
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Le 26 janvier, Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé déclarait que « aujourd’hui, il n’y a aucune indication à acheter des masques pour la population française ». Elle venait de lancer la grande compétition des mensonges, approximations, contre-vérités, bobards, demi-vérités, énonciations floues et autres déclarations gouvernementales.
Pendant ce temps, l’ordre règne à Toulouse, où le procureur de la République a placé en garde à vue une jeune femme qui avait osé afficher une banderole portant les mots « Macronavirus, à quand la fin ? ». Les policiers sont allés la chercher et se déplacent dans Toulouse pour intimer l’ordre de retirer les fâcheuses banderoles. En revanche, ils ne se déplacent pas en cas d’agression : « un automobiliste a foncé délibérément sur plusieurs voitures avant de s’en prendre à une jeune femme en brisant sa vitre à coups de poing. Quand les riverains et victimes ont composé le 17, ils se sont vus invités à prendre des photos et porter plainte en ligne, épidémie de Covid-19 oblige… » (francetvinfo.fr/occitanie).

« Chacun de nous, je crois, à Londres et à Vienne, à Berlin et à Madrid, à Athènes et à Varsovie, à Rome et à Paris, à Sofia et à Belgrade, doit ressentir le même drame. Chacun de nous est le dernier des Européens. Je suis le prince débile issu d'une lignée de colosses et qui va peut être clore une race. »

