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  • Aujourd’hui, 39 millions de personnes ne vivent que des revenus de l’État ou des collectivités publiques !

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    Au 30 avril, la France comptait 39 millions de personnes dont les seuls revenus proviennent de l’État, des caisses sociales et des collectivités. Faisons le point :
    – 3,5 millions de chômeurs toutes catégories ;
    – 11,3 millions de chômeurs à temps partiel ;
    – 5,5 millions de fonctionnaires (État, collectivités, caisses sociales, hôpitaux) ;
    – 3,5 millions d’allocataires aux minima sociaux (RSA, ASS) ;
    – 1,1 million de titulaires de l’allocation adulte handicapé ;
    – 14,3 millions de retraités.

    Faites le compte : ce sont près de 39 millions de personnes qui ne vivent que de revenus de l’État, sur une population totale de 67 millions, soit près de 60 %. Cela veut donc dire que 40 % des Français qui tirent leurs revenus du secteur marchand doivent assurer les revenus de 60 % d’autres. Et encore, ce chiffre ne tient pas compte des allocations que touchent les fameux 40 % qui ne vivent pas exclusivement de revenus de l’État : allocations familiales, allocations logement, prime d’activité, etc. Si l’on rapporte à la population active, c’est encore plus effrayant : sur 30 millions d’actifs, 24 millions sont actuellement dépendants des revenus de l’État…

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  • Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.

    Table des matières

    Résumé  : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir  pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française  analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique «  du développement d’oligarchies nouvelles  », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce «  pays légal  » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.

    Hégémonie du capitalisme financier

    Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.

    Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.

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  • NOUVELLES DE LA NEF DES FOUS

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    L'adieu aux larmes de Jean-Paul Brighelli paru dans Causeur cette semaine est empreint d'une amertume à laquelle ses billets ne nous avaient pas habitués. Prenant ses droits à pension cette année il quitte l'Education nationale en échec sur bien des plans malgré les avertissements de bon sens que lui et quelques-uns n'ont pas manqué de donner aux contribuables qui financent à fonds perdus la Fabrique du crétin. Les moins bêtes mettent en même temps leurs niards dans le privé, les plus riches, carrément ailleurs.

    Le Complexe de Cassandre qu'il faut lire absolument, nous laisse sous la férule des pédagogistes fous de la Rue de Grenelle qui nient la cruelle instruction publique au bénéfice de l'auto-apprentissage du néant par des foules d'écoliers menés à l'abattoir social par le panurgisme du corps professoral. Privilégiant ses heures et mesurant sa peine, le professeur normal reste dans les clous du confort syndical. Transmettre quoi ? Laissez-les acquérir par eux-mêmes les réflexes sociaux de leur époque ! La Machine comme l'appelle Brighelli (le mammouth de Claude Allègre) a vaincu ! Dans ses bottes de fer la Connerie progressiste est parvenu à éliminer les cassandres qui dénonçaient l'abrutissement général des jeunes générations pressées dans le moule du prêt-à-penser et sensibles à toutes les campagnes d'opinion, comme on le voit des nuées scientistes qui traversent nos sociétés sous l'autorité indiscutable des éditocrates et autres sachants abonnés au plateaux médiatiques pour y faire l'éducation du citoyen : méfiez-vous du bon sens et des idées naturelles, la vérité est au bout d'un labour pénible dont nous allons vous économiser le travail en vous révélant déjà la vérité enfouie au bout du champ !

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  • Pendant le confinement, la préférence immigrée continue

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    Depuis le 17 mars, les Français et plus largement tous ceux qui vivent en France sont soumis à un confinement à leur domicile. Contre mauvaise fortune bon cœur, nous nous y sommes pliés, bien conscients de l’incurie des pouvoirs publics tant dans la prévention que dans la gestion de la crise sanitaire que nous connaissons.
    Mais il faut croire que, comme l’écrivait George Orwell, certains de nos concitoyens sont plus égaux que d’autres : les exemples d’un traitement différencié d’une partie de la population sont nombreux. Ils ne sont pas le fruit du hasard. Ils sont la conséquence d’une démission délibérée des gouvernements qui se succèdent au pouvoir depuis plusieurs décennies. Une démission que consacre le gouvernement actuel. Revue de ces mesures plus consternantes les unes que les autres.

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  • Retour sur l’affaire Glozel

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    Un siècle s'est quasiment écoulé depuis la vive polémique provoquée par les découvertes archéologiques de Glozel. Cette « affaire Dreyfus de l'archéologie » agite toujours autant les passions des pros et des anti-Glozel, quand elle n'est pas tout simplement ignorée volontairement par peur des réactions hostiles. Retour sur une histoire ou l'Histoire avec un grand « H » fut chahutée.

    Retour sur l'affaire Glozel 1.jpegTout commence en 1924. Encastré sur les hauteurs méridionales de la montagne Bourbonnaise, dans le département de l'Allier, Glozel, petit hameau discret, est le lieu de vie de la famille Fradin. Le 1er mars 1924, Claude, le grand-père, et son petit-fils Emile défrichent une partie de leur champ quand tout à coup l'une des vaches de l'attelage s'enfonce dans un trou. En extirpant l'animal, les deux hommes ont la surprise de découvrir une fosse ovale de 2m 8o sur 1m aux parois cuites et recelant de nombreux objets : des tablettes comportant une écriture mystérieuse, des « idoles bisexuées », des vases ornés de visages dépourvus de bouches ainsi que quelques ossements humains. La nouvelle de cette fabuleuse découverte commence à se répandre dans les environs et l'institutrice de la commune voisine organise une visite avec ses élèves. Cette dernière prévient l'académie de l'Allier, puis divers personnages appartenant, pour la plupart, à la Société d'Emulation du Bourbonnais, viennent sur les lieux et rapportent des échantillons pour analyse, parfois sans les retourner à leur propriétaire !

