération en 1967, et une extrême radicalisation au début de l'année 1968. Le mouvement de Mai 68 naît à la faculté de Nanterre, laboratoire puis incubateur des événements entre le 22 mars, date à laquelle les divers groupes gauchistes, maoïstes, situationnistes et autres, ont entamé la prise de contrôle de la faculté des Lettres, et le 3 mai 1968, date de la fermeture de la faculté. La résistance s'est organisée autour de la FNEF (Fédération nationale des étudiants de France) présidée localement par Didier Gallot assisté de Patrick Buisson, et de l'Action française que je dirigeais, secondé par Alain Sanders. Le mouvement Occident n'avait pas de groupe structuré à Nanterre.

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  • Coronavirus : le projet Discovery qui doit notamment tester l'hydroxychloroquine tourne au fiasco.

    L’essai européen Discovery, censé tester quatre traitements contre le Covid-19 n’est finalement mené que par la France.

    Source : https://www.ladepeche.fr/

    Le projet européen Discovery qui doit notamment tester l'hydroxychloroquine, molécule utilisée par le Professeur Didier Raoult, pour lutter contre le coronavirus n'est plus aussi ambitieux qu'au départ. Seuls 700 patients français participent aux essais cliniques. Ce jeudi, le comité indépendant chargé d'analyser l'essai a estimé qu'il n'y avait pas encore de résultats sur l'efficacité des quatre médicaments testés.

    C’est l’histoire d’un vaste projet de coopération médicale lancé le 22 mars entre sept pays européens, et qui devait tester sur 3.200 patients quatre traitements contre le Covid-19. Huit semaines après son lancement, force est de constater que le projet international n’a jamais été suivi que par la France, seul pays à avoir présenté un peu plus de 700 patients pour procéder aux essais cliniques.

    On notera néanmoins la participation luxembourgeoise, avec... un patient. Quoi qu’il en soit, c’est trop peu pour lancer une étude susceptible de présenter des résultats fiables. Il faudrait au moins 600 personnes par traitement testé, plus un groupe témoin. On en est loin selon les méthodologistes.

    L’hydroxychloroquine vantée par le Pr Raoult

    "Si les Européens avaient travaillé aussi vite que prévu, on aurait des résultats", regrettait dimanche dans le JDD, la professeure France Mentré, épidémiologiste et responsable méthodologique de Discovery. Elle note un manque de "coordination" et une multiplication contreproductive du nombre d’essais à travers le monde. C’est le cas de l’Italie ou de l’Espagne qui ont préféré participé à l’essai Solidarity mené par l’OMS.Par ailleurs, des lourdeurs administratives entre les pays ont freiné la mise en œuvre du projet.

    Mené dans les hôpitaux de l’AP-HP, notamment, à l’initiative de l’Inserm, Discovery teste plusieurs médicaments, dont l’hydroxychloroquine vantée par le Pr Raoult. Mais alors que l’épidémie semble reculer en France et dans le monde, les équipes ne sont toujours pas en mesure de présenter des avancées. La semaine dernière, Emmanuel Macron promettait pourtant encore des résultats d’ici "le 14 mai". Aujourd’hui, donc. Ce ne sera pas le cas.

    Pas encore de résultats

    Plusieurs spécialistes ont d’ores et déjà fait part de leur dépit, parlant d’"échec" voire de "fiasco". Le Pr Mentré n’en est pas là, évoquant pour sa part, un nouveau point d’étape du comité le 3 juin. Pour acter l’échec ?

    Ce jeudi, le comité indépendant chargé d'analyser l'essai Discovery a estimé qu'il n'y avait pas encore de résultats sur l'efficacité des quatre médicaments testés contre le Covid-19, a indiqué l'un des chercheurs qui chapeautent le projet à l'Inserm. "Ils nous ont dit qu'il fallait continuer" à inclure de nouveaux patients dans l'étude, a déclaré Yazdan Yazdanpanah, directeur de l'infectiologie de cet institut de recherche, à propos du comité d'experts qui s'est réuni lundi pour analyser les données de cet essai européen. 

    La rédaction

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/17/coronavirus-le-projet-discovery-qui-doit-notamment-tester-l-6238845.html#more

  • 17 mai 1940 : de Gaulle et la légende de Montcornet

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    La bataille qui s’est déroulée à Montcornet (Aisne), le 17 mai 1940, est restée dans la mémoire collective comme l’une des rares, sinon la seule victoire des armées françaises pendant la bataille de France (10 mai-23 juin 1940) face à l’ennemi allemand. En fait, il s’agit plutôt d’un malentendu à l’origine duquel se trouve la maladresse du général Aimé Doumenc (1880-1948) qui écrit, le soir du 17 mai : « La 6e armée ayant poussé les unités blindées sous les ordres du colonel de Gaulle était à 10 h 30 au nord de Montcornet, et à midi un message en clair signalait l’urgence d’une contre-attaque de leur part. Notre propre contre-attaque avait donc réussi. »

    La réalité est malheureusement plus cruelle, car le colonel Charles de Gaulle, nommé commandant de la 4e division de cuirassés, la plus puissante des grandes unités blindées de l’armée française avec 364 blindés, n’a jamais reçu l’ordre d’aller à Montcornet. L’ordre qu’il reçoit, le 15 mai, par le général Doumenc est le suivant : « Le commandement veut établir un front défensif sur l’Aisne et sur l’Ailette pour barrer la route de Paris. La 6e armée, commandée par le général Touchon et formée d’unités prélevées dans l’Est, va s’y déployer. Avec votre division, opérant seule en avant dans la région de Laon, vous avez à gagner le temps nécessaire à cette mise en place. »

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  • Il n’y aura pas de relocalisation sans protection !

    C’est un article des Echos intitulé « la France « d’après » cherche la voie de la relocalisation » et qui plante le sujet du monde « d’après ».

    « Le manque de matériel médical a jeté une lumière crue sur la désindustrialisation française. La pandémie de coronavirus sera-t-elle l’électrochoc tant attendu de l’industrie tricolore ? Peut-être, mais le chemin sera semé d’embûches. Car l’industrie, « ça ne pousse pas comme ça ».

    Entre 1980 et 2018, la part de marché mondiale de la France dans les biens est tombée de 6,3 % à 3 % – moins que les Pays-Bas. 

    L’affaire était entendue. La France n’était plus une terre d’industrie. Ses usines fermées, envolées, disparues, le made in France s’étiolait inexorablement, comme peau de chagrin. Mais l’histoire n’est jamais finie. Avec la pandémie de Covid-19 qui met crûment en lumière les lacunes de l’industrie française et européenne, la question de la relocalisation est revenue au premier plan. Une occasion en or à saisir au vol pour tous les avocats du fabriquer français.

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  • Jeanne d’Arc, la France et les Français

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    Jean-Marie Le Pen

    Il aura fallu cinq siècles à l’Église pour proclamer la sainteté de la Pucelle d’Orléans, vierge et martyre.

    Jeanne va mourir. Elle n’a pas encore vingt ans. En trois ans, l’enfant de Domrémy, petit bourg du nom du saint évêque qui baptisa Clovis, a écrit l’un des chapitres les plus extraordinaires de l’histoire du monde.

    Elle est condamnée à subir un supplice atroce : brûlée vive sur un bûcher.

    Dieu merci, ce ne sont pas les Français, encore que les clercs de l’infâme évêque Cauchon y auront leur part, qui vont martyriser la jeune fille, mais les Anglais qui ne lui pardonnent pas de les avoir vaincus à Orléans, à Patay, à Jargeau.

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