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  • Et si on parlait solutions concrètes ?

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    par Natacha Polony

    Alors que la crise qui vient s’annonce ravageuse pour des pans entiers de notre économie, et plus largement pour le pays dans son ensemble, du bien-être de sa population à sa place dans le concert des nations, on reste consterné devant le niveau des débats sur le monde d’après et les moyens d’en sortir. Ne parlons même pas de la nouvelle fracture idéologique autour d’une molécule extraite de la quinine, permettant aux uns de dénoncer partout des taupes des lobbys pharmaceutiques et aux autres de débusquer des cryptofascistes. Le reste est à l’avenant. On découvre que notre classe politique est unanimement attachée à la souveraineté (mais « sans tomber dans le souverainisme », pour citer l’inénarrable Najat Vallaud-Belkacem), à l’indépendance, à la préservation de l’industrie... A se demander comment Jean-Pierre Chevènement n’a pas été élu triomphalement en 2002, tant on lui trouve d’électeurs cachés.

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  • Quel avenir pour l’Europe ?, par Jean Viansson-Ponté.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    L’Union européenne est nocive, et la crise du coronavirus révèle à quel point ses règles empêchent la France d’agir pour son bien.

    L’Europe est une réalité géographique et historique dont l’empreinte fut et reste majeure dans l’équilibre du monde. Les pays qui la composent sont autant d’entités qui ont conservé leur nature propre au-delà des normalisations communes à tous les États dans notre univers mondialisé.

    Il suffit de sortir des aéroports et des avenues éclairées des villes-capitales pour mesurer la richesse et la diversité des modes de vie, des rythmes, des regards. Et pour percevoir en même temps ce qui identifie les peuples européens, leur proximité, à force d’échanges entre des générations qui ont, tour à tour, partagé l’affrontement et la concorde au fil des siècles.

    L’Union Européenne, c’est tout autre chose. Du noyau de l’Europe des six, on est passé par étapes à une superstructure qui prétend se substituer aux États, les reléguant à un rôle mineur dans la conduite de leurs affaires, y parvenant dans certains domaines, mais ayant échoué dans la mise en place d’un modèle politique, économique, social et stratégique indépendant.

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  • DÉCONFINEMENT : LES FAUTES DE L'ÉTAT

  • L’État pèse trop lourd, mais combien pèse-t-il ?, par Philippe Kaminski.

    Source : https://www.profession-spectacle.com/

    Avec la crise sanitaire et le confinement, le PIB annuel va chuter dans des proportions jamais vues, tandis que la dépense publique, elle, aura fortement augmenté. Mais ne faisons pas dire aux chiffres qu’on ne manquera pas de nous répéter au fil des mois, ce qu’ils ne disent pas. Explications.

    Actualité de l’économie sociale

    Je suis souvent amené à déplorer la trop grande prépondérance de l’État dans notre économie et dans notre société. Je n’en fais ni un dogme, ni une fixation, comme certains apôtres acharnés d’un libéralisme absolu ; mais il faut bien convenir que les occasions de stigmatiser notre État omniprésent, obèse et inefficace sont assez nombreuses et touchent à tous les aspects de notre existence.

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  • McDonald’s : du Big Mac au Big scandale !

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    La chronique de Philippe Randa

    Décidément, le temps n’est pas au beau fixe pour les multinationales ; après Amazon – l’ogre du commerce électronique – dont les conditions de travail ont été sévèrement recadrées, jusqu’à obliger ses centres de distribution en France à fermer, faute de conditions sanitaires satisfaisantes – c’est au tour de McDonald’s – le monstre de la malbouffe – d’être dans le collimateur de la justice : il est poursuivi devant  l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) depuis le 18 mai pour « harcèlement sexuel systématique ». Qui l’eût imaginé ?

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  • Eric Zemmour : « Les médias ne sont plus un contre-pouvoir mais le pouvoir. Ils excommunient les rebelles et sermonnent la population.» (Vidéo)

    Eric Zemmour : « Les médias ne sont plus un contre-pouvoir mais le pouvoir. Ils excommunient les rebelles et sermonnent la population. » Emission face à l’info du 26/05/2020.


  • Patrick et Isabelle Balkany condamnés à 5 et 4 ans de prison en appel pour blanchiment

    Patrick Balkany, l’ancien maire de Levallois-Perret, a été condamné à 5 ans de prison pour blanchiment et prise illégale d’intérêt, mercredi matin par la cour d’appel de Paris. Son épouse et ex-première adjointe, Isabelle Balkany, a été condamnée, elle, à quatre ans de prison pour blanchiment.

    Ouest-France

    https://www.tvlibertes.com/actus/patrick-et-isabelle-balkany-condamnes-a-5-et-4-ans-de-prison-en-appel-pour-blanchiment

  • Remise en liberté d’un mineur soupçonné d’avoir percuté et tué un homme de 72 ans lors d’un rodéo : l’inversion des valeurs « en marche » !

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    Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes. La suppression de l’ISF sur les valeurs mobilières restera la borne témoin de cette politique qui résume la conduite d’un pays en mesures comptables quand il faut, pour redresser un pays, créer un mouvement profond, faire naître un état d’esprit collectif.

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  • Camélia Jordana promeut la haine du flic, par Ivan Rioufol

    Les minorités plaintives, qui se disent victimes de la “haine” française, ont trouvé en Camélia Jordana leur incendiaire tranquille. Samedi, sur France 2, la chanteuse a déclaré : “Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie (…) Je parle des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau. C’est un fait !”. Dominique Sopo, président de SOS Racisme, a estimé que la jeune femme, petite fille d’un couple d’Algériens militants du FLN durant la guerre d’Algérie, “a tenu à dénoncer une réalité“. Sopo a précisé son propos dans un tweet : “Quand des noirs et des arabes demandent justice en dénonçant le racisme, le racisme s’abat sur eux“.

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  • La France islamisée à marche forcée 2/2

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    Nos cimetières menacés

    Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que l'on s'en prend aussi à nos cimetières. Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur a ainsi signé en février 2008 un décret encourageant les maires (encore eux !) à développer les carrés confessionnels dans les cimetières. Lesquels sont des espaces laïcs soumis à la loi de 1887 mais le maire, par son pouvoir de police, est autorisé à désigner l'endroit où les défunts seront inhumés et donc à créer de fait des carrés. Une circulaire de 1991 précise que ces carrés ne doivent pas être séparés par des barrières et que seules les tombes peuvent porter des symboles religieux. Le nouveau texte incitatif se veut un signe politique envoyé aux élus. Car la demande est en pleine explosion, marquant un phénomène de fond. Par le passé, la majorité des immigrés du Maghreb étaient enterrés dans leur pays d'origine. Par fidélité à leurs racines comme par tradition religieuse, l'islam recommandant de reposer en terre musulmane. Jusqu'à récemment, les Algériens se cotisaient au sein d'amicales pour financer ce retour. Mais ces structures se délitent et rendent le rapatriement du corps plus complexe et onéreux. Le gouvernement tunisien finance lui le retour des dépouilles, tandis que les Marocains souscrivent des assurances spécifiques auprès des banques. 85 % des défunts originaires du Maghreb sont encore enterrés au pays, selon une étude menée par le Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild).

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