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  • Pour l’honneur des forces de l’ordre : Brigitte Bardot mouche (sans la nommer) Camélia Jordana…

    Il y a les très grandes actrices et puis les toutes petites.  
    Et il arrive que les premières mouchent magistralement les deuxièmes, sans même s’abaisser à les citer.
    Elle a sans doute du reste déjà oublié le nom de .
    Alors qu’il est de bon ton pour un people de verser son obole (qui ne coûte pas cher…) au politiquement correct comme les dames patronnesses d’autrefois aux soeurs de la Charité, entendez de conspuer la police-qui-ne-fait-rien-que-martyriser-les-jeunes-des-banlieues (police qui n’aura pas intérêt à traîner pour se pointer chez eux quand ils seront cambriolés),  a décidé d’afficher clairement son soutien aux forces de l’ordre dans une lettre aussi courte qu’efficace, datée du 12 juin.
    Il y a beaucoup de femmes libérées, celle-ci est une femme libre, espèce beaucoup plus rare.
    Elle l’était déjà bien jeune, en 1962, pour soutenir d’autres braves vilipendés, les soldats blessés en Algérie qu’elle était allée visiter dans un hôpital de métropole.
    Dans ce courrier lapidaire, elle rend hommage au« courage et à « l’abnégation » des forces de l’ordre, comprend leur révolte et fustige « un Castaner lamentable soutenu par un Macron soumis »… ça, c’est dit !
    Mais le plus « disruptif » reste le morceau de bravoure « viril » (eh oui !) final :
    « Je suis française de souche, j’ai représenté Marianne et suis connue du monde entier alors je vous emmerde, vous les donneurs de leçon, les politiquement corrects, bande de trouillards émasculés ».

  • Philippe de Villiers : « La France est notre mère, aimons-la. Ceux qui ne la respectent pas, qu’ils dégagent ! »

    Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel Macron et le « nouveau monde » prôné par le Président.

    Au micro de Boulevard Voltaire, le fondateur du Puy du Fou revient sur ses récents échanges avec Emmanuel Macron et explique le concept de nouveau monde et ses incohérences. Il réagit également à l’actualité récente, en particulier sur les contestations « antiracistes ».

    Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde. C’est le titre du livre que vous publiez chez Fayard. Hier, vous étiez sur le plateau de BFM TV et vous avez détaillé ce qu’a dit Emmanuel Macron d’Édouard Philippe lorsque vous lui demandiez « pourquoi Édouard Philippe ne déconfine t-il pas ? » Emmanuel Macron vous a répondu « il gère son risque pénal ».
    Quelle est précisément votre relation avec Emmanuel Macron ?

    Il y a le Puy du Fou et la France. Le Puy du Fou, c’est la passion d’une vie et Emmanuel Macron a multiplié les attentions depuis qu’il est venu au Puy du Fou. Il serait inélégant, voire insultant pour moi, de croire qu’Emmanuel Macron a voulu par ses attentions acheter le silence d’un esprit libre. Je lui ai demandé deux choses. De sauver le Puy du Fou, c’est fait. Et de sauver la France, ce n’est pas fait.

    Il aurait voulu « assassiner son Premier ministre ». Vous auriez été un parfait missile de croisière sur cette séquence…

    Il me parle et ne m’a jamais dit de garder pour moi ce qu’il me dit. Je considère que le missile de croisière en question est arrivé sur le Puy du Fou. On a failli mourir et le pays est en train de crever. Il faut établir les responsabilités. “Les Gaulois réfractaires” est une expression d’Emmanuel Macron. Les Gaulois réfractaires réputés indociles et indisciplinés sont sortis de leurs parois où ils étaient devenus des troglodytes recroquevillés, enfermés, encasernés, embastillés.

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  • Aux Mercredis de la NAR : #44 - Morvan BUREL pour le livre “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne”.

    Mercredi 3 avril, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Morvan Burel pour le livre “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” qu'il a co-écrit.

    Depuis bientôt quarante ans, les partis politiques de gauche croient pouvoir réaliser leur programme dans le cadre de l’Union européenne et sans remettre en cause les principes du libéralisme économique inscrits dans les traités. Les socialistes ont promis « l’Europe sociale », voire un fédéralisme européen à la mode social-démocrate, mais se sont heurtés à un système de normes juridiques, au carcan monétaire et à la dynamique du capitalisme financier. Les trotskystes dénoncent le libre-échange mais refusent le protectionnisme. La France insoumise propose une stratégie en deux temps – les plans A et B – peu crédible tant elle est floue. Membre du collectif « Chapitre 2 » aux côtés, entre autres, de Christophe Ventura et d’Aurélien Bernier, Morvan BUREL est coauteur de l’ouvrage consacré à “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” – une épreuve qui met aujourd’hui son existence en question. En examinant avec notre invité les propositions et les échecs de la gauche, nous réfléchirons aux différentes stratégies qui pourraient permettre de sortir de l’impasse européiste.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/06/11/aux-mercredis-de-la-nar-44-morvan-burel-pour-le-livre-la-gau-6245011.html
  • Face au racisme des pro-Traoré, de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Face au racisme des pro-Traoré,  de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Ce samedi 13 juin, vers 14h45, une banderole sur laquelle est inscrit

    « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc – White Lives Matter »

    a été déployée sur le toit d’un immeuble donnant sur la place de la République à Paris, en pleine manifestation organisée par le comité « La vérité pour Adama ».

