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  • Un Club pour préparer un 2e âge d’or de la presse…

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    Le Salon Beige a rencontré Véronique Coupry, qui a lancé Le Club de la Presse, une sorte de Netflix / Spotify de la presse de droite. L’entrepreneuse nous éclaire sur son offre et sur l’avenir de la presse.

    Je croyais que Le Club de la Presse était une émission de radio ?

    Ça l’est ! Mais Le Club de la Presse, c’est aussi un bouquet numérique de publications vraiment libres, vraiment indépendantes de grande qualité, insuffisamment (et injustement) méconnues. Internet (les blogs et les réseaux sociaux) permet de se réinformer en temps réel tandis que la presse propose des analyses, des décryptages, des enquêtes inédits avec un recul rare aujourd’hui. Les deux sont parfaitement complémentaires et permettent de se former pour ne pas se laisser déformer par l’idéologie présente partout. Parce que nous croyons que l’argent ne doit jamais être un obstacle, nous proposons la vingtaine d’excellents journaux, magazines, revues qui composent Le Club de la Presse au prix imbattable de 12,99 euros. En effet, nous avons la conviction que les publications qui élèvent (intellectuellement et spirituellement) doivent être accessibles au plus grand nombre. Il est possible de s’abonner en une minute et de se désabonner en 30 secondes. Je dois cependant avertir vos lecteurs : vu la qualité des journaux, magazines et revues qui le composent, ils prennent un risque, celui de la fidélité choisie et assumée !

    Que propose Le Club de la Presse ?

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  • En Chine, un possible vaccin au Covid-19 se fabrique déjà à grande échelle

    Sinovac Biotech, premier au monde à avoir mis sur le marché un vaccin contre la grippe H1N1, se dit prêt à produire 100 millions de doses par an pour combattre le virus.

    Il tient peut-être le remède tant attendu. Dans un laboratoire du nord de Pékin, un homme en blouse blanche exhibe l’un des tout premiers vaccins expérimentaux contre le nouveau coronavirus.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-chine-un-possible-vaccin-au-covid-19-se-fabrique-deja-a-grande-echelle

  • Me Frédéric Pichon : « Limitation de circulation après le 11 mai : il y a risque de dérive grave d’une restriction de nos libertés individuelles ! »

    Frédéric Pichon

    Parmi les mesures annoncées par Édouard Philippe pour l’organisation de l’après- confinement, on apprend que les déplacements après le 11 mai seront strictement limités au-delà des 100 km autour du domicile. Dérogation possible seulement pour « motif familial impérieux ou professionnel ».

    Découvrez la réaction de Maître Frédéric Pichon.

    Suite aux annonces d’Édouard Philippe, beaucoup de questions se posent. On ne peut pas répondre à toutes les questions. Néanmoins, on peut répondre à la question concernant le déplacement limité à 100 km du domicile en raison d’un motif familial impérieux. Cette notion est-elle défendable juridiquement ?

    D’une manière générale, les annonces du gouvernement sont assez floues. On est dans une usine à gaz. J’entends bien que nous sommes dans une situation complexe. Les difficultés vont être l’interprétation de ces notions de motif familial impérieux. On a été dans la subjectivité avec les attestations de déplacement suggérées par le gouvernement. On a vu des forces de l’ordre interpeller des citoyens qui allaient faire des courses et fouiller les caddies pour voir quelle était la nature des courses qui pouvaient relever de motif alimentaire. On a vu des gens se faire sanctionner parce qu’ils avaient acheté du coca et du shampooing. On est dans une appréciation parfaitement subjective. On peut imaginer que pour les gardes d’enfants de parents séparés, le motif familial impérieux est un motif valable. Aller visiter des personnes malades ou fragiles de notre famille c’est aussi, à mon sens, un motif familial impérieux.