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  • Eric Zemmour agressé : les larmes de crocodile des censeurs

    Eric Zemmour agressé: les larmes de crocodile des censeurs

    Le 30 avril, Eric Zemmour a été violemment pris à partie par un passant qui a diffusé lui-même la vidéo sur les réseaux sociaux. Evidemment, cela n’a pas fait les gros titres. Mais le plus curieux est le soutien de la LICRA et d’autres idéologues de gauche et d’extrême gauche qui réclament régulièrement qu’on lui coupe le micro, qu’on l’éjecte des médias où il parle et, en définitive, qu’on le fasse taire – et qui paraissent choqués que quelqu’un qui les a un peu trop écoutés utilise des méthodes plus musclées pour obtenir le même résultat.

    Décidément, en France, la liberté d’expression est à géométrie variable…

    Mais peut-être l’explication est-elle dans les laborieuses “justifications” de l’agresseur : “ C’est impossible de parler avec lui, il est super fort, à part l’insulter sa mère vous voulez faire quoi ? ” Ecouter ses arguments peut-être ?"

    https://www.lesalonbeige.fr/eric-zemmour-agresse-les-larmes-de-crocodile-des-censeurs/

  • Attaque de Colombes : c’était bien un islamiste radicalisé !

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    On a d’abord parlé d’un homme fragile psychologiquement, selon la formule consacrée. Mais, après quelques jours de garde à vue, il a bien fallu reconnaître que l’auteur de l’attaque contre deux policiers, lundi à Colombes, présentait le profil d’un islamiste radicalisé. Selon Le Parisien, c’est « un individu très politisé, connaisseur du conflit israélo-palestinien et présentant un fort intérêt pour l’actualité au Mali et en Somalie ».

    Aucun commentateur n’a encore osé dire ouvertement qu’il ne supportait plus d’être confiné dans un immeuble HLM et qu’il a craqué. Lundi, en fin d’après-midi, il se met au volant de sa BMW – une voiture ordinaire pour qui est au chômage – avec deux couteaux et une lettre manuscrite où il prête allégeance à l’État islamique, affirmant sa volonté « de se lancer à corps perdu dans la bataille pour imposer la charia sur l’ensemble de la terre ». Rien ne paraît planifié. Il achète du pain dans une boulangerie puis, à 500 mètres de chez lui, aperçoit deux policiers en train de contrôler le conducteur d’un véhicule : « Il appuie sur l’accélérateur et percute de plein fouet les deux fonctionnaires, blessant plus légèrement un policier municipal », raconte Le Parisien.

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  • Sécession des “jeunes” des “quartiers”, par Aristide Renou.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    La partition du territoire français, où ont émergé et se sont consolidées des zones de non-droit, est confirmée par un article du Bondyblog, qui soutient la cause des « insurgés » [sic] de Villeneuve-la-Garenne.

    Le Bondyblog a fait paraître un article sur la colère raisonnée des habitants de Villeneuve-la-Garenne. Article très intéressant par ce qu’il révèle malgré lui. Le propos est celui que l’on peut attendre du Bondyblog et de Médiapart : tout cela n’est qu’une légitime révolte dans un « quartier populaire », provoquée par la brutalité policière. Et en même temps une révolte finalement très limitée et très responsable : presque rien n’a été détruit (quelques véhicules, des poubelles, ça ne compte pas). Bref, les « jeunes » sont admirables et ont simplement soif de justice.

    Mais l’article mentionne aussi que « une vingtaine de militants antifascistes sont venus prêter main-forte aux jeunes du coin. » On les repère très facilement, nous dit l’auteur de l’article : « ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue. » Bizarrement, la sauce ne prend pas avec les « jeunes » du quartier.

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  • Pourquoi la République est-elle un régime toujours né dans le sang ?

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    Des massacres de septembre au génocide des Vendéens, de la Terreur des années 1793-94 au massacre de juin 1848, la Commune de 1871, l’Épuration en 1944-45, la répression contre l'Algérie française en 1958-1962, l'avortement de masse, l'euthanasie, l'eugénisme transhumaniste, l'homosexualisme, le « genderisme », la GPA...

    Pourquoi la République, née dans le sang, s'est-elle toujours complue dans une anthropologie de la destruction-transformation de l'homme ?

    La République, fille de la Révolution de 1789

    Disons-le d'emblée, le goût propitiatoire de la République pour le sang, réside dans son caractère totalitaire. Le projet des révolutionnaires bourgeois était, dès l'origine, marqué par une ambition démesurée : renverser l'ordre ancien et lui en substituer un nouveau qui aurait acquis, dès l'instant où il serait posé, l'inébranlable, immédiate et similaire légitimité de son devancier. Assurément, le prix à payer, notamment en vies humaines, serait exorbitant, attendu que les révolutionnaires faisaient le pari fou et intenable de s'affranchir de la longue durée en prétendant faire jaillir du bon peuple une adhésion sans réserve à ce nouveau régime de « Liberté ».

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