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  • Sortie cette semaine du livre de Michel Vial : "La chute de l'empire occidental". Rencontre avec l'auteur...

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    Michel Vial, avant toutes choses, pouvez-vous vous présenter...

    Je suis un jeune retraité de 64 ans. Certains, parmi les amis de Synthèse nationale doivent me connaître, car ils se souviennent peut-être de mon parcours de militant depuis la fin d’Ordre Nouveau jusqu’aux premières années du Parti des forces nouvelles.

    Très jeune, en 1972, j’ai rejoint les rangs de ceux qui refusaient l’embrigadement de la jeunesse que pratiquaient les mouvements d’extrême-gauche, maos et trotskystes, alors très influents dans les lycées et les facultés. Je me sentais plus proche de ceux qui défendaient la nation et l’identité françaises et qui se battaient à un contre cent. L’ambiance de camaraderie que j’ai connue dans ces différents mouvements, ON, Front de la Jeunesse, GUD, Faire Front, PFN, m’a marqué durablement, j’en ai gardé des amitiés solides et fidèles. J’ai cessé toute activité politique assez tôt, mais n’ai jamais renié mon engagement de jeunesse.

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  • LA DÉSINDUSTRIALISATION FINANCÉE PAR NOS IMPÔTS ?

  • Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !

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    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !

    Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !

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  • Retour au Franc : est-ce raisonnable ? (article de 2011)

    Le fonds monétaire international (FMI) est en première ligne dans la recherche d'une solution pour sortir la Grèce, l'Irlande et le Portugal du surendettement dans lequel l'utilisation de l'euro et des imprudences budgétaires les ont plongées. Il n'est pas inutile de se référer à l'ouvrage L'économique (1972, 8e édition en français) de Paul A. Samuelson, professeur d'économie au Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de Sciences économiques en 1970, pour constater le piège dans lequel ces pays, et ceux de la zone euro sont volontairement, et en toute incompétence, tombés.

    Bien qu'ils aient évolué au début des années 1980, les motifs et les mécanismes d'intervention du FMI sont très clairement expliqués. L'objectif n° 1 : « empêcher un pays de s'enfoncer toujours davantage, d'année en année, dans l'endettement. » Le FMI intervient en conditionnant l'octroi de prêts à la mise en œuvre de mesures visant à remédier au déséquilibre persistant. « Toutefois, peut-on lire, aucun pays n'est, en pareille occurrence, invité à créer chez lui un état de dépression aux fins de comprimer son revenu national à un niveau tellement bas que ses importations finiraient par correspondre à ses disponibilités en devises. Au contraire, le pays en question est autorisé à déprécier de son propre chef, une première fois (sic) sa monnaie à raison de 10%, une telle mesure visant à restaurer l'équilibre des changes extérieurs en développant les exportations et en contractant les importations de ce pays. Si toutefois une telle mesure ne suffit pas à corriger la "surévaluation" (sic) de la monnaie du pays débiteur, les autorités du Fonds peuvent, après s'être dûment concertées, autoriser une dépréciation encore plus accentuée de cette monnaie [...] Cependant des clauses de flexibilité permettent, en cas de besoin, de procéder aux ajustements requis, plutôt que d'attendre passivement (resic) un effondrement financier international. » Nous commenterons brièvement un peu plus loin.

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  • Dérives gauchistes à l’université

    Dérives gauchistes à l’université

    Message de Xavier Nicolas, rédacteur en chef de Campus Vox:

    L’université française traverse à l’image de toute la société une crise grave. Bien loin des querelles idéologiques habituelles elle fait face aujourd’hui à un péril bien plus important encore. Vous le savez, le déconstructivisme prolifère de plus en plus dans ce lieu où l’on forme la jeunesse de demain. Les nouvelles théories décoloniales, indigénistes, racialistes, de théorie du genre, gangrènent peu à peu les enseignements et la recherche. Par exemple, aujourd’hui il est pratiquement impossible de financer des sujets de recherche si vous n’y apportez pas une perspective décoloniale ou genrée.

    L’extrême gauche est par ailleurs de plus en plus violente, et de plus en plus totalitaire. Combien de conférences sont annulées chaque année pour la simple et bonne raison qu’elles « dérangent » une minorité d’étudiants qui font céder les universités. Combien d’examens ont été perturbés, d’élèves lynchés et empêchés d’aller en cours pendant plus de la moitié de l’année ? Vous le savez bien, beaucoup trop.

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  • Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

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    L’excellente revue d’études et de formation politique L’Héritage (abonnez-vous y !)  publie cet excellent rappel :

    On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

    Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

    Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
    Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

    1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

    2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs dans la mesure où, auparavant, en cas de conflit, les hommes vaincus étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

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