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  • Les Traoré : Leonarda en pire !

    Au regard du présent et de sa déréliction politique et judiciaire, l’affaire Leonarda et le dialogue entre celle-ci et l’ex-président Hollande vont bientôt apparaître comme un exemple de gentillesse républicaine.

    Parce que l’information ouverte – toujours en cours, c’est le point central – à la suite de la mort d’Adama Traoré, les interventions multiples qu’elle suscite, les immixtions scandaleuses qu’elle engendre, les pressions et la complaisance médiatiques concernant la famille Traoré “vendue” tel un exemple à suivre mais dont le passé, pour certains de ses membres, est rien moins qu’irréprochable, dépassent l’entendement.

    Plus une mobilisation nationale prévue, à l’initiative de cette même famille, le 10 juin mais il va de soi qu’on respecte l’indépendance de la Justice !

    J’espère que les “émotions” de Christophe Castaner ne l’empêcheront pas d’être ministre !

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  • Sur C News, Charlotte d'Ornellas vs David Guiraud (LFI) sur l'affaire Adama Traoré et les violences policières.

  • L’émoi fait loi – Castaner : l’impardonnable forfaiture, par Etienne Defay

    La mesure est comble et la lâcheté du ministre de l’Intérieur commence à devenir non dissimulable. Après le magnifique « soupçon avéré » de racisme concernant les policiers, l’inimitable premier flic de France a annoncé que les manifestations de soutien à George Floyd et Adama Traoré seraient autorisées. Une décision qui va à l’encontre de tout principe législatif. « L’émotion est supérieure au droit dans ces cas-là. »

    On invitera le lecteur à méditer cette phrase. Car elle est une synthèse parfaite. Comme le rappelle avec ironie la journaliste du Figaro Eugénie Bastié : « Castaner vient de trouver l’épitaphe de la civilisation occidentale. » En effet, c’est beau, c’est propre, c’est presque du Philippe Muray dénonçant la société festiviste basée sur l’injonction permanente de la fête et de l’émotion. Muray ? Pas seulement. Car il y a aussi du Houellebecq chez Castaner. Il faut pour cela se reporter à l’avant-dernière publication de l’écrivain, Soumission. « Castaner ploie les deux genoux au sol » dénonce l’éditorialiste Guillaume Bigot sur Boulevard Voltaire.

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  • A propos du prétendu racisme des policiers américains…, par Aristide Renou.

    J’ai déjà écrit sur cette question, qui revient périodiquement sur le devant de la scène et qui est à chaque fois prétexte à moults saccages et pillages, mais, plutôt que de me répéter ou de vous servir du réchauffé, je préfère vous renvoyer vers cet article, dont je traduis (vite fait, hein ?) les premiers paragraphes, pour les plus paresseux d’entre vous ou ceux qui ne maitrisent pas bien l’anglais.

    « Dans le discours politique contemporain, on écrit beaucoup au sujet des Noirs injustement tués par la police. De tels écrits surgissent généralement à la suite d’un incident particulier censé mettre en lumière une situation générale. Bien sûr, ce ne sont que des anecdotes et, dans un pays de 300 millions d'habitants, il est possible de trouver chaque mois une nouvelle anecdote au sujet de quelque chose qui n'arrive pratiquement jamais. Vous pouvez également créer une impression générale de préjugés raciaux si les histoires concernant les Blancs tués par la police sont présentées de manière moins sensationnelles que les histoires mettant en scène des Noirs.

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  • Douze auteurs pour repenser l'économie

    Dans les pages qui suivent, les collaborateurs d'Éléments vous invitent à découvrir des auteurs et des écoles souvent qualifiés d'« hétérodoxes » : leurs réflexions se tiennent en effet à l'écart des sentiers balisés depuis deux siècles par l'économie politique classique, puis néoclassique. Théoriciens peu connus comme Jacques Duboin et Nicolas Georgescu-Roegen ou Prix Nobel comme Maurice Allais et Amartya Sen, ces économistes partagent au moins une conviction : les mécanismes du libre-échange marchand ne parviennent pas à instaurer de manière durable l'équilibre économique entre productions de valeur, revenus et dépenses monétaires, entre offre et demande de travail, entre l'épargne et l'investissement -, et moins encore l'équilibre social et écologique dont toute communauté humaine a besoin.

