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L’amende est lourde et pourrait augurer d’un tournant important dans la lutte contre la pollution de l’air, responsable, chaque année, en France, de plus de 48 000 morts prématurés. Dans une décision historique rendue vendredi 10 juillet, le Conseil d’État ordonne au gouvernement de prendre sans tarder toutes les mesures nécessaires pour réduire la pollution de l’air, sous astreinte de 10 millions d’euros par semestre de retard – « soit plus de 54 000 euros par jour ».
Tribune de Gregor Puppinck parue dans Valeurs Actuelles, le 28 juin :
Le Parlement européen s’est engagé, avec véhémence, contre le racisme et pour le mouvement Black Lives Matter. Sa récente résolution sur les « manifestations contre le racisme après la mort de George Floyd » est un exemple de novlangue, multipliant les condamnations et dénonciations de discriminations structurelles et intersectorielles.
Le Parlement dénonce le fait que « les Noirs et les personnes de couleur représentent jusqu’à 40 % de la population carcérale, alors qu’ils ne forment que 13 % du total de la population » ou encore que « le taux de mortalité en garde à vue aux États-Unis est six fois plus élevé pour les Noirs que pour les Blancs ». Dans son indignation, il omet toutefois de déplorer une autre statistique ethnique, pourtant enracinée dans l’histoire raciste de l’Amérique : celle de l’avortement. En effet, alors que les femmes noires ne représentent que 13 % de la population, 38 % des avortements visent des Noirs, soit 16 millions de “Black lives” depuis 1973. Selon l’Institut Guttmacher, une femme noire a cinq fois plus de risques de subir un avortement qu’une blanche. Ce n’est pas un hasard : 79 % des cliniques d’avortement du Planning familial sont situées dans les quartiers des minorités.
L’Amérique s’est bien sûr lancée dans le traçage, comme l’Europe. Ceux qui sont testés positifs au COVID-19 sont tenus de partager les noms de toutes les personnes avec lesquelles ils ont récemment été en contact, afin que ces personnes puissent être informées de leur exposition au virus. Ça c’est pour la version officielle.
Cela permet aux organisations chargées du traçage et aux États d’accumuler une énorme base de données sur les personnes, rassemblant des informations privées sur la santé, la famille, les amis, les déplacements et le mode de vie des individus.
Partners in Health, organisme mondialiste chargé du traçage des malades du Covid-19
Partners in Health (PIH), un organisme du Massachusetts cofondé par le mondialiste Paul Farmer, coprésident du conseil d’administration de PIH, tient un rôle important dans le traçage aux Etats-Unis. Notons que cet organisme est présent dans le monde entier.
L’ancienne directrice du Département de la santé de l’Ohio, Amy Acton, qui a démissionné le 3 juin 2020 et le gouverneur de l’Ohio Mike DeWine avaient déjà engagé Partners in Health pour gérer le programme de traçage à l’échelle de leur État.
Le gouverneur de l’Ohio, Mike DeWine, qui entretient des liens étroits avec Haïti, y avait emmené Amy Acton et l’y fit rencontrer Paul Farmer pour la première fois. Notez qu’en Haïti, la Clinton Global Initiative (CGI), un programme de la Fondation Clinton, est étroitement liée à PIH. En fait, les deux organisations partagent un membre du conseil d’administration commun : Chelsea Clinton, fille de Bill et Hillary Clinton. La Clinton Global Initiative est également associée avec Paul Farmer et PIH au Rwanda.
La Fondation Clinton a par ailleurs produit une série de vidéos avec des interviews liées à la pandémie de coronavirus, mettant en vedette l’ancien président Bill Clinton. Lors d’une interview entre Clinton et le gouverneur de Californie Gavin Newsom, réalisée le 23 avril 2020, Clinton mentionne son ami, Paul Farmer, et Partners in Health.
Pour avoir simplement voulu contrôler le ticket de l’un d’eux et exigé des trois autres qu’ils portent un masque, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, a été battu à mort dimanche par quatre voyous ethniques de cette zone de non-France qu’est le quartier Balichon. Une agression d’une sauvagerie extrême qui, après celle de Thomas, tué de huit coups de couteau par un « jeune » tout juste sorti de prison (Présent daté du 7 juillet), et le meurtre du gendarme Lemée, écrasée par le multirécidiviste Yacine E. (Présent daté du 8 juillet), témoignent de l’ensauvagement croissant et plus qu’inquiétant de notre pays sous les effets conjugués du laxisme judiciaire, de l’immigration massive et de la haine anti-Blancs et anti-police excitée par le lobby antiraciste et les médias.
À l’occasion de la première séance du nouveau conseil municipal de Marseille, le samedi 4 juillet dernier, la cité phocéenne a confirmé son passage à gauche avec l’élection au poste de maire de Michèle Rubirola. En raison d’un mode de scrutin voulu par Gaston Defferre en 1982, « Le Printemps marseillais » de la nouvelle mairesse n’a, avec 42 sièges, qu’une majorité relative. Elle doit son élection au second tour au bon report des huit élus de la sénatrice socialiste Samia Ghali ainsi qu’une voix surgie du marais de centre-droit.