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  • En France, vous pouvez avorter mais pas assister à la messe

    En France, vous pouvez avorter mais pas assister à la messe

    Communiqué de Laissez-les-vivre SOS-Futures-Mères :

    « Nous sommes en guerre. »

    Contre le virus bien sûr, mais aussi et peut-être surtout contre le système…

    Nous sommes en guerre contre le virus. Cela, tout le monde le sait. En guerre contre le virus, qui ne pourrait pas à ce jour en être au courant ? Les longues listes de nombre de morts, de nombre de patients en réanimation, de nombre de personnes guéries, sont froidement égrainées tous les soirs par le sinistre directeur de la Santé Jérôme Salomon : telles que l’étaient les listes des noms de soldats morts pour la patrie par les maires des villages au lendemain de la Première Guerre mondiale, mais, à l’époque, c’était avec respect et reconnaissance.

    Il est nécessaire de respecter les fameux gestes barrière : cela semble relever du civisme élémentaire, même si, de ci de là, s’élèvent des voix qui affirment qu’il ne s’agirait là que d’une expérience d’ingénierie sociale qui aurait pour but de tester la capacité de résilience de toute une population. De toute façon, il semble qu’un minimum de charité chrétienne soit en jeu : éviter de contaminer les plus fragiles et les plus âgés. L’exceptionnelle et inoubliable figure du Docteur Dor, fauché en pleine santé par la maladie, en fournit un exemple émouvant.

    Mais pour quelles raisons sommes-nous tant en guerre contre le système ? 

    Tout d’abord, il nous cache qu’il agit en faveur de la culture de mort.

    Le scandaleux allongement du délai pendant lequel l’avortement chimique est permis en fournit un exemple éclatant : ledit délai est passé de six à neuf semaines, presque en catimini, et ce, par la circulaire du 21 mars, allongeant de trois semaines le délai de l’avortement chimique pendant le temps du confinement. 

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  • Crise sanitaire – Michel Onfray : “Le virus ignore les frontières, mais on va avoir des départements rouges et verts”

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    Michel Onfray pour “Front populaire“, sa nouvelle revue “pour les jours d’après” était l’invité d’André Bercoff mercredi 29 avril sur Sud Radio.

    La gestion de la crise sanitaire a été du “tout et n’importe quoi“, selon Michel Onfray. “On ferme les frontières, puis on les ouvre, ou l’inverse, on ferme puis on ouvre les écoles, on ne porte pas de masques puis on les porte, on fête le 8 mai puis on ne le fête pas…“, déplore-t-il. “Chez Emmanuel Macron on dit une chose et son contraire et après débrouillez-vous“, s’indigne le fondateur de l’Université populaire de Caen. Il rappelle que dès le 28 janvier, sur un plateau de télévision, “j’ai fait fonctionner mon bons sens, si la Chine met sous cloche une ville de 15 millions d’habitants, c’est qu’il y a péril dans la demeure. Le régime chinois n’est pas à 10.000 morts près“, rappelle-t-il.

    Le philosophe remarque que l’on disait que “le virus ne connaît pas les frontières“. “La grande idéologie maastrichienne“, reconnaît-là Michel Onfray. “On a laissé arriver une vingtaine d’avions chinois par jour pendant des jours et des jours“, dénonce-t-il. “On a fait tout ce qui fallait pour laisser contaminer les Français“, s’indigne l’auteur, pour qui “la stratégie aurait été de confiner“.

    Michel Onfray conclut :

    Le virus ignore les frontières, mais on va avoir des départements rouges et verts. On découvre qu’il y a des frontières et qu’on peut contenir le virus avec des frontières

  • REVUE DE PRESSE : « Nous entrons dans une nouvelle guerre froide qui pourrait marquer notre sortie de l’histoire »

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    La pandémie révèle des évolutions profondes du système international que les Occidentaux ont souvent été tentés d’ignorer, analyse le haut fonctionnaire Pierre-Henri d’Argenson. Seules une politique de puissance et une vision réaliste des enjeux mondiaux permettront selon lui à l’Europe d’éviter la marginalisation stratégique.

