Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 44

  • Allons-nous sortir de cette hystérie collective ?

    Allons-nous sortir de cette hystérie collective ?

    Un médecin généraliste de Paris déclare dans Le Point :

    « C’est terminé, je n’applaudirai plus mes confrères, le soir, à 20 heures. »

    « Ça va sûrement choquer que je dise ça, mais ceux qui se font passer pour des héros abusent ». « Personnellement, je n’ai juste pas fait grand-chose, par rapport à d’habitude. Pour être honnête, je ne suis pas submergée et je ne l’ai jamais été. Pourtant, j’étais au “front”, en “première ligne”, comme on dit aujourd’hui. » « À l’hôpital, beaucoup considèrent qu’ils n’ont fait que leur boulot. Ils l’ont très bien fait, certains ont pris des risques, mais, à un moment, il faut dire les choses : on fait le job, et c’est normal. D’une certaine façon, c’est une chance que de pouvoir travailler, gagner sa vie et sortir de chez soi. » 

    Mais pour le Dr Peignot, là n’est pas l’essentiel :

    « Certains médecins détournent à présent leur savoir et leur pouvoir pour alimenter une psychose collective qui va nous coûter cher sur le plan médical, social, psychologique et économique. »

    Elle en veut à ceux qui « diffusent des informations complexes, encore non abouties scientifiquement, contribuant à entretenir des peurs irrationnelles face à la maladie et à la mort ».

    Lire la suite

  • Besançon : une policière ouvre le feu sur un homme qui la menace avec un couteau (Vidéo)

    Un chauffard repéré par la police pour avoir grillé un feu rouge a menacé de mort les agents à l’aide d’un hachoir de boucher samedi soir à Besançon, avant de les attaquer avec un couteau, rapporte notamment l’Est Républicain. Une policière a tiré sur l’indivudu en visant ses jambes, sans toucher sa cible. Retranché dans son véhicule, l’homme a finalement été interpellé manu militari. Une enquête pour tentative d’homicide a été ouverte à son encontre.

    Lire la suite

  • Cour de Karlsruhe : vers la banqueroute de l’Italie et l’éclatement de la zone euro, par Marc Rousset.

    3834054413.46.jpg

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Tout comme les juges européens ont réussi des coups d’État en affirmant la suprématie de leurs décisions sur les droits nationaux, alors que, selon les traités, l’Union européenne n’est pas un État fédéral, la BCE s’est lancée, avec Draghi et Lagarde, dans une fuite en avant – en fait un véritable coup d’État monétaire qui ne correspond pas aux traités et aux statuts de la BCE -, en émettant de la monnaie de singe tous azimuts, non garantie par un actif tangible. Cela équivaut à mutualiser la dette des États par les voies détournées de la BCE

    La BCE a bafoué ouvertement les deux clés de répartition des émissions d’un État, puisqu’elle ne peut racheter plus de 33 % des titres d’une émission et se doit de plafonner son encours des titres rachetés à un État au pourcentage de la participation de l’État dans le capital de la BCE, comme le rappelle Le Point. Le rachat « non proportionné » des dettes italiennes (et d’autres États) n’est rien d’autre qu’un sauvetage de l’Italie par la BCE puisque les obligations italiennes totaliseraient, selon Goldman Sachs, 35 à 45 % du total racheté actuellement par la BCE.

    Lire la suite

  • « Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »

    Avec le MES, c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare.jpeg

    Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.

    Propos recueillis par Hervé Bizien

    Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?

    Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.

    Lire la suite

  • Vite instaurer un droit au silence pour les artistes !

    6a00d8341c86dd53ef0263e8614c38200d-800wi

    Le covid-19, l'angoisse qu'il secrète pour le présent, les imaginations qu'il libère pour le futur, ont fait naître une multitude de paroles et d'écrits, de pétitions et de tribunes, d'analyses et d'injonctions, de recommandations et de dénonciations. J'ai tenté, à peu près, de prendre connaissance de la plupart, le confinement m'ayant rendu encore plus "accro" à l'information pluraliste.

    Dans le lot on a eu beaucoup d'interrogations fondamentales mais lassantes à force d'être ressassées : comment sera le monde d'après ? Changera-t-il ou non ?

    Face à ce questionnement simpliste, comme je l'ai écrit, la lettre profonde de Michel Houellebecq fut comme un soulagement. Il ne nous annonçait aucune rupture mais au contraire nous décrivait lucidement aujourd'hui comme la continuation d'hier.

    Dans cette surabondance, j'ai eu modestement ma part avec la multiplication de mes billets mais on admettra qu'ils existaient avant l'épidémie et que l'immobilité les a seulement augmentés.

    Lire la suite

  • Crise sanitaire: 58% des Français estiment que la principale menace est économique plutôt que virale

    A la veille du déconfinement, un sondage Ifop pour le cabinet de conseil No Com paru ce dimanche 10 mai dans Le Parisien révèle que 65% des Français estiment qu’il vaut mieux trop de précautions plutôt qu’un retour rapide à la vie normale qui serait risqué sur le plan sanitaire.

    Lire la suite

  • Macron, trois ans après, c’est pire que mieux

    32801533620_a982f6835f_b-845x475.jpg

    Il y a trois ans Macron, était élu au second tour de l’élection présidentielle. La fête réservée aux happy few à La Rotonde, à l’issue du premier tour, fut un pied de nez aux électeurs français, une façon de leur dire que le second tour face à Marine Le Pen comptait pour du beurre.

    Ce fut, aux dires mêmes de Macron, une victoire par effraction. Il a fallu que se mettent en branle médias et parquet national financier, nouvelle machine judiciaire aux mains des socialistes, pour tuer dans l’œuf le programme conservateur libéral de Fillon.

    Lire la suite

  • Agnès Buzyn devant la Cour de justice de la République : un vœu pieux ?, par Sabine de Villeroché.

    (Vu sur le blog de notre ami Marc Rousset et merci d'avoir relayé cet article)

    Sources : http://marcrousset.over-blog.com/

    https://www.bvoltaire.fr/

    « Responsables mais pas coupables » : un verdict qui pourrait redevenir d'actualité.

    55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes. Outre des initiatives individuelles, ce sont des élus, des médecins, 31 détenus, un syndicat de magistrats et la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs qui, pour l’instant, demandent réparation pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « non-assistance à personne en danger » et dénoncent, pêle-mêle, le manque de dépistage et d’équipements de protection personnelle, la fermeture tardive des frontières, le manque d’anticipation, les conflits d’intérêts concernant les traitements médicaux et le maintien des élections municipales.

    Lire la suite