Bien des membres de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne regrettent l’absence de tout compromis entre les neuf conseillers municipaux du RN emmenés par le sénateur Stéphane Ravier et les 41 membres de l’ancienne majorité gaudinesque. Peut-être sur ordre du « Carré » de Nanterre où on ne compte plus les arrivistes et les incompétents, le groupe RN a préféré s’abstenir et quitter la réunion. Ce « retrait sur l’Aventin » version marseillaise constitue néanmoins une grave erreur tactique.
Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.
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Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Eléments de réponse.
Dans ce conflit, la Commission européenne, gardienne des traités, interprète la phrase « les États membres établissent les voies de recours nécessaires pour assurer une protection juridictionnelle effective dans les domaines couverts par le droit de l’Union » comme conférant aux institutions de l’UE un pouvoir sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires nationales. Ce pouvoir serait supérieur à celui des cours constitutionnelles nationales. De la même manière, la mention de l’État de droit parmi les valeurs visées par l’article 2 du Traité sur l’Union européenne est invoquée par la Commission en soutien de sa prétention à exercer un contrôle direct sur le respect de l’État de droit. C’est particulièrement vrai vis-à-vis de la Pologne et de la Hongrie depuis que ces pays sont dirigés par des conservateurs dont les idées ne correspondent pas toujours à celles dominantes à Bruxelles. Et puisque l’article 7 permet difficilement de sanctionner un État membre qui ne respecterait pas l’interprétation que la Commission européenne fait de ces valeurs énumérées à l’article 2, celle-ci s’efforce d’obtenir de la CJUE qu’elle étende sa compétence au contrôle du respect de l’État de droit dans les pays membres. Mais comme cela ne suffit pas pour faire plier Varsovie (et également Budapest), la Commission européenne, soutenue par le Parlement européen, cherche en outre, depuis deux ans, à introduire dans le prochain cadre financier pluriannuel de l’Union – et aussi désormais dans le plan de relance négocié pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 – un mécanisme conditionnant le versement des fonds européens à l’appréciation par la Commission européenne du respect par chaque État membre de l’État de droit et des valeurs évoquées à l’article 2 du Traité sur l’Union européenne. Ce serait une autre manière de contourner les conditions strictes prévues pour sanctionner un pays sous le régime de l’article 7. Sans attendre la mise en place d’un tel mécanisme, la Commission européenne exerce déjà de fait un chantage aux fonds européens contre les collectivités locales polonaisesqui s’opposent à l’idéologie LGBT, ce qui illustre très bien à quoi pourrait servir le conditionnement des fonds européens au respect de « l’État de droit ».
C’est pourquoi le conflit qui oppose aujourd’hui Bruxelles à Varsovie concerne en fait tous les Européens.
L’antiracisme des années 80 est bel et bien enterré. Pendant les années Mitterrand, SOS Racisme était conduit et mené par des gens, comme Harlem Désir, qui ne connaissaient ni la banlieue ni le contact violent avec la police.
L’antiracisme était alors une idée politique marquée à gauche, une arme au service du Parti socialiste pour empêcher la réunion de la droite gaulliste et du Front national. Par antifascisme, la gauche y a spontanément adhéré, trouvant dans les immigrés un prolétariat de rechange à défendre.
L’antiracisme revendiquait alors l’héritage républicain et « l’égalité des chances » dans le sillage des idées de la Révolution française : Liberté d’être un Maghrébin ou un Noir en France, Égalité dans l’accès à l’emploi et au logement, Fraternité par-dessus les différences ethniques.
Le programme était irénique parce qu’idéologique, c’était une bannière partisane déployée au-dessus de la population immigrée par des politiciens professionnels ou des prête-noms.
Les Français d’origine européenne doivent rester ultra-majoritaires sur leur sol sous peine de mort de la France. Fort de ce constat, la conclusion s’avère logique. Si les Français d’origine extra-européenne sont trop nombreux pour vivre en bonne intelligence avec les Français de souche européenne, alors un grand nombre d’entre eux doit repartir.
La rapidité avec laquelle notre pays court à l’abîme, que celui-ci prenne la forme d’un grand basculement anthropologique comme le nomme Jérôme Fourquet, où les Français de souche européenne deviendraient une minorité au sein du peuple Français, d’une séparation territoriale, d’une scission, d’une fracturation comme a pu le diagnostiquer François Hollande à la fin de son mandat présidentiel, situation qui, logiquement devrait mener tout droit à une sécession, ; ou que cet abîme ne se matérialise plutôt par la guerre de tous contre tous théorisée par Hobbes, la guerre civile que l’histoire de France a souvent connue, cette rapidité avec laquelle se dessine un sombre horizon ne peut qu’amener le citoyen non résigné à envisager d’autres pistes.