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  • Après l’Italie, l’Ukraine, les Etats-Unis, une candidature “populiste” en France fait peur à la macronie, par Julien Michel.

    Sources : https://lalettrepatriote.com/

    http://marcrousset.over-blog.com/

    Emmanuel Macron multiplie les prises de contact avec des personnalités éloignées de son cercle politique. Pour une simple raison : il a peur.

    Une candidature populiste « fout la trouille » à la Macronie, selon les propos « d’un puissant conseiller de l’exécutif » rapporté dans une chronique du Monde publiée ce dimanche. Une inquiétude perceptible, aussi, dans les échanges et rencontres du chef d’État avec plusieurs personnalités de la scène « anti-système », ces derniers mois.

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  • Xavier Raufer : La criminalité en France à l'heure du déconfinement. (EDLQ#17)

  • Paris : un couple de personnes âgées agressé et dépouillé par des migrants libyens masqués (Vidéo)

    Un couple de personnes âgées a été violemment agressé par une bande de migrants masqués à l’entrée de leur résidence dimanche à Paris. La scène a été filmée, permettant d’interpeller les coupables. Les délinquants, qui sont en fait des migrants libyens, ont été interpellés lundi 25 mai en début de soirée par des policiers en patrouille. Ils ont été placés en garde à vue pour être interrogés. Lors de l’audition, « l’un a tenté de se faire passer pour un mineur », un autre a reconnu les faits, confie une source proche de l’enquête au Parisien.

    VA – « Les faits remontent au dimanche 24 mai, en plein après-midi. Un homme âgé rentre tranquillement chez lui, rue des Frigos, suivi par sa femme. Laissant la porte de la résidence ouverte pour que sa petite-fille, âgée d’une vingtaine d’années, entre avec son vélo, l’octogénaire est violemment agressé par cinq individus masqués et habillés dans des tenues de sport noires et rouges, à marques identifiables, qui lui sautent à la gorge. Si la victime essaie de se défendre, il ne peut pas empêcher les délinquants d’arracher le sac et le collier de sa femme. Finalement, la bande s’enfuit rapidement avec son butin. Le couple, lui, va porter plainte au commissariat du 13e arrondissement. »

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  • En finir avec la mondialisation, l’immigration, l’assistanat et l’Union européenne

    Chronique de Paysan Savoyard (n°234 – mai 2020)

    La crise sanitaire n’est manifestement pas terminée : elle aura un impact important sur la vie économique et sociale sans doute pendant des mois. Même si la fin de l’histoire n’est donc pas écrite, on peut d’ores et déjà en tirer différentes leçons. Concernant la façon dont la crise a été gérée en France, tout d’abord, nous avons consacré les dernières chroniques à ce sujet. Mais la crise du virus a mis en évidence des enseignements plus fondamentaux, qui ne sont pas nés avec elle mais dont elle souligne la portée.

    • En finir avec la mondialisation 

    Il faudrait en finir avec la mondialisation et ses différents aspects. La mondialisation économique et les délocalisations, tout d’abord. Un système fondé sur un marché mondial est synonyme d’affaiblissement et de déstabilisation des sociétés européennes : le virus a montré les conséquences d’une situation où nous sommes devenus dépendants pour tout, du plus simple, les masques, au plus complexe, les médicaments. Chaque grande zone du monde devrait plutôt évoluer désormais de façon autonome, en fonction de ses caractéristiques sociales, historiques et civilisationnelles.

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  • Loi Avia : LREM a comptabilisé la voix d’un député décédé

    Selon une indiscrétion du Point, le vote du député Jean-François Cesarini a été comptabilisé parmi les 286 votes favorables à la l’instauration de la loi Avia. Seul problème : il est décédé six semaines avant le vote.

    C’est révélation qui pourrait faire énormément de bruit du côté de l’Assemblée nationale. Selon une indiscrétion du Point, le vote concernant le projet de loi Avia risque d’être entaché d’une dérive assez gênante. Et pour cause, la voix du député LREM Jean-François Cesarini figure parmi les 286 (suppression) favorables. Une constatation qui fait désordre car l’homme en question est mort six semaines avant que le vote n’ait lieu.

    https://www.fdesouche.com/1380293-loi-avia-pourtant-decede-avant-le-vote-la-voix-dun-depute-lrem-comptabilisee

  • Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol

    Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.

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  • Plan de relance de l'UE : qui paye commande !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée  bruxelloise.
    C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.
    D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.
    Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.
    Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme  moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.
    Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif. 
  • Sur le site Front Populaire, encore quelques informations édifiantes sur Le Monde et Libération.

    Site : https://frontpopulaire.fr/

    Chers amis de Front Populaire,

    Vous avez été très nombreux à réagir à l’article de Michel Onfray que nous avons publié hier sur Le Monde et Libération.

    Au delà de la confiance et de l’amitié que vous nous faites, vous nous avez aussi envoyé plusieurs documents et informations qui permettent d’éclairer le passé trouble de ces deux quotidiens moralisateurs :

    - Denis nous a ainsi envoyé les Unes de Libération des 17 et 18 avril 1975 qui montrent l’enthousiasme du journal de Jean-Paul Sartre pour l’arrivée au pouvoir de Pol-Pot (rappelons que celui-ci est l’homme d’un génocide qui a tué 1,7 millions de Cambodgiens).

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  • Coronavirus : le déclin du courage, par Jean-Yves Le Gallou

    C’est la peur qui a inspiré nos dirigeants. Peur de s’éloigner de la doxa idéologique. Peur de s’écarter du conformisme managérial.

    30 000 morts en France à la fin du premier épisode épidémique (fin mai), c’est plus qu’une grippe saisonnière tuant 10 000 à 15 000 personnes. Ce n’est pas non plus une grande peste : si le coronavirus infectait la moitié des Français, avec un taux de létalité de 0, 5%, il tuerait 150 000 personnes : une surmortalité annuelle de 25 %, socialement difficilement acceptable, mais sans commune mesure avec les épidémies des temps anciens anéantissant la moitié d’une population.

    Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates

    Pourtant le coronavirus a été un formidable révélateur du manque de courage de nos élites politiques et administratives. Incapables de décider à temps. Incapables de prendre leurs responsabilités. Soumis à ses dogmes et emberlificoté dans les règles de Schengen, le gouvernement a refusé de fermer les frontières. Quant aux Français qui manquent de masques et de tests, qu’ils soient rassurés : les normes AFNOR, les procédures ISO, les exigences « qualité », et le code des marchés publics ont été respectés ! « L’action, jeu divin du héros », disait le général de Gaulle. « Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates ! », pourrait-on dire de la Ve République finissante.

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  • À Libé, on rêve de confiner les populistes !

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    Ah, si la droite n’existait pas, si ces populistes, ces conservateurs, ces nationalistes, patriotes et autres souverainistes pouvaient n’avoir jamais vu le jour… Si les Boulevard VoltaireValeurs actuellesTV Libertés et autres pouvaient être censurés, caviardés, brûlés en place publique, dans un bel autodafé, digne des heures les plus glorieuses de l’URSS… Tel est le rêve des journalistes de , un monde où la droite n’existerait pas, où tout le monde ne regarderait plus que BFM, n’écouterait plus que France Inter, ne lirait plus que… Libération. Ce qui changerait drôlement la vie des employés du journal, qui perd chaque jour un peu plus de son lectorat au point que Patrick Drahi, son actuel propriétaire, cherche désespérément à refiler le bébé à une bonne âme de passage.

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