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  • Marion Maréchal : “Je n’ai pas à m’excuser en tant que Blanche”

    Marion Maréchal : “Je n’ai pas à m’excuser en tant que Blanche”

    « Je n’ai pas à m’excuser pour la mort d’un Afro-Américain aux Etats-Unis. Je n’ai pas à m’excuser pour la mort d’un délinquant, Adama Traoré, une mort accidentelle qui a eu lieu à la suite d’une interpellation qui n’était pas liée, c’est important de le rappeler, à sa couleur de peau, mais aux crimes qu’il aurait commis, lui et sa famille ».

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  • Iran : Descendant de Mahomet, il embrasse la croix

    Iran : Descendant de Mahomet, il embrasse la croix

    En Iran, de nombreux musulmans se convertissent au christianisme malgré les risques encourus. Comme les premiers chrétiens, ils vivent leur catéchuménat dans la plus stricte clandestinité. L’AED a rencontré l’un d’entre eux.

    Heman est un jeune homme discret, très poli, qui nous remercie chaleureusement pour le repas et la tasse de thé. Il parle avec douceur, sans la moindre trace de colère envers ceux qui ont fait de sa vie un enfer. Il a grandi dans une famille de Seyed, des descendants du prophète en langue persane. L’un de leurs ancêtres est considéré comme le fondateur de Mahabad, la ville où ils résident. Pénétré de l’importance que lui donne sa lignée, le père se comporte en potentat oriental. Colérique, il bat femmes et enfants, enfermant les récalcitrants dans une cave. Tous souffrent de claustrophobie, à la suite de ce traitement. Heman confesse : « Moi aussi, j’étais comme lui, plein de colère, y compris envers ma femme ». Difficile à imaginer quand on voit l’homme qui se tient en face de nous.

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  • Antiracisme et antifascisme comme prétextes

    6a00d8341c715453ef0263e94f807d200b-320wiDérivatifs presque aussi mondialement répandus que la pandémie du coronavirus, les  manifestations mais aussi les violences et pillages de ces derniers jours, laissent évidemment perplexes. Partout dans le monde on nous somme de rendre hommage à George Floyd, cet honnête délinquant victime aux États-Unis d'une brutalité policière, certes assez choquante.

    Et en France, par un effet de mimétisme inexplicable, on déterre une affaire présentée comme analogue remontant à plusieurs années, et des militants se rassemblent par milliers pour dénoncer un "racisme dans la police" amenant le ministre de l'Intérieur à s'aligner et à ordonner qu'on fasse de ce problème une priorité.

    Sans doute les excès du confinement ont-ils contribué préparer une partie de la population à cette divagation unilatérale conduisant surtout au racisme anti-flic.

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  • Racisme : la malhonnêteté du discours dominant, exclusivement à charge anti-Blancs, est flagrante

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    « Les médias mainstream avaient besoin de trouver un autre sujet d’intérêt pour les populations et sauvegarder des audiences qui avaient été saturés par la crise sanitaire… »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Suite à la mort d’un Noir aux États-Unis lors de son interpellation par la police, les manifestations se succèdent de chaque côté de l’Atlantique pour dénoncer le racisme supposé des policiers ; sont-elles justifiées ?

    Ce qui me surprend, c’est le discours unique des médias et des politiques, à part, on s’en doute, certains médias de la réinformation… À peine si l’on entend quelques rares représentants de syndicats de police tenter de défendre leur corporation en expliquant qu’il ne fallait pas faire de cas particuliers – inévitables et évidemment condamnables – une généralité. Il semble qu’on ne les laisse s’exprimer que pour donner le change, pour paraître honnête, alors que la malhonnêteté du discours dominant, exclusivement à charge anti-Blancs, est flagrante.

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