    Par Pierre-Henri d'Argenson
     
    Il est rare que l’on puisse tirer les enseignements d’une crise lorsque l’on est au milieu de celle-ci. Les grands bouleversements intervenus depuis la fin de la guerre froide n’ont ainsi pas toujours été déchiffrables au moment où ils se sont produits, sans doute parce qu’ils appartenaient à une ère de transition accouchant d’un monde nouveau qui se présente aujourd’hui, avec la crise du coronavirus, sous une lumière crue. La pandémie, en effet, agit comme un révélateur de tendances certes perçues par notre intellect, mais qui n’avaient pas suffisamment frappé notre imagination pour modifier nos représentations du monde. Or désormais le monde est nu, et nous n’avons pas d’autre choix que d’abandonner nos coupables pudeurs pour regarder la vérité géopolitique qu’il nous donne à voir, et les conséquences que nous devrons rapidement en tirer pour y survivre en hommes libres.
    Nous ne croirons plus à l’article de la doxa mondialiste qui prétend que tout le monde est chez soi partout.

    Examinons les faits. Trois choses absolument frappantes se sont produites durant la crise. La première, c’est qu’aux premières alertes, chacun est rentré chez soi, dans son pays. Du jour au lendemain, les touristes sont passés du statut d’heureux voyageurs nomades à celui d’étrangers indésirables, parfois objets de comportements hostiles de la part des populations locales. La mondialisation heureuse venait de tomber le masque. Les citoyens du monde se sont évaporés. Le touriste, l’étudiant, l’homme d’affaires sont redevenus, chez les autres, ce qu’ils ont toujours été : des étrangers. Bien sûr, lorsque la crise sera passée, la circulation des biens et des personnes reprendra son cours, mais nous ne croirons plus, en particulier nous les Européens à qui l’on a enjoint de « s’ouvrir » toujours plus, à l’article fondateur de la doxa mondialiste qui prétendait que tout le monde est chez soi partout.

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  • La chasse aux sorcières du gouvernement

    Le gouvernement n’aime pas qu’on lui résiste. Deux jours après le vote sur le plan de déconfinement, la majorité n’a pas perdu de temps pour cibler les réfractaires. Martine Wonner, seule députée LREM à avoir voté contre la stratégie de déconfinement du gouvernement, est “convoquée” par le groupe majoritaire pour s’expliquer. L’élue du Bas-Rhin, appartenant à l’aile gauche de la majorité, participera au prochain bureau du groupe en visioconférence mercredi prochain à 14h. Médecin de profession et favorable au recours à la chloroquine face au coronavirus, Martine Wonner avait regretté l’absence d’une quelconque stratégie thérapeutique, en annonçant son vote mardi. Une décision individuelle qui ne semble pas plaire au parti de Jupiter. Interrogé sur d’éventuelles sanctions en cas de votes dissidents, le président du groupe, Gilles Le Gendre, avait répondu “nous verrons” mardi avant la présentation du plan et le scrutin. C’est désormais tout vu…

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  • Dernière trouvaille de Cohn-Bendit : les migrants combattent le virus

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    Comme un coucou régulier,  surgit de temps à autre de la pendule dans laquelle il s’est confiné à double tour. Sa dernière apparition furtive s’est produite lors de l’émission « C politique » de France 5 où un journaliste esseulé attendait avec impatience le cri mélodieux de l’ex-soixante-huitard reconverti en horloge parlante du macronisme. Les mécanismes résistent malgré les coups de boutoir opérés par la perspective d’un « monde d’après » un tantinet moins mondialiste que celui d’avant.

    Effaré par ce cataclysme qui menace, le militant des causes impopulaires propose de sauver les meubles pendant qu’il en est encore temps. Entre autres urgences, la pandémie peut servir de prétexte idéal à régulariser les sans-papiers à tour de bras. Un tremblement de terre également, un incendie, un calme plat, une jaunisse… Les exemples d’occasion de régularisations massives ne manquent pas, mais on fait avec ce qu’on a sous la